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    Un charmant petit village de France Index du Forum

        Hérissons le poil!
    De la griffe et du piquant.
    Instinct maternel... Pas piqué des vers.
    Le chat d'une aiguille peut-être..

    Chat fakir ..















      

       
     
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    L’herbicyclage : l’écologie sans se fatiguer
      L’herbicyclage : l’écologie sans se fatiguer
    Les patrouilleurs, les élus, les membres du GPAT et de la Maison des Jeunes ont présenté leur initiative estivale le 21 juin dernier.


    Les patrouilleurs informeront les Terrebonniens tout l’été

    L’herbicyclage, c’est la technique qui va réconcilier écologistes et paresseux. Elle consiste à laisser l’herbe fraîchement tondue étalée à même le gazon, plutôt que de se fatiguer à en ramasser les résidus. Six patrouilleurs de la Maison des Jeunes, mandatés par la Ville et chapeautés par le GPAT, sillonneront à vélo les différents quartiers de Terrebonne cet été pour recommander cette pratique aux citoyens.

    C’est que l’herbicyclage a des vertus écologiques. «Cela diminue la pousse de la mauvaise herbe, renforce la santé de la pelouse et permet de faire des économies d’eau», avance le conseiller municipal Stéphane Berthe.

    Les résidus de tonte laissés sur place n’ont pas à être ramassés, transportés ni enfouis par les municipalités, permettant ainsi une réduction de l’émission de gaz à effets de serre, et une diminution des coûts liés à la manipulation de ces résidus.

    De plus, la réduction des besoins en arrosage après la tonte autorise un gain de temps non négligeable, qu’il est possible d’employer à faire la sieste, par exemple. Le défi du développement durable est à ce prix.

    Les patrouilleurs, eux, ne ménageront pas leurs efforts, puisqu’ils pédaleront tous les jours jusqu’au 25 août. Présents dans les rues de la ville, les camps de jour et les grands évènements, ils sensibiliseront plus de 26 000 foyers aux vertus de l’herbicyclage, mais aussi de nombreux autres gestes quotidiens bons pour l’environnement.

    «Le virage vert ne pourrait s’effectuer avec succès sans la participation active de la population», a expliqué Jean-Luc Labrecque, président de la Commission du développement et de l’environnement.

    Le trait d'Union
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      Réussir un purin d’ortie
      Réussir un purin d’ortie
     (fiche technique)

    Il y a pas mal de recettes sur internet concernant le purin d’ortie. Nous ne vous donnons donc pas sur cette fiche une nième version de la recette, mais plutôt un complément que nous espérons utile d’informations et de règles essentielles, testées par les auteurs de Purin d’ortie et Cie, et par nous-mêmes récemment.
    Mais laissons préalablement et respectueusement la parole à Monsieur Dominique Bussereau, ministre de l’agriculture : « Les préparations effectuées par un particulier pour une utilisation personnelle, telle que le purin d’ortie, ne rentrent donc pas dans le cadre d’une mise sur le marché. En conséquence, la promotion auprès des particuliers de procédés naturels ou le fait de donner la recette de telles préparations ne sont pas interdites. Les produits naturels traditionnels, élaborés à la ferme ou au jardin, peuvent donc continuer à l’être sans obligation d’autorisation préalable. »

    Bien. Maintenant qu’on a l’autorisation du ministre, on peut commencer.

