• Binge drinkin

    Le "binge drinking" ou la soûlographie de l’extrême

    Les modes de vie changent et l’extrême est devenu une notion valorisée
    par la société au point que, après le saut à l’élastique, on verra bientôt
    des vols en chute libre en escadrilles introduits dans des "formations"
    pour les cadres supérieurs !
    Comme s’il était utile de savoir sauter sans parachute pour gérer une société.

    Cette mode de l’extrême s’est glissée, par l’intermédiaire du monde
    anglo-saxon, dans les manières de boire ou plutôt de s’alcooliser
    que l’on rencontre dans les milieux étudiants, traditionnellement assez
    portés sur la bouteille dans cette période-là de leurs vies.
    C’est ce que l’on appelle le "binge drinking", qui consiste à boire de l’alcool
    à hautes doses et le plus vite possible pour atteindre rapidement l’état d’ivresse.
    Or le danger de cette manière de boire, c’est carrément le coma
    éthylique car l’éthanol, qui est l’alcool présent dans tous les vins
    (à 10/15%) et les alcools et brandies (à 40/50%), est un produit chimique
    toxique qui à hautes doses peut être mortel.


    L’Académie de médecine qui s’est émue de ce nouveau mode de consommation
    de l’alcool a fait une enquête en 2005 qui a montré que 2,3% des jeunes
    de 17 ans avaient eu recours au binge drinking un jour sur trois ( !!!)
    dans les trente jours avant l’enquête.
    Autant dire qu’ils ont été soûls sans discontinuer pendant le mois avant l’enquête.
    Dans les consommateurs plus raisonables, ce sont 18% des garçons et
    6% des filles qui, à 17ans, déclarent consommer de l’alcool régulièrement.

    Seule consolation, c’est loin du rythme des Britanniques chez qui le binge
    drinking concerne 23% (10 fois plus qu’en France) des adolescents
    de 16 ans et plus, et les filles encore plus que les garçons !
    Sans compter que s’ajoute dans 35% des cas la prise de cannabis ou de
    médicaments en même temps ; je vous rassure, toujours chez nos amis britanniques.

    Le risque, en particulier chez les jeunes adolescents, c’est le coma
    éthylique pour les absorptions massives, qui est la première cause de
    mortalité évitable chez les jeunes.
    C’est ensuite une diminution à terme de la matière grise dans certaines zones du cerveau.

    Que font leurs parents est la première question que l’on devrait se poser
    avant de s’en prendre à l’Etat ?
    Pas grand-chose apparemment.
    Le "il faut bien que jeunesse se passe" a toujours cours et la sous-estimation
    du danger également.
    On peut même dire qu’ils ont une forme de complicité puisque c’est eux qui financent !

    L’Etat s’en tient aux interdictions traditionnelles, l’interdiction de vente aux
    mineurs de moins de 16 ans. L’Academie de médecine suggère une
    batterie de mesures pour enrayer le phénomène comme l’interdiction
    du sponsoring des soirées d’étudiants et surtout l’amélioration de l’éducation
    dans ce domaine.
    Mais ça ne semble pas faire partie des priorités actuelles.

    Pas très encourageant...

    Agora Vox Texte intégral

    Durant notre jeunesse, on a réussi à nous protéger en partie contre tous nos excès..
    Ne serait-ce plus le cas aujourd'hui
    Devons-nous vivre tout le temps dans une civilisation de l'extrême



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  • Il est tombé dans les desserts quand il était petit. Dans le chocolat, ado. Et dans le vin, devenu grand. Depuis plus de trente ans, Jean Galler plaît aux palais. Entretien avec un gourmet.








    Votre premier geste le matin?
    Sourire. La vie est belle. Et pour bien commencer la journée, je prends le temps de petit déjeuner en admirant la nature.

    Petit, vous rêviez d'être ?
    Heureux dans mon couple. Je voyais autour de moi quelques couples très heureux, tout le temps. C'était mon rêve et je le réalise jour après jour depuis 30 ans.

    Le talent que vous aimeriez avoir ?
    Musicien. Tous les jours, je joue du piano, j'y prends énormément de plaisir, mais je suis conscient de mes limites...

