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Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu
Dans un contexte de pouvoir d'achat raplapla, l'interprofession bovine propose de cuisiner des viandes moins chères que le steak. À mitonner au coeur de l'hiver.
« On essaie de redonner aux Français le goût de cuisiner des bourguignons et du pot-au-feu, explique Louis Orenga, le directeur du CIV, le Centre d'information des viandes. Par ces temps difficiles pour le pouvoir d'achat, il peut être intéressant de mitonner, le week-end, des plats avec les morceaux d'avant de la vache moins chers que l'entrecôte et les steaks. » C'est bon pour le porte-monnaie des ménages et pour celui des industriels. Ils peuvent mieux valoriser des parties de la vache plutôt boudées aujourd'hui. L'interprofession bovine grimpe jusqu'aux stations de ski dans le cadre de sa « tournée viande des neiges » pour faire goûter aux enfants des bouillons de pot-au-feu. « Souvent, c'est la première fois, qu'ils en mangent dans leur vie, souligne Louis Orenga. On leur explique aussi que l'été les vaches participent à l'entretien des alpages. »
16 kg de boeuf par an
Dans le cadre d'ateliers culinaires et sur la chaîne Cuisine-TV des chefs cuistots remettent au goût du jour des recettes un peu oubliées. Malgré ces efforts de communication, la consommation de viande rouge s'érode de 1 % par an. La production française est de 800 000 tonnes issue pour moitié du troupeau laitier et pour l'autre moitié des races allaitantes.
Le Français consomme 16 kg de viande rouge dans l'année bien loin derrière l'Argentin avec 60 kg. Le boeuf n'a pas toujours bonne presse à cause de sa matière grasse. Ça fait bondir Gilles Gandemer, spécialiste des lipides à l'Inra, l'Institut national de la recherche agronomique. « En mangeant des croissants où des chocolatines vous avalez 15 % de matières grasses alors qu'une entrecôte ne dépasse pas 5 à 7 %, remarque-t-il. La consommation de viande apporte aussi un effet de satiété qui évite de grignoter entre les repas et donc de prendre du poids. »
En fait, tout est une question d'équilibre. « Il faut surtout varier son alimentation, plaide le scientifique. Avec son mélange de viandes et de légumes, le pot-au-feu répond à cet impératif. « Si les gens n'ont pas le temps de le préparer qu'ils en achètent chez leur boucher-traiteur », disent en choeur Michel Renaudier et Gérard Luquet, deux bouchers retraités. Au Salon, ils font la promotion de leur métier devant le public. « On a vraiment le potentiel de clients, ajoutent-ils, mais on trouve de moins en moins de bouchers. À Paris, la profession est prête à en recruter 600 demain matin. »
Jean-Paul LOUÉDOC. jeudi 28 février 2008
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Le pot au feu, ce plat que l'on apprécie surtout quand les frimas s'abattent sur le jardin.
Un plat qui réchauffe le corps et le coeur..
Un peu comme le couscous..
ce n'est pas pour rien que ces plats sont devenus célèbres..
Bon appétit
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La petite poule et le Premier ministre 29/02/2008 15:43:58
Il était une fois, une petite poule rousse qui se retrouva dans les bras d'un gentil Premier ministre originaire de la campagne sarthoise qui faisait son petit tour au Salon de l'agriculture. Comme elle lui était offerte par des gars du pays natal, ledit Premier ministre ne put refuser le cadeau qu'il confia aussitôt à l'un de ses gardes du corps, l'un de ces poulets de Paris que l'on rencontre dans tous les déplacements ministériels. On dit que le dit Premier ministre se trouva un peu interloqué lorsque le madré patron des Poulets de Loué lui expliqua que la petite poule rousse s'appelait Carla et qu'il précisa, non sans malice « qu'il ne savait pas si elle chantait juste ».
Maintenant, me voilà tout énervé. Cette petite Carla me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus exactement quoi au juste ! Ces derniers temps, je commence à avoir des trous de mémoire. Pourtant, j'ai eu l'impression que les gars de la Sarthe avaient une idée derrière la tête. Même qu'une assistante de direction des Poulets de Loué a gentiment insisté: « S'il s'en occupe bien, elle peut pondre un oeuf par jour ». C'est balaise quand même !
Je me demande bien ce qu'ils ont voulu dire, ces gars de la Sarthe !
Jacques ROUIL. vendredi 29 février 2008
Quand on devient meilleur que le patron, dans les sondages...
On peut raisonnablement craindre pour sa survie politique.
En France, sous la cinquième, les premiers ministres sont des fusibles...
Le premier Sinistre...Comme disait Coluche..
Rendez-vous aprés les élections..Il y aura certainement de la volaille sur le grill..
Normal ! Me direz-vous, ce sera l'époque des barbecues.....
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Gourmand, forcément gourmand Gourmand, forcément gourmand
Le lundi, ce n’est plus raviolis.
Grâce à LibéToulouse, c’en est fini du régime cantoche, sandwiches et surgelés à la maison.
Chaque semaine, un fruit courant, un légume commun ou une viande, même d’en bas, subira les cuisines de Jean-Paul S.
Aujourd’hui, c'est la carotte.
La carotte, cette bien-aimable apiacée qui fait rougir les joues des bébés privés de ski et adoucit si bien la peau des femmes.