    Voici une recette classique de purin d’ortie, ici . C’est un peu court, la fabrication du purin d’ortie est une affaire sérieuse, et nous nous permettons d’ajouter quelques conseils et règles essentiels :
    Règle n°1 : un volume suffisant. Une vingtaine de litre est un bon début. Une cinquantaine de litres représente une masse satisfaisante, permettant notamment d’amortir les variations de températures auxquelles sera soumises le purin pendant la fermentation.
    Règle n°2 : un récipient adéquat. Un grand seau en plastique noir est un bon récipient. Une poubelle de rue classique avec son couvercle est parfaite. Il faut prévoir un récipient suffisamment profond, et surdimensionné par rapport à la quantité voulue : 30l pour un purin de 20l, 80l pour un purin de 50-60l, etc.
    Règle n°3 : de l’eau de bonne qualité. L’eau ne doit pas être trop acide ou trop basique, ni trop chlorée. Un PH légèrement acide est bien. Ne pas utiliser d’eau d’un puits pure en terrain calcaire, elle risque d’être trop basique. Si vous utilisez de l’eau du robinet chlorée, laissez-là décanter quelques jours avant utilisation. Nous avons testé un quart d’eau du puits et trois quarts d’eau de pluie à Montreuil, ça a bien fonctionné.
    Règle n°4 : une température adéquate. Au-dessous de 15°, la fermentation sera très lente. Au-delà de 25°, le risque de putréfaction est important. Il est important de retenir que le purin d’ortie n’est pas une putréfaction, et que, comme pour un bon vin, beaucoup de son intérêt vient des qualités acquises à la fermentation.
    Règle n°5 : pas trop d’orties, mais de bonne qualité. Les orties ne doivent pas être montées en graines, éviter les tiges lignifiées. Ne pas dépasser 1kg de plantes pour 10l d’eau. Etre plutôt un peu en dessous qu’au dessus. Le purin que nous avons fait en octobre contenait un peu moins de 4kg pour 50l.
    Règle n°6 : s’occuper de son purin. Remuer le mélange au moins tous les deux jours, avec un bâton, pendant quelques minutes. Surveiller son évolution. La fermentation se traduit par une mousse blanche en surface.
    Règle n°7 : stopper le purin au bon moment. Quand la fermentation s’achève, la mousse en surface disparaît. Il est alors temps de stopper le processus, et de filtrer le purin. Il est important de ne pas attendre au-delà. Attention, si la température du mélange est élevée, la fermentation peut durer moins d’une semaine. Les deux semaines données habituellement ne représentent qu’une indication.
    Règle n°8 : filtrer juste ce qu’il faut. Ne pas filtrer trop finement, le purin perdrait une partie de ses propriétés. Filtrer cependant suffisamment pour que le purin ne putréfie pas,
    Règle n°9 : stocker dans de bonnes conditions, dans des récipients hermétiques et opaques, à l’abri de la chaleur et du gel. L’idéal serait une cave à vin.
    Règle n°10 : lire Purin d’ortie et compagnie, aux éditions de Terran. Tout y est indiqué en détails, pour le purin d’ortie, mais aussi pour l’utilisation de quelques dizaines d’autres plantes.
    Texte et photo Le sens de l'humus


    Une recette plus précise que les autres.
    WS
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    Purin d'ortie
      Purin d'ortie
    « C’est ma plante fétiche »


    Marc Kauffmann, spécialiste reconnu du jardin au naturel, fabrique chaque année 250 litres de purin d’ortie et enseigne aux jardiniers l’art de préparer des purins de diverses plantes. Photo Thierry Gachon
    Dans son potager et aux jardins familiaux de Riedisheim, les récoltes sont abondantes. Sans jamais employer d’engrais chimiques ni de pesticides. Le secret de Marc Kauffmann : le purin d’orties.
    « C’est ma plante fétiche », annonce Marc Kauffmann, président de l’association Zone verte de Riedisheim, qui gère les jardins familiaux locaux et s’investit dans la défense des collines des environs.
    Dans ces jardins, l’ortie a sa place réservée. Pour favoriser la biodiversité : des papillons y pondent leurs œufs, des oiseaux en mangent les graines. Et les jardiniers y trouvent l’ingrédient de choix pour fabriquer, gratuitement, leur purin d’ortie. La base du jardin au naturel. Ce n’est pas un engrais mais un stimulant qui permet la régénération de la flore bactérienne du sol. « Il active la croissance des plantes et stimule leurs défenses immunitaires. C’est un bon activateur de compost : il favorise la décomposition des matières organiques. »
    Stimulant et répulsif
    Les doryphores, les pucerons verts et noirs n’aiment pas ce purin. Celui-ci agit comme un répulsif, permet de lutter contre les vers de la pomme, de la carotte et du poireau, et retarde l’apparition du mildiou de la tomate.
    Comment le fabriquer ? Marc Kauffmann plonge 1,5 à 3 kg d’orties fraîches, avec leurs racines, dans 10 litres d’eau de pluie. Il remue chaque jour, et laisse fermenter dans le baril qu’il couvre, mais non hermétiquement : « Attention aux odeurs. Si votre voisin ne vous parle plus depuis belle lurette, soyez sûr que pendant la fermentation, vous entendrez parler de lui ! » dit-il en riant.
    La fermentation dure deux à trois semaines, selon la température ambiante. « Tant qu’un voile de mousse blanche flotte à la surface, le processus de fermentation n’est pas terminé. »
    Une fois prêt, le purin ne dégage plus d’odeurs nauséabondes et se conserve toute la saison dans son baril, ou dans des bouteilles. Marc Kauffmann le dilue à 20 % pour pulvériser les feuilles, avec si possible du petit-lait ou un autre mouillant afin que les principes actifs se fixent sur les feuilles. Il filtre soigneusement pour éviter de boucher la buse du pulvérisateur. Pour l’arrosage au sol, il le dilue à 50 %.
    Ce cocktail d’éléments organiques et minéraux, parmi lesquels l’acide formique, peut être utilisé sans risque : il n’est toxique ni pour les personnes, ni pour les plantes, ni pour la faune. Les maraîchers bio et les services d’espaces verts engagés dans la démarche « zérophyto » l’utilisent de plus en plus.
    Texte et photos Alsace.fr