    De quoi avez-vous peur?
    De rien. Dans les moments difficiles, voire très difficiles, que j'ai traversés, je pense que ce qui m'a permis de tout surmonter, c'est précisément de toujours avoir cru en ma bonne étoile.

    Le compliment qui vous fait fondre ?
    "J'aime votre chocolat" tout simplement. Certains ajoutent : "On vous l'a certainement déjà dit très souvent". Peu importe, cela me procure le même bonheur à chaque fois.

    Votre boisson fétiche?
    Un whisky, single malt, le soir avec un morceau de chocolat. Le petit déjeuner commence la journée, ce whisky la termine.

    Sucré ou Salé ?
    Ils sont indissociables. Comme dans la vie, chaque élément est mis en valeur par l'existence de son contraire. Le soleil est précieux pour la beauté de l'ombre qu'il procure.

    Chocolat plein ou chocolat fourré ?
    Chocolat fourré. Pour l'ensemble des textures qu'il est possible d'y trouver. Déguster, c'est mettre les 5 sens en éveil. Croquer la coquille de chocolat, laisser couler la crème sur la langue et terminer sur une fine couche de croquant est un plaisir infini.

    Vin et chocolat, c'est snob ou popu ?
    Mon entreprise a 32 ans et depuis le départ, je refuse d'être classé dans le luxe. Car le luxe est réservé à quelques personnes alors que nos produits sont à la portée de tous ; même si pour certains c'est tous les jours et pour d'autres, c'est seulement le week-end.

    L'accord parfait ?
    Le Maury blanc de Mas Amiel qui s'accorde à merveille avec les "Kaori". Quelle palette aromatique !

    Votre plus grand choc olfactif ?
    La douceur du pain qui cuit dans la boulangerie de mes parents. Ou l'instant de bonheur intégral dans une auberge du sud-ouest où les propriétaires, plus que des plats du jour, servaient de la poésie !

    Votre plus belle surprise vinicole ?
    Le vin, c'est le partage. Mes plus belles surprises sont les bouteilles que nous ouvrons entre amis au milieu d'une balade à vélo. Même si remonter en selle devient au fil des années de plus en plus difficile !

    Gardez-vous quelques bonnes bouteilles en secret, quelques PMG ("Pour Ma Gueule") comme disent les vignerons ?
    En secret, sûrement pas ! Quand j'ouvre une bouteille, l'objectif est de donner du bonheur. Chaque bouteille a son histoire et j'essaie de trouver l'histoire qui parlera à l'ami avec qui je partagerai ce vin.

    Le sujet qui fâche ?
    L'incompétence !

    Votre péché mignon ?
    J'en ai beaucoup car ils évoluent au fil des saisons. En mai, cueillir une fraise au jardin me procure du bonheur ; en août, une tomate ; en octobre, prendre le repas sur la terrasse...

    Votre plus belle déclaration d'amour ?
    Pour les 20 ans de notre chocolaterie j'ai reçu un recueil de 124 témoignages de ceux qui ont compté dans ma vie privée et/ou professionnelle durant toutes ces années. Parmi ces lettres, celle de Justine, ma fille, m'a tellement touché... À l'époque, elle avait 14 ans.

    Vous avez pris un coup de vieux le jour où?
    Ah bon, j'ai pris un coup de vieux ?

    Neofolk ou neodisco, dans votre iPod ?
    Aucun des deux. Je ne podcaste que des émissions politiques, philosophiques ou gastronomiques.

    Votre dernier achat impulsif ?
    Un vieux juke-box avec les disques d'époque.

    L'objet avec lequel on vous enterrera ?
    Une pelle, à mon avis.

    En quoi aimeriez-vous vous réincarner ?
    En vigneron amoureux de chocolat !

    Propos recueillis par Anne-Françoise Moyson (LeVif.be Weekend)
     publié le 09/10/2008 14:27 - mis à jour le 09/10/2008 17:51:06

     





    crayon

     

     

    Qui n'aime pas le chocolat?
    WS

     

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  • Du chocolat pour toutes les langues


    Jean Galler est chocolatier à Chaudfontaine, près de Liège.
    Il dit : «Le chocolat et la bière sont deux produits unificateurs pour les Belges
    Il parle magnifiquement du goût de ses ompatriotes.
    «Traditionnellement, le Wallon c’est le sucré, le chocolat blanc, la Chimay.
    Le Flamand se retrouve dans l’acidité, le chocolat au lait, la Rodenbach.