Sachez quand même que l’idéal orange de ce légume peu calorique est tout à fait récent. 150 ans plus tôt, la chose était jaune. Un siècle avant encore, la carotte était blanche. Cette bizarrerie est confirmée par Alexandre Dumas dans son Dictionnaire de cuisine (Ed. 10-1 : «Il faut choisir les carottes jaunes ou d’un blanc pâle, se rompant aisément».
L’apiacée, qui plus est, est bénéfique au corps. Crue et râpée depuis peu, ou bien à peine cuite à petits bouillons, pour conserver ses pro-vitamines A, la chose éloigne les pires diarrhées et apporte de salvateurs sels minéraux. On dit même que ses anti-oxydants militent contre le cancer. La belle affaire !
Passons aux casseroles : «Alors là, pas de problèmes, vous dira Jean-Claude Plazzotta (Le pois gourmand). Avec les fanes, qu’il ne faut surtout pas jeter, vous faites un bouillon. Vous faites revenir à côté vos carottes en rondelles et vous arrosez de temps en temps avec votre bouillon. Sel, poivre, une épice que vous aimez, et le tour est joué. Zéro pertes. Tout dans la bouche, rien dans la poubelle».
«Dites à vos lecteurs de s’amuser un peu, ajoute Yannick Delpech (L’Amphitryon). Vous achetez des babas et, au lieu de les imbiber de rhum, vous les faites infuser dans le jus frais d’une carotte mixée avec du citron, du sucre et du cumin. Vous servez, accompagné d’un sorbet à la carotte. C’est super !».
Avec la carotte, Stéphane Tournié (Les jardins de l’Opéra) préconise plutôt des envies simplicites mais précises : «L’autre jour, j’ai fait une purée de carottes à mes enfants, bien lisse, au mixeur, avec une pointe de canelle et un soupçon de cumin. On la pose sur un poisson frais, juste poêlé. Ils en ont redemandé, c’est bon signe !».
Mo Bachir (La corde) est plus aérien encore : «Dites à nos amis de passer des carottes crues au mixeur, avec quelques herbes, un peu de sucre plus des jaunes d’œufs. Vous battez les blancs en neige et vous mélangez doucement. Vous beurrez un plat à soufflé, vous y mettez le tout, et hop, au four ! Ils verront : c’est drôlement bon ».
Daniel Gonzalez (Ô Saveurs) conseille de son côté «une sorte de confiture de carottes. A la casserole, sur feu doux, avec du sucre et un parfum de poivres et de cumin. On mixe et on sert sous un filet mignon de porc ou une autre viande blanche et neutre. C’est fabuleux, et même pas cher».
Et qu’est ce qu’on boit, avec ? «Si la carotte est crue, vous dira François Dedieu, œnologue à Paul Sabatier, un rosé sera moins dur qu’un rouge. Et pour la vinaigrette, utilisez un vinaigre de cidre qui heurtera moins les tanins du vin. Si elle est confite, alors je vois plutôt un rouge un peu chaud, un Fitou par exemple».
Si vous ne voulez pas cuisiner vos carottes, alors allez manger des tartes chaudes chez Carole. Son « Estaminet », situé au 4 de la Place du Parlement de Toulouse (Tel : 05.61.53.64.44), propose chaque midi de réconfortantes tartes salées, bonnes et pas chères, qu’elle accompagne toujours de carottes râpées fraîches et goûteuses. Et si vous demander du rab de carottes, de la part de LibéToulouse, Carole vous souriera encore. Elle est trop forte, Carole !
Jean-Paul S. Un peu plus ? www.cuisinesretrouvees.com 25/02/2008Et en plus ça rend aimable
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Les textos, listes de courses et recettes de cuisine s'exposent au musée Les textos, listes de courses et recettes de cuisine s'exposent au musée
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Vous n'avez jamais pensé à admirer vos listes de courses ou à contempler vos textos ? Du 2 mars au 22 avril*, le musée des Beaux-Arts de Nantes vous en donne l'occasion, en portant un « regard sociologique, ethnologique et anthropologique » sur 300 petits écrits du quotidien (recettes de cuisine, messages griffonnés sur un coin de table...) collectés aux archives départementales ou auprès de particuliers de Loire-Atlantique. L'exposition itinérante « Ecritures (extra)ordinaires », qui a déjà reçu plus de 18 000 visites en Pays de la Loire, veut « faire prendre conscience de l'importance » de cette petite littérature, explique Tiphaine Yvon, chargée du projet. « C'est un champ d'exploration assez nouveau : très peu de choses ont été faites jusque-là dans ce domaine. »
« Une idée reçue voudrait qu'aujourd'hui on n'écrive plus, et particulièrement les jeunes », explique Tim Northam, scénographe de l'expo. « Or, c'est totalement faux : l'ordinateur a nettement réveillé l'écriture, avec des contraintes fortes. »
C'est vrai on pratique plus l'écriture devant un ordinateur, que devant la télé..
L'informatique et internet sont de grands concurrents pour la télévision.
Guillaume Frouin - ©2008 20 minutes suivre
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Une étagère pour les fleurs Une étagère pour les fleurs
Plant Ladder Stretches Your Growing Space
27/02/2008 19:31:27
Originale et, somme toute assez simple...