    Un stimulant plus qu'un engrais.
    Un élixir pour les plantes.
    Une matière première facile à se procurer.
    Le bord des routes en regorge
    WS
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  • Une bande de citrons en grande conversation
         Une bande de citrons en grande conversation


    Pour égayer un plat de fête garni d'huitre et de fruits de mer.
    Très facile à faire avec un couteau bien aiguisé

    Bon appétit!A très vite WS  Un jardin blanc
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    Paillage d'été
      Paillage d'été
    La période idéale pour réaliser un paillage d’été est fin avril, début mai. Attendez que le sol soit réchauffé; désherbez et recouvrez quand il est humide.
    Si votre jardin est vraiment envahi par les mauvaises herbes, intervenez plus tôt, en février par exemple, quand elles sont encore insignifiantes. Cette installation hâtive est intéressante aussi car plus aisée (les plantes de l'année n'étant pas encore en place).
    Enfin, mieux vaut tard que jamais ! Si vous plantez des arbustes en containers, ou réalisez un massif en début d'été, paillez quand même ! Le bénéfice sera réel vis à vis des arrosages.
    Paillage d'été

    Je met des feuilles de l'année précédente.
    les tontes de haies broyées de l'année en cours.
    Accessoirement de la paillette de lin (il faut l'acheter)
    Des écorces de pin très fines (exclusivement en bordure florale)
    Les gros résidus du tas de compost.
    Parfois les tontes de gazon fraiche.( le reste sur le tas de compost; cela active la décomposition des parties sèches en élevant fortement la température.)
    WS

    Barre Oeuil
     Faites gaffe quand même aux indésirables de toute nature qui se réfugient sous ce paillage.
    Escargots & limaces.
    Petits rongeurs
    Merles qui fouillent ce milieu vivant riche en petits lombrics 
    WS
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    Assaut des abeilles
       Bonjour ,un peu de soleil,quelques jacinthes mis à la porte au soleil et vroummmmm!!
    Assaut des abeilles..

    Et ici,en regardant bien,vous voyez des abeilles qui ont déjà des valises à leurs pattes,elles trouvent déjà les coquines!!!

    Et encore une dernière.... quelle joie de les retrouver!!!



    A bientôt
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    Эксперименты
     

    Эксперименты над цветочными горшками

    Цель: продолжаем развлекаться Smile
    Графический прием: продолжаем эксперименты в области синтеза изображений и объектов. Мы не претендуем на новизну идеи (существуют рекламные кампании основанные на эффекте объединения растения и человеческого лица), но нам хотелось воплотить данный прием в виде конкретного объекта. Фишка которая нам понравилась в том, что цветочный горшок и лицо человека имеют сходную форму, что способствует их зрительному объединению, а если еще и форма кроны растения позволяет скрыть верхнюю кромку горшка, эффект становиться полный и довольно забавный Smile Развлекайтесь!

    C'est pas du chinois..............


    Qu'ont-ils fait de mal pour finir ainsi ?



    Ah! Même en Anglais on comprend mieux !
    Pour y comprendre quelque chose..................
    можно реализовать

    Tendance

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    Joseph et son poireau
      Joseph et son poireau

     

    Bretagne: le plus long poireau certifié « bio »
    Incroyable mais vrai !!!!!!!!!!

    Un poireau d’1,70m certifié sans fortifiant chimique vient d’être récolté dans un jardin à Plédran, petite ville des Côtes d’Armor près de St Brieuc, nous apprend Ouest-France.