    A Bruxelles, on préfère l’amertume, le chocolat noir, la Gueuze.»
    Quand il invente un chocolat, Jean Galler «le fait pour tout le monde».
    Avec le fleuriste bruxellois Daniel Ost, il a imaginé une rencontre fleurs
    fraîches-chocolat baptisée «les florales» avec un chocolat blanc fourré à
    la rose spécialement dédiée à une Belge qui, selon Jean Galler, «adore» le chocolat blanc : .

    Amélie Nothomb Libération.fr 28 nov 2007

    «Le chocolat et la bière sont deux produits unificateurs pour les Belges.»
    Souhaitons qu'ils disent vrai...


     

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  •  
    Le jardinier d'Argenteuil :
    Sortie(s) : 07 octobre 1966 (France)non daté (USA)

    Genre: Comédie Durée: 1h30Pays: France, Allemagne

    Réalisé par: Jean-Paul Le Chanois
    Avec: Jean Gabin, Curd Jürgens, Liselotte Pulver, Pierre Vernier, Mary Marquet, Jean Tissier, Noël Roquevert, Serge Gainsbourg, Alfred Adam, Jeanne Fusier-Gir, ...

    L'histoire




    Le père Tulipe, retraité et peintre naïf à ses heures, cultive tranquillement son jardin tout en fabriquant de la fausse monnaie en petites coupures pour arrondir ses fins de mois. Son neveu, Noël, sous l'instigation de sa petite amie Hilda, le convainc de fabriquer de plus gros billets...


    _________________

     

     



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  • Réunion du conseil municipal le 4 juin 2010





    Fleche http://www.jouy-sous-thelle.org/spip.php?article58
     

     

     

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  • Long 13.5cm Haut 14cm

    Larg 6cm

    Poids 827g

    Couleur : Gris - Blanc - Noir -Trace Rouge

    Provenance : Brocante

    Origine :Inconnue








    Photos libres de droit
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  • SAINT-JUST-EN-CHAUSSÉE

     


    Samedi 29 Mai 2010


    Sur la pelouse du 28 rue de Catillon, devant les composteurs, à gauche Olivier de Beule, au centre Yves Martyet Sandra Cholet, et en arrière Jean-Michel Cateaux, l'un des référents, tenant sa fourche.

    Une opération compostage a été lancée par la communauté de communes du Plateau picard dans des résidences de la rue de Catillon, auprès de familles volontaires. L'objectif est de réduire le poids des poubelles.

    Composter des déchets de cuisine biodégradables alors que l'on habite en appartement paraît a priori une gageure.
     La communauté de communes du Plateau picard (CCPP), soucieuse de réduire le poids des poubelles ramassées, lance pourtant une opération compostage au pied d'immeuble, avec le concours actif de quelques résidents volontaires.

    Une idée lancée au départ par Geoffrey Fumaroli, directeur des services techniques et Yves Marty, responsable du syndic de copropriété, qui a fait son chemin et va concerner trente-deux familles des résidences du 11 bis, 13 bis et 28 rue de Catillon à Saint-Just-en-Chaussée.

    Développement durable

    Mardi soir, une démonstration pratique était organisée sur la pelouse de cette dernière adresse, supervisée par Sandra Cholet, référente de cette opération à la CCPP.

    Le guide du compostage individuel, remis à chaque volontaire, rappelle que le compost reproduit le cycle de dégradation naturel des déchets qui aboutit à un engrais naturel, le compost.

    « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », écrivait le chimiste Lavoisier au XVIII e siècle. Un principe toujours d'actualité d'autant que 30 % des ordures ménagères sont biodégradables et que l'on peut composter en moyenne 100 kg de déchets par an et par habitant, selon Olivier De Beule, vice-président en charge des déchets à la CCPP.

    Chacun peut mesurer l'importance de ce geste citoyen qui va dans le sens du développement durable.
    Pour cette première opération phare à Saint-Just-en-Chaussée, la CCPP fournit le matériel nécessaire : un bio-seau par famille et un à deux composteurs par immeuble où un référent sera chargé de s'assurer du bon déroulement du processus et sera le relais avec Sandra Cholet.
    Le compost obtenu sera évidemment à la disposition des habitants participants et pourra amender les jardinières et les massifs de la résidence.
    Une quinzaine de résidents a accepté le principe en signant la charte de participation intitulée « Compostage à tous les étages ! » Les référents volontaires sont Jean-Michel Cateaux, Jérôme Pilardeau et Michel Bouvier.





