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      La grêle peut détruire toute une saison de travail…

      La grêle peut détruire en quelques instants toute une saison de travail…   

    Depuis longtemps utilisé dans les vignes, C'est un filet léger et très résistant, qui assure une protection efficace à vos cultures, arbustes etc…contre les dégâts dûs aux grêlons, tout en laissant passer l’eau et le soleil.
    D’une largeur de 1m, chaque filet comporte en lisières un câble permettant de le tendre au-dessus des
    cultures.
    1m x 5m : 10 €

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        Certainement très efficace dans les régions où la grêle revient  souvent.
    WS

     

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  • Filet pour la protection totale des semis 
     
    Filet pour la protection totale des semis  
    http://www.innovation-jardin.com/index.php?page=catalogue&p=biothrips

    C'est est un filet souple et léger à mailles très fines calibrées de 800 microns pour la PROTECTION TOTALE des semis et des cultures. Il constitue une barrière qui empêche les insectes ravageurs ou porteurs de virus (origine des maladies) d'atteindre les cultures.
     Il permet de lutter efficacement contre les pucerons, la mouche de la carotte, la mouche blanche, l'altisse, la teigne du poireau, etc…
    Il est perméable à l'air et permet d’obtenir un effet climatique de l'ordre de 2° en plus lors du refroidissement nocturne, et de 2° en moins par grosse chaleur. Vous atténuerez ainsi les gelées nocturnes et les fortes et élévations de température.
    Forte perméabilité à l'eau (75%).
    Il autorise le passage de la pluie et aussi l'arrosage des cultures.
     Il évite les effets de ruissellement et d'écrasement des cultures lors des pluies et des orages.
    Prise au vent très faible grâce à sa texture en grille perméable et à sa surface très lisse.
    Qualité des cultures :
     Le filet, s'il est bien installé, permet d'obtenir un résultat qualitatif de 100 %. Les mêmes cultures pratiquées sans filet enregistrent en moyenne une perte de 30 % environ (Dans le cas extrême de maladie virale, la perte de qualité peut même être totale).
    Productivité : Le gain moyen de production avec l'utilisation du filet se situe entre 10 et 12 %.
    Le filet limite l'usage de produits phytosanitaires,  
    il contribue ainsi au respect de l’environnement.

    CARACTERISTIQUES
    Le filet est un filet en mailles micrométriques de polyamide, sa composition et sa construction permettent une utilisation pendant la totalité d'un cycle cultural. Le filet est livré en largeur de 1,65m.
    Le filet/b] s'utilise à différentes saisons, selon les cultures et les époques de vol d'insectes. Dans votre jardin, il se met en oeuvre sous diverses formes, en particulier sur petits arceaux
    1,65m x 7m : 9 €
    1,65m x 15m : 15 €
    1,65m x 35m : 33 €
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        Mes fraisiers sont maintenant en permanence sous tunnel.
    Les fraises peuvent murir totalement
    Un lit de paillette de lin protège des limaces et des escargots
    Inconvénient: il faut arroser de temps en temps
    Ou ouvrir le tunnel sous la pluie.
    Quelques pieds de fraisiers se sont établis par des stolons en dehors du tunnel et sont rapidement pillés par les oiseaux.
    Ce qui prouve l'efficacité du tunnel.
    Et permet d'offrir quelques nourritures aux oiseaux.
    WS

     

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  • Raquette électrique anti insectes
     
    Raquette électrique anti insectes
       

    Voici une arme redoutable pour se protéger des insectes volants.
    La raquette anti-insectes élimine les insectes volants d'un seul geste.
    Par activation d'une tension électrique, la raquette anti-insectes brûle immédiatement les insectes en contact avec la grille.
    Ne dégage aucune odeur.
    la raquette anti-insectes est sans danger pour l'utilisateur, les enfants et les animaux domestiques, mais ça n'est pas un jouet.
    Fonctionne avec 2 piles LR06 fournies.
    crayon
    Prix 14€50
    crayon
    Un nouveau sport....

    Et l'autre
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  • Définition des parfums

      16/10/2008 02:32:58

    White Satin

    Le parfum est une composition harmonieuse créée à partir de différentes essences. Le mot parfum est aussi souvent employé au sens large pour désigner une odeur. Le parfum désigne aussi une concentration olfactive particulière, la concentration olfactive la plus intense, proposée par les marques de parfums (Guerlain, Chanel, Estée Lauder...) : on dit aussi extrait. Par abus de langage, parfum est aussi utilisé aujourd'hui pour désigner une eau de toilette, une eau de parfum ou une eau de cologne. La personne qui crée un parfum est appelé nez.
    Les parfums sont traditionnellement classés en sept grandes familles olfactives, dont les noms peuvent varier selon les modes :
    Les floraux sont élaborés autour d'une ou plusieurs senteurs florales. Lorsqu'une impression olfactive est fondée sur une seule fleur, on parle de soliflores (c'est le cas de diorissimo avec le muguet).
    Les chyprés forment une famille née après la création du parfum Chypre en 1917 . Ce sont des parfums initialement construits sur un accord bergamote notes fleuries (rose, jasmin...) et évoluant vers un fond boisé / mousse (mousse de chêne-patchouli) -labdanum.
    Les fougères sont construites sur une alliance de lavande, notes aromatiques, géranium, vétiver, coumarine, mousse de chêne. Elles sont à la base de nombreuses eaux de toilette masculines.
    Les cuirs, également très masculins, sentent le miel, le tabac et le bouleau.
    Les boisés désignent des parfums dominés par des notes boisées telles le vétiver, le cèdre, le santal, le patchouli...
    Les orientaux sont dominés par un mélange de vanille, de notes de baumes et de résines telles la fève tonka ou l'opopanax.
    Les hespéridés sont construits à base de zestes d'agrumes, et constituent en principe la dominante des eaux de cologne

      19/10/2008 18:18:57

    Mahogany

    Le chèvrefeuille dispense un embaument très subtil et discret à la fois.
    Je confirme

      18/12/2008 19:29:23 

    scrophu

    Il y a aussi les parfums entetants tels les camphres et les "chatouillent narines" du style poivre
    Les uns sont provocants et les autres piquants et styles......Que de richesses à explorer pour un veritable nez,un bouquet de senteurs ,cela doit etre passionnant à creer!!!