Toujours MADE IN USA
Une variante
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La demande de légumes oubliés La demande de légumes oubliés en forte progression en France
Les fruits et légumes oubliés qui avaient disparu des assiettes des Français parfois depuis des siècles, mais ont été remis à la mode par la vogue "bio", refont surface depuis plusieurs années et leur demande explose, selon leurs promoteurs, qui en débattront au Salon de l'Agriculture.
Philippe Desbrosses, PDG de la ferme bio de Sainte-Marthe à Millançay (Loir-et-Cher), évoquera lors d'une rencontre ce retour en force des crones du Japon, panais et autres potimarons, qu'il date du "début des années 80". Sans pouvoir donner de chiffres sur cette vogue qui touche aussi bien le Bio que le secteur traditionnel, il évoque "20% d'augmentation depuis une dizaine d'années". Samantha Breitembruch, de Biocop, le plus important réseau de magasins Bio en France, indique que son organisation a enregistré une croissance de +22% des ventes de fruits et légumes en 2007 et de + 7% en 2006, dont des légumes anciens.
"Nous ne distinguons pas dans nos statistiques les produits anciens ou rares, mais il est évident qu'il y a une forte demande et qu'elle inclut les variétés oubliées. Si vous êtes à la recherche de ce genre de produits moins standardisés, il y a plus de chance que vous les trouviez chez nous que dans le secteur conventionnel', dit-elle. "Depuis le début du XXe siècle, 75% des variétés comestibles cultivées ont disparu, selon la FAO, l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture. Des mille variétés de pommes qui existaient en France, il n'en reste plus que vingt ou trente, dont la golden, qui a colonisé le verger français et européen", explique M. Desbrosses. "Après cette extinction massive, qui a démarré dans les années 50 avec l'agriculture intensive, l'opinion s'est rendue compte du désastre et de l'appauvrissement de la biodiversité et a voulu retrouver ces variétés anciennes", dit-t-il.
A titre d'exemple de variétés cultivées chez lui, M. Desbrosses cite des rutabagas et les topinambours, consommés par nécessité durant la Seconde Guerre Mondiale, et qui ont retrouvé les faveurs des consommateurs, mais aussi des panais, sorte de longue carottes blanches, très en vogue de nos jours, qui étaient absents des marchés français, à l'exception du Nord, depuis deux siècles. "Plante favorite de l'Empereur Tibère, qui envoyait des émissaires en Allemagne pour lui en ramener, il avait disparu depuis le XIXe siècle au profit de la carotte, pour des raisons de mode, et a été réhabilité depuis vingt ans", souligne M. Desbrosses.
La Ferme-de-Sainte Marthe qu'il dirige est le prototype de ce retour aux sources ou de découvertes. On y cultive aussi bien du potimaron issu de l'Amérique pré-colombienne et importé en Europe depuis 1957, que des cerfeuils tubéreux, "de grosses raçines qui rappelent les chataignes, valent très chers et sont utilisés par les grands restaurateurs", ou des arroches, "des sortes d'épinards". Sur cette exploitation de cent vingt hectares, les légumes anciens redécouverts sous forme de graine, de bouture ou de plant, sont privilégiés.
Chaque année, la ferme "reçoit de 30 à 40 variétés originales qui lui sont envoyées par des jardiniers amateurs, des universités ou des centres de recherche", explique Jean-Yves Fromonot, un des responsables. Après identification, les semences "conservées dans des endroits frais et secs, sont vendues sur notre catalogue par internet ou via le réseau Nature et Découverte", indique Patrick Maliet, un autre responsable de Sainte-Marthe
Publié le 22/02/2008 www.terre-net.fr, un titre Terre-net Média
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Moins de standardisation..
Plus de biodiversité..
Malheureusement des prix plus élevés...
On ne peut pas tout avoir...
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Un monde fou fou fou ... Cuisine de dans 10 ans
Un monde fou fou fou ...
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Dans le cadre d'un proet futuriste pour la marque Brandt,ce styliste français envisage une meuble qui fait à la fois jardinière, évier et cuisinière.
Une fois fermé, le meuble ne fait que ... jardin.
_______Antoine Lebrun__________________________________________________________________
On les a connu plus sage que cela ces fabricants de machine à laver..
Et si le végétal pouvait remplacer certaine matière de décoration dans les maisons.
Pensez à une moquette de salon en vrai ray-grass, par exemple..
A la place de l'aspirateur on passerait une petite tondeuse..
Bon! Là on délire......
Quoique!!!!!