    Une initiative qui commence à démarrer au niveau des municipalités.
    Le prix du traitement des ordures va obliger les communes à organiser ce type de solution.

    Enfouissement interdit.

    Incinération interdite..

    Il y a plus de 50 ans, peu de grandes villes assuraient le ramassage des ordures.
    Les gens devaient trouver des solutions pour éliminer leurs déchets d'ordre organique.
    Tout en conservant un niveau d'hygiène minimum.
    On a pris l'habitude, depuis, de jeter trop facilement.

    Les être humains génèreront toujours des déchets.
    Mais ceux-ci ne doivent pas être constitués que  par des emballages.
    Et la réduction massive des emballages dans nos systèmes de production n'est pas pour demain.
    La production d'emballage est  une industrie.
    Et une industrie  qui perd des parts de marché est une industrie qui licencie.
    Et cela les élus n'y tiennent absolument pas.
    30% de déchets d'ordre alimentaire...Et les 70% restants..Énormément d'emballages pour la plupart.
    L'industrie de l'emballage n'est pas pressée de se réformer.
    On pourrait développer des types d'emballages directement réutilisables par le consommateur lui-même.
    On achète, par exemple, à certaines périodes de l'année, toute une panoplie de vaisselles jetables.
    Certains emballages conçus et développés dans ce but, pourraient remplir cette  fonction de couverts jetables.
    Au tout début de la société de consommation, dans les années 50/60, les consommateurs réutilisaient,  d'eux-même, toutes sortes d'emballages.
    Aujourd'hui on parle même de suremballage ....


     

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  •  

    Jour de fête des méres triste et pluvieux...............Pas un temps à aller chercher du feuillage dehors et sauvetage d'un fleuron d'Hippeastrum(Amaryllis)trempé et en fin de vie........................

    Pour en savoir plus.......

     

     

    Les Bouquets de Scrophu

     


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  • Pierre

    long 10cm 

    Haut 9cm

    Larg 4cm

    Poids 239 gr

    Couleur : Blanc

    Provenance : Brocante

    Origine inconnue 




    Barre


    Barre


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  • long 14cm 

    Haut 7.5cm

    Larg 3.5cm

    Poids 359 gr

    Couleur : Blanc et rose

    Provenance : Brocante

    Origine inconnue



     

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  • Objet en forme de livre d'image

    Avec image d'éléphant et d'animaux










    Prof 7.5cm Haut 14.5cm

    Larg 7cm

    Poids 150g

    Couleurs: Polychrome à la gouache

    Composé de 8 pièces amovibles





    L'éléphant y figure en bonne place

    Provenance : Brocante

    Origine :Vraisemblablement des Indes

     

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    Forum Une Collection d'éléphants



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  • La culture du choux-fleur



    Aujourd'hui, les maraîchers commandent directement leurs plans de choux-fleurs, ce qui leur fait gagner un temps considérable. Auparavant, on semait les choux-fleurs, on les arrosait, puis on les ôtait de la terre pour ensuite les planter dans les champs.



     


    Arrow http://mariespeter.free.fr/p_cf.htm

     

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  •  

    En France, l’ancienne réglementation applicable datant de 1990 réservait aux seules échalotes plantées, dites « de tradition », le droit d’être commercialisées sous le nom « d’échalote ». Depuis, la recherche agronomique, notamment aux Pays-Bas, a identifié la graine d’échalote et ouvert la voie à un nouveau mode de production d’échalotes à partir de semis.

    Ces avancées ont donc très logiquement conduit à adapter les textes européens, notamment la directive « semences » et la liste des produits éligibles au catalogue commun des semences sur lequel les échalotes semées peuvent désormais légitimement figurer.

    En France, la procédure contentieuse entamée par la société De Groot en Slot Allium BV devant le Conseil d’État a définitivement levé toute ambiguïté sur l’appartenance des variétés semées à l’espèce botanique « échalote » puisque le Conseil d’État a expressément constaté qu’elles partageaient avec certaines variétés d’échalotes de plant les propriétés qui distinguent toutes les échalotes des oignons.