    Le jardinier chanceux se prénomme Joseph. Il est même surnommé José Bové et est coutumier des légumes insolites: il a déjà récolté par le passé une pomme de terre en forme de chien, une tomate d’1 kilo, et un navet en forme de cœur.
    Soucieux de préserver son précieux trésor, Joseph a remis en terre son trophée en espérant qu’il fasse des petits…

    WS   Un jardin blanc vive Xooit
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  • Au jardin d''Adoué 20 & 21 avril 2013
     
    Les 20 & 21 Avril 2013

    Au jardin d''Adoué


     


    La pépinière est nichée au sein d’un jardin d’un ha environ qui s’est constitué en plusieurs étapes, au gré des opportunités tant humaines qu’économiques. Tout n’est d’ailleurs pas achevé, loin s’en faut, (mais un jardin l’est-il jamais ?) et chaque hiver nous amène son lot de gros travaux. La pépinière, le jardin et ses jardinières continuent leur progression sereine et toujours passionnée en maintenant le cap sur la qualité, la cohérence et le respect de l’environnement.
    Voir la suite ici

     Texte & photos Au jardin d''Adoué

    WS

     

     
       
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    Biodiversité en milieu urbain
      Biodiversité en milieu urbain
    . La Ville de Paris organise , des parcours et promenades déclinés sur le thème de la biodiversité en milieu urbain. Frayssinet est partenaire de l’exposition-promenade de Bagatelle aux côtés de M. François Abelanet, décorateur et scénographe. Le projet « anamorphose » est une immense figure géométrique qui offre illusions et éblouissements aux passants curieux. Un cube géant sort de la pelouse, une pelouse pourtant plate !
    Voici les photos après une première application du produit EVER 10 à 60g/m2 et une application foliaire conjuguée du produit NUTRIKALI à 10l/ha et ANTYS +Fer à 20l/ha. Le résultat est encourageant pour la suite de l’événement.

    WS
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  • Revue de jardin en février
      Revue de jardin en février

    Coté sud
    La pelouse ne semble pas avoir trop souffert.
    Des arbustes à tailler prochainement
    Coté ouest Dans le potager
    Des mâches bientôt bonnes à récolter
    Des bettes qui ont résisté à l'hiver
    La serre N°3 qui héberge provisoirement jusque fin mars 25 pondeuses sinistrées.
    Leur parcours traditionnel est devenu un cloaque immonde et boueux, après 5 mois de précipitations continuelles
    Beau troupeau qui recommence à pondre.
    Les gallinacées détestent par dessus tout l'humidité
    14 œufs aujourd'hui
    Vue sur les serres.
    La planche des asperges au premier plan
    L'intense humidité de ces derniers mois se manifeste sur les dallages et les murets
    Encore une planche de mâche.
    Plus loin 2 routes d'endives à forcer en cave, prochainement
    WS
     
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    Une « love story » entre deux bouteilles de lait 
      Une « love story » entre deux bouteilles de lait pour sensibiliser au recyclage

    Le chemin du véritable amour ne se déroule jamais en douceur, surtout quand on est une bouteille de lait ! « Happy Farm » et « Valley Dairy » ont eu le coup de foudre dès leur rencontre sur un tapis roulant. Réunis dans un supermarché, ils réussissent à rester ensemble mais jusqu’à quand ? Découvrez la sympathique histoire d’amour entre deux bouteille de lait, « A Love Story … In Milk », réalisée par la société de production Catsnake pour l’association « Friends of the Earth », qui souhaite sensibiliser au recyclage d’une manière plutôt ludique !
    Emilie Villeneuve


    Un jardin blanc WS
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    Troquez votre sapin !


    Quand jeter peut rapporter. Le réseau de fleuristes Florajet lance le « Troc à Sapin » : du 2 au 15 janvier, ramenez votre vieux sapin chez les fleuristes Florajet participants et repartez avec une nouvelle plante !
    Une fois les fêtes de fin d’année passées, que faire de votre sapin ? Florajet reprend votre vieux sapin et vous offre un bon d’achat de 10€ pour le remplacer par une plante flambant neuve. Une bonne idée pour garder une touche nature dans votre intérieur… à condition d’en prendre soin.
    Ikea s’engage aussi : pour tout achat d’un sapin Nordmann à 25€ dans un des magasins, vous recevrez immédiatement un bon d’achat de 19 €. En retour, les clients s’engagent à rapporter leur conifère dans une déchèterie ou un lieu de recyclage après les fêtes (liste exhaustive dans chaque magasin). L’enseigne versera en retour 1€ par sapin vendu à l’ONF pour soutenir le réaménagement des forêts françaises.
    D’autres solutions existent pour évacuer votre sapin :
    Le planter dans votre jardin (s’il est en pot et que ses racines ont été préservées)
    Le transformer en compost ou en bois de chauffe
    Voir avec votre mairie qui organise la collecte
    Se rendre en déchèteries, leurs portes sont ouvertes !
    Delphine Rabasté
    3 magasins DUMAS participent aussi à l’opération avec Florajet :
    DUMAS Fleurs
    Résidence Sisley
    1 Avenue de Grassi
    13100 Aix en Provence
    DUMAS Fleurs (Parola)
    2 Place Jeanne d’Arc
    13100 Aix en Provence
    DUMAS Fleurs
    1093 Route d’Aix en Provence
    84120 Pertuis