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La chasse aux chats sauvages Posté le: Dim 24 Fév - 18:36 (2008)
Sujet du message: La chasse aux chats sauvages
.Il n'est pas normal que des chats domestiques retourne à l'état sauvage..La méthode employé pour se débarrasser des chats errants est tout aussi inacceptable..Si ces chats sont en trop grand nombre, il existe des moyens corrects et humanitaires pour en limiter le nombre..Il n'est pas légitime de laisser des chasseurs bredouilles se venger sur des animaux, qui n'étant pas encore complètement sauvages, ne se méfieront pas assez du chasseur qui va les massacrer.La faune sauvage, très méfiante, vend chèrement sa peau ou ses plumes, au grand désespoir des pseudo chasseurs de piètre qualité qui arpentent le plus souvent, aujourd'hui nos vallons et nos campagnes et rentrent le carnier vide à la maison..La chasse a toujours été une pratique de grande technicité, tant que l'homme a dû chasser pour subvenir à sa subsistance.Ce n'est plus le cas aujourd'hui..Le carnage dominical est devenu un jeu..Donner la mort, même par nécessité, ne pourra jamais être un jeu.Tous les reportages ,sur les peuplades dites primitives ou sauvages, démontrent le haut degré de compétence et de savoir- faire de ces peuples dont la subsistance reposent sur la chasse.Je dirais plutôt sur le prélèvement dans la faune sauvage...Car ils prélèvent que ce qu'ils ont besoin..Et pour cela ils nous font percevoir, à nous les civilisés, à quel point l'acuité de certains sens s'est émoussée au fil des millénaires..L'odorat, la vue (bientôt tout le monde portera des lunettes)et même l'ouie sont des sens qui on perdu de leur finesse.Ces peuples chassent autant avec leurs armes (très rudimentaires) qu'avec leurs sens et leur observation du milieu.Nos sois-disant chasseurs ne peuvent pratiquement plus que spéculer sur le numéro de plomb à mettre dans la gueule de leurs fusils....Ne pourrait-on pas comme certains pêcheurs remettre l'animal, aussitôt après capture dans son milieu naturel ?Pour la chasse, c'est impossible vous me direz..Le coup de feu au but est toujours mortel..Mais notre technologie très avancée, ne pourrais-t-elle pas concevoir un moyen infaillible de marquer le gibier visé, sans le tuer, ni le blesser( ce qui peut être le plus souvent encore pire)..Il y a , aujourd'hui, des gens qui jouent à des simulacres de petites guerres, où les victimes sont authentifiées par un jet de peinture. (Il faut de tout pour faire un monde).Ne pourrait-on pas trouver des moyens analogues ?Si, aux dires des chasseurs la chasse est un sport...Et confier aux professionnels de la nature, le soin de réguler les espèces sauvages, afin d'assurer leur développement harmonieux au sein de leur environnement..Allez ! On peut toujours rêver...Mais les animaux domestiques qui retourneraient, pour diverses raisons à l'état sauvage, ne méritent absolument pas une telle extermination..Comme dans la savane, la jungle ou la steppe, les animaux d'origine sauvage, relâchés, après un passage en captivité, sont en grand danger..Ils ne craignent plus l'homme et les prédateurs...Et c'est là leur faiblesse....Les reportages cinématographiques animaliers ( fort beaux et forts intéressants d'ailleurs) nous le rabâchent continuellement.....Et cela est bien..
White SatinForum
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Le printemps par Giuseppe Arcimboldo Posté le: 22/02/2008 02:30:51
Le printemps par Giuseppe Arcimboldo
Une définition du printemps...
Par Giuseppe Arcimboldo ...
Amusantes ou mystérieuses, les œuvres de Giuseppe Arcimboldo ne passent pas inaperçues. Jusqu'au 13 janvier 2008, le Musée du Luxembourg à Paris rend hommage à ce peintre méconnu de la Renaissance italienne. Joues en pêche, nez en courgette et cheveux en grappes de raisin vous attendent à cette première exposition mondiale consacrée au créateur des célèbres têtes composées.
Effectivement cela a de quoi surprendre..
Mais nous reviendrons sur cela..
Nez en courgette et cheveux en grappes de raisin, çà nous branche, nous les jardiniers...
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Grass Grass
Une création du designer Claydies, ce vase fabriqué à la main en grès représente des ... herbes qui d'après son créateur "apportent une nouvelle vie aux fleurs coupées" (comme quoi, l'illusoire est le privilège de l'herbe).
Si cela plait aux fleurs...Après tout....Pourquoi pas
http://www.normann-copenhagen.com/Designers/Claydies
Chacun jugera selon ses gouts
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Le compost, ça s’apprend… Le compost, ça s’apprend…
Réaliser un compost, c’est plus simple que ça en a l’air. Pour s’initier à l’art du compostage, rien de tel qu’une formation sur le terrain ou qu’une séance d’information. Et pourquoi pas ensuite passer le mot à ses voisins ?
Le compost ? C’est plus simple que ce que l’on ne pense… En compostant ses déchets de jardin et ses déchets organiques de cuisine comme des épluchures de fruits et de légumes, des sachets de thé ou votre marc de café (et bien d’autres substances encore) dans son jardin et même à l’intérieur, il est possible de réduire de plus d’un tiers le poids de la poubelle ménagère. Mais la réussite du processus dépend du respect de certaines règles simples.
Qui se sent l’envie de se lancer dans l’aventure aura peut-être besoin d’un coup de main et de conseils pratiques. C’est pourquoi Bruxelles Environnement (anciennement IBGE) en partenariat avec Inter Environnement Bruxelles (IEB) organisent deux types de formations gratuites au compostage. D’une part, une formation pour devenir « maître composteur », un expert en compostage qui fera ensuite passer son savoir à d’autres. D’autre part, des formations plus courtes de type individuel abordant le compostage et le vermicompostage (technique destinée aux personnes ne possédant pas de jardin).
