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    Studio
     

    Studio



    Construit dans du mélèze naturel et isolé avec de la laine d'un mouton local, ce studio repose sur des fondations en acier tandis que son toit est recouvert de tôle de fer ondulée et de verre.

    Entreprise de valorisation du bois dans le Devon au Royaume Uni.
    Ligne
    Arrow http://www.timberdesign.com/small/milton/milton.htm

    WS

     
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  • La chasse aux poudres de perlimpinpin
      La chasse aux poudres de perlimpinpin
    Qui n'a pas testé les remèdes de grand-mère dans son jardin : de l'ail pour la cloque du pêcher, suspendre un bout de cuivre... pour se rendre compte que c'est du pipo?
    Ce livre a pour ambition de faire le tri dans les solutions de jardinage pour jardinier amateur qui marchent et les "poudres de perlimpinpin".

    "Ayatollahs du tout chimique ou talibans écolos : Faut-il choisir?" : non répond l'auteur, il faut rejeter les discours simplistes et faire des choix raisonnés en prenant les solutions éprouvées et reconnues efficaces en fonction des menaces qui pèsent sur les cultures.

    Au début on apprend à analyser son terrain à partir de l'observation : où la neige fond-elle le plus tard? dans quel coin le vent va-t-il entasser les feuilles? quelles sont les plantes sauvages qui poussent sur mon terrain et quel style de sol cela annonce-t-il? Observation de la terre et tests pour avoir une première idée de sa teneur.
    Un chapitre sur ce qui est à retenir pour les cultures dites "associatives" (planter telle plante à côté de telle autre pour éviter ceci ou cela...) et leurs limites , la rotation des cultures.
    On poursuit avec les plantes envahissantes, le bon usage de la tonte, les haies, les trognes, l'usage raisonné de l'eau au jardin, l'usage des paillis et broyas, les fertilisants, les amendements, le compost (classique, lombricompost, compost des templiers), les engrais verts (où certains classiques telle la phacélie sont remis en cause pour leur aspect fertilisant).
    Vient ensuite un admirable tableau sur les ravageurs des cultures et les solutions éprouvées... et les purins dont on nous a tant médiatisé leurs pouvoirs dont le législateur voudrait nous priver suite à "l'affaire de l'ortie", ne sont pas si efficaces que ce qu'on veut nous le faire entendre.
    D'ailleurs s'en suit un chapitre sur les purins, qui pour résumer conclu à l'efficacité en tant que fertilisant (ortie, consoude), mais souvent moyenne ou modérée voir nulle en tant qu'insecticide ou anti fongique (quelques uns sortent quand même du lot, tel la faculté insecticide de l'infusion d'épazote).
    Le livres fini par les enduits, la pharmacopée du jardinier, les luttes biologiques, le désherbage, les nichoirs à insectes.
    On remarquera une timide prise de position sur le principe de la biodynamie, considérée plus comme une philosophie qu'une technique, "le mouvement biodynamique possède des racines spirituelles avec le mouvement anrhoposophique, dont il ne nous appartient pas dans cet ouvrage de juger la pertinence.
    La biodynamie a permis de forger des techniques aujourd'hui largement utilisées, comme celle de la fertilisation naturelle du sol. Toutefois, l'aspect spirituel de la biodynamie ne nous semble pas indispensable, car l'agronomie, même jardinière, ne connaît que les faits scientifiquement établis". Grande déception, alors que le livre se voulait justement faire le point sur toutes les techniques qui marchent ou non, j'attendais vraiment un test comparatif jardinage bio classique / jardinage biodynamique et les éventuelles plus-values que ca aurait rapporté. Ainsi que l'influence de la lune sur les cultures, qui est un des principes des biodynamistes.
    Pourquoi l'auteur s'est-il dégagé de ces expériences comparatives?...
    C'est un bon livre d'initiation au jardinage raisonné pour débutant, dépollué de toutes les recettes "grand-mère" inefficaces.
    Le jardinier avec expérience n'y apprendra pas grand chose, si ce n'est la confirmation que beaucoup de recettes annoncées par tant de livres et qu'il a testé avec échec, mettant en péril ses cultures, ne sont pas efficaces, ... et regrettera seulement que ce livre n'ait pas existé plus tôt.

