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Jeter ou garder ? Le poinsettia, l’ardisia et le sapin Jeter le sapin, oui, mais pas sur le trottoir comme on le voit encore trop souvent.
A Paris, 95 points de collecte sont ouverts dans les jardins publics , ils accueillent vos arbres de Noël, débarrassés de leurs ornements, flocages et autres paillettes.
Ils serviront - après broyage et compostage - à pailler et enrichir les sols des massifs des parcs et jardins parisiens...
- Garder le poinsettia, oui mais comment ?
La fête passée, lorsque le feuillage et en particulier les bractées colorées sont visiblement fatigués, le poinsettia doit être taillé.
Il suffit de couper toutes les branches à quelques cm ( entre 5 et 10 ) de leur point d’attache, de mettre le pot dans une pièce fraiche, de diminuer les arrosages en ne lui apportant qu’un peu d’eau de pluie de temps en temps.
Le poinsettia , euphorbe mexicaine, doit se reposer jusqu’en avril.
- En avril, reprenez progressivement les arrosages, en apportant une poignée d’engrais riche en acide phosphorique et en potasse (prenez du tout organique d’origine naturelle !) et une demi-dose d’engrais plantes fleuries / mois de mai à octobre.
Dès que les gelées ne sont plus à redouter, passez le pot à l’extérieur, à l’ombre.
C’est le moment que vous pouvez choisir pour le rempoter dans un pot à peine plus grand (d’une taille)
- Courant octobre rentrez-le, et privez-le de lumière, totalement, pendant 12 à 14h par jour, et durant 2 mois. Attention, il ne doit même pas voir les lumières urbaines durant la nuit ! Suivez son évolution, ou plutôt celle de ses bourgeons qui ne tarderont pas à apparaitre...
- Garder l’ardisia (ardisie) ce bel arbrisseau au feuillage vert brillant et au curieux étagement de feuilles et de grappes de fruits rouge vif ... c’est tout à fait possible, si vous savez lui éviter la chaleur et les excès d’eau....
L’ardisia souffre au delà de 15 à 17°C et s’il a les pieds dans un mélange humide en permanence. Laissez sécher sur 2 cm entre 2 arrosages
.Mais pulvérisez souvent de l’eau de pluie sur son feuillage, et/ou installez le sur sur un plateau évaporant . Ce montagnard asiatique vous remerciera par un nouvel étage de petites fleurs parfumées suivies des fruits rouges que vous connaissez !
Joël Avril & Claude Bureaux - 22 février 2009
Une conversation à continuer ici.........
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Parfums d’hiver au jardin Certains arbustes ne fleurissent que l’hiver et profitent des retours de la douceur entre les vagues de froid pour nous offrir de délicieux parfums...Cette semaine en voici une liste non exhaustive qui pourra servir de point de départ à votre recherche livresque, sur catalogues ou en pépinières et jardineries. Car le redoux est propice aux plantations pendant plus d’un mois encore !
- Lonicera fragrantissima, le chèvrefeuille d’hiver.
Floraison discrète, mais parfum très frais, acidulé, plein de gaieté.
Dès janvier au sud, jusqu’en mars ailleurs. Tous sols.
- Hamamelis mollis, l’hamamelis de Chine.
Floraison jaune, lumineuse, en janvier.
Chaud parfum de miellée.
En sols neutres ou acides (terre de bruyère)
Attention : il existe d’autres espèces et variétés d’hamamélis, hélas peu ou pas parfumées.
Demandez bien "mollis"
- Abeliophyllum, le "forsythia blanc". Encore des effluves de pâtisserie !
En janvier au sud , généralement en février. Sans exigence particulière, préférez une exposition bien ensoleillée, et palissez-le.
- Sarcocca confusa, le sarcocoque , élégant persistant cousin du buis.
Fleurs sans intérêt autre que celui de cette douce fragrance vanillée, délicieuse en plein mois de février. Très rustique, tous sols, mais préfère l’ombre ou la mi ombre au nord.
- Viburnum carlesii, la Viorne de Carles (et non de Carla...)
Incontournable dans votre jardin car les bouquets de petites fleurs roses embaument à distance quelque chose comme le souvenir d’une escale sur la route des Indes .
A nouveau un parfum chaud, celui des giroflées les plus capiteuses ?
Un peu moins odorantes -ou différemment- selon les nez, Viburnum farreri ou fragrans, mais elle sent également très bon. A
ttention : chez les viornes , soit on est parfumé, soit on ne sent rien (les boules de neige sont des viornes !) Quand à Viburnum tinus, le laurier-tin des jardins méditerranéens (mais pas seulement) son odeur est désagréable à certaines personnes.
