White

Une increvable incontournable dans les rocailles.
Qui se propage facilement si le milieu lui plait.
Dans les rocailles on y trouve fréquemment des escargots à l'abri de son feuillage dense.
A rapprocher de la corbeille d'or, mais qui n'est pas le même type de plante. 

  Combien pour ce chien dans la..........corbeille

 P'tit Chien

Corbeille & amphore

  Première tomate

Prudens Purple  Une variété pourtant pas vraiment précoce
Souhaitons que d'autres plants fassent aussi leurs fruits

 Bigwoman 20/09/2009

Cette année, j'ai cultivé plusieurs variétés de courges ou potiron
Musquée de Provence
Lady Godiva dont on ne récolte que les graines pour manger telles quelles ou faire griller, selon le goût
Cotton  (on l'avait indiqué comme blanc pur, mais je l'ai trouvé légèrement verdâtre)
Pink jumbo banana (une saucisse qui peu faire 50 à 60 cms de longueur. Très productive aussi
butternut (mais laquelle est-ce ? Il y a énormément de variétés Butternut
Galeux d'Eysines
des potimarrons :
soleil rouge
Mes "Red Kury " n'ont jamais grandii
Courgettes :
Blanche de Virginie : très productive et super excellente en soupe et potage
une autre verte
et une courgette jaune dont j'ai aussi oublié le nom

  Fabienne 21/09/2009

cette année, j'ai cultivée :
potiron ( j'ignore sa variété)
potimarron
courgettes classiques
rondes de nice
concombre
résultats : 1 potiron, deux potimarrons, bcp de courgettes normales, peu de rondes de nice car les fruits pourrissaient sur pied très souvent ( j'ignore pourquoi) et catastrophe pour les concombres : j'ai du en manger deux en tout et pour tout ..... ils jaunissaient et mourraient ( comme les courgettes rondes )
mais maintenant que le temps est moins chaud, les concombres se décident enfin à produire
voici quelques photos :
        

Bigwoman

c'est décevant lorsqu'on a un piètre résultat, d'autant plus que les courges prennent beaucoup de place,
Ce sont des légumes qui demandent beaucoup de "vitamines"
Cette année, j'avais mis du compost  et des feuilles de consoude dans les trous de plantations, c'est peut-petre la raison d'une récolte sinon abondante, du moins encore un peu trop pour moi
Heureusement il y a des amateurs autour de moi

White 21/09/2009

Bonsoir
Fabienne, vous pouvez à tout moment éditer votre message et ainsi corriger ou ajouter des éléments.
Superbe les potimarons

J'ai cultivé les concombres en serre.
Ils montent le long des tomates.
Ils produisent bien.
A l'extérieur le printemps a été trop nuageux pour favoriser un bon départ de ces légumes.
Les courgettes je les ai semé en serre et repiqué au fur et à mesure.
Toujours en pleine production
Seuls les cornichons ont été semés seulement en juin en pleine terre.
Ils grimpent sur des panneaux grillagés pour béton.
Récolte 1/2 bocal tous les 3 jours.
Le vent du nord est tombé.
Nous avons,maintenant, un temps calme et très sec.
Ce qui convient bien à ces légumes et aux tomates.
Les anciens disaient, dans notre région,que concombre, cornichons et citrouilles, ne devaient pas voir le soleil de mai.
A l'époque, il y a cinquante an, on ne cultivait pas de courgette ni de tomate dans notre région.
On semait tard en saison, car on était assuré d'avoir souvent des étés chauds et bien ensoleillés.
Ce n'est plus le cas maintenant.

  le Jardin des Missions Etrangères 

Rue de Babylone, s'étend le jardin privé des Missions Etrangères, d'une superficie d'1 ha. C'est d'abord un bâtiment superbe du 17è s., séminaire destiné à former les prêtres et laïcs pour les Missions de l'Asie.

Jardin "à la française" exécuté par un disciple de Le Nôtre. Ce plan n'a pas été modifié.
Au 19ème s. ,plusieurs missionnaires botanistes en Asie, correspondants officiels du Museum d'Histoire Naturelle de Paris, découvrirent et expédièrent en Europe de nouvelles variétés de plantes, comme les rosiers Soulieana, Moyesii ou Roxburghii...
Quelques curiosités évoquent la vie des prêtres missionnaires en Asie : un oratoire, des statues,
une stèle coréenne offerte en 2003 par la cathédrale de Séoul, et une impressionnante cloche chinoise datée de 1858.