    En conséquence et malgré la crainte des producteurs d’échalotes plantées dites « de tradition » de Bretagne et du Val de Loire de perdre un quasi monopole détenu depuis de nombreuses années, un nouvel arrêté a été adopté le 16 janvier 2007.

    Cette nouvelle réglementation consacre la coexistence de deux modes de production d’échalotes (semées et plantées) dont les qualités nutritionnelles sont similaires.








    Arrow http://www.echalote.org/
    Arrow http://unjardinblanc.xooit.fr/t2094-Qualite-medicinale-de-l-echalote.htm#p1…

    Arrowhttp://unjardinblanc.xooit.fr/t2095-Confit-d-echalote-aigre-doux.htm#p10545

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  •  

    Les consommateurs sont de nos jours avides de nouveaux produits, de nouveaux goûts, tant sur la saveur que sur la propriété décorative. L'univers des plantes fait partie de ces articles, des produits du sol qui connaissent un certain succès auprès des clients qui font de plus en plus appel à des spécialistes en la matière. Certains arrivent à dépenser une fortune pour avoir un environnement intérieur et extérieur répondant à leur demande, d'autres sollicitent les fruits et récoltes issus des lieux particuliers de ces techniciens, les horticulteurs.



    L'horticulteur est une profession par excellence qui assure la qualité des plantes, depuis la préparation du sol jusqu'à la cueillette. Il est aussi disposé à garantir la pérennité de certaines espèces mais également à mettre à jour de nouvelles variétés de fleurs et fruits. Plusieurs branches sont rattachées à ce métier : celle qui s'occupe du « côté ornemental » comme les plantes de plein air ou les plantes d'appartements ; celle qui se spécialise dans les végétaux destinés à l'alimentation comme les arbres fruitiers et les exploitations légumières ; et également la branche qui est assumée par les paysagistes avec les jardins, privés ou publics, les parcs, les espaces verts et la disposition des lieux urbains.



    Cette profession peut être disposée comme suit : des techniciens qui se consacrent à de nouvelles recherches et expériences, ce secteur travaille sur la conception de nouveaux types de plantes, pépinières, floriculture, maraîchage ou arboriculture, et sur l'élaboration d'un meilleur rendement ; des ouvriers spécialistes ou des ingénieurs qui descendent sur terrain pour assurer la production proprement dite, les préparatifs sur le sol, sur les semis ainsi que les entretiens des pousses et les dispositifs sur les récoltes ; il y a aussi des experts qui côtoient directement les clients pour leur donner des conseils ou pour disposer les plantes dans les jardins privés ou publics.


    Ces professionnels peuvent exercer dans divers domaines ou établissements, ils sont opérationnels comme paysagiste attitré à une circonscription, ils peuvent travailler pour leur propre compte avec leurs propres serres ou concessions, ils prêtent main forte à des sociétés agro-alimentaires ou à de grands distributeurs, mais ils parviennent aussi à s'assembler dans une coopérative agricole. Un technicien sur terrain doit avoir certaines qualités physiques et manuelles pour pouvoir assurer cette fonction confrontée à des conditions climatiques capricieuses.

    Une concession peut atteindre les 10 ha et le travail requiert des positions prolongées, des positions statiques penchantes ou d'agenouillement. Il est indispensable d'acquérir une qualité de « Main Verte » avec des pratiques et des théories suivies à la lettre comme il est possible d'improviser à de nouveaux « savoir-faire » comprenant l'« arquage », le « greffage », le « bouturage » et autres systèmes de plantation.





    Différents niveaux de formations sont accessibles pour ceux qui veulent faire carrière dans ce domaine : un CAPA ou BEPA options fleurs et légumes, fruits et pépinières pour les apprentis dont le niveau d'études est situé à la classe de 3ème, un Bac Professionnel est possible avec deux ans d'études pour les étudiants après le CAPA ou le BEPA ; des étudiants ayant le Bac S ou Techno disposent de deux ans pour obtenir un BTSA comme technicien ; il existe également deux filières orientées en option végétaux d'ornement pour un BTSA technico-commercial et en expérimentation et recherches pour le BTSA technologies végétales.