- Chimonanthe ( au parfum de jacinthe/narcisse)
Daphné -bien connu- d’autres encore sont autant d’invitations à visiter et à créer -aussi !- des jardins pour la "mauvaise" saison.
Ceux dont les parfums généralement émis par des fleurs modestes pour ne pas dire insignifiantes, constituent un véritable paysage olfactif, inattendu au coeur de l’hiver !
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Une mini serre auto irrigante Une mini serre auto irrigante
Idéales pour les week-ends prolongés, les semis bénéficient d’un arrosage automatique par capillarité.
Semez ou bouturez directement dans les alvéoles en polystyrène (sans utiliser de pots ou de godets), un couvercle en plastique transparent gardera l’humidité et favorisera la germination.
Le plateau de semis en polystyrène d’une bonne isolation facilitera la germination de vos graines et augmentera le système racinaire.
Encore un avantage, lorsque vos semis seront prêts à être repiqués, un système à cheville vous permettra de démotter sans effort.
Produits anglais qui sont bien sûr réutilisables plusieurs fois : Composée de 40 alvéoles carrées de 35 mm. Dimensions : 35 x 25 cm, hauteur 21 cm.
Prx 11€
Ensemble de 24 ou 40 alvéoles en polystyrène hautement isolant reposant sur une nappe d’irrigation alimentée par le réservoir situé au niveau inférieur sur lequel elle repose.
L’ensemble est recouvert d’un couvercle transparent pour une protection optimale.
Pas de pot ni de godet, au moment du repiquage il suffit de retourner le support qui s’emboîte dans les alvéoles pour extraire vos semis sans contrainte ni dommage.
Principe : Vous placez votre terreau et les graines dans les 40 emplacements réservés (ne pas mettre de pots plastiques).
Une natte posée sur l'ensemble du plateau sur lequel sont placés les 40 plants permet un arrosage automatique.
En effet, la natte descend jusqu'à la réserve d'eau d'un litre, située dans le bac inférieur et puise, en fonction des besoins, l'eau nécessaire aux plantes.
La réserve d'eau permet d'ajouter un fertilisant soluble pour nourrir les plantes et de rajouter de l'eau sans enlever le plateau.
Le support dans lequel repose les plants est en polystyrène, d'où une bonne isolation et une facilité de germination.
Un couvercle en plastique transparent sert de couverture aux plants et permet de conserver une certaine humidité.
Autre avantage : quand vos semis sont prêts à être transplantés, il suffit d'utiliser la plate-forme inférieure, de la retourner et les 40 chevilles serviront à pousser vers l'extérieur les 40 plants. Ce principe encourage un vigoureux système racinaire. Le système est bien sûr réutilisable d'une année sur l'autre.
Dimension : Longueur : 38 cm. Largeur : 24 cm.
La technique d'un internaute
http://toutlejardin.forum-actif.eu/techniques-f4/les-semis-techniques-et-co…
Ce matériel est distribué par quatre sites de vente par correspondance au moins.
http://www.semencesdupuy.com/1F1061-Accessoires-Mini-Serre-Auto-Irrigante.h…
http://www.ducatillon.com/jardin/serres-et-mini-serres/serres-mini-serres/m…
http://www.iis-france.com/cata2.asp?ID=68
http://www.graines-baumaux.fr/catalogue.php?cat=9&sscat=153&page=3
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La Stévia, c’est quoi ?