     Jardiner durablement de Jean-Michel Groult Catégorie(s) : Arts, loisir, vie pratique => Décoration et jardins critiqué par Happy_kangourou, le 9 mars 2008


    Foparévé
    "il faut rejeter les discours simplistes et faire des choix raisonnés en prenant les solutions éprouvées et reconnues efficaces en fonction des menaces qui pèsent sur les cultures"
    dit l'auteur.
    Du bon sens, encore du bon sens, toujours du bon sens..
    Et faire son expérience personnelle de toutes ces recettes, pratiques et autres remèdes avancés par les uns et les autres..
    Beaucoup rapportent des procédés qu'ils n'ont jamais testé eux-même.
    "Tout ce que j'écris, je l'ai essayé moi même".....
    C'était la devise de RUSTICA...l'hebdomadaire bien connu...

    tout à fait      WS
     
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  • Attention, ceci n’est pas une tomate normale !
      Attention, ceci n’est pas une tomate normale !



    La Toscanella et la Kumato ne sont pas des variétés comme la Rose de Berne ou la Cœur de Bœuf, mais des marques appartenant à Syngenta, le plus grand producteur mondial de pesticides et d’herbicides. Pourtant, rien ne l’indique sur l’emballage. En commercialisant des fruits et légumes de marques, la multinationale suisse entend maîtriser toute la chaîne de production, des semences aux étals des supermarchés. Syngenta est un acteur central dans l’inquiétante concentration du marché dans le domaine des semences. Trois multinationales – Syngenta, Monsanto et DuPont – contrôlent aujourd’hui 40 à 50% du marché mondial des semences. Chaque septième tomate produite dans le monde provient de Syngenta. Nous devenons ainsi de plus en plus dépendants de quelques multinationales.

    Toscanella = Toxanella

    Syngenta ne vend pas uniquement des semences, mais également des pesticides. L’un des principaux produits du groupe agrochimique suisse est le tristement célèbre herbicide Paraquat. Interdit en Suisse depuis plus de vingt ans, ce produit continue à empoisonner chaque année des dizaines de milliers de personnes dans les pays du Sud, avec à la clé des décès par milliers. Maux de tête, saignements de nez, problèmes respiratoires, dégâts pulmonaires, blessures de la peau et des yeux comptent parmi les principaux symptômes d’empoisonnement. De plus en plus d’indices scientifiques s’accumulent en faveur d’une association entre le Paraquat et la maladie de Parkinson.

    En poussant à la vente du Paraquat dans les pays en développement, malgré le fait qu’elle soit consciente qu’il ne peut pas être utilisé correctement dans ces conditions, Syngenta porte une lourde responsabilité dans ce bilan funeste. Des entreprises comme Chiquita, Dole ou Lipton ont pourtant démontré depuis longtemps qu’une production sans Paraquat est possible.

    Privilégiez les variétés locales!

    Si vous achetez des tomates Toscanella ou Kumato, vous soutenez la politique d’entreprise irresponsable de Syngenta et favorisez une plus grande concentration du marché des semences.

    Soyez des consomm’acteurs ! Laissez les tomates Toscanella et Kumato sur les étals et choisissez des vraies variétés de tomates locales. Avec des variétés ProSpecieRara, par exemple, vous avez la certitude que rien ne provient de Syngenta, pas même la semence.