Catherine Maréchal, chargée du projet à IEB, s’occupe des formations aux composts : « Bruxelles Environnement sort tous les 5 ans un plan de prévention et de gestion des déchets, avec des objectifs chiffrés notamment sur le compost. En 2007, l’objectif était de faire composter 10% des Bruxellois. Le nouveau plan déchets est en cours d’élaboration avec de nouveaux objectifs à atteindre. »
Pourquoi ne pas devenir maître composteur?
La formation « maître composteur » se déroule une fois par an, en 10 séances de 3 heures données par des professionnels. Réservée à une quinzaine de personnes, cette formation longue s’adresse à tous les Bruxellois, même aux novices… « Tant qu’ils gardent à l’esprit qu’ils ne sont pas là uniquement pour apprendre la technique à titre individuel mais aussi pour passer leur savoir, souligne Catherine Maréchal. Les candidats les plus motivés sont sélectionnés en fonction des candidatures sur base d’un questionnaire. » Cette formation vise donc tous ceux qui veulent partager leur savoir avec toute âme de jardinier désireux de défendre l’environnement en ville.
« Cette formation donne de la théorie, mais aussi la possibilité de pratiquer sur le terrain. Les participants construisent une compostière, découvrent ce qu’ils peuvent y mettre, apprennent à retourner le compost, vérifient s’il est trop sec ou trop humide… ». Un cours de communication est donné en fin de formation pour apprendre aux maîtres composteurs à partager leurs connaissances. « Ils reçoivent une question à laquelle ils doivent répondre devant un groupe tout en étant filmé. Ensuite, ils visionnent la vidéo, c’est un bon exercice pour voir s’ils ont retenu la matière apprise et savent la transmettre ».
En plus de pouvoir donner des conseils à des voisins et à des amis, « ils doivent s’intégrer au réseau de maîtres composteurs bénévoles et mener des actions en vue de promouvoir le compostage », explique Cathernie Maréchal. Les maîtres composteurs sont sollicités plusieurs fois par an pour tenir des permanences aux stands d’événements comme la journée sans voiture, la fête du printemps, la fête de l’Environnement… Ils sont également sollicités par des associations, des écoles ou des communes qui souhaitent faire une animation compost. Certains lancent leurs propres projets avec de nouvelles idées. »
Apprendre à composter rapidement !
Pour ceux qui ne se sentent pas l’âme du passeur de bonnes pratiques, mais qui désirent se lancer dans le compostage à titre personnel, d’autres formations existent de type court. Organisées à Bruxelles, elles sont ouvertes à tous et se tiennent deux fois par an, au printemps et en automne. « Ce sont les saisons qui correspondent le mieux au compostage. En automne, les feuilles mortes s’amassent et sont une bonne matière à récupérer pour être compostées. Au printemps, la vie redémarre dans le jardin. »
Pour ceux qui disposent d’un jardin, la formation sur le compostage individuel est davantage une séance d’informations, comprenant deux heures de théorie suivies d’une séance pratique. Elle répond tant aux questions des habitués du compost qu’à celles des non connaisseurs. En moyenne, 50% des participants à cette formation sont convaincus et ont un compost chez eux. Un suivi permet de sonder si la formation a porté ses fruits. « Un an après la formation, un questionnaire est envoyé aux participants. Ils y posent leurs questions et expliquent les problèmes rencontrés. Nous les recontactons ensuite pour leur apporter des réponses».
Et pour ceux qui n’ont pas de jardin, pas de panique, il existe aussi un moyen de composter à l’intérieur : le vermicompostage (processus naturel par lequel les matériaux biodégradables sont convertis, grâce à l’action des verres de terre, en un amendement riche : le compost). Un exposé théorique suivi par une demi-heure consacrée à la réalisation d’une vermicompostière avec le matériel adéquat (des bacs en plastique perforé, la préparation de la litière, …). Présents également lors de ces séances, les maîtres composteurs montrent différents modèles de vermicompostières (artisanales ou commerciales) et répondent aux questions avant et après l’exposé théorique du conférencier.
En 2007, près de 200 curieux ont participé aux formations de compostage individuel et de vermicompostage. Au rendez-vous, observation, découverte, mais aussi l’occasion de faire table rase sur certaines idées reçues qui ont encore trop souvent tendance à freiner les plus sceptiques. Exemple classique : un compost dégage de mauvaises odeurs. Détrompez- vous, il n’en est rien ! Alors, convaincus ?
Convaicu !
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Savez-vous quel est votre arbre symbolique ? Savez-vous quel est votre arbre symbolique ?
Posté le: 29 Déc 2007 à 9:25Recherchez votre date de naissance dans la liste qui suit et vous trouverez votre arbre...
Un petit jeu amusant qui s'inspire de l'astrologie celtique (astrologie des arbres).