La Stevia Rebaudiana est un édulcorant naturel. La Stévia, est une plante, qui possède entre, 150 et 200 espèces différentes, elle fait partie de la famille des Asteraceae, dont fait partie le pissenlit, l'aster, etc.... La Stévia, a été découverte, en 1926, il y a déjà un certain nombre d'années, en Amérique
du Sud, plus précisément au Paraguay, par un botaniste suisse, du nom de Bertoni. La Stevia Rebaudiana Bertoni, c'est son appellation, est une herbe sauvage, un petit arbuste, qui est aussi appelée « chanvre d'eau », « herbe douce ». La Stévia était utilisée, il y a plus de 2000 ans, par les indiens Guarani, qui ont été les premiers à consommer cette plante, qui a des vertus sucrantes, ils s'en servaient pour leurs infusions de plantes, pour en adoucir le goût, cette plante est un édulcorant naturel, qui ne contient, en plus, aucune calorie. Elle est aussi utilisée depuis des siècles, dans des recettes de cuisine, au Paraguay et au Brésil. Les feuilles de stévia peuvent se manger fraîches, séchées, cuites. Nous ne dirons pas, que cette plante est méconnue en Europe, car beaucoup d'études scientifiques, sont et ont été réalisées sur cette variété de Stévia. Quelles sont les propriétés des feuilles de la Stevia Rebaudiana Bertoni ? elles contiennent des stéviosides, en abondance, les stéviosides font partie de la famille des glucosides, ce qui donne à cette plante un pouvoir édulcorant, de 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre, elle contient aussi, des vitamines, du fluor, de la chlorophylle, du calcium, du potassium, du magnésium, du sodium, des huiles essentielles, . Dès les années 1970, le Japon, a adopté, l'extrait de stévia comme édulcorant alimentaire naturel, interdisant toutefois l'usage de l'édulcorant de synthèse, comme l'aspartame, ce dernier étant un assemblage de deux acides aminés, la L-phénylalanine et l'acide L-aspartique, l'aspartame quant à lui possède un pouvoir sucrant, plus grand que la saccharine, le plus ancien des édulcorants artificiels. Actuellement, la saccharine est souvent mélangée avec l'aspartame pour sucrer les boissons pour les régimes contre le diabète et pour maigrir. Ces deux édulcorants chimiques, sont, quant à eux, autorisés dans de nombreux pays du monde, en Europe, aux USA, etc.. Après que le Japon ait autorisé et industrialisé, après des recherches, la Stévia, beaucoup de pays d'Asie ont aussi adopté, cette plante, dans toute sortes de préparations culinaires et autres, les japonais l'utilisent, dans les boissons gazeuses, dans la sauce de soja, les gâteaux, les bonbons, le riz, le thé, les lotions, les crèmes de beauté, les savons, etc...De même que la Stévia est autorisée dans les pays d'Amérique du Sud. En Europe et notamment en France, l'usage de la Stévia, au niveau alimentaire, est toujours interdite, de même, que comme édulcorant, alors qu' elle est autorisée en complément alimentaire, pourquoi ? On peut se poser la question, Il semblerait, que certains pays, ont beaucoup à perdre, si la Stévia entrait de jeu, dans l'industrie alimentaire, car beaucoup de pays ont construit leur agriculture et leur industrie sur les sucres contenus dans la canne à sucre et la betterave, notamment, la France, qui en est le premier producteur, ainsi que pour les fabricants d'édulcorants de synthèse. Il est donc fort probable que la Stévia engendrerait un bouleversement économique, très profond, pour beaucoup de pays et d'industriels de l'alimentaire et de la pharmacie. Ce qui est curieux, c'est qu'au Brésil, des sociétés américaines, sont implantées et cultivent sur des centaines d'hectares, de la Stevia rebaudiana, et que les USA en importent d'Asie !!!. Le gros problème de cette interdiction, peut résider, dans les enjeux économiques et financiers qui seraient catastrophiques pour certains. Actuellement, certains pays s'investissent dans cette culture, qui, en plus est écologique, elle ne demande ni herbicides, ni insecticides, ni engrais, c'est une culture biologique, la Stévia est facile à cultiver, car elle s'accommode très bien, des sols pauvres. La Chine, la Corée, le Japon, Israël, le Liban, et nos amis Suisse en produisent. En Belgique, notons qu'à l'Université de Louvain, un professeur a étudie cette plante, en vue de faire passer un dossier d'agrément au sein de la Communauté européenne, il a présenté un dossier complet, qui a cependant été jugé insuffisant. En France, il semblerait qu'aucune étude, n'est été réalisée officiellement, à propos de la Stévia. Cette plante vivace tropicale, engendre semble t-il, beaucoup de problèmes et de polémiques, on en parle beaucoup. C'est à suivre... Cette plante peut réellement remplacer le sucre ? l'avenir va nous le dire, car on commence à en parler beaucoup, notamment sur internet, dans les journaux et à la télévision. La plante de Stévia, est commercialisée chez certain horticulteurs français, en pot et en graines, à des fins ornementales.
:MARIE:Â suivre Retour
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Pomme de terre Institut de Beauvais Pomme de terre Institut de Beauvais
Institut de Beauvais
Elle a été obtenue à l'Institut d'Agriculture de Beauvais en 1884. Elle a un tubercule en forme de coeur, pomme de terre jaune saumonnée teinté de rose autour des yeux et à chair presque blanche.
Vieille variété française donnant de gros tubercules
à chair blanche. Elle est encore cultivée dans certaines régions
du midi de la France.