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  • Coulemelle

      Coulemelle

    Lépiote élevée

    16/10/2008

    Champignon de très grandes tailles
    Fréquent dans les bois clairs ou les lisières
    J'en ai souvent trouvé dans les petits bois qui nous entourent sur la plaine.
    Même dans les bosquets
    Les grands sujets ont souvent un chapeau de la taille d'une assiette à dessert.
    Les sujets très jeunes sont excellents à consommer
    la coulemelle se prépare aussi panées.
    Ou griller sur le coté lamelle

    Comme c'est un très grand champignons, nous en avons souvent fait  des conserves.

    Les toutes petites coulemelles sont très toxiques

     

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  • Une trop maigre récolte de sel deux années de suite 
      
    Une trop maigre récolte de sel deux années de suite
      

      
    La récolte de sel a été abondante en 2005. Depuis, ce sont plutôt les mauvaises années qui s'accumulent.

      L'été a été pluvieux
    . Résultat : la récolte de sel ne dépassera pas 10 % d'une production moyenne. À Noirmoutier, on appelle à l'aide. À Guérande, on est plus serein.
    Les producteurs coopératifs de Noirmoutier, qui ont vendu l'essentiel de leurs récoltes précédentes à Aquasel, une filiale du groupe laitier Eurial, sont à la peine. « Notre filière est en danger. Est-ce qu'on sera là l'an prochain ? Je ne sais pas », affirme Philippe Naud, président de la Coopérative des producteurs de sel noirmoutrine. D'où son appel au gouvernement et aux collectivités locales « pour maintenir les gens dans les marais ».
    Les producteurs coopératifs guérandais, plus gros et mieux structurés, sont moins inquiets.
     D'autant que leur coopé commercialise aussi leurs produits et les paie au fur et à mesure des ventes de sel stocké. « Nous ne sommes pas soucieux.
    Toutefois, une troisième année mauvaise, ça deviendrait préoccupant »,
    reconnaît Marie-Thérère Haumont, présidente de la coopé Les Salines de Guérande.
    • Deux années maussades. Et après ? À Noirmoutier, les coopérateurs produisent en moyenne 1 500 tonnes de sel par an.
     En 2008, quelque 135 t ont été récoltées. Soit 9 % d'une année moyenne. « À Guérande, on n'aura pas plus de 1 000 t à 1 200 t de sel », explique Marie-Thérèse Haumont.
     En temps normal, c'est près de 10 000 t. Les professionnels l'ont d'autant plus saumâtre que l'année 2007 n'était déjà pas fameuse : 450 t à Noirmoutier au lieu de 1 500 t.
    Heureusement, les bonnes années, comme 2003 et 2005, ont pu remplir les salorges... et les bourses. Lors de ces deux étés fastes, environ 30 000 t d'or blanc ont été engrangées à Guérande. Chacun espère maintenant une année 2009 convenable.
    • Où et comment produit-on du sel marin ?
     
    Dans la région, on récolte du sel à Guérande et Noirmoutier.
    Mais aussi dans le Marais breton et le Marais d'Olonne. Les îles de Ré et d'Oléron sont, avec le Golfe du Morbihan, les autres sites de production proches.
    Le sel, à partir de l'eau de mer drainée, est travaillé et récolté dans des quadrilatères, les oeillets.
    « Un oeillet fait 70 mètres carrés, l'équivalent d'un appartement T3 », commente un producteur. Pour se cristalliser après évaporation, le sel a besoin de soleil et de vent.
    • La saliculture, où ailleurs en France ?
    Dans le Midi, bien sûr. Par exemple à Salin-de-Giraud, en bordure de Camargue ou aux Salins d'Hyères (Var). Sur les rivages de la Méditerranée, la saliculture n'est toutefois pas artisanale et manuelle comme dans l'Ouest, mais fortement mécanisée.
    • Combien de sauniers et paludiers ?
    Les producteurs sont appelés sauniers ou paludiers, selon qu'ils exploitent au sud ou au nord de la Loire. À Noirmoutier, 120 sauniers exploitent quelque 3 300 oeillets.
    Dans la presqu'île guérandaise, les paludiers cultivent près de 11 000 oeillets. 187 producteurs, soit les deux tiers des producteurs guérandais, adhèrent à la coopérative.
    Les autres sont indépendants.
    • Qui sont les paysans du sel ?
     
    À Noirmoutier, entre trente à quarante producteurs tirent l'essentiel ou la totalité de leur revenu de l'or blanc. Ils sont près de cent dans ce cas à Guérande. Le revenu complémentaire provient d'activités comme éleveur de moutons, producteur de pommes de terre, maçon, enseignant, retraité...
    « On a même un saunier qui conduit le métro parisien », fait remarquer Philippe Naud. Des producteurs, minoritaires en nombre, n'adhèrent pas aux coopératives : ils récoltent près de 30 % du sel guérandais. Une vingtaine d'indépendants oeuvrent à Noirmoutier.
    • Les stocks sont-ils suffisants ?
     « Notre coopérative a mis en place une gestion des stocks qui nous permet de ne pas être dépendants des aléas climatiques »,
    explique la responsable guérandaise. Selon les catégories de sel (label rouge pour la qualité supérieure, sel agricole, sel de tradition), Guérande « possède d'un an à trois ans et demi de stock ». Aquasel a pour sa part trois ans de stock. Le sel de l'Ouest ne manquera pas sur les étals et les assiettes.
    crayon
    Gaspard NORRITO.  mercredi 01 octobre 2008
    Arrow http://www.ouest-france.fr/Une-trop-maigre-recolte-de-sel-deux-annees-de-su…
    crayon

    crayon
    Bonsoir
    Vous êtes le sel de la terre. Si ce sel perd sa saveur, avec quoi la salera-t-on ? Ce sel ne vaut plus rien : il n’est bon qu’à être jeté dehors et piétiné.( parole d'évangile)
    Encore un dur métier soumis aux intempéries et à ce climat un peu déréglé.
    WS