    Ces professionnels préparent les paramètres opérant dans la culture des fruits, des fleurs, des légumes et des arbustes c'est-à-dire le sol, les semis, les engrais et les abris translucides en verre ou en plastique, s'il faut que les plantes soient disposées ainsi.

    Ce sont eux aussi qui se chargent de confectionner des teintes pour des fleurs séchées. Ils donnent également des recommandations à la clientèle pour des produits à planter ou des marchandises d'ornement ou de consommation.
    Avoir un salaire au SMIC, travailler comme artisan avec plus de rémunération ou exceller dans le métier pour bénéficier des promotions afin d'être le propriétaire d'une exploitation agricole constituent des situations possibles dans cette discipline.
    Apprentissages, formations et études donnent des opportunités très larges au niveau des débouchés et de nouvelles perspectives sont aussi possibles avec l'afflux des demandes. 40% des offres sont ouvertes pour les paysagistes, 35% des offres d'emplois sont destinés à ceux qui favorisent le commerce et la vente des produits de jardinage, potager, maraîcher ou arboricole.
    Les propositions d'emplois se multiplient tous les ans et les marchés s'élargissent de plus en plus.

    corde

    Le Dimanche 31 Août 2008 à 14:05
    Article écrit par Toli



    corde
    Le retour vers une vie plus saine, plus naturelle entraine une demande accrue  de professionnels de l'horticulture et de l'environnement.
    Des métiers porteurs d'emplois.
    Mais pour un temps seulement.
    L'horticulture, comme tous les secteurs en développement finira par créer une demande d'emploi dépassant l'offre des employeurs.
    WS

     

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  •  

    AU JARDIN DE JEAN-PIERRE
    C'est plus qu'une pépinière de production.
    Il s'agit d'un mini jardin botanique établi en pleine nature depuis 1978.

     

    S'étalant sur une douzaine d'acres, le site est sillonné de sentiers agréables.
    À l'entrée, les jardins de démonstrations s'étalent sur deux acres. Un rocher naturel, nettoyé et aménagé constitue l'axe autour duquel d'autres jardins se sont greffés au fil des ans.

     

     http://www.jardinjp.com/html/qui_sommes_nous.htm



    Article de : Champipi
    PotagistePotagiste

    @+



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  • Une machine qui arrache et stocke les betteraves sucrières.
    [
    Elle s'apprette à déposer sa récolte de betteraves..

    En quelques minutes un tas impressionant de racines gorgées de sucre..

     




    Saison 2006
    Octobre/novembre
    Récolte des betteraves chez nos voisins agriculteurs

     

     

     

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  •  

    Devenir jardinier paysagiste ? C'est un rêve devenu réalité pour les élèves du pôle de formation «Vert Azur» d'Antibes. Mais quel rapport entre un jardinier, le Riviera Palace et l'Office de Tourisme de Beausoleil ? Une SIL, entendez : Spécialisation d'Initiative Locale «Jardins patrimoniaux», soit une formation qualifiante destinée aux élèves jardiniers.



    Marion Gaubert, guide touristique ; Alain Roche, formateur ; Nadine Brod, présidente de la copropriété B. : ISF

    En effet, le Riviera Palace a été choisi comme lieu de stage pratique (140 heures / an) par le centre d'apprentissage azuréen, dans le cadre d'une qualification professionnelle (500 heures de théorie) qui vise au maintien et à la valorisation des jardins patrimoniaux et d'exception autour de la Méditerranée, définition exacte de la serre-jardin beausoleilloise abritée sous une verrière de 900 m².

    Depuis janvier, une équipe d'aspirants jardiniers paysagistes travaille sous la conduite d'Alain Roche, responsable de la formation, avec l'appui des services municipaux de l'environnement. Est également parti prenant l'Office de Tourisme qui mène un projet de valorisation d'un patrimoine remarquable et historique de la commune avec les copropriétaires du Riviera Palace B.

    Cette idée originale a germé dans les esprits féconds de Nadine Brod, présidente de la copropriété des résidents, de Carole Laffont, directrice de l'Office de Tourisme, et d'Alain Roche toujours à l'affût de nouveaux terrains (presque vierges) d'investigation à magnifier. L'ensemble du programme a fait l'objet d'une convention signée entre la Ville de Beausoleil, le Pôle de formation «Vert Azur» et le Syndicat des copropriétaires du Riviera Palace B pour une aide à l'aménagement et à l'entretien du jardin dans les « règles de l'art «.

