•  Bulletin Météo du 26 mars 2015
     

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        Un Jardin Blanc Isarien

     


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    La lettre de Madame de Résigné du  13 août 2012 
    En ce treizième jour du deuxième mois de l’été de l’an de grâce, deux mille cent douze ans après la naissance de notre seigneur Jésus-Christ, on fêta dignement, mais secrètement l’anniversaire du nouveau Roi de France, François de Hollande, dit « le Flamby », quatorzième du nom. Secrètement, tant était fort, le danger de calomnie et de sarcasme, des forces réactionnaires, maintenant renvoyées à leurs chères études. Depuis le sacre du nouveau Roi de France, François de Hollande, dit « le Flamby », quatorzième du nom, investi de sa lourde charge sous les lambris lourdement dorés, d’un palais élyséen, trop important pour ses frêles épaules de Prince des terres et domaines de la représentation socialiste, en notre bon royaume de France. Donc notre Monarque national, fraichement issu de la gente socialiste, se fit transporter en diligence ferroviaire, vers des cieux plus ensoleillés, en la demeure de réputation Royale… L’austère Château de Brégançon, longtemps dévolu au casernement des forces militaires fidèles à la couronne royale, des ancêtres de notre Monarque François XIV, investis  de tous les espoirs de son bon peuple. Ce jour-là, privés de leur mur des calomnies, les mécréants, les blasphémateurs et les iconoclastes venus de toutes les contrées de notre cher royaume ,très vénérable, durent se réfugier dans le virtuel, voire le bizarre, même. Les joyeux gazouillis du « touiteur » populaire devinrent vite d’odieux croassements de très mauvais augure et de très mauvaise tenue contre notre cher monarque. La Face de Bouc des grimoires populaires devint un cloaque et un pilori pilonné par les projectiles les plus répugnants de la colère de la populace. Populace qui mit elle-même sur le trône ce François XIV, il y a encore quelques semaines, et qu’elle chargea de distribuer à tout va, subsides et récompenses, cadeaux de toutes natures, tout en souhaitant que notre bon monarque remplisse de bons ducats, sonnants et trébuchants, un trésor royal pillé depuis des décennies, par des instances occultes, parait-il…. Mission impossible, quand on sait que toutes les corporations fortement lassées par les prélèvements et les ponctions de plus en plus fréquentes des collecteurs d’impôts, se sont transportées, depuis longtemps, avec leurs industries, leurs échoppes et leurs commis, vers des cieux moins néfastes à leur économie. Ne restant plus pour soutenir les finances royales, que les gueux et  les mendiants qui animent encore, centre-ville et autres cours des miracles. Les campagnes étant, quand à elle, perpétuellement soumises au pillage des armées, des Brigands et des Grandes Compagnies. Nous vîmes alors, ressuscitée de ses fiefs de l’Essonne, La Baronne de Kosciusko, née Morizet, Nathalie étant son patronyme ; donc cette harpie des forces conservatrices, dépossédées de leurs charges ministérielles, jeta son venin démagogique sur la difficile mission de ce monarque, fraichement investi de tous les espoirs de son peuple. Le Baron Jehan-François De Copé à la tête des armées conservatrices sous bannière de « Luhaimepée », qui avait entamé dès le lendemain de la défaite de sa confrérie une longue marche en terre Celtique au grand duché de Bretagne ; ne pouvant se résoudre à entreprendre sa longue marche du désert de près de cinq ans ; donc ce baron drapé dans son importance et son orgueil, fit, en ce jour-là, donner l’assaut aux forces de la critique sans fondements réalistes, contre les murs d’une royauté déjà fragile, tant les attentes des sujets de nos royales provinces, sont incommensurablement peu réalistes, dans ce concert de crise et de guerre électorale. Un Baron qui se préparait déjà à d’autres combats, bien plus meurtriers pour les rangs des siens, désastreux pour le devenir de sa confrérie, divisée par la défaite. Mais c’est là une autre histoire………. 