23 déc. au 01 janv. - Pommier
02 janv. au 11 janv. - Sapin
12 janv. au 24 janv. - Orme
25 janv. au 03 fév. - Cyprès
04 fév. au 8 fév. - Peuplier
09 fév. au 18 fév. - Cèdre
19 fév. au 28 fév. - Pin
01 mars au 10 mars - Saule pleureur
11 mars au 20 mars - Tilleul
21 mars - Chêne
22 mars au 31 mars - Noisetier
01 av. au 10 av. - Cormier
11 av. au 20 av. - Érable
21 av. au 30 av. - Noyer
01 mai au 14 mai - Peuplier
15 mai au 24 mai - Châtaignier
25 mai au 03 juin - Frêne
04 juin au 13 juin- Charme de la Caroline
14 juin au 23 juin - Figuier
24 juin - Bouleau
25 juin au 04 juill. - Pommier
05 juill. au 14 juill. - Sapin
15 juill. au 25 juill. - Orme
26 juill. au 04 août - Cyprès
05 août au 13 août - Peuplier
14 août au 23 août - Cèdre
24 août au 02 sept. - Pin
03 sept. au 12 sept. - Saule pleureur
13 sept. au 22 sept. - Tilleul
23 sept. - Olivier
24 sept. au 03 oct. - Noisetier
04 oct. au 13 oct. - Cormier
14 oct. au 23 oct. - Érable
24 oct. au 03 nov. - Noyer
04 oct. Au 11 nov. - Peuplier
12 nov. au 21 nov. - Châtaignier
22 nov. au 01 déc. - Frêne
02 déc. au 11 déc. - Charme de la Caroline
12 déc. au 21 déc. - Figuier
22 déc. - Hêtre
BOULEAU (l'inspiration) - Enjoué, séduisant, élégant, amical, sans prétention, modeste, n'aime pas les excès, a en horreur la vulgarité, aime la vie dans la nature et le calme, n'est pas très passionné, regorge d'imagination, a peu d'ambition, créé une atmosphère calme et satisfaisante.
CÈDRE (la confiance) - D'une rare beauté, sait s'adapter, aime le luxe, jouit d'une bonne santé, loin d'être timide, a tendance à regarder les autres de haut, est sûr de lui, déterminé, impatient, aime impressionner les autres, a de nombreux talents, travailleur, d'un optimisme sain, attendra son seul vrai amour, capable de prendre des décisions rapidement.
CHARME DE LA CAROLINE (le bon goût) - D'une beauté affranchissante, fait attention à son apparence et à sa condition physique, fait preuve de bon goût, n'est pas égoïste fait en sorte que sa vie soit aussi confortable que possible, mène une vie raisonnable et disciplinée, recherche la gentillesse et la reconnaissance chez un partenaire de vie, rêve d'amants exceptionnels, est quelquefois heureux de ses sentiments, a peu confiance dans la plupart des gens, n'est jamais certain de ses décisions, est très consciencieux.
CHÂTAIGNIER (l'honnêteté) - D'une beauté peu commune, ne veut pas impressionner, a un sens de la justice très développé, est intéressé, un diplomate, ne s'irrite pas facilement et est souvent blessé en société en raison de son manque d'estime de lui, quelquefois donne l'impression d'être supérieur, a l'impression de ne pas être compris, n'aime qu'une fois, peut avoir des difficultés à trouver un partenaire.
CHÊNE (le brave) - De nature robuste, courageux, fort, implacable, indépendant, raisonnable, n'aime pas le changement, aime garder les pieds sur terre, une personne d'action.
CORMIER (la délicatesse) - Plein de charme, enjoué, talentueux sans être égoïste aime attirer l'attention, adore la vie, le mouvement, l'agitation et même les complications, est à la fois dépendant et indépendant, fait preuve de bon goût, est artistique, passionné, émotif, est de bonne compagnie, mais ne pardonne pas.
CYPRÈS (la fidélité) - Fort, musclé, adaptable, prend ce que la vie a à offrir, content, optimiste, a soif d'argent et de reconnaissance, déteste la solitude, amant passionné qui ne peut être satisfait, est fidèle, s'emporte facilement, est indiscipliné, pendant et négligent.
ÉRABLE (l'indépendance d'esprit) - Sort de l'ordinaire, débordant d'imagination et d'originalité, timide et réservé, ambitieux, fier, sûr de lui, désire ardemment vivre de nouvelles expériences, est quelquefois nerveux, possède plusieurs complexités, a une bonne mémoire, apprend facilement, a une vie amoureuse compliquée, désire impressionner.
FIGUIER (la sensibilité) - Très fort, un peu entêté, indépendant, ne tolère pas les contradictions ou les controverses, adore la vie, sa famille, les enfants et les animaux, un peu volage en société, a un bon sens de l'humour, aime l'oisiveté et la paresse, possède des talents et une intelligence pratiques.
FRÊNE (l'ambition) - Très séduisant, vif, impulsif, exigeant, ne se préoccupe pas des critiques, ambitieux, intelligent, talentueux, aime jouer avec le destin, peut être narcissique, très fiable et digne de confiance, amant fidèle et prudent, laisse quelquefois sa tête avoir le pas sur son coeur, mais prend le couple très au sérieux.
HÊTRE (le créatif) - Fait preuve de bon goût, s'inquiète de son apparence, matérialiste, démontre un bon sens de l'organisation en ce qui concerne sa vie et sa carrière, est économe, bon dirigeant, raisonnable, ne prend pas qui permet de garder la forme (diètes, sports, etc.).
ORME (la générosité) - De forme plaisante, porte des vêtements élégants, a des exigences modestes, a tendance à ne pas pardonner les erreurs, enjoué, aime mener mais n'aime pas obéir, partenaire fidèle, aime prendre des décisions pour les autres, généreux, a un bon sens de l'humour, est pratique.
NOISETIER (l'extraordinaire) - Charmant, peu exigeant, très compréhensif, sait comment faire bonne impression, ardent défenseur des causes sociales, populaire, d'humeur changeante, est un amant capricieux, honnête, un partenaire tolérant, possède un sens précis du jugement.