     
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    Loisy/ Fête du village Ces épouvantails qui attirent
     
    Loisy/ Fête du village Ces épouvantails qui attirent

    La fête du village approchant, les habitants de Loisy ont, comme chaque année, sorti leurs outils de bricolage et confectionné des épouvantails. Depuis le début de la semaine, on les voit fleurir dans toutes les rues.
    ENCORE une fois, l'opération est un succès. Pour sa cinquième année d'existence, la fête des épouvantails de Loisy connaît un franc succès, chacun essayant d'y participer, au moins pour le principe, quand ce n'est pas en y passant plusieurs heures pour réussir à donner au village une âme et un esprit de groupe.
    Yves François, habitant de la rue principale du village, rue de Choiset, a réalisé son œuvre en famille ainsi qu'avec les voisins habitant la même cour. Pour lui, c'était « l'occasion de faire quelque chose de bien. De propre et de solide » après des premières participations « beaucoup plus rapides, pour le geste ».
    Pas de thème, beaucoup d'idées
    Avec trois planches de bois « vissées pour qu'elles tiennent bien », une combinaison fluorescente et des gants, la marionnette a déjà fière allure mais si on la remarque, c'est « parce qu'elle est inclinée dans le bon sens mais surtout parce que sa tête est une citrouille évidée. C'est l'idée qui nous est venue cette année. La proximité d'Halloween et les citrouilles du jardin nous ont donné envie de faire quelque chose qui restera en place jusqu'au premier novembre ». Ce souci de réaliser quelque chose qui plaît va même plus loin. « Dans la tête, une lampe permet d'éclairer l'épouvantail la nuit. » Si ici on joue avec les couleurs, rue du pont, chez Bernard Menard, c'est l'histoire de la famille qui a imposé son style. Avec une femme batelière, « l'idée de réaliser un marin trottait dans la tête depuis quelques années. Une fois tous les éléments réunis et une journée de travail, il trône fièrement à la barre du Gizou, le nom de son bateau ». Plus loin encore, on rejoue les dents de la mer et on voit voler un dragon.
    Une fête qui tourne
    cette dernière sculpture est l'œuvre d'Éric Miazga, l'homme à l'origine de ce peu commun festival et qui se félicite de « compter une soixantaine de participants prêts à jouer le jeu et qui vont même jusqu'à cacher leur création sur les balcons et sur les toits pour que les visiteurs cherchent un peu ». « À Loisy, les épouvantails, c'est un peu comme les œufs de Pâques », ajoute-t-il et ça marche tellement bien que « tous les ans, à la même époque, des camping-cars et même des bus entiers viennent visiter le village ». Belle revanche pour la commune qui « avait eu de nombreux problèmes avec sa fête municipale et surtout avec son bal populaire qui ressemblait plus à un ring de boxe géant qu'à une piste de danse ». Aujourd'hui, le bal est remplacé par « un spectacle familial qui fait salle comble tous les ans » et qui a surtout fait revenir les habitants à la fête de leur propre village. Ce spectacle, « comique cette année » se tiendra samedi et « correspondra avec le jour où il y aura le plus d'épouvantails dans les rues ». Un symbole de la bonne santé de la fête de Loisy pourtant pas au mieux il y a cinq ans mais « quand on veut s'en occuper on peut faire de belles choses », conclut Éric Miazga en constatant que certaines communes n'ont plus de fête quand les autres luttent contre la violence
    Vianney PANNET
     
       

      

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  • Une loi pour interdire les potagers