    Un jardin blanc vive Xooit WS
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    Une nouvelle bêche
      Une nouvelle bêche
     

    Arrow  
    http://www.youtube.com/watch?v=dv-bJbVfdYg&feature=share


    http://youtu.be/dv-bJbVfdYg

    чудо лопата






    La grelinette aurait-elle muté ?
    La quintinie
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     Chandeleur



    Samedi 2 Février est un grand jour pour tous les Membres de notre Mouvement sectaire : La Chandeleur ! Pour cette grande occasion, nous imposons à tous nos Membres de participer au Grand Concours International du Lancer Retourné Acrobatique de la Crêpe de Froment Bretonne.

    Le principe en est fort simple :

    1. préparer une bonne dose de pâte : nous vous conseillons bien sûr la recette de votre Gourou Nathalie sur son site tropmad.com.

    2. convier toute votre famille, vos amis, vos voisins, votre facteur, votre percepteur,...

    3. délimiter une zone de tire avec une hauteur sous barreau suffisamment importante.

    4. prendre une poêle (les heureux propriétaires de billig peuvent aussi participer même si le lancer retourné paraît plus problématique)

    5. verser une dose de pâte et laisser dorer un peu plus d'une minute.

    6. choisir un premier concurrent enthousiaste et plutôt inconscient

    7. ordonner lui d'exécuter avec sa crêpe au minimum un triple salto arrière, ou tout autre figure acrobatique et spectaculaire.

    8. photographier ou filmer le fantastique lancer retourné acrobatique

    9. reproduire les points 6, 7 et 8 avec l'ensemble des participants

    10. sélectionner la ou les meilleurs photos et utiliser les réseaux sociaux pour nous communiquer vos exploits (sur notre groupe facebook MPUCBTB) ou bien envoyer vos photos pour être publiées sur notre blog à cette adresse gourmande : contact@tropmad.com. Vous pouvez aussi les transmettre à votre journal préféré en précisant bien le nom de notre Mouvement et de son Grand Concours !


    Nous sélectionnerons ensuite totalement arbitrairement le grand gagnant qui aura alors la chance et l'honneur d'être nommé officiellement Chevalier(e) de la Crêpe Bretonne Acrobatique du M.P.U.C.B.T.B. Ce titre lui permettra alors d'avoir l'estime, le respect, l'obéissance de tous et voire la richesse et la gloire.

    Vive la crêpe bretonne, vive la cuisine bretonne trop bonne !


    Bravo camarade c'est sympa
    WS
            
     
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      Le printemps des plantes à Castanet-Tolosan !
      Le printemps des plantes à Castanet-Tolosan !




    Pour fêter le printemps, l’association du Marché Castanéen, en partenariat avec la Ville de Castanet-Tolosan, organise la seconde édition du Printemps des plantes, le dimanche 17 mars 2013 de 10h à 18h, dans le parc de la Mairie, avec plus de 45 professionnels des plantes, pépiniéristes, horticulteurs, institutions et associations.
    Cette année, le thème du marché sera le Pastel avec de nombreuses animations, une exposition et un atelier de peinture. Des produits dérivés de l’or bleu seront également disponibles comme des cosmétiques, peintures, pigments, linges et vêtements.
    A l’occasion de ce marché, les producteurs feront découvrir au public des fleurs atypiques, des plantes rares et des arbres fruitiers d’autrefois. Ils partageront également leur savoir-faire et leurs conseils avec les amateurs. Mélange des essences, mariage des couleurs et harmonie des formes seront au rendez-vous pour cette belle journée printanière.
    De nombreuses associations qui œuvrent pour l’environnement proposeront des ateliers, comme l’association nationale des pépiniéristes collectionneurs ou la F.R.E.D.E.C - Fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles.
    Des animations autour du tri sélectif des déchets verts et du compost domestique seront aussi organisées par la communauté d’agglomération du Sud - est toulousain, le Sicoval.

    Le public pourra aussi partir à la découverte d’essences rares grâce à une serre géante.
    Au courant de la journée, des plants d’Isatis Tinctoria seront distribué au public durant la journée.



