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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 10:11
Studio
Studio
Construit dans du mélèze naturel et isolé avec de la laine d'un mouton local, ce studio repose sur des fondations en acier tandis que son toit est recouvert de tôle de fer ondulée et de verre.Entreprise de valorisation du bois dans le Devon au Royaume Uni.
http://www.timberdesign.com/small/milton/milton.htm
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 10:03
La chasse aux poudres de perlimpinpin La chasse aux poudres de perlimpinpin
Qui n'a pas testé les remèdes de grand-mère dans son jardin : de l'ail pour la cloque du pêcher, suspendre un bout de cuivre... pour se rendre compte que c'est du pipo?
Ce livre a pour ambition de faire le tri dans les solutions de jardinage pour jardinier amateur qui marchent et les "poudres de perlimpinpin".
"Ayatollahs du tout chimique ou talibans écolos : Faut-il choisir?" : non répond l'auteur, il faut rejeter les discours simplistes et faire des choix raisonnés en prenant les solutions éprouvées et reconnues efficaces en fonction des menaces qui pèsent sur les cultures.
Au début on apprend à analyser son terrain à partir de l'observation : où la neige fond-elle le plus tard? dans quel coin le vent va-t-il entasser les feuilles? quelles sont les plantes sauvages qui poussent sur mon terrain et quel style de sol cela annonce-t-il? Observation de la terre et tests pour avoir une première idée de sa teneur.
Un chapitre sur ce qui est à retenir pour les cultures dites "associatives" (planter telle plante à côté de telle autre pour éviter ceci ou cela...) et leurs limites , la rotation des cultures.
On poursuit avec les plantes envahissantes, le bon usage de la tonte, les haies, les trognes, l'usage raisonné de l'eau au jardin, l'usage des paillis et broyas, les fertilisants, les amendements, le compost (classique, lombricompost, compost des templiers), les engrais verts (où certains classiques telle la phacélie sont remis en cause pour leur aspect fertilisant).
Vient ensuite un admirable tableau sur les ravageurs des cultures et les solutions éprouvées... et les purins dont on nous a tant médiatisé leurs pouvoirs dont le législateur voudrait nous priver suite à "l'affaire de l'ortie", ne sont pas si efficaces que ce qu'on veut nous le faire entendre.
D'ailleurs s'en suit un chapitre sur les purins, qui pour résumer conclu à l'efficacité en tant que fertilisant (ortie, consoude), mais souvent moyenne ou modérée voir nulle en tant qu'insecticide ou anti fongique (quelques uns sortent quand même du lot, tel la faculté insecticide de l'infusion d'épazote).
Le livres fini par les enduits, la pharmacopée du jardinier, les luttes biologiques, le désherbage, les nichoirs à insectes.
On remarquera une timide prise de position sur le principe de la biodynamie, considérée plus comme une philosophie qu'une technique, "le mouvement biodynamique possède des racines spirituelles avec le mouvement anrhoposophique, dont il ne nous appartient pas dans cet ouvrage de juger la pertinence.
La biodynamie a permis de forger des techniques aujourd'hui largement utilisées, comme celle de la fertilisation naturelle du sol. Toutefois, l'aspect spirituel de la biodynamie ne nous semble pas indispensable, car l'agronomie, même jardinière, ne connaît que les faits scientifiquement établis". Grande déception, alors que le livre se voulait justement faire le point sur toutes les techniques qui marchent ou non, j'attendais vraiment un test comparatif jardinage bio classique / jardinage biodynamique et les éventuelles plus-values que ca aurait rapporté. Ainsi que l'influence de la lune sur les cultures, qui est un des principes des biodynamistes.
Pourquoi l'auteur s'est-il dégagé de ces expériences comparatives?...
C'est un bon livre d'initiation au jardinage raisonné pour débutant, dépollué de toutes les recettes "grand-mère" inefficaces.
Le jardinier avec expérience n'y apprendra pas grand chose, si ce n'est la confirmation que beaucoup de recettes annoncées par tant de livres et qu'il a testé avec échec, mettant en péril ses cultures, ne sont pas efficaces, ... et regrettera seulement que ce livre n'ait pas existé plus tôt.
Jardiner durablement de Jean-Michel Groult Catégorie(s) : Arts, loisir, vie pratique => Décoration et jardins critiqué par Happy_kangourou, le 9 mars 2008
"il faut rejeter les discours simplistes et faire des choix raisonnés en prenant les solutions éprouvées et reconnues efficaces en fonction des menaces qui pèsent sur les cultures"
dit l'auteur.
Du bon sens, encore du bon sens, toujours du bon sens..
Et faire son expérience personnelle de toutes ces recettes, pratiques et autres remèdes avancés par les uns et les autres..
Beaucoup rapportent des procédés qu'ils n'ont jamais testé eux-même.
"Tout ce que j'écris, je l'ai essayé moi même".....