    Un prolongement somme toute de l'action déjà entreprise en coopération avec les affaires culturelles du Conseil Général des Alpes-Maritimes, en faveur de ce lieu chargé d'histoire, de mémoire locale et d'une élégance architecturale devenue rare.

    Couronné par le prix des vieilles maisons françaises en 2004 pour les travaux de réhabilitation de la structure de la verrière, l'ancien grand hôtel de la Belle Epoque fait toujours tourner les têtes et vous ouvre les portes de son jardin d'hiver.

    savoir +

    Pour les renseignements sur le métier de jardinier paysagiste :

    Contacter Pôle formations VERT AZUR d'Antibes : www.vertazur.educagri.fr

    Les visites gratuites du Riviera Palace et de la Serre Jardin reprennent le samedi 15 mars et se poursuivent tous les 3ème samedi du mois, à 14 h 30.

    Le nombre de places étant limité, il est préférable de s'inscrire auprès de l'Office du Tourisme de Beausoleil au 04.93.78.01.55 ou par mail : info@beausoleil-tourisme.com, site : www.beausoleil-tourisme.com

    Sainte-fare Ian Monaco Matin dimanche 24 février 2008

     

    Ligne
    Déjà longtemps que ce métier séduit la jeunesse...
    Le développement des espaces verts y contribue fortement..

    @++

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  •  

    Abe Lincoln
    Photo Vent Marin
     
    Fruit rouge sombre de 300 à 500 grammes, aplati.
    En bouquet de 6 à 9 fruits. Côtelé vers le pédoncule, et lisse vers le pôle inférieur.
    Dépression moyenne à l'attache pédonculaire.
    Chair de bœuf dense avec peu de graines.
    Saveur douce et acide à la fois. Croissance vigoureuse.
    Variété ancienne aux feuilles de pomme de terre de couleur verte sombre à verte jaunâtre.
    65 à 70 jours.
    Croissance indéterminée.
    Variété obtenue à partir de "Abraham Lincoln" et présentée en 1975.
    Doc: Vent Marin

    Graine 2010 Baumaux
    Culture 2010 - 2011- 2012
    Fiche modifiée le 24 août 2012           

     

     

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  • Beauvais

    Mardi 01 Juin 2010

    Si lancer des milliers d'invitations via le réseau social Facebook ne coûte rien, en assumer la responsabilité peut coûter très cher. C'est ce qu'ont appris les deux Beauvaisiens qui ont lancé, sur internet donc, l'idée d'organiser un apéro géant dans la ville préfecture de l'Oise.
    Après concertation avec les autorités, le coût financier d'un tel événement les a découragés. L'apéro est annulé.

    Parce qu'Amélie Richard et Joffray Allard voyaient les choses en grand. L'un voulait d'abord organiser un apéro géant. L'autre un barbecue géant. Et un troisième internaute les deux ! Les trois événements ont fusionné pour donner naissance à l'apéro-barbecue géant à Beauvais. L'événement devait avoir lieu cet été. Mais son lieu n'était pas encore précisé.

    Qu'à cela ne tienne, alléchés par le programme des festivités, des milliers d'internautes ont rejoint le groupe organisateur. On en comptait près de 3 700 hier soir.

    Mais les organisateurs, pénalement responsables, voulaient faire les choses « au mieux », explique Amélie Richard. Ils se sont alors tournés vers toutes les autorités qui sont sollicitées lors de pareil rassemblement sur la voie publique. « On a vu plein de monde », atteste Amélie Richard qui s'est également tournée vers les organisateurs d'autres apéros géants ailleurs en France. « On ne voulait pas faire n'importe quoi ». Résultat, s'ils voulaient s'organiser dans les règles de l'art, ils auraient dû débourser de leur poche entre 30 000 et 40 000 € ! « On a vu avec la protection civile. Il faut un dispositif spécial. On aurait également dû employer des agents de sécurité pour prévenir tout débordement. La présence de la force publique nous aurait été aussi facturée. On n'a pas le choix, financièrement on ne peut pas suivre. » Dimanche, l'annonce a été faite sur internet : l'apéro-barbecue géant de Beauvais est annulé.
    Depuis, l'idée a été reprise par d'autres internautes qui lancent désormais, tous azimuts, des rendez-vous partout dans la ville. Pas sûr qu'ils soient prêts à régler la facture.