    Etats-Unis : Monsanto propose une loi pour interdire les potagers des particuliers
    De petites fermes ou des particuliers faisant pousser leurs légumes pourraient être placés sous la supervision directe du gouvernement fédéral grâce à une nouvelle législation présentée au Congrès.
    Lundi 30 Mars 2009
    La Résolution 875, a été présentée à la Chambre sous le nom de Acte de Modernisation de la Sécurité Alimentaire 2009 en février par Rosa DeLauro dont le mari, Stanley Greenburg, dirige les recherches pour la firme Monsanto - le leader mondial de la production d'herbicides et de semences génétiquement modifiées. La nouvelle loi viserait à réduire les risques de contamination par la nourriture: bactéries, produits chimiques, toxines naturelles ou artificielles, virus, parasites, prions et autres agents pathogènes pour l'homme. Elle concernerait les établissement qui produisent, stockent, font transiter ou vendent toute catégorie de nourriture. Fermes agricoles et aquacoles, ranches, vignobles seraient soumis à une stricte régulation gouvernementale. Des experts de l'industrie alimentaire, mandatés par le gouvernement, pourraient venir demander de mettre au norme de petites exploitations, causant des mises en faillite nombreuses. La blogosphère s'agite et relève les risques suivants: - Obama et son équipe cherchent-ils à tout nationaliser pour désarmer la population et contrôler la nourriture? - Super ! C'est très "écolo" de la part d'Obama. Quel est son motif véritable? - Ca va trop loin. La FDA autorise déjà bien assez de poisons dans notre nourriture. - Si tu meurs de faim, tu ne pourras plus te défendre pour rester libre. Celui qui contrôle la nourriture c'est celui qui fait les règles. - Le gouvernement à peur de perdre de l'argent en impôt collecté. Imaginez les taxes perdues si tout le monde fait pousser ses légumes? Imaginez si les gens coordonnaient leurs efforts entre amis, voisins et familles? En peu de temps, les gens pourraient manger le produit de leurs propres efforts et vivre en autarcie. - Ils veulent rendre dépendants du gouvernement. Ils veulent endetter mes arrière-arrière petits enfants, m'enlever mes armes, m'interdire toute médecine parallèle. Nous avons besoin d'une révolution contre ce nouveau fascisme. - Les mises aux normes seront excessivement chères pour les petits exploitants. - Sans l'ombre d'un doute, ils confisqueront votre propriété en cas de risque de contamination ou si vous n'êtes pas aux normes. - Ne perdez pas votre temps à raisonner les criminels de Washington. Tout cela se terminera en révolte sanglante. - Plus je regarde cette loi en apparence inoffensive, plus je la déteste. C'est une façon lâche de pousser les petits exploitants à l'illégalité car nombre d'entre eux feront le choix de ne pas se plier à la loi.


    De petites fermes ou des particuliers faisant pousser leurs légumes pourraient être placés sous la supervision directe du gouvernement fédéral grâce à une nouvelle législation présentée au Congrès.
    Bruxelles est en train de réfléchir à cela.
    On pourrait voir ce scandale débarquer en Europe
    Vive les bonnets rouges!
     
       

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  • Épouvantails à Loisy
     


     
    Épouvantails à Loisy


     

    En 2009 les habitants de Loisy ont confectionné des épouvantails. on les voit partout devant les maisons.




     
       

     

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  • Une loi pour interdire les potagers

    Etats-Unis : Monsanto propose une loi pour interdire les potagers des particuliers
    De petites fermes ou des particuliers faisant pousser leurs légumes pourraient être placés sous la supervision directe du gouvernement fédéral grâce à une nouvelle législation présentée au Congrès.
    Lundi 30 Mars 2009
    La Résolution 875, a été présentée à la Chambre sous le nom de Acte de Modernisation de la Sécurité Alimentaire 2009 en février par Rosa DeLauro dont le mari, Stanley Greenburg, dirige les recherches pour la firme Monsanto - le leader mondial de la production d'herbicides et de semences génétiquement modifiées. La nouvelle loi viserait à réduire les risques de contamination par la nourriture: bactéries, produits chimiques, toxines naturelles ou artificielles, virus, parasites, prions et autres agents pathogènes pour l'homme. Elle concernerait les établissement qui produisent, stockent, font transiter ou vendent toute catégorie de nourriture. Fermes agricoles et aquacoles, ranches, vignobles seraient soumis à une stricte régulation gouvernementale. Des experts de l'industrie alimentaire, mandatés par le gouvernement, pourraient venir demander de mettre au norme de petites exploitations, causant des mises en faillite nombreuses. La blogosphère s'agite et relève les risques suivants: - Obama et son équipe cherchent-ils à tout nationaliser pour désarmer la population et contrôler la nourriture? - Super ! C'est très "écolo" de la part d'Obama. Quel est son motif véritable? - Ca va trop loin. La FDA autorise déjà bien assez de poisons dans notre nourriture. - Si tu meurs de faim, tu ne pourras plus te défendre pour rester libre. Celui qui contrôle la nourriture c'est celui qui fait les règles. - Le gouvernement à peur de perdre de l'argent en impôt collecté. Imaginez les taxes perdues si tout le monde fait pousser ses légumes? Imaginez si les gens coordonnaient leurs efforts entre amis, voisins et familles? En peu de temps, les gens pourraient manger le produit de leurs propres efforts et vivre en autarcie. - Ils veulent rendre dépendants du gouvernement. Ils veulent endetter mes arrière-arrière petits enfants, m'enlever mes armes, m'interdire toute médecine parallèle. Nous avons besoin d'une révolution contre ce nouveau fascisme. - Les mises aux normes seront excessivement chères pour les petits exploitants. - Sans l'ombre d'un doute, ils confisqueront votre propriété en cas de risque de contamination ou si vous n'êtes pas aux normes. - Ne perdez pas votre temps à raisonner les criminels de Washington. Tout cela se terminera en révolte sanglante. - Plus je regarde cette loi en apparence inoffensive, plus je la déteste. C'est une façon lâche de pousser les petits exploitants à l'illégalité car nombre d'entre eux feront le choix de ne pas se plier à la loi.