    Arrow http://www.castanet-tolosan.fr/content/le-printemps-des-plantes-à-castanet-…

    Arrow http://lejardinanglais.com/jardinanglais/2042/castanet_tolosan.htm
     
       
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    Le jardin Anglais
     

    Pépinière spécialisée dans les vivaces.
    Précisément dans les vivaces d'ombre




       http://lejardinanglais.com/jardinanglais/2082/les_hostas_et_les_limaces.htm



    Vente par Internet et à la pépinière  

    Le Jardin Anglais se trouve en Lot et Garonne, près de Vianne à 12 km de Nérac et 30 km à l'ouest d'Agen.
     C'est toujours un plaisir de vous accueillir mais je vous conseille de téléphoner (06 82 27 66 23) 
    ou de nous envoyer un courriel (jane@lejardinanglais.com) avant de venir 
    pour vous assurer de notre présence - surtout pendant la période des foires aux plantes.




    Cantiran Haut - 47230 MONTGAILLARD
    Tél. : 05 53 97 22 13 - Fax : 05 53 97 37 23 - Portable : 06 82 27 66 23


     

    Texte & photo : Le jardin Anglais
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    Potogreen, un jardin de poche urbain

     

    Ils empêchent les automobilistes de se garer n’importe où… mais qu’est-ce qu’ils sont moches ! En regardant les 335 000 poteaux qui longent les trottoirs parisiens, la créatrice Paule Kingleur a eu l’idée de Potogreen, des jardins de poche urbains à poser au sommet des bittes anti-stationnement.
    L’association ParisLabel a un objectif : s’approprier et revégétaliser la ville pour rendre sa place à l’esthétique. Comment sensibiliser les usagers à l’embellissement de leur quartier, au respect de la rue et de la biodiversité avoisinante ? Paule Kingleur, créatrice et présidente de ParisLabel, a imaginé Potogreen, une opération de végétalisation « instinctive ».
    Aidée, entre autres, de la mairie du 2ème arrondissement et de 600 enfants des écoles du 2ème, elle a créé des Potogreens, une couronne de quatre sacoches qui se dispose au cou du potelet. Chaque sacoche accueille une plantation : aromatique, indigène, légumineuse…
    L’association n’a pas négligé l’aspect écologique puisque les sacoches sont fabriquées en toile de tente recyclée et que les contenants qui accueillent la terre et les plantes sont des briques de lait vides. Les couronnes, elles, ont été fabriquées par un atelier d’insertion professionnelle Emmaüs, « La Friperie solidaire », témoignant de la dimension sociale et solidaire du projet.
    Paule Kingleur espère que ses Potogreens créeront du lien social, notamment via le don ou le troc de graines ou plants, l’échange de conseils de jardinage ou encore l’arrosage partagé. L’association a également impliqué les commerçants pour qu’ils acceptent les Potogreens devant leur devanture et les conseils de quartier pour qu’ils relayent l’information.
    Vous souhaitez adopter un Potogreen et participer à la végétalisation de Paris ? Collectez dès à présent des briques de lait d’1 L (4 briques par Potogreen), adoptez 5 à 15 Potogreen en vous inscrivant sur : parislabel@gmail.com, préparez vos semis et plantez vos végétaux. Rendez-vous le dimanche 5 juin 2011, lors de la journée mondiale de l’environnement, sur la placette du M° Quatre Septembre à Paris.
    Le 31 mai 2011 à 7:00 par Delphine Rabasté

     


    Brique de lait
    Toile de tente recyclée.
    Emmaüs...
    335000 poteaux à garnir.
    Embellissement urbain à moindre frais
    WS

     

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    Dans le frigo des pauvres

     