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  •  Lavande et mariage

      14/10/2008 15:05:50 

    White Satin

    Depuis bien longtemps déjà, en Haute-Provence, les mariés sont célébrés sur les parvis des mairies et des églises sous des brassées de lavande.
    En Provence, mettre un bouquet de fleurs sous le matelas des jeunes mariés garantit la passion, glisser un sachet de lavande dans le trousseau de la mariée assure un mariage heureux et une descendance, lancer des fleurs de lavande séchées dans la maison favorise la paix dans la famille.
    Enfin, offrir un bouquet de lavande au nouveau couple est symbole de bonheur infini.
    Dans d’autres pays, les jeunes filles envoient une couronne de lavande à leur bien aimé pour leur exprimer leur affection.
    En France, les noces de lavande symbolisent 46 ans d’amour.
    On dit aussi que la couleur bleue de la lavande et son parfum favorisent le bonheur, que des vêtements parfumés à la lavande attirent l’amour…
    La lavande, un produit de terroir à utiliser pour de multiples raisons et de multiples façons !
     Dans la maison, la fleur de lavande est traditionnellement utilisée en pot-pourri pour son parfum, en sachet pour faire fuir les mites et autres insectes indésirables. C’est un allié précieux des mamans, car les poux n’apprécient pas son odeur !
    En cuisine, vous pouvez utiliser la lavande pour les infusions, les sirops, les liqueurs, les vinaigres ou comme arôme dans certains desserts.
    L’huile essentielle de lavande est la matière première noble employée dans de nombreux parfums masculins. La cosmétique utilise aussi la lavande dans la composition de ses gammes de produits, pour son agréable parfum et ses vertus reconnues.
    L'huile essentielle de lavande est également très utilisée sous cette forme en pharmacie et en aromathérapie, pour ses propriétés antiseptiques, anti-inflammatoires, apaisantes et cicatrisantes.

    Vous pouvez par exemple :
    - soulager une piqûre d’insectes en appliquant localement 2 à 3 gouttes d’huile essentielle de lavande.
    - ou parfumer votre bain de quelques gouttes pour relaxer et préparer votre organisme au sommeil.
    Les huiles essentielles sont très concentrées en principes actifs et doivent être utilisées avec précaution.
    Arrow http://www.pluie-de-lavande.com/infos/Tradition-culture-de-la-lavande.html

     
    La lavande symbolise toute une région de tradition, de couleur, de musique, de poésie, de senteur et de soleil.
    D'art de vivre, en somme..
    Bref, c'est la Provence...
    J'aime cette image..J'aime cette province...
    Normal, me direz-vous..
    J'y suis né.

     

      14/10/2008 19:58:01  

    marye

    un pied de lavande (bonheur)et de verveine (chance) sont planter en provence de chaque cote de l'entree principe de la maison ,j'adore tout particulierement la lavande, ma petite fille me dit ,plutard mamie quand tu seras plus là nous sentirons la lavande et là nous saurons que tu es avec nous..........................j'avoue que cela m'a fait gd plaisir

    19/10/2008 18:16:24

    Mahogany

    La lavande est, je pense, un des premiers parfum que l'on vit sur les tables de toilettes d'autrefois.
    Depuis quel progrès dans les parfums
    et pour notre bonheur et celui des autres
    @+

     

    15/01/2010 09:51:00  

    corinne

    'huile essentielle de lavande
    j'en ai a la maison s'est super pour eviter que les enfants rentrent de  l'ecole avec des poux je lave aussi mon sol mes mur et mon linge
    je me suis marieé en 2008 et on ma jeter de la lavante sur moi  sa sent bon

       
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  • Paillage des sols 
     

    Paillage des sols    
    : Pour les salades, tomates, haricots verts, courgettes…Issu de l’agriculture professionnelle, ce paillage papier présente les avantages bien connus des techniques de paillage:

    [*]il empêche la pousse des mauvaises herbes [*]il accélère la précocité et améliore les rendements [*]il préserve l’humidité du sol … tout en respectant l’environnement car sa bio dégradabilité atteint 100% : Il est donc compostable avec les déchets ou incorporable au sol.
    [*]

    CARACTERISTIQUES ET POSE :
    [*] il se présente sous la forme d’un tissu à déployer de 0.9 de large sur 4.5 m de long. Sa surface claire doit être posée coté sol, la surface noire restant visible. Il faut le maintenir sur les côtés, à l’aide de terre ou de pierres pour éviter la prise au vent. Perforer en fonction de vos légumes. Vous pouvez l’incorporer au sol en fin de culture.
    0.9m
    x 5m : 9€
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        On peut se dispenser des bâches noires plastiques bien connues mais polluantes pour l'environnement.
    WS

     

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  • L’espèce la plus rare de la famille des Cactacée. 
      L’espèce la plus rare de la famille des Cactacée.
    Astrophytum tire son nom du grec aster qui signifie "étoile" et de phyton qui signifie plante. "Astrophytum" désigne donc une "plante étoile".