     

     

         

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  • La lettre de Madame de Résigné du  16 juillet 2012 
    Nous faisons suite à nos récentes missives de ces mois de consultations populaires qui laissèrent tant de preux chevaliers de la politique conservatrice, agonisant sur les champs de la bataille électorale récente.
    Après que les troupes conservatrices se fussent regroupées, pour rentrer dans la confusion la plus extrême en terres de disgrâce . Qu’elles durent cheminer dans les fossés nauséabonds et fangeux au pied des donjons et des tours féodales de la morgue raciste, populiste et Pétainiste des légionnaires de la horde Lepeniste, toute dévouée à la Lepen, Marine la 1ère, dite «La Haineuse ».
    Une Marine La 1ère qui ne se prive pas un instant de ses quolibets, de ses crachats et de ses imprécations sur les armures souillées de ces preux chevaliers et barons d’un gaullisme suranné battu à plate couture ,dans les plaines et les steppes glaciales de la déconfiture électorale de la  grande confrérie de « Luhaimepée ». Tous ces preux et nobles chevaliers, privés de leurs fringantes et fidèles montures, cheminaient maintenant, le heaume baissé et renfrogné, vers les terres arides de la défaite électorale. Terre de désolation qui vont devenir le théâtre, pour cinq très longues années, de leur solitude, de leur traversée du désert. Le bâtonnier, traite et félon, Collard, Gilbert fut-il nommé à sa naissance, débarque quand à lui en terre Occitane pour porter courageusement, avec sa couardise de bon aloi, l’estocade finale sur l’arrière-garde en déroute des armées conservatrices qui déméritèrent tant dans les escarmouches électorales. Les plaies purulentes de la défaite vont laisser des cicatrices profondes sur le visage des forces de la réaction.. Promettant des lendemains cocasses pour les observateurs et chroniqueurs de tous poils, rameutés par l’odeur, encore toute fraiche, du sang de la défaite électoral versée sur les prés  féodaux de la désillusion ...
    Prés maculés de désespoir...

     

     

         

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  • La lettre de Madame de Résigné du  5 juillet 2012 

    Reprenons nos petites chroniques en terre de France .Les conséquences de cette consultation législative ont laissé bien des rancœurs. Fait bien des dégâts. Les rangs de la Chevalerie conservatrice sont décimés. Les survivants sont déprimés. La plupart se sont retirés penauds et dépités en leurs donjons à l’intérieur de leurs demeures seigneuriales, bien décidés à administrer le peu de terres que les armées socialistes ne leur ont pas confisqué. Le Baron Jehan-François De Copé ne s’est quand à lui nullement résigné à rejoindre son fief en noble terre de Brie. Il tente depuis peu de lever de nouvelles armées conservatrices porteuses des idées d’un certain Général qui fut investi à la tête du Royaume de France. Général qui fut, à son époque, après un long exil au Royaume de la perfide Albion, porté au pouvoir par une ferveur populaire sans précédent. Notre bon royaume de France n’ayant hébergé, que trop rarement, de telles sommités, en son Palais Elyséen. On le déplore, maintenant, tous les jours. Donc, disais-je, Le Baron Jehan-François De Copé à la tête des armées conservatrices sous bannière UMP a entamé sa longue marche en terre Celtique au grand duché de Bretagne ; terres, paroisses, domaines et hobereaux, en tout temps fidèles à la couronne de notre bon pays de France. Tout serait parfait au Royaume conservateur des vaincus, si un trublion ne s’était précipité dans la mêlée. François « Le Taciturne » seigneur De Fillon, Baron du Maine en ses terres Angevines et ancien chambellan de Nicolas « le divorcé », treizième du nom, Prince de Sarkosy, Ancien roi de France, donc notre Baron De Fillon, se drape lui aussi des oriflammes de la grande secte conservatrice de l’UMP. Il se pare , sur son poitrail de la grande croix des croisades de la reconstruction de la défunte UMP. Soutien lui fut, alors, apporté par la Valérie, Baronne de Pécresse, retirées sur ses terres des Yvelines. Nous nous retirons, nous aussi, en nos appartements et vous donnons rendez-vous prochainement pour les dernières nouvelles de demain.