    De petites fermes ou des particuliers faisant pousser leurs légumes pourraient être placés sous la supervision directe du gouvernement fédéral grâce à une nouvelle législation présentée au Congrès.
    Bruxelles est en train de réfléchir à cela.
    On pourrait voir ce scandale débarquer en Europe
    Vive les bonnets rouges!
     
       

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  •   Monsanto veut interdire les potagers des particuliers !
    Monsanto veut interdire les potagers des particuliers !

    La Résolution 875, a été présentée à la Chambre sous le nom de Acte de Modernisation de la Sécurité Alimentaire 2009 en février par Rosa DeLauro dont le mari, Stanley Greenburg, dirige les recherches pour la firme Monsanto - le leader mondial de la production d'herbicides et de semences génétiquement modifiées.
    La nouvelle loi viserait à réduire les risques de contamination par la nourriture: bactéries, produits chimiques, toxines naturelles ou artificielles, virus, parasites, prions et autres agents pathogènes pour l'homme.
    Elle concernerait les établissement qui produisent, stockent, font transiter ou vendent toute catégorie de nourriture. Fermes agricoles et aquacoles, ranches, vignobles seraient soumis à une stricte régulation gouvernementale.
    Des experts de l'industrie alimentaire, mandatés par le gouvernement, pourraient venir demander de mettre au norme de petites exploitations, causant des mises en faillite nombreuses.
    La blogosphère s'agite et relève les risques suivants:
    - Obama et son équipe cherchent-ils à tout nationaliser pour désarmer la population et contrôler la nourriture?
    - Super ! C'est très "écolo" de la part d'Obama. Quel est son motif véritable?
    - Ca va trop loin. La FDA autorise déjà bien assez de poisons dans notre nourriture.
    - Si tu meurs de faim, tu ne pourras plus te défendre pour rester libre. Celui qui contrôle la nourriture c'est celui qui fait les règles.
    - Le gouvernement à peur de perdre de l'argent en impôt collecté. Imaginez les taxes perdues si tout le monde fait pousser ses légumes? Imaginez si les gens coordonnaient leurs efforts entre amis, voisins et familles? En peu de temps, les gens pourraient manger le produit de leurs propres efforts et vivre en autarcie.
    - Ils veulent rendre dépendants du gouvernement. Ils veulent endetter mes arrière-arrière petits enfants, m'enlever mes armes, m'interdire toute médecine parallèle. Nous avons besoin d'une révolution contre ce nouveau fascisme.
    - Les mises aux normes seront excessivement chères pour les petits exploitants.
    - Sans l'ombre d'un doute, ils confisqueront votre propriété en cas de risque de contamination ou si vous n'êtes pas aux normes.
    - Ne perdez pas votre temps à raisonner les criminels de Washington. Tout cela se terminera en révolte sanglante.
    - Plus je regarde cette loi en apparence inoffensive, plus je la déteste. C'est une façon lâche de pousser les petits exploitants à l'illégalité car nombre d'entre eux feront le choix de ne pas se plier à la loi.      
    source: http://www.alterinfo.net