    Ce genre, originaire principalement du Mexique et du Texas, compte plusieurs espèces à cotes larges et proéminentes, d’où rayonnent les aréoles.
    l’espèces la plus rare .A.asterias , à corps globuleux légèrement aplatis au sommet , ne se produit que par semis ; les jeunes spécimens portent aussi des fleurs .
    La tige se transforme en une colonne atteignant 25 cm ; de ses aréoles poussent quelques piquants. Très décorative est dépourvue d’épines avec des aréoles jointes .Elle porte des fleurs jaunes, à centre rouge. Autres espèces répandues dans la nature .Ses huit côtes sont garnies d’abondantes aréoles, hérissées d’épines ; les fleurs sont jaunes.
    Ce sont des plantes résistantes, qui vivent longtemps.
    Elles préfèrent un sol bien drainé, mélangé à un quart de sable ; remportez tous les ans et semez lorsque la température est très élevée.
    Certaines espèces émettent à la base de rares rejets, qui s’enracinent aisément dans le sable ; au bout de quelques mois.
    Lundi 13 Octobre 2008

    crayon

    WS
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    Chenilles et papillons minent les marronniers 
     
    Chenilles et papillons minent les marronniers
    Un minuscule papillon, la mineuse, fait vieillir prématurément les marronniers blancs. Les bois parisiens et les grands parcs ont déjà un air automnal…



    Leurs feuilles sont jaunes et recroquevillées en plein coeur de l’été… En ce moment, les marronniers blancs de la capitale font peine à voir. Ces arbres sont victimes de l’attaque de la mineuse, un redoutable papillon brun ocre, aussi appelé Cameraria ohridella. « Cette chenille, qui mesure à peine 2 mm de long, pond ses oeufs dans les feuilles.
    Recouvertes de longues traînées blanches, elles finissent par tomber prématurément », explique Jean-Paul Neme, chef du service de l’arbre à la mairie de Paris.
    Les fortes chaleurs de la fin juillet ont accéléré le dessèchement et la moitié des marronniers blancs de Paris serait déjà infestée par la maladie. Une proportion qui passera, selon l’expert, à 90 % d’ici à la fin de l’été. Car pour endiguer cette épidémie, une seule solution : ramasser les feuilles contaminées au fur et à mesure pour les incinérer. Cette méthode permet d’éliminer les larves de papillon et d’endiguer ainsi la reproduction des insectes.
    Une espèce apparue en 2001 qui croît sans cesse
    Une opération impossible à faire à grande échelle dans les bois de Boulogne et Vincennes, qui sont, du coup, bien plus vulnérables que les 20 000 marronniers blancs des rues de Paris. « Car il est plus difficile de ramasser toutes les feuilles à ces endroits-là », explique le chef du service de l’arbre, qui précise que les grands parcs parisiens ou de la région, tels Montsouris, les Buttes-Chaumont ou encore le parc de Sceaux et le domaine de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), sont également victimes du papillon nuisible.
    Et le problème est que cette mineuse, apparue en Ile-de-France en 2001, « augmente un peu plus chaque année », déplore Jean-Paul Neme. Conséquence : depuis quatre ans, les jardiniers de Paris ne plantent plus aucun marronnier blanc, leur préférant du coup les marronniers rouges, plus résistants contre les attaques du papillon.
    Les marronniers blancs vont-ils à terme subir le sort des ormes, décimés pendant des décennies par la graphiose ? « A priori non, explique Jean-Paul Neme. Car la mineuse n’a pas d’impact immédiat sur la santé de l’arbre. Mais elle l’affaiblit dans le temps et le rend moins résistant aux autres maladies… » Et en attendant, les marronniers parisiens annoncent un peu trop tôt l’automne.
    Samantha Gaudfrin 06.08.2008, 7h00
    Arrow http://www.leparisien.fr/paris-75/chenilles-et-papillons-minent-les-marronn…

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    Arles : à l'assaut des papillons tueurs de palmiers
      Arles : à l'assaut des papillons tueurs de palmiers


    L'établissement a été sollicité pour aider deux chercheurs de l'INRA de Montpellier

    Les quatre étudiants, leurs professeurs et les deux chercheurs de l'INRA . D'ici mai 2009, Les élèves doivent fabriquer une machine pour projeter la glu anti-papillons, unique au monde.
    La guerre aux papillons mangeurs de palmiers est déclarée et ce n'est pas une blague. Et c'est à grands coups de glu que la bataille va s'engager. 
    L'aventure a commencé à Montpellier quand deux chercheurs de l'INRA, en lien avec SupAgro, Jean-Benoît Peltier et Marc Tauzin se sont penchés sur les problèmes des palmiers de tous poils, rongés de l'intérieur par les larves du Paysandisia archon, un papillon bien gras importé en voyageur clandestin d'Argentine.Elle se poursuit à Arles puisque c'est aux élèves du Lycée Pasquet qu'ils ont demandé de l'aide.
    Un bras automatisé pour appliquer la glu
    "Le problème des papillons tueurs de palmiers a été détecté en France en 2001", note Jean-Benoît Peltier. "Très vite, un chercheur de l'INRA à Antibes, Jean Drescher, a commencé à travailler dessus. C'est lui qui avait proposé l'ensachage des palmiers pour bloquer les papillons à l'intérieur. Mais avec les palmes qui poussent, le filet se transformait vite en passoire…

    Il m'a donné ses premiers éléments sur la biologie de l'insecte. J'ai aussi pris contact avec un chercheur espagnol, pour élaborer une stratégie". Jean-Benoît Peltier découvre alors que le papillon fait son cycle de vie dans la tête du palmier:
    c'est là que la femelle vient pondre et que les larves restent."Donc si on arrive à bloquer cette zone, on bloque le cycle. Il fallait un produit naturel et non chimique".

    Les deux experts mettent au point une glu (au coût modique de 5€ le litre), unique au monde, à base d'huiles et de résines, qui n'empêche pas la croissance du palmier et sans incidence sur la faune.
    C'est l'euphorie: sur les 600 palmiers traités, seul 1% a été infesté et même les palmiers malades redémarrent.
    La glu n'est pas encore mise sur le marché mais on peut découvrir le produit à l'INRA.
    Reste qu'il fallait trouver une technique efficace pour appliquer le produit miracle.
    Et c'est au lycée Pasquet qu'ils font appel : "Cela fait dix ans que nous avons des relations avec l'école Supagro de Montpellier. Ils nous ont lancé un petit défi…", explique Guillaume Robert, professeur du BTS qui va encadrer le projet.
    Le challenge est de taille : d'ici mai 2009, début de la période de ponte des papillons, quatre étudiants en 2e année de BTS mécanique et automatisme industriels, Marc Bonnefoi, Jonathan Fernandez, Laurent Malen, Cyril Reilhan vont réaliser un bras géant automatisé manipulé par joystick pour appliquer la glu. Une aventure exceptionnelle pour ces jeunes qui vont ainsi participer à la recherche pour le monde entier.