C'était la devise de RUSTICA...l'hebdomadaire bien connu...
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 08:31
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 08:10
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 07:58
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 07:54
Épouvantails à Loisy
En 2009 les habitants de Loisy ont confectionné des épouvantails. on les voit partout devant les maisons.
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 07:35
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 07:17
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 07:00
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 06:52
"Le bio c'est pour les riches" "Le bio c'est pour les riches"
mardi 10 avril 2012
Je suis de retour, après quelques mois d'hibernation...
* * *
Récemment, quelqu’un m’a dit que les groupes d’achat n’étaient pas tous à l’avantage du consommateur, en soulevant avec indignation que dans celui d’Aliments d’ici, un chou se vend 2,50 $. Ma première réaction a été la défensive : - Mais c’est bio...
La face que l’autre a faite m’a montré que je ne le convainquais pas. Je ressentais une envie de sauter dans un débat , et ça m’a rappelé d’autres conversations avec des gens qui travaillent dans le communautaire. Des conversations chargées, qui suscitaient beaucoup de colère chez ceux et celles qui travaillent avec des personnes à faible revenu. En bref : « Le bio, c’est pour les riches! »
Cette colère contre « le bio » me laisse chaque fois troublée, désolée qu’on ait à opposer, d’une part, agriculture respectueuse de l’environnement et alimentation saine (sans pesticides) et, d’autre part, l’accessibilité même de la nourriture...
Je suis désolée qu’on rejette le bio parce qu’il coûte cher, comme si le bio était un snobisme qui offense les gens ordinaires. Ça l’est peut-être devenu, une tendance, quelque chose qu’on approuve parce que c’est dans l’air, que ça paraît bien.... C’est sûr que le monde marchand l’a récupéré, c’est sûr que les petits plats fins tout préparés bio coûtent une fortune.
Mais à la base, l’agriculture biologique, ce n’est pas une sophistication snob, c’est plutôt une simplification. Simplification dans le sens de retour à la logique de la nature, compréhension globale de l’écosystème dans lequel nous vivons. Ce qui est très complexe, mais pas de la même façon que le système industriel qui nous a tant éloignés de l’essentiel, de la nature sans laquelle on meurt... C’est simplement une question de pérennité de l’espèce humaine! Et les petits agriculteurs bio sont pauvres eux-mêmes! C’est une vraie vocation que de cultiver la terre (on le sait!), mais en plus, pour les petits bio, dans la précarité et sans soutien du système agricole, qui est organisé autour des grandes cultures industrielles.
En voyant ma réaction, mon envie de défendre le bio, avec une certaine agressivité, je me suis dit que je devais réfléchir à tout ça. Ce faux conflit entre la valeur de l’écologie (et de la santé par l’alimentation saine) et celle de la justice sociale me fait penser à la fameuse maxime « Diviser pour mieux régner ». Il faut réconcilier le souci de l’environnement, de la santé naturelle, et le souci de sécurité alimentaire pour tous! En ce sens, bravo aux jardins collectifs qui donnent accès aux personnes à faible revenu non seulement à des légumes souvent bio, mais à un savoir-faire, à une connexion avec la terre, en plus d’une expérience d’empowerment de groupe.
Ah, cette combativité agressive qui monte en moi quand j’entends dire avec hargne que « le bio, c’est pour les riches », et qui semble aussi habiter mes interlocuteurs... Je conçois qu’il ne sert à rien d’argumenter, parce que c’est justement un conflit apparent de valeurs profondes qui génère d’abord une résistance émotive tout à fait normale. Et une frustration bien légitime, pour les personnes qui se serrent la ceinture, si elles ressentent un jugement moral de ma part quand je mentionne qu’il est bon de manger bio, alors que ça leur semble tellement inaccessible (j’écris « semble », car des aliments bruts bio cuisinés maison ne coûtent pas cher; je connais beaucoup de gens « sous le seuil de la pauvreté » qui mangent bio. C’est une question de connaissance de recettes, de valeurs, d’ouverture à apprécier de nouvelles saveurs. Ce qui n’est pas toujours évident, le rôle de sécurité et de réconfort de la nourriture étant tellement important...)
Je me dis qu’il est possible de ne pas entrer dans l’opposition, de prendre une petite distance pour la constater et faire de la place aux deux valeurs de fond apparemment en opposition. J’ai fait cet automne un atelier de Judy Ringer, organisé par Engrenage noir/Levier. Judy est une prof d’aïkido qui transpose les principes de cet « art de la paix » dans la résolution de conflits. Nous faisions des exercices physiques, où par exemple deux personnes se tenaient la m ain en tirant chacune dans sa direction, puis soudainement l’une d’elle relâchait la traction pour venir se placer à côté de l’autre, regarder son point de vue, avant de doucement l’inviter à regarder de son côté aussi... Sortir de la logique où un seul des partis doit avoir raison.