     
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    Usa : menacée de prison pour un potager
      Usa : menacée de prison pour un potager
    13 juillet 2011


    Savez-vous planter des choux...?
    "A la mode de chez nous" dit la comptine enfantine. Qui n'a pas chanté dans son enfance ce refrain populaire ?
    Très certainement les Américains ! Pourtant Michele Obama, la femme de Barack avait bien lancé la mode en cultivant elle-même son potager dans les jardins de la Maison Blanche comme l'annonçait à l'époque ce papier publié par le site 20 Minutes.
    Mais Julie Bass n'est pas la femme du Président des Etats-Unis. Ce qui est permis pour la première dame n'est pas toléré pour le quidam moyen.
    En ce sens, elle rejoint Steve Miller qui avait vu débarquer les autorités pour avoir agrandi son potager (voir par ailleurs).
    Bref, Julie Bass, cette habitante de la petite ville d'Oak Park dans le Michigan, vient de se voir interdire de cultiver ses légumes dans son propre jardin sous peine de se voir jeter en prison pour une durée de 93 jours comme nous l'enseigne cet article publié par le site Fox of Detroit. Pourquoi une telle interdiction ? Parce que le potager est cultivé sur le devant de la maison en lieu et place d'un gazon et d'un parterre de fleurs. Mais personne n'est dupe. Les multinationales agricoles font tout pour interdire les cultures personnelles. Quant à Julie Bass, elle a jusqu'au 26 juillet prochain pour se conformer à la réglementation sinon elle se retrouvera devant le tribunal. On ne le dira jamais assez : les Etats-Unis s'orientent dans une dérive toujours plus fascisante qui s'est déplacée désormais même dans le potager. On croit rêver...

     
     
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  • "Le bio c'est pour les riches"
    "Le bio c'est pour les riches"
    mardi 10 avril 2012

    Je suis de retour, après quelques mois d'hibernation...
    * * *


    Récemment, quelqu’un m’a dit que les groupes d’achat n’étaient pas tous à l’avantage du consommateur, en soulevant avec indignation que dans celui d’Aliments d’ici, un chou se vend 2,50 $. Ma première réaction a été la défensive : - Mais c’est bio...

    La face que l’autre a faite m’a montré que je ne le convainquais pas. Je ressentais une envie de sauter dans un débat , et ça m’a rappelé d’autres conversations avec des gens qui travaillent dans le communautaire. Des conversations chargées, qui suscitaient beaucoup de colère chez ceux et celles qui travaillent avec des personnes à faible revenu. En bref : « Le bio, c’est pour les riches! »
    Cette colère contre « le bio » me laisse chaque fois troublée, désolée qu’on ait à opposer, d’une part, agriculture respectueuse de l’environnement et alimentation saine (sans pesticides) et, d’autre part, l’accessibilité même de la nourriture...

    Je suis désolée qu’on rejette le bio parce qu’il coûte cher, comme si le bio était un snobisme qui offense les gens ordinaires. Ça l’est peut-être devenu, une tendance, quelque chose qu’on approuve parce que c’est dans l’air, que ça paraît bien.... C’est sûr que le monde marchand l’a récupéré, c’est sûr que les petits plats fins tout préparés bio coûtent une fortune.

    Mais à la base, l’agriculture biologique, ce n’est pas une sophistication snob, c’est plutôt une simplification. Simplification dans le sens de retour à la logique de la nature, compréhension globale de l’écosystème dans lequel nous vivons. Ce qui est très complexe, mais pas de la même façon que le système industriel qui nous a tant éloignés de l’essentiel, de la nature sans laquelle on meurt... C’est simplement une question de pérennité de l’espèce humaine! Et les petits agriculteurs bio sont pauvres eux-mêmes! C’est une vraie vocation que de cultiver la terre (on le sait!), mais en plus, pour les petits bio, dans la précarité et sans soutien du système agricole, qui est organisé autour des grandes cultures industrielles.