     Dans le frigo des pauvres

     
    Posté le: 30 Déc 2007 à 11:18 


    Manger avec une centaine d’euros par mois et par personne relève du combat quotidien.
    Une socio-anthropologue a étudié les comportements alimentaires
    des Français vivant sous le seuil de pauvreté.
    Qu’est-ce qu’on met dans son frigo quand on vit avec 3 euros par jour ?
    C’est à cette question qu’a répondu la socio-anthropologue
    Christine César dans une étude réalisée en 2003-2004 pour l’Institut
    de veille sanitaire (INVS).
    L’enquête sur les «Comportements alimentaires et situations de pauvreté»
    est un travail fouillé, un peu fouillis.
    Comme les paroles recueillies par la chercheuse.
    Les personnes en situation de grande pauvreté ont du mal à partager
    leurs difficultés avec un tiers, qui restera toujours étranger à leur misère.
    Ils cherchent à l’éluder.
    En France, le budget alimentaire pour les personnes en dessous du seuil
    de pauvreté est inférieur à 114 euros par mois.
    Soit entre 3 et 6 euros, et parfois moins de 3 euros, par jour.
    Près de 68 % d’entre eux sont dépendants de l’aide alimentaire.
    Ils s’approvisionnent aussi sur les marchés (20 %) pour les fruits et légumes.
    Christine César a rencontré une dizaine de ces familles : sans-papiers,
    RMistes, en Ile-de-France et en milieu rural (Dordogne et Haute-Vienne).
    Elle décrit leur débrouillardise.
    Comment ils stockent, conservent, gardent.
    De quelle manière ils rusent.
    Mme E. dit que les «choses toutes faites», comme les plats préparés,
    reviennent très cher.
    «Le premier réflexe, quand on n’a pas de sous, c’est de réduire les fruits et légumes.
    C’est un mauvais réflexe, alors il faut ruser, connaître les lieux
    où c’est moins cher.
    S’organiser, c’est une gymnastique.»
    En prenant rendez-vous avec ses interlocuteurs, Christine César
    ne disait jamais qu’elle allait inspecter les réfrigérateurs.
    Voir, d’abord.
    Puis photographier ce qu’il y a dedans.
    Sur ses clichés, on voit souvent des stocks de pots identiques
    (yaourts, pâte à tartiner, bouteilles de lait), de vieux restes dans une assiette.
    Mais rarement des produits périmés.
    Certains désignent le frigo comme le «vieux compagnon de route».
    La crainte la plus courante est qu’il «puisse lâcher».
    Ce qui est l’annonce d’une possible détérioration générale.
    Parfois on le recycle. «Il peut servir de pharmacie, d’armoire, d’étagère,
    de pense-bête, de support de photos, de cadre pour la photocopie
    d’un régime», note le rapport.
    Plus d’un quart des personnes de l’étude n’ont pas acheté leur appareil.
    Ils l’ont récupéré.
    Parfois, même, ils font frigo commun, quand les habitants sont par
    exemple en foyer.
    Mais ils n’apprécient guère ce partage, tant il peut y avoir de vols.
    Le frigo fait l’objet d’une «réappropriation qui n’existe pas aussi fortement
    pour les autres appareils domestiques», écrit la sociologue.
    A suivre....
    DIDIER ARNAUD 27 déc 2007 Texte Intégral



    L’aide alimentaire mal acceptée
    Le rapport note qu’accepter les dons de l’aide alimentaire ne va pas de soi.
    Cela met les gens dans une position d’assistés qui leur fait honte.
    En outre, il arrive que les denrées ne soient pas en bon état.
    «Un don alimentaire dégradé dégrade celui qui l’accepte», souligne Christine César.
    Les gens préfèrent parfois se débrouiller eux-mêmes.
    Cela les valorise.
    Une femme raconte : «Au bout d’un moment, je me suis rendu compte
    que le pain tous les jours me coûtait cher.
    Comme il y avait un foyer de handicapés dans mon immeuble,
    j’ai fait une demande officielle pour avoir le pain rassis de la veille.
    J’en mets un peu dans mon congélateur, mais un petit peu seulement
    car je n’ai plus de place.»
    Pour cette autre famille, le «don» alimentaire est plus disqualifiant
    que de faire les «poubelles» de la boulangerie.



    Un repas de prisonniers

    Pour les sans-papiers, se nourrir n’est pas toujours la priorité.
    La famille A. ne dispose pas de titre de séjour.
    Le père se décrit comme un homme privé de liberté, sans cesse traqué.
    Même à table, «c’est comme le repas des prisonniers.
    On n’a pas de liberté pour manger».
    Ils ont un fils de 7 ans.
    Le médecin a dit qu’il «ne mange pas bien».
    Pas assez, en fait.
    Il manque de viande, de fruits et légumes.
    «Le médecin dit "il faut", mais nous on n’a rien», dit la mère.
     



    La stratégie du stock
    L’étude montre comment se développent les stratégies de stockage :
    «Chez les personnes qui disposent d’un minimum de place, on trouve du riz,
    des oignons, des pommes de terre, tous achetés par sacs de 10 kilos.»
    A l’Epicerie sociale, ce couple raconte qu’il «fait des réserves de trucs»
    qu’il ne prendrait pas ailleurs.
    «Les yaourts, on en avait pris 16 et on les a mangés en trois jours à nous deux.
    Avec ça, on se fait de l’éclate.»
    Plus loin, la dame précise : «Et puis il doit y avoir un truc psychologique.
    Le fait d’avoir un frigo plein, je ne sais pas, on se sent mieux.
    On s’amuse plus.
    Disons que ça résout la frustration d’être pauvre.»
    Une autre dame explique que sa mère avait «deux congels» dans son pavillon,
    et que «dans toutes les maisons, les gens font comme ça, il faut faire du stock».
     