    Photo
    Photo

    Par Agathe Westendorp ( awestendorp@laprovence-presse.fr Publié le vendredi 3 octobre 2008 à 09H03
    Arrow http://www.laprovence.com/articles/2008/10/03/582450-A-la-une-Leseleves-de-…

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     Collaboration Recherche/Enseignement réussie
    Encore un nouvel invité indésirable.
    Il a l'air imposant, si on en juge par les occupants du bocal...
       WS

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    Courges musquées
    Charonne  10/10/2008 13:46:50

     

     

    Je ne saisis pas trop les différences. D'après ce qu'on trouve sur internet il y a 3 espèces principales de courges :

    • les Cucurbita pepo (courges poivrées, delicata et spaghetti);
    • les Cucurbita moschata (courges musquées);
    • les Cucurbita maxima (courges Hubbard et buttercup).
    http://www.jardinage.net/nos-dossiers/nos-dossiers_4.phtml
    "Sur le plan botanique, on distingue principalement, parmi les courges les plus fréquemment cultivées en Europe, les espèces suivantes, que l'on peut distinguer, lorsqu'on ne dispose que du fruit, aux caractères du pédoncule :

    • Cucurbita pepo : la courgette et la citrouille, le pédoncule est marqué par des côtes, au moins cinq, et ne s'élargit pas au point d'insertion ;
    • Cucurbita maxima : le potiron, le pédoncule est arrondi, d'espect spongieux, sans côtes marquées ;
    • Cucurbita moschata : la courge musquée de Provence ou la courge Butternut, le pédoncule est marqué par des côtes, comme celui de C. pepo, mais s'élargit nettement à la base ;
    • Cucurbita argyrosperma, courge américaine surtout cultivée aux États-Unis
    • On peut aussi signaler Cucurbita ficifolia, espèce qui ne comprend qu'une variété, la courge de Siam, (...)"

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Courge
    http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20071026.FAP5086/citrouille…
    Alors, est-ce que vos plants de courges ont donné cette année ?
    Quel est le type de courge le meilleur ?

    @+ 
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  • Photos d'Automne

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    07/10/2008 23:43:03

    Une belle photo d'automne vue sur le Net



    Un jardin blanc

    Administrateur

      White Satin
    Administrateur

    18/10/2008 17:13:09  

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  • Le marché au resto, pas que pour bobos et bio-bio
      Le marché au resto, pas que pour bobos et bio-bio
    Pains, fromages, légumes, huiles... face aux producteurs du petit marché : les clients savent d'où viennent les produits.


    Les vendredis après-midi, dans le restaurant de Martine, on pousse tables et chaises.Place aux producteurs bio... mais pas seulement.
    « C'est drôle quand je vois ceux qui sont venus au restaurant, le vendredi midi, revenir au marché, dès 16 h. J'ai l'impression que je ne leur donne pas assez à manger », plaisante Martine Hamont.
    C'est pourtant elle, la patronne du Casse-Graine Café, qui a eu cette idée de laisser la place à un petit marché hebdomadaire.
    Celui-ci entame sa 2e année, et a déjà ses habitués. « J'y ai pensé dès que j'ai ouvert, il y a trois ans et demi », explique l'ancienne travailleuse sociale. A la grande joie de ses fournisseurs et producteurs locaux, qui, contrairement à ce que l'on croit, ne sont pas tous forcément bio « parce que je ne voulais pas m'enfermer dans une histoire de label ».
    « L'hiver, dans les marchés à la ferme, on a un peu moins de monde, donc c'est une bonne idée », estime Christophe, marchand de fromage à Trébeurden. Sur les dix petits étals, les gourmands trouvent aussi pains, fruits, légumes, huiles d'olive, yaourts, lait, cidre, charcuterie, rillettes, jus d'hibiscus et de gingembre, des produits équitables, et même des produits d'entretien et de soin du corps, certifiés bio, écolos et recyclables.
    Abondance de bio
    Apparemment à Lannion, entre le marché, les fermes et les biocoop, abondance de bio ne nuit pas. « S'il y a autant d'offres, c'est qu'il y a de la demande », philosophe Martine. Comme certains des clients du p'tit marché, elle l'explique par le fait que « la région a été très touchée par la pollution avec l'agriculture intensive. C'est une manière de prendre le contre-pied, de protéger l'environnement. »
    « En fait, on retrouve la façon de cultiver de nos grands-pères. Avant, tout le monde mangeait très bien en Bretagne », se désole Jacques, client de Locquémeau. La tradition du marché, forte à Lannion, apporte sans doute aussi un coup de pouce à cette tendance.
    « On consomme différemment »
    Si le bio est parfois assimilé au mouvement bobo, l'esprit militant du Trégor y est peut-être aussi pour quelque chose. « Moi, ça fait dix ans que je prends du bio, précise Catherine, de Lannion.
     Depuis que j'ai pris conscience que je mangeais trop de cochonneries.
    Je me suis amusée à regarder la composition des produits, et ça fait peur.
     C'est peut-être plus cher mais on consomme différemment
     : comme on n'est pas tenté par les produits en têtes de gondole, on s'y retrouve. »
    « Entre mon jardin et le marché, je n'achète plus en grande surface.
     Et si on prend des produits de saison, ça n'est pas tellement plus cher »,
    confirme Maryvonne. Pendant ce temps, Apolline (7 ans) et Léna (9 ans) font le plein d'artichauts avec leur maman. Mona, une Perrosienne de presque 70 printemps, confie elle aussi acheter en direct, depuis une dizaine d'années, « pour favoriser ce type d'agriculture. En plus, c'est meilleur. »

    Le temps d'un thé ou d'un coup de cidre bio, les habitués dissertent, assis à l'une des tables rescapées du restaurant. « C'est aussi pour la pause d'après les emplettes qu'on aime bien venir ici. » Les acheteurs réguliers ont choisi leur camp : eux, c'est filières courtes et longues discussions.