    En voyant ma réaction, mon envie de défendre le bio, avec une certaine agressivité, je me suis dit que je devais réfléchir à tout ça. Ce faux conflit entre la valeur de l’écologie (et de la santé par l’alimentation saine) et celle de la justice sociale me fait penser à la fameuse maxime « Diviser pour mieux régner ». Il faut réconcilier le souci de l’environnement, de la santé naturelle, et le souci de sécurité alimentaire pour tous! En ce sens, bravo aux jardins collectifs qui donnent accès aux personnes à faible revenu non seulement à des légumes souvent bio, mais à un savoir-faire, à une connexion avec la terre, en plus d’une expérience d’empowerment de groupe.

    Ah, cette combativité agressive qui monte en moi quand j’entends dire avec hargne que « le bio, c’est pour les riches », et qui semble aussi habiter mes interlocuteurs... Je conçois qu’il ne sert à rien d’argumenter, parce que c’est justement un conflit apparent de valeurs profondes qui génère d’abord une résistance émotive tout à fait normale. Et une frustration bien légitime, pour les personnes qui se serrent la ceinture, si elles ressentent un jugement moral de ma part quand je mentionne qu’il est bon de manger bio, alors que ça leur semble tellement inaccessible (j’écris « semble », car des aliments bruts bio cuisinés maison ne coûtent pas cher; je connais beaucoup de gens « sous le seuil de la pauvreté » qui mangent bio. C’est une question de connaissance de recettes, de valeurs, d’ouverture à apprécier de nouvelles saveurs. Ce qui n’est pas toujours évident, le rôle de sécurité et de réconfort de la nourriture étant tellement important...)

    Je me dis qu’il est possible de ne pas entrer dans l’opposition, de prendre une petite distance pour la constater et faire de la place aux deux valeurs de fond apparemment en opposition. J’ai fait cet automne un atelier de Judy Ringer, organisé par Engrenage noir/Levier. Judy est une prof d’aïkido qui transpose les principes de cet « art de la paix » dans la résolution de conflits. Nous faisions des exercices physiques, où par exemple deux personnes se tenaient la m ain en tirant chacune dans sa direction, puis soudainement l’une d’elle relâchait la traction pour venir se placer à côté de l’autre, regarder son point de vue, avant de doucement l’inviter à regarder de son côté aussi... Sortir de la logique où un seul des partis doit avoir raison.

    J’écris ce billet et voilà que je tombe, au bas d’un courriel, sur cette citation (traduite rapidement à la suite):
    Whether we’re seeking inner peace or global peace or a combination of the two, the way to experience it is to build on the foundation of unconditional openness to all that arises. Peace isn’t an experience free of challenges, free of rough and smooth—it’s an experience that’s expansive enough to include all that arises without feeling threatened.

    (Que nous cherchions la paix intérieure, la paix mondiale ou les deux, pour la vivre il faut s’appuyer sur une ouverture inconditionnelle à tout ce qui survient. La paix n’est pas une expérience sans défis, elle n’est pas lisse et sans accrocs : c’est une expérience d’ouverture assez grande pour inclure tout ce qui survient sans se sentir menacé.)
    - Pema Chodron, "Unlimited Friendliness"

    Voilà, c’est exactement ça. Ne pas chercher à convaincre. Accepter qu’il y a en ce moment, dans notre société, ce conflit apparent entre des valeurs tout aussi valables, un conflit apparent entre des personnes de bonne volonté qui travaillent fort pour que le monde soit plus juste, plus harmonieux... Et vraiment écouter l’autre personne qui se plaint du « bio pour les riches », honorer ce qu’elle a à dire avant d’exposer calmement ma vision. J'essaye ça et je vous en reparle!
    Publié par Jacinthe Laforte, Les Humbles Éditions à l'adresse 09:10
     
     
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    Champigneulles : Véronique la vannière
     

    Champigneulles : Véronique la vannière

    06/05/2011


    Elle se prénomme Véronique et comme la première lettre de son prénom sa passion commence aussi par un « V », celui de vannerie.