    Riz cassé et pâtes au sucre
    Les menus sont souvent répétitifs.
    Le quotidien ne s’embarrasse pas de délicatesse culinaire.
    «Les populations étudiées cherchent d’abord à éviter le sentiment de faim,
    se dirigent logiquement vers les aliments les plus économiques»,
    comme le riz et les pâtes, note le rapport.

    «Le riz, on prend du cassé.
    Les 22 kilos, c’est 15 euros, et dernièrement on en a trouvé à 12,5.
    Ça nous fait le mois.
    Je malaxe la fécule de pommes de terre avec de l’eau et ça fait du foutou
    [aliment de base en Afrique centrale, fait de manioc et de banane plantain, ndlr],
    on en mange tous les deux jours», dit Mme B. «Hier midi, vous avez mangé quoi ?»
    demande la sociologue.
    «C’était des pâtes et on les mange avec le pain.»
    Plus loin, Mme B. explique : pour le riz, «même si tu n’as pas de
    condiments pour la sauce, tu mets du sucre et ça passe.
    Souvent, on prend ça matin, midi et soir, quand il n’y a pas autre chose, surtout l’été».

     



    Les fins de marché, la «pochette-surprise»
    L’enquête fait une part belle au glanage.
    Comme il n’est pas question de faire son marché comme tout le monde,
    c’est quand les commerçants remballent que tout se passe.
    Mme C. fait les fins de marché.
    «C’est incroyable tout ce que je trouve en fouillant.
    C’est devenu comme les enfants à Pâques et la pochette-surprise.»
    Cette activité constitue «un vrai boulot.
    C’est honteux de voir ce qu’ils laissent».
    Elle passe «des nuits à faire des compotes», des conserves de légumes.
    Mme C. dit aussi : «Les envies, ça passe, et les besoins, on a toujours pu faire face.»
    Pour Mme C., tout se passe comme si elle s’était installée «dans une
    économie de guerre, prête à affronter un siège», note la sociologue.
    Qui confie : «En situation de pauvreté, l’abondance est possible.»
     



    Le rebord de la fenêtre
    Des frigos, il n’y en a pas toujours.
    Seuls 62 % de ceux qui résident à l’hôtel en disposent, contre 99 % de ceux
    qui vivent en appartement.
    Le recours le plus commun est donc le rebord de la fenêtre.
    Dans ces conditions, «la conservation des surgelés est impossible», note le rapport.
    Pourquoi écrire cette évidence ?
    Parce que, le plus souvent, les familles évitent de signaler aux services
    sociaux qu’elles ne possèdent pas de frigo.
    Ainsi elles profitent quand même du surgelé, qu’elles cuisinent tout de suite,
    parfois pour distribuer les plats à leur entourage.
    Comment fait-on quand il fait chaud ?
    La fenêtre de Mme A. est plein sud.
    Pour les fromages, elle a le choix : «Laisser sentir à l’intérieur ou laisser
    dégouliner à l’extérieur».



    Réflexion...........
    Ce rapport évoque visiblement la situation de familles vivant
    provisoirement en hôtel ou en centre d'accueil..
    Des sans papiers, voir des clandestins..
    Des gens d'origines Africaine..
    Il faut y ajouter des personnes seules ,travaillant pour un 1/2 ou un 3/4 de SMIG.
    Des retraités, surtout veuves, qui n'ont plus qu'une retraite misérable..
    Des handicapés, des chômeurs, des jeunes déboussolés par la vie etc...etc..
    La liste n'étant pas malheureusement Exhaustive....
    N'oublions jamais que chacun de nous peut se trouver confronter à ces difficultés..
    Le renchérissement des denrées et des prestations de base dans notre vie quotidienne devient une préoccupation pour tout le monde..
    Alimentation, logement et produits énergétiques ne cessent d'augmenter.
    Ce qui est un souci pour chacun de nous, est véritablement dramatique
    pour les plus faibles.
    Souhaitons-nous, pour toutes ces raisons, une meilleure année 2008..
    La Vie N'est Pas Qu'un Long Fleuve Tranquille..
    Et son cours est tumultueux et sinueux, et n'a de cesse de serpenter au gré de nos difficultés...
    Un jardin blanc WS  Tendance  

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