    Pratique. Casse-Graine Café, rue des Acacias, zone d'activités Nod-Huel. Restaurant, ouvert tous les midis, le soir sur réservation. Marché, le vendredi, de 16 h à 19 h.

    Ouest-France Sylvie RIBOT. mardi 07 octobre 2008
    Arrow http://www.lannion-perros.maville.com/Le-marche-au-resto-pas-que-pour-bobos…

      L'initiative est originale.
    Le Bio s'invite au restaurant, maintenant.

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  • Odeurs d'automne

    Posté le: 05/10/2008 09:50:26

    Odeurs d'automne
    Citation

    Ça sent déjà un peu la feuille morte. Les champignons sortent de terre sous les grands hêtres, sous les pins sylvestres de la forêt normande, à la lisière, sur les talus ensoleillés, près des bruyères d'été mauve-rosé. Les grandes fougères sentent bon et les digitales qui n'ont plus de fleurs à épanouir commencent à jaunir. Au jardin, c'est au contraire une explosion de coloris, les dahlias connaissent leur apothéose. Elle va durer tout septembre et une bonne partie du mois d'octobre. Les journées moins chaudes, l'eau plus abondante, les nuits un peu fraîches leur conviennent admirablement
    . A suivre

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    Planquez vos friches
     

    Planquez vos friches : la guérilla du jardinage a commencé


    (De Los Angeles)
    Scott se considère comme un guerrillero. La nuit, lorsque les forces de police se font plus rares dans les rues, il camoufle son équipement dans le coffre de sa voiture et se dirige vers l’un de ses champs de bataille. Arrivé sur place, il jette des coups d’oeil furtifs autour de lui. Il tient à s’assurer qu’il n’est pas surveillé.
    Rassuré par l’absence d’activité humaine, il sort l’arsenal : bêches, râteaux, binettes, arrosoirs. Il lui arrive de retrouver des compagnons de lutte, des frères d’armes qui se livrent comme lui à la délinquance la nuit pour retrouver leurs jobs sans histoires le jour. Scott est fonctionnaire.
    Le groupe livre une drôle de guerre. Son activité illicite ? Jardiner, planter des fleurs et des arbustres, des arbres fruitiers et des plantes grasses, bref tout ce qui peut embellir les quartiers que la ville abandonne aux mauvaises herbes et à la sécheresse. Leur mouvement, le Guerrilla Gardening, est né à Londres, puis a gagné Los Angeles, San Francisco, Miami et Berlin.
    En gros, ces jardiniers de fortune sillonnent la ville à l’affût de lopins de terre en friches, qu’ils se mettent à cultiver, comme ça, pour rien, sinon pour le plaisir des yeux et pour agrémenter le béton d’un peu de verdure. Leurs actions sont illégales dans la mesure où il n’est pas permis à des personnes privées de cultiver des espaces publics.
    “Techniquement, nous vandalisons des terres qui ne nous appartiennent pas.”
    Mais même si Scott et ses compagnons ont déjà reçu de multiples amendes, aucun n’a vraiment été poursuivi en justice. Des punitions trop sévères risqueraient d’être impopulaires et de se retourner contre les élus. Surtout que les guerrilleros tendent à sélectionner des plantes natives nécessitant un minimum d’arrosage.
    “Techniquement, admet Scott, nous vandalisons des terres qui ne nous appartiennent pas.” Mais les résidents des quartiers dans lesquels ils opèrent, souvent les plus défavorisés, sont évidemment ravis. Les mauvaises herbes envahissant les trottoirs sont arrachées et remplacées par des fleurs, les îles centrales des larges avenues et boulevards deviennent de petits bijoux de verdure. Et les jardiniers ne se contentent pas de planter. Ils reviennent régulièrement sur les lieux de leurs ‘crimes” pour arroser et entretenir leurs oeuvres.
    Communiquant via Internet, ils se passent des tuyaux et s’entraident dans le plus grand secret. “Scott est le 007 du jardinage”, confiait récemment Ramon Arevalo, le paysagiste en chef de la ville de Long Beach au Los Angeles Times. Loin de vouloir sanctionner Scott et ses compères, Ramon rêve de les rencontrer pour les féliciter et leur offrir un café.
    Comme n’importe quel agent secret, Scott a des ennemis. Les agaves qu’il a récemment plantés le long de la rivière San Gabriel ont déjà été arrachées. Un vol dont il soupçonne le motif : “Je pense qu’ils ont servi à faire de la téquila”, explique-t-il.

    crayon
    Par Armelle Vincent | Journaliste | 26/09/2008 | 11H45
    Photo : Opération de guérilleros du jardinage de Los Angeles (LA Guerilla Gardening).

    crayon

     

    Un nouveau type de Tagueurs, en quelque sorte..
    Mais infiniment plus sympathiques.

     

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    Magasin vert prend du poids
     
     
    Magasin vert prend du poids
          

    Magasin Vert, filiale de Coopagri- Bretagne, ouvre quatre nouvelles jardineries le 1er octobre dans la région et poursuit son développement en France.