Citée par Vilmorin en 1882. Classée alors comme mi-hâtive.
Actuellement classée comme mi-tardive à tardive
Mildiou : Moyennement résistante.
Origine génétique : Inconnue
Obtenteur(s) : Inconnu
Inscription au catalogue : 1935
Catégorie : Consommation
Maturité : Demi-tardive à tardive
Les renseignements que j'ai compilé sur Internet divergent un peu.
Une très bonne variété ancienne pourtant suivre
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Phlox Subulata
Phlox Subulata
Plante vivace tapissante à feuillage persistant.
Feuilles linéaires.
En début d'été, très nombreuses fleurs étoilées bleu lavande, avec une tache plus foncée au centre.
Pour bordures sèches, murets, rocailles.
Exposition au soleil ou à mi-ombre.
Sol léger, pauvre, même calcaire, plutôt sec.
Rustique, au moins jusqu'à -20°C.
Feuillage persistant.
Port en coussin.
Intérêt printanier.
Couvre-sol.
Ce phlox "subulata" ou phlox "mousse" se répand très vite.
Il ajoute une vive couleur aux plates-bandes.
Le phlox est un couvre-sol facile qui fleurit à la fin du printemps et au début de l'été.
On recommande le plein soleil ou l'ombre légère pour celui-ci.
Je peux toutefois vous assurer que les phlox que j'ai plantés à l'ombre totale, arrivent à fleurir parfaitement, mais un peu plus tard que les autres.
On peut les diviser en tout temps et le bouturage se fait à l'automne.
Cette plante tapissante protège magnifiquement la base des clématites.
http://lecia-jardin.skynetblogs.be/post/4429534/jai-la-passion-phlox-subula…
Je l'ai souvent utilisé dans la rocaille.
Excellente plante tapissante très rustique .
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Publié sur le forum le 5 février 2009 vendredi 29 janvier 2010
Engagement d'un avocat pour l'affaire Commune/Monge Maurice
16 398,93 F
Enregistrement des débats du conseil municipal
http://jouy-sous-thelle.org/spip.php?article32
http://jouy-sous-thelle.org/IMG/mp3/Affaire_Monge-Commune.mp3
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Publié sur le forum le 3 février 2009 Archive jeudi 1 septembre 1994
Résultat du concours des maisons fleuries
1er prix Mme Sylvie Fréon
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Périlla de Nankin Périlla de Nankin
Perilla nankinensis
La pérille de nankin est une plante condimentaire qui nous vient tout droit du Japon.
Elle est à la cuisine nippone ce que le persil est à la nôtre, mais ce sont plutôt ses qualités décoratives qui l'ont fait adopter depuis peu par les jardiniers européens dans les massifs.
Au potager du château de la Roche-Guyon, elle est plantée si serrée qu'elle forme une masse dense verte et pourpre.
Ses feuilles finement dentées et sa taille rappellent l'ortie, tandis que sa couleur évoque les salades rouges.
Au Japon, on consomme les feuilles crues ou séchées, en tempura, avec du tofu, des sushis...
On utilise aussi les graines et l'huile qui en est extraite.
SHISO (TISO JAPONAIS / PERILLA DE NANKIN)
C’est une sorte d’herbe qui existe depuis fort longtemps au Japon et qui a très souvent été utilisée en tant que médicament. Originaire du Sud de la Chine ou de la Birmanie, son existence, au Japon, remonte au moins à l’ère de Jomon (IIIème siècle).
Le shiso a un arôme particulier rappelant un peu la menthe et stimule l’appétit.
Toutes ses parties (pousses, feuilles, fleurs et fruits) sont comestibles.
Il existe deux sortes de shisos :
Le shiso vert (ao-jiso/Ôba) : Le plus utilisé au Japon les deux côtés de ses feuilles sont bien vertes.
Sa saison est l’été, mais il est en vente durant toute l’année.
Il accompagne souvent le sashimi ou le soba (nouilles de sarrasin) en tant que condiment ou se consomme tout entier en beignet (tempura).
Le shiso rouge (aka-jiso) :
On le trouve sur les marchés de juin à juillet.
Il est plutôt utilisé comme un colorant rougeâtre pour la fabrication d’uméboshi (prune séchée et saumurée) ou du béni-shôga (gingembre vinaigré rouge) ainsi pour celle du tsuké-mono (légume saumure).
Par Ariane, jeudi 7 septembre 2006
La périlla de Nankin est aussi une plante d'ornement
http://unjardinblanc.xooit.fr/t2211-Perilla-de-Nankin.htm#p11007
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