OLIVIER (la sagesse) - Aime le soleil, la chaleur et les doux sentiments, équilibré, évite les agressions et la violence, tolérant, enjoué, calme, possède un sens de la justice bien développé, sensible, emphatique, n'éprouve pas de jalousie, aime lire et aime être entouré de gens sophistiqués.
NOYER (la passion) - Implacable, surprenant et plein de contrastes, souvent narcissique, peut démontrer de l'agressivité, est généreux, de vastes horizons s'ouvrent à lui, peut avoir des réactions inattendues, est spontané, fait preuve d'une ambition sans limite, aucune flexibilité, est un partenaire difficile et peu commun, n'est pas toujours aimé mais est souvent admiré, stratège hors pair, très jaloux et passionné, ne fait aucun compromis.
PEUPLIER (l'incertitude) - Très décoratif, n'a pas beaucoup confiance en lui, courageux seulement lorsque nécessaire, a besoin d'être entouré de personnes plaisantes et de bonne volonté, très sélectif, souvent solitaire, peut éprouver une grande animosité, possède une nature artistique, est un organisateur, a un penchant pour la philosophie, fiable dans toutes les situations, le couple est très important pour lui.
PIN (le particulier) - Adore être entouré de gens agréables, très robuste, sait comment rendre la vie confortable, est très actif, naturel, un bon compagnon, rarement amical, devient facilement amoureux, mais sa passion s'éteint vite, renonce facilement, tout est matière aux déceptions jusqu'à ce qu'il rencontre son idéal, est digne de confiance et pratique.
POMMIER (l'amour) - Frêle possède beaucoup de charme, a un bon pouvoir de séduction et d'attraction, a une aura plaisante, aime flirter, est aventureux, sensible, toujours en amour, veut aimer et être aimé, partenaire tendre et fidèle, est très généreux, a des talents scientifiques, ne vit que pour aujourd'hui, est un philosophe insouciant et imaginatif.
SAPIN (le mystérieux) - Fait preuve d'un goût extraordinaire, est digne, sophistiqué, adore tout ce qui est beau, est d'humeur changeante, entêté, a une tendance à l'égoïsme, mais est attentif aux personnes qui sont proches de lui, est plutôt modeste, très ambitieux, talentueux, travailleur, un amant insatisfait, a plusieurs amis, plusieurs ennemis, on peut compter sur lui.
SAULE PLEUREUR (la mélancolie) - Beau mais plein de mélancolie, séduisant, très emphatique, aime tout ce qui est beau et de bon goût, aime voyager, est rêveur, agité, capricieux, honnête, peut être influencé mais il n'est pas facile à vivre, exigeant, bonne intuition, souffre en amour mais trouve quelquefois un partenaire qui lui sert de point d'ancrage.
TILLEUL (le doute) - Accepte calmement les leçons parfois difficiles que lui impose la vie, déteste la bagarre, le stress et le travail, n'aime pas la paresse et l'inaction, est doux et se laisse fléchir facilement, fait des sacrifices pour ses amis, a plusieurs talents mais n'a pas la ténacité nécessaire pour les développer, se plaint et gémit souvent, est très jaloux mais est aussi loyal.
White Satin
Administrateur
Posté le: 29 Déc 2007 à 10:25
Marie
Très beau sujet...
Moi je suis Noyer...
Big-woman
Modérateur
Posté le: 29 Déc 2007 à 10:40
Moi, je suis cyprès
ça débute bien : fort, imposant, big woman, c'est pas un pseudo pour rien
Le reste , pas vraiment ça
a soif d'argent : sûrement pas, au contraire !
de reconnaissance !!!! Oh oui, ç'est un grave défaut !
Déteste la solitude !!!!!! Ben non, je préfère même
Indiscipliné !!!! Oh oui !
Fidèle : Oui
Mais j'ajoute : très rancunière !!!!!!! Est-ce une qualité ???? Parfois oui !
Alors, allez-y faites votre examen de passage
Posté le: 05 Jan 2008 à 16:52
En tout cas les images évoquent la passion et l'érotisme..
Ces arbres ont visiblement été dirigés dans ce sens .
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L'Irlande L'Irlande.
Variation
Posté le: 20 Nov 2007 à 7:56Destination verte s'il en est, l'Irlande est un petit paradis naturel. Largement dominée par les prairies et pâturages, l'île offre néanmoins une grande variété de paysages. La côte Est aux plages sablonneuses contraste avec la côte Ouest au relief découpé tel les falaises de Moher. Le Ring of Kerry en bordure de l'océan est une explosion de bleu et de vert tandis que les paysages du Connemara se déclinent du brun des tourbières aux lacs sombres couleur de Guinness.
La ville de Cork
Vous découvrirez sur cette île habitée dès la Préhistoire de nombreux vestiges du passé : châteaux, églises et monastères... Vous pourrez aussi voir de magnifiques objets d'art celtique dans ses musées. Mais l'Irlande, qui affiche une croissance économique impressionnante depuis quelques années, est à coup sûr tournée vers l'avenir. Sa population jeune et ses industries technologiques s'annoncent comme de sérieux atouts pour les années à venir.
Connemara, une chaumière.