         

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    La lettre de Madame de Résigné du  26 juin 2012 
     

     

    Pour parachever ce tableau législatif au soir du 17 juin nous vîmes surgir du diable vauvert une toute jeune jouvencelle, la Marion, née Lepen qui a pris de haute lutte un bastion Vauclusien. Devenant ainsi Baronne en terre de Provence et ne cachant pas ses ambitions de conquête. La verrons nous, un jour, nouvelle papesse en terre d’Avignon ? Le bâtonnier, traite et félon, Collard, Gilbert fut-il nommé à sa naissance, débarque en terre Occitane . Une terre qui compte la bonne ville D’aigues Morte, dans laquelle notre compère , compte bien s’élancer sur les traces de notre Bon Saint Louis, pour porter en terre musulmane, à Saint Jean d’Acre, toute la fureur et la morgue de ses ambitions populistes et racistes. De nouvelles croisades en terre PACA pour délivrer les lieux Saints ? Au secours, Saladin ! Réveille toi pour rejeter à la mer ces croisés de « l’Affront National ».

         

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  • La lettre de Madame de Résigné du  22 juin 2012 
     

    Reprenons le fil de cette journée d’élection. On a pu observer dimanche soir  que la LePen, qui désirait depuis longtemps en découdre sur le tapis vert, vit avec rage, en terre d’Essonne, la Baronne de Morizet, Comtesse de l’Essonne conserver son titre et ses terres, face au baron Olivier Thomas qui sauve ainsi sa tête au sein de sa famille socialiste, n’ayant pas été réélu avec le secours des voix de « l’affront National ». On vit aussi la Aubry dite la « Tsarine », Bourgmestre, de son état, en notre bonne ville de Lille, et qui fut écartée, en son temps, de la présidence d’un gouvernement « socialiste » nouvellement formé. Donc la Aubry, disais-je, face à l’injonction du chevalier Pujadas chroniqueur des manuscrits royaux, La Aubry, donc, détourna les yeux du perfide Baron félon « Falorni » lui refusant tout espoir d’une entrevue prochaine. Nous vous invitons, dans les prochains jours, à venir consulter ces petites missives, tant il y a encore à dire, sur ces évènements électoraux, qui ont fait beaucoup de victimes en dans les domaines conservateurs. Que de Barons chassés de leurs donjons et de leurs terres.

     

         

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    La lettre de Madame de Résigné du  18 juin 2012 
     En notre bon pays de France, hier soir de nombreux fiefs changèrent de propriétaire. La Royal fut chassée de ses terres de Poitou-Charente. Ségolène la pleureuse, comme la cour la surnomma, enregistra un des plus cuisants revers de sa carrière. Rude coup, après son éviction du palais royal, par Nicolas le divorcé, treizième du nom, Prince de Sarkosy, il y a déjà cinq longues années maintenant. De la « bravitude » pour cette jouvencelle qui collectionne les déboires politico-affectifs. Ne fut-elle pas répudiée par le Grand Duc François de Hollande, son époux, le futur Roi de France, François dit « le Flamby », quatorzième du nom. Le baron félon « Falorni » fut, quand à lui ; prié de quitter ce marécage socialiste pour aller siéger en des terres plus conservatrices. On ne souhaite à personne le calvaire qu’il vient de se forger par son obstination politicienne. Dans les steppes glacées du nord, la Lepen, qui avait pourtant revêtue l’armure de la démagogie, telle une nouvelle Jeanne d’Arc (mais pas pucelle), s’est vu terrasser d’un simple carreau d’arbalète. C’est ce que confiait Marine 1ère dite « la haineuse » aux nombreux chroniqueurs invités en son château de Hénin Beaumont. La lepen raillant au passage, le très maigre écart de voix avec son adversaire, qui l’a pourtant terrassé. Rendez-vous dans les prochains jours pour continuer à disserter sur le sor t des autres prétendants aux taches royales et nationales..

     

     

         
    Jouy sous Thelle Jouy sous Thelle Jouy sous Thelle

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  • Une naissance à l'Elysée  
          
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  • Jacques Vergès
    Avocat



    Il est un avocat mondialement reconnu. Ancien résistant, il s’est engagé à 17 ans, en 1942, dans les Forces Françaises Libres aux côtés de Charles De Gaulle, avant de ..........

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