    Quatre nouveaux Magasin Vert, deux dans les Côtes-d’Armor et deux dans le Finistère, vont ouvrir le même jour, mercredi prochain, histoire de marquer l’événement. A Plérin (22) et Pont-l’Abbé (29), deux magasins neufs remplacent les implantations existantes.
     A Lannion (22) et Saint-Martin-des-Champs (29), ce sont deux jardineries, précédemment affiliées à « Vive Le Jardin » et rachetées par le groupe coopératif, qui prennent l’enseigne Magasin Vert. Près de 70 salariés travaillent dans ces magasins.
    18 magasins en Bretagne
    Le premier libre-service agricole a été lancé par Coopagri en 1973 à Châteaulin.
    A l’époque, les paysans y côtoyaient le grand public.
    Au fil du temps, ces magasins ont suivi l’évolution de la société et se sont ouverts aux citadins passionnés de jardinage et de maraîchage.
    En 1989, le réseau a été réparti en Point Vert pour le monde rural et Magasin Vert pour la ville.
    Magasin Vert compte aujourd’hui 18 jardineries - et 250 salariés - en Bretagne (11 dans le Finistère, deux dans les Côtes-d’Armor, un dans le Morbihan et un en Ille-et-Vilaine). La gamme, initialement végétale, s’est élargie à la décoration de jardin, aux vêtements (jardin et balade) et à l’animalerie. Les quatre nouveaux magasins prennent de la dimension (4.150 m² à Saint-Martin-des-Champs et 4.900 m² à Plérin).
    Deux nouvelles implantations (des transferts) sont prévues en 2009 à Lesneven, dans le Nord-Finistère, et à Dinan (22). Sur l’ensemble du territoire national, l’enseigne compte une soixantaine de sites avec 600 salariés. Des ouvertures sont prévues l’an prochain dans le Nord et l’Est.
    Le concept Magasin Vert s’est également exporté en Grèce, à la Réunion et, depuis 2007, en Espagne.
    Yves Drévillon

    crayon
    Nous en avons 1 à Beauvais
    Ce type de magasin, sans être moins cher qu'ailleurs colle de plus prés que ses concurrents, aux aspirations des jardiniers.
    Vente en gros conditionnements.
    Matériel à caractère professionnel, plus souvent proposé.
    A mi-chemin entre le jardinage et la petite agriculture.
    Ils sont les héritiers des syndicats agricoles.
    Où on achetait l'engrais chimique par sacs de 50 kg.
    En ce temps-là on ne faisait pas dans le Bio.
    C'était une autre époque.........
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    Bambou : plante exotique très résistante
     

    Le bambou fait partie des plantes exotiques et appartient à la famille des poaceae.
     Cette famille est caractérisée par des tiges contenant un chaume, (tige ligneuse), creux dont la croissance est très rapide.
     Le bambou se trouve sur plusieurs continents, à savoir, l'Amérique, l'Asie, l'Afrique et l'Océanie. Il est intéressant de savoir que le bambou prend la forme, selon l'espèce et le climat, soit de minuscules herbes, soit de très grands troncs hissés vers le ciel.
    Il existe plus de quatre vingt genre et mille deux cents espèces différentes de bambou. Les tiges sont d'une résistance incroyable grâce à leurs creux empilés les uns sur les autres. Depuis toujours, le bambou est une plante utile à l'homme.
    Dans les campagnes asiatiques, par exemple, le bambou sert aux habitations ; aux mâts des navires, aux palissades, à la vannerie, au papier...
    Au Xème siècle, notamment, durant la dynastie des Song, les maisons de bambous pouvaient durer jusqu'à vingt ans sans qu'on soit obligé de les réparer. Aujourd'hui, les pousses de bambous font encore partie de la gastronomie asiatique.
    Les feuilles de bambous, quant à elles, sont utiles à la conception du fourrage pour les chevaux et les buffles.

    Le bambou, en outre, est l'aliment de base, du grand panda, aujourd'hui, espèce en voie de disparition.
     La culture du bambou, se fait essentiellement à l'aide de boutures, puisque sa floraison est tout à fait aléatoire. Il doit avoir atteint au moins quatre ans pour être bouturé.
    On détache alors un morceau de trois chaumes pour en faire une bouture. Les jeunes plants doivent être exclusivement exposés à l'ombre. La plantation du bambou, en outre, doit se faire entre le mois de mars et d'avril et surtout, dans un sol humide et bien drainé.

    Ce sont les règles à respecter en matière de jardinage. Il faut ensuite tremper la motte en tachant de ne pas la casser, puis on la place dans un sol bien travaillé et mélangé à un peu de terreau. Pour terminer, il suffit de recouvrir de trois couches de tourbe.

    Vous aurez peut-être besoin d'un tuteur. Il suffira ensuite d'arroser une fois par semaine durant tout l'été.
    Faites, cependant très attention à l'endroit où vous souhaitez planter votre bambou car les racines sont très envahissantes et gêneront le reste de votre végétation. Il vous restera, au début du printemps à couper au ras, les tiges inutiles.
     Sachez que le bambou peut être utilisé, grâce à sa solidité et à sa résistance au gel, en tant que haie, bosquet et peut aussi servir de décoration autour d'un bassin. Mais les forêts de bambous sont aussi utiles au marché du textile. Ce tissu très naturel a conquis de très nombreux consommateurs. Le bambou est actuellement une plante très prisée et moderne. C'est pour cela, en outre, que le bois exotique du bambou est très recherché. Les meubles en bambou font toujours partie de la tendance actuelle.

    De la chambre au parquet en passant par les tapis et tout élément de décoration, les fabricants se l'arrachent, tant le marché du bambou est rentable.



    Le Mardi 23 Septembre 2008 à 14:50  Article écrit par missharper

    Arrow http://www.web-libre.org/dossiers/bambou,5174.html

     


    Il peut se révéler très envahissant dans un petit jardin.
    On isole souvent ses racines par une véritable muraille, pour éviter sa propagation.