Le climat:
********
Quand on décide de partir en Irlande, on sait d'avance qu'on ne devra pas compter sur de longues siestes à 40°C à l'ombre mais plutôt sur une atmosphère humide et vivifiante !
L'Irlande présente un climat typiquement océanique, tempéré et humide. De la grosse pluie à la petite bruine, il pleut souvent en Irlande. Ayez toujours votre parapluie à portée de main. Ne vous laissez pas tromper par un début de matinée ensoleillé. Le temps change très vite et une grosse pluie peut s'abattre en quelques heures.
Côté températures, l'île se rattrape. Il fait doux en été (une petite vingtaine de degrés) et les mois d'hiver ne sont généralement pas très froids (rarement en dessous de 0°C). Il n'y a pas de gros écarts de température entre les différentes régions de l'Irlande.
Mais dites-vous bien que, même l'été, les températures dépassent rarement les 25 degrés et que les averses sont fréquentes. Pas de quoi effrayer les habitués de la Bretagne...
Les mois de Décembre et Janvier sont les plus froids et l'hiver est la période la plus abondante en précipitations. Les mois de Juillet et Août sont les plus chauds, les mois de Mai et Juin les plus ensoleillés.
Conclusion : la meilleure période pour aller en Irlande se situe entre le début du mois de Mai et la fin du mois de Septembre. Le printemps pour voir des paysages fleuris, l'été pour assister à des concerts et festivals !
Nuages du Connemara
Big-woman
Modérateur
Posté le: 20 Nov 2007 à 16:53
ça donnerait l'envie d'aller y faire un tour au mois de juin
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Le fruit du dragon Le fruit du dragon
Posté le: 28 Oct 2007 à 2:19
Le fruit du dragon, connu aussi sous le nom espagnol de pitahaya ...
La chair est légèrement sucrée.
C'est le fruit d'un cactus semi rampant ..
http://www.ateliergribouill.canalblog.com/
Connaissez- vous des fruits exotiques originaux
Doc & photos L'Atelier de Gribouille
Variation
Modérateur
Posté le: 28 Oct 2007 à 18:24
Je n'avais jamais vu, ni même entendu parler de ce fruit. Je suppose qu'on ne le trouve pas dans nos commerces? En tout cas tu as l'art de nous surprendre. Bravo pour le sujet. Marie
White Satin
Administrateur
Posté le: 06 Nov 2007 à 8:5
Marie
J'ai moi-même été surpris.
J'ai cru, un instant à un canular..
il y en a parfois sur Internet....
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Cônes à rosier: le jardin des horreurs Cônes à rosier: le jardin des horreurs
Posté le: 10 Nov 2007 à 19:05
Je n'en croyais pas mes yeux.
Après les décorations d'Halloween, l'exposition hivernale des cônes à
rosier commence habituellement vers la fin novembre.
Or, j'ai vu apparaître les premier cônes en octobre chez un
lointain voisin, ce qui m'a renversé.
D'abord parce qu'il est beaucoup trop tôt pour offrir une protection
hivernale à une plante. Si tôt d'ailleurs qu'en raison des chaleurs que nous
avons connues, l'intérieur du cône s'est probablement transformé en
véritable sauna. Une situation qui peut compromettre l'existence de la
plante, notamment en créant un milieu propice au développement de
microorganismes ou de champignons.
Si besoin en est, il faut protéger les vivaces seulement après les premiers
gels.
Rappelons aussi que dans le cas des rosiers fragiles comme les
hybrides de thé, il suffit de les recouvrir d'une trentaine de centimètres de
terre, soit la hauteur de la taille automnale, pour leur offrir une bonne
protection.
C'est aussi efficace qu'un cône à rosier et cela ne dépare pas le paysage
devant la maison.
Pourquoi consacrer autant d'efforts à présenter un beau
terrain en été pour le transformer ensuite en jardin des horreurs.
Voilà un article qui ne craint pas de s'en prendre au coté esthétique des jardins privés.
Il y a certainement beaucoup à dire.
Mais on parle ici de jardins privés...
Et les gens mettent ce qu'ils veulent dans leur jardin.....
Pierre Gingras
La Presse
http://maison.lapresse.ca/cour-et-jardin/jardin/200711/06/01-871123-cones-a…
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Le spectacle est commencé Le spectacle est commencé
White Satin
Administrateur
Posté le: 26 Juil 2007 à 7:41 :
Ici on est Spectateur, donc on peut applaudir ou critiquer.
Si on a des remarques à formuler...
Si l'Administrateur a bu le Lave-Glace avant de venir..
On le dénonce ici!
Si on veut fayoter on peut venir dire ici
A Rome ils mettaient le plus souvent le pouce en bas...
Mais c'était au Cirque.
Ils avaient aussi des Forums à Rome...Plus sympa que les Cirques...
White Satin
Administrateur
Posté le: 15 Aoû 2007 à 9:09
Si vous voulez répondre au sujet c'est
En attendant Faites-nous plaisir, acceptez ce
Merci.........
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Channel Cocktail Table Channel Cocktail Table
Iniah 8 janv 2008
Une table coupée en deux par une longue jardinière, peut s'avérer très utile pour y jeter les miettes (en espèrant le passage des moineaux?) ou y verser toute eau non bue.
De plus en plus surprenant ces Américains..
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