J’écris ce billet et voilà que je tombe, au bas d’un courriel, sur cette citation (traduite rapidement à la suite):
Whether we’re seeking inner peace or global peace or a combination of the two, the way to experience it is to build on the foundation of unconditional openness to all that arises. Peace isn’t an experience free of challenges, free of rough and smooth—it’s an experience that’s expansive enough to include all that arises without feeling threatened.
(Que nous cherchions la paix intérieure, la paix mondiale ou les deux, pour la vivre il faut s’appuyer sur une ouverture inconditionnelle à tout ce qui survient. La paix n’est pas une expérience sans défis, elle n’est pas lisse et sans accrocs : c’est une expérience d’ouverture assez grande pour inclure tout ce qui survient sans se sentir menacé.)
- Pema Chodron, "Unlimited Friendliness"
Voilà, c’est exactement ça. Ne pas chercher à convaincre. Accepter qu’il y a en ce moment, dans notre société, ce conflit apparent entre des valeurs tout aussi valables, un conflit apparent entre des personnes de bonne volonté qui travaillent fort pour que le monde soit plus juste, plus harmonieux... Et vraiment écouter l’autre personne qui se plaint du « bio pour les riches », honorer ce qu’elle a à dire avant d’exposer calmement ma vision. J'essaye ça et je vous en reparle!
Publié par Jacinthe Laforte, Les Humbles Éditions à l'adresse 09:10
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 05:34
Champigneulles : Véronique la vannière
Champigneulles : Véronique la vannière
06/05/2011
Elle se prénomme Véronique et comme la première lettre de son prénom sa passion commence aussi par un « V », celui de vannerie.
« Mon père était vannier, je l'ai toujours vu travailler l'osier », explique Véronique Mengin, une Champigneullaise de la rue Charlemagne. « Et c'est au terme d'un stage de formation pendant lequel l'osier avait été abordé que j'ai voulu essayer à mon tour ».
Alter ego de son frère Michel, responsable des espaces verts de la ville, elle, à Maxéville, aime la nature et s’est logiquement trouvé cette passion, qui est avant tout un loisir. « Il s'agit d'architecture végétale, sourit-elle, un grand terme à mes yeux, je crée selon mes coups de cœur, réalisant tant une barrière en osier, qu'un panier ou encore, comme je suis en train de faire, habiller d'osier tressé une ancienne remorque métallique, tout est destiné au décor du jardin ».
C'est après une formation Fayl-Billot que Véronique s'est lancée avec bonheur dans cette activité. Elle tresse, croise, noue différents osiers blancs comme bruns, non sans les avoir humectés pour leur donner la souplesse nécessaire et les travailler plus facilement selon le sujet choisi.
Et ses résultats sont magnifiques, très nature, à partir d'anciens objets ainsi revêtus d'une parure végétale qui leur donne une seconde vie.
http://www.prsmedia.fr/videostream/player/player.swf?skin=http://www.prsmed…
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 05:26
Un épouvantail adoré Un épouvantail adoré
Pas si épouvantable que cela cet épouvantail
La preuve: Les 2 jeunes admiratrices
Musée
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Par White Tendance le 6 Novembre 2013 à 05:13
Epouvantail sur planche de salade Epouvantail sur planche de salade
Un épouvantail "Tendance"
Après repiquage les jeunes plants de salade disparaissent assez rapidement.
Ce sont les moineaux qui viennent les grignoter
Ce genre de bidule s'agite au moindre vent.
Cette année pratiquement pas de plant n'ont disparu.
On récolte ces salades en ce moment même.
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Par White Tendance le 5 Novembre 2013 à 07:28
Monsanto en images Monsanto en images
Agent Orange
Citation:
Durant la guerre du Viêt-Nam, Monsanto s'est enrichi massivement par la fabrication du tristement célèbre défoliant dit Agent Orange. Plus de 4 millions de personnes en ont été victimes. Ses effets sont encore ressentis aujourd'hui, et ce pour des dizaines d'années encore.
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Par White Tendance le 3 Novembre 2013 à 17:41
Dans un poulailler vert Dans un poulailler vert
Bonjour chers amis du Jardin blanc
C'est l'heure de l’apéro! On boit à votre santé!
Tient, ils ont mis des amuse-gueules... Heuuuuuu!! des amuses-becs, voulais-je dire!
La photo de famille traditionnelle .
A bientôt!
Photos 2010
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Par White Tendance le 2 Novembre 2013 à 17:22
Anémone Blanda Anémone Blanda
Retour sur le printemps
C'est le printemps
Depuis quelques jours de petites anémones envahissent les plate-bandes. Des petites griffes qui se sont bien naturalisées. Anémone Blanda bleue ; tel est leur nom. Le bleu est toujours le bienvenue au jardin, car c’est un coloris assez rare dans la nature..
Soyez les fleurs bleues de notre printemps
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