     

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  • Alimentation : des techniques qu’on a du mal à digérer…

      Modérateur 

    Variation
    Modérateur

    28/09/2008 06:44:57

    On ne parle plus que du pouvoir d’achat, et pour cause. Dans le dernier numéro de 60 Millions de Consommateurs, à paraître ce jeudi 24 septembre, on en apprend de belles sur les techniques de l’industrie agro-alimentaire pour nous enfoncer encore un peu plus dans le panier...
    Inflation masquée
    Les matières premières ayant augmenté, les grandes marques n’hésitent pas à user de moyens peu catholiques afin de conserver leur marge bénéficiaire. Comment ? C’est simple : quand on ne peut pas impunément augmenter les prix des articles, on les modifie pour qu’ils coûtent moins chers à produire, tout en se vendant le même prix. Cela passe souvent par la diminution de la quantité du produit, que le consommateur non aguerri ne remarque jamais (pensez-vous à vérifier le grammage de votre boite de conserve à chaque fois ? non).
    Exemple précis, un produit favori de nos petites têtes blondes. Les fameux Prince de Lu sont passés de 330 grammes avant l’été à 300 grammes aujourd’hui, sans aucune raison et au même prix évidemment… Même cure d’amaigrissement pour le Jockey de Danone : le célèbre pot de fromage blanc est passé de 1 kilo à 850 grammes… Quant au pot de Danette, il pèse toujours 125 grammes, sauf si vous achetez le pack de 16 pots pour la famille, dans ce cas, il ne pèse plus que 115 grammes...
    Amora, même combat... quoique non, c'est pire ! L'ancien pot, pas très joli et maigrichon, contenait 500 ml de vinaigrette à l'ancienne. Le nouveau packaging, bien plus joli et plus rebondi dans la forme, ne contient plus que 450 ml. Cerise sur lez gâteau : il est plus cher ! Il est passé de 1,41 à 1,95 euro. Belle opération...
    Autre technique fourbe de certaines marques, le changement de recette, oui ma bonne Dame ! Vous croyez savourer le même yaourt que la semaine dernière ? Mais non, s’il s’agit bien de la même marque, du même modèle et du même prix, les ingrédients qu’il contient sont juste des matières premières moins onéreuses. Résultat, vous mangez un produit sans doute moins équilibré d’un point de vue nutritif, voire moins bon au goût, mais en payant le même prix...
    L’habit ne fait pas le produit...
    Dernière technique pour nous tromper, le changement d’emballage. Cette fois, le produit que vous achetez a bel et bien augmenté, mais vous ne trouvez pas ça grave puisque l’emballage est tout beau tout neuf. Or le produit à l’intérieur reste exactement le même, mais crédule et pressé de quitter le supermarché pour rentrer, vous le jetez quand même dans le caddie. Et une fois à la caisse, vous vous jurez que vous ne vous ferez plus avoir la prochaine fois… C'est peine perdue.

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    Planifier les plantations de rosiers

    28/09/2008 10:49:21
    Fleurs, fruits et légumes sont en pleine production et il faut déjà songer au printemps prochain.
    Les rosiers seront plantés à fin octobre, ou même plus tard, mais vous pouvez commander dès
    maintenant vos nouveaux plants.
    En montagne, le retour de la neige sur les sommets marque déjà la fin de la saison de jardinage et les plantes gélives doivent être abritées ou rentrées pour l'hiver.
    Passer commande des plants de rosiers qui pourront être plantés dès fin octobre et durant tout l'hiver, en l'absence de neige et si le sol n'est pas gelé ou détrempé.
    Dans certains magasins, on peut déjà acheter en septembre des plants de rosiers à racines nues. Ces plants ne sont pas de qualité car ils ont été arrachés trop tôt, puis effeuillés.
    Faites plutôt confiance à votre rosiériste et patientez encore un mois avant de mettre en place de nouveaux rosiers. Faire le choix de variétés adaptées à l'emplacement et à l'altitude.
    Bulbeuses à floraison printanière: les narcisses ont besoin d'une longue période de végétation et devraient être plantés entre mi-septembre et mi-octobre.
    Dans les pelouses planter en groupes des bulbes de crocus, ou de narcisses nains précoces, qui s'épanouiront au printemps avant la première tonte.
    Annuelles: par temps sec et ensoleillé, récolter les graines des fleurs annuelles non hybrides qui seront séchées et stockées pour les semis de l'an prochain.
    En montagne, les premiers gels ont déjà mis à mal certaines plates-bandes. Dès lors, les travaux de fin de saison, arrachage, labour et plantation de bulbes, peuvent être entrepris.
    Bisannuelles: pour leur donner un coup de fouet, arroser à l'engrais liquide les repiquages de pensées, myosotis et bellis.
    Bacs et caissettes: alors que certaines plantes sont encore magnifiques et en pleine floraison, d'autres sont défleuries ou malades et leur remplacement s'impose. Choisir les plantes en fonction de leur emplacement.
    Actuellement, les étalages des jardineries sont garnis de chrysanthèmes et de cyclamens, deux plantes fleuries magnifiques mais dont les fleurs ne supportent pas de fortes gelées.
    En montagne et dans les endroits exposés au gel nocturne, on plantera des espèces supportant le froid comme les pensées, les bellis et certaines bruyères, par exemple l'erica carnea.
    En montagne: récolter et encaver, carottes, navets et céleris raves.
    Arracher les poireaux et les mettre en jauge sous un abri accessible durant l'hiver. Protéger les chicorées scaroles des gels nocturnes en les recouvrant le soir d'un sac de jute qu'on aura soin d'enlever chaque matin.
    En plaine: planter des bulbilles d'oignons à hiverner.
    L'ail planté en septembre donne un meilleur rendement que s'il est planté au printemps et la récolte sera plus hâtive.
    Sous couche ou sous tunnel, semer de la mâche à récolter durant l'hiver.
    Travaux d'entretien: c'est en buttant les poireaux que l'on provoque leur blanchiment. Quant aux chicorées scaroles, le blanchiment s'effectue également sur place, soit en liant au moyen de raphia le feuillage, qui devrait être sec pour éviter la pourriture, ou en recouvrant la scarole d'une cloche opaque.
    Une fois blanchie, la scarole doit être récoltée assez rapidement

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    Parution semaine 38, 2008 Eliane Rufener
    Arrow
    http://193.247.189.70/agrihebdo/journal/journal.cfm
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    Une autre saison s'avance..
    Exit de l'été..
    Les colchiques sont en fleur.
    L'automne, c'est sympa aussi...finalement......


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