    THOMAS DELOBELLE

    courrier picard

    ligne
    Effet de mode.
    La raison reviendra vite..
    Mais une illustration du pouvoir formidable d'Internet.
    Quand utilisera-t-on ce pouvoir pour des manifestations et des actions beaucoup plus louables?

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  • Mardi 01 Juin 2010
     
    L'appareil du SAMU 80 effectue jusqu'à 180 évacuations d'urgence par an, auxquelles s'ajoutent des transferts.



    Confrontée au désengagement de l'État, la Région a décidé de ne plus participer au financement des hélicoptères sanitaires de la Somme et de l'Aisne. Les Départements de l'Aisne et de la Somme se retireront eux aussi.

    Jusqu'à quel point la Région et sa majorité de gauche pourront-elles pousser une logique qui consiste à placer l'État face à ses responsabilités...

    On a appris vendredi, lors de la dernière commission permanente de l'assemblée régionale, que la Picardie dénoncerait la convention qui la lie au SAMU pour le financement des hélicoptères sanitaires de la Somme et de l'Aisne (l'Oise n'en possède pas).
    L'annonce a été faite au détour d'une décision de la commission permanente qui a voté des autorisations d'engagement d'un montant total de 189 714 € (119 700 € pour la Somme et 69 314 € pour l'Aisne) au titre de l'exercice 2010.

    Un exercice qui sera donc le dernier du genre, puisque la Région a décidé de ne plus participer au financement du fonctionnement de ces machines. Une première depuis 1995, année de la signature de la convention cadre qui régit le financement de ce service.

    En cause : le désengagement de l'État qui amène aujourd'hui la Région à se recentrer sur ses compétences. La démarche est politique : elle entre dans le cadre du bras de fer qui oppose désormais le gouvernement aux exécutifs des collectivités territoriales. Une façon pour ces derniers de protester contre le rétrécissement de leur marge de manœuvre financière.

    « Guéguerre politique »

    Dans la salle des délibérations, la décision a évidemment provoqué un vif débat. Michel Guiniot, au nom du Front national, s'est inquiété d'une décision qui « risque de pénaliser les habitants de la région » : « Autant je comprends votre démarche sur le fond, qui vise à placer l'État devant ses responsabilités, autant il me semble que cette décision peut être dangereuse... »

    Sur les bancs du groupe Envie de Picardie (UMP-Nouveau Centre), Marc Bonef a dénoncé une « guéguerre politique » qui prend en otage les habitants de la région : « L'hélicoptère sanitaire est un élément clé de l'égalité entre ruraux et urbains dans l'accès aux soins. Vous jouez avec la vie des Picards... »
    Une déclaration qui eut le don d'irriter le président socialiste, Claude Gewerc : « Ce n'est pas nous qui nous désengageons, mais l'État ! Le plan Hôpital 2012 ne concerne qu'un seul des trois hôpitaux de Picardie. Pourtant on ne vous a pas entendu protester ? Je rappelle que le conventionnement sur le fonctionnement des hélicoptères sanitaires s'effectue en dehors du champ de compétence de la Région... »

    Une Région qui retirera donc ses billes en 2011, laissant l'État face à ses responsabilités. D'autres collectivités devraient en effet lui emboîter le pas
    Dès le vote du budget primitif, le conseil général de la Somme avait annoncé qu'il allait concentrer ses financements sur la lutte contre les sinistres qui est de son ressort, et s'interroger sur la convention qui le lie au SAMU de la Somme pour le fonctionnement de l'hélicoptère sanitaire.

    PHILIPPE FLUCKIGER

    courrier picard
    ligne
     La situation est grave.
    Que des moyens cruciaux et nécessaires pour tous ne soient plus financés est bien le signe que les finances des collectivités territoriales sont au plus bas.
    Comment des communes espèrent-elles encore se voir attribuer des subventions pour des projets de seconde zone, en ces temps de crise ?
    Est-ce bien raisonnable.....

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