Geneviève

Dans les prés, les pommiers à cidre se sont délestés de leurs rameaux morts, comme l'ont fait les pêchers et les poiriers dans le jardin. Ce n'est pas grave, c'est même on ne peut plus naturel : les arbres fruitiers que l'on appelle aussi arbres de plein vent, poussant sur une haute tige, se taillent ainsi tout seuls à la faveur des bourrasques automnales et hivernales. Il vaut mieux même ne jamais les tailler si l'on ne sait pas s'y prendre. En s'allongeant, les branches se courbent naturellement vers le sol. A l'endroit où elles fléchissent, une nouvelle branche naît, qui prive peu à peu de sève la partie ancienne, qui meurt, se dessèche et tombe.En revanche, les pluies incessantes ont fait verdir les troncs d'arbres, les terrasses, les murets et les toits de tuiles. Ils sont envahis par la mousse et par le lichen. Ni tout à fait un végétal ni tout à fait un champignon, cette "plante", aux gris, bleus et jaunes si subtilement dégradés, ne peut pas s'observer au coeur des grandes villes. Elle s'accroche à de nombreux supports à la campagne, et notamment aux troncs d'arbres dont l'écorce est crevassée. Faut-il débarrasser ceux-ci de leur mousse et de leur lichen ? Non ! Les oiseaux acrobates y trouvent leur pitance et la nature son compte : le lichen n'est pas un parasite.INDÉSIRABLE SUR LES TOITS

En revanche, la mousse et les lichens qui envahissent les toits devront être retirés. Ailleurs, partout où l'on peut gratter ou simplement pulvériser un produit antimousse sans avoir à jouer les acrobates, il faut le faire. Peu à peu, mousses et lichens fragilisent les tuiles, les rendent poreuses par l'effet des gels et dégels successifs qui les font se déliter peu à peu.

Sur les terrasses, la mousse rend certains dallages particulièrement glissants. Quand les algues s'y mettent les jours de pluie, allées de briques et de pierres lisses deviennent risquées à emprunter. Surtout pas de nettoyeur à pression : l'eau projetée avec force détruit la mousse et les lichens, mais aggrave le mal en rendant de plus en plus poreux le support sur lequel la mousse revient de plus en plus vite. Surtout pas de sulfate de fer ! Il fait merveille sur la pelouse, mais fait rouiller les pierres d'une façon quasi irrémédiable. Il existe de nos jours des produits antimousses à l'efficacité remarquable.



Cette année, plus que d'habitude...
Beaucoup de nettoyage au printemps


Alain Lompech Le Monde 18.01.08.

On ne commercialise pratiquement plus de sulfate de fer.
Il est remplacé par d'autres substances.
Sont-elles efficace?
Sont-elles respectueuses de l'environnement?

quand il y a vraiment trop de mousse ..refaire la pelouse
Plus facile à écrire qu'à faire.  
Annie

  Toit vert

Mousse colorée

Dans les prés, les pommiers à cidre se sont délestés de leurs rameaux morts, comme l'ont fait les pêchers et les poiriers dans le jardin. Ce n'est pas grave, c'est même on ne peut plus naturel : les arbres fruitiers que l'on appelle aussi arbres de plein vent, poussant sur une haute tige, se taillent ainsi tout seuls à la faveur des bourrasques automnales et hivernales. Il vaut mieux même ne jamais les tailler si l'on ne sait pas s'y prendre. En s'allongeant, les branches se courbent naturellement vers le sol. A l'endroit où elles fléchissent, une nouvelle branche naît, qui prive peu à peu de sève la partie ancienne, qui meurt, se dessèche et tombe.En revanche, les pluies incessantes ont fait verdir les troncs d'arbres, les terrasses, les murets et les toits de tuiles. Ils sont envahis par la mousse et par le lichen. Ni tout à fait un végétal ni tout à fait un champignon, cette "plante", aux gris, bleus et jaunes si subtilement dégradés, ne peut pas s'observer au coeur des grandes villes. Elle s'accroche à de nombreux supports à la campagne, et notamment aux troncs d'arbres dont l'écorce est crevassée. Faut-il débarrasser ceux-ci de leur mousse et de leur lichen ? Non ! Les oiseaux acrobates y trouvent leur pitance et la nature son compte : le lichen n'est pas un parasite.INDÉSIRABLE SUR LES TOITS

En revanche, la mousse et les lichens qui envahissent les toits devront être retirés. Ailleurs, partout où l'on peut gratter ou simplement pulvériser un produit antimousse sans avoir à jouer les acrobates, il faut le faire. Peu à peu, mousses et lichens fragilisent les tuiles, les rendent poreuses par l'effet des gels et dégels successifs qui les font se déliter peu à peu.

Sur les terrasses, la mousse rend certains dallages particulièrement glissants. Quand les algues s'y mettent les jours de pluie, allées de briques et de pierres lisses deviennent risquées à emprunter. Surtout pas de nettoyeur à pression : l'eau projetée avec force détruit la mousse et les lichens, mais aggrave le mal en rendant de plus en plus poreux le support sur lequel la mousse revient de plus en plus vite. Surtout pas de sulfate de fer ! Il fait merveille sur la pelouse, mais fait rouiller les pierres d'une façon quasi irrémédiable. Il existe de nos jours des produits antimousses à l'efficacité remarquable.



Cette année, plus que d'habitude...
Beaucoup de nettoyage au printemps


Alain Lompech Le Monde 18.01.08.

On ne commercialise pratiquement plus de sulfate de fer.
Il est remplacé par d'autres substances.
Sont-elles efficace?
Sont-elles respectueuses de l'environnement?

quand il y a vraiment trop de mousse ..refaire la pelouse
Plus facile à écrire qu'à faire.  
Annie

  Toit vert

Mousse colorée