    « Mon père était vannier, je l'ai toujours vu travailler l'osier », explique Véronique Mengin, une Champigneullaise de la rue Charlemagne. « Et c'est au terme d'un stage de formation pendant lequel l'osier avait été abordé que j'ai voulu essayer à mon tour ».

    Alter ego de son frère Michel, responsable des espaces verts de la ville, elle, à Maxéville, aime la nature et s’est logiquement trouvé cette passion, qui est avant tout un loisir. « Il s'agit d'architecture végétale, sourit-elle, un grand terme à mes yeux, je crée selon mes coups de cœur, réalisant tant une barrière en osier, qu'un panier ou encore, comme je suis en train de faire, habiller d'osier tressé une ancienne remorque métallique, tout est destiné au décor du jardin ».

    C'est après une formation Fayl-Billot que Véronique s'est lancée avec bonheur dans cette activité. Elle tresse, croise, noue différents osiers blancs comme bruns, non sans les avoir humectés pour leur donner la souplesse nécessaire et les travailler plus facilement selon le sujet choisi.

    Et ses résultats sont magnifiques, très nature, à partir d'anciens objets ainsi revêtus d'une parure végétale qui leur donne une seconde vie.


    http://www.prsmedia.fr/videostream/player/player.swf?skin=http://www.prsmed…



     
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    Un épouvantail adoré
      Un épouvantail adoré


    Pas si épouvantable que cela cet épouvantail
    La preuve: Les 2 jeunes admiratrices

    Musée pour voir cet article

    WS
     
       

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    Epouvantail sur planche de salade
      Epouvantail sur planche de salade
     Un épouvantail "Tendance"

    Après repiquage les jeunes plants de salade disparaissent assez rapidement.
    Ce sont les moineaux qui viennent les grignoter
    Ce genre de bidule s'agite au moindre vent.
    Cette année pratiquement pas de plant n'ont disparu.
    On récolte ces salades en ce moment même.
      WS
     
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    Fourons St Martin 2007
     



    Fourons St Martin 2007

    Sympathique manifestation cette année là à Fourons Saint martin



    Que les oiseaux se tiennent à l'écart....

     
       

     

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  • Monsanto en images
    Monsanto en images

    Agent Orange



    Citation:

     
    Durant la guerre du Viêt-Nam, Monsanto s'est enrichi massivement par la fabrication du tristement célèbre défoliant dit Agent Orange. Plus de 4 millions de personnes en ont été victimes. Ses effets sont encore ressentis aujourd'hui, et ce pour des dizaines d'années encore.

        Un sujet à voir, à discuter et à débattre ......

     
     
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  • Narcisse jaune
      Narcisse jaune

    Narcisse Carlton

    Très prolifique
     
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  • Narcisse blanc
      Narcisse blanc



    WS

     
     
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  • Biolapinos
      Biolapinos



    On rit tordant   

    WS
     
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  • Dans un poulailler vert
    Hello Dans un poulailler vert

    Bonjour chers  amis du Jardin blanc
    Un jardin blanc

     C'est l'heure de l’apéro! On boit à votre santé!

    Tient, ils ont mis des amuse-gueules...  Heuuuuuu!! des amuses-becs, voulais-je dire!

    La photo de famille traditionnelle  .
    A bientôt!
    A bientotPhotos 2010WS
     
     
     
     
            
     
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  •   Anémone Blanda

      Anémone Blanda

    Retour sur le printemps

     

    C'est le printemps



    Depuis quelques jours de petites anémones envahissent  les plate-bandes. Des petites griffes qui se sont bien naturalisées. Anémone Blanda bleue ; tel est leur nom. Le bleu est toujours le bienvenue au jardin, car c’est  un  coloris assez rare dans la nature..
    Soyez les fleurs bleues de notre printemps   

    WS

     

     

     

     
     
     
            
     
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