• l'onychomycose
      Vous jardinez ? Protégez vous… des champignons !


    Contrairement aux apparences le jardinage, l'un des loisirs préférés des Français, n'est pas sans risques. Il provoque souvent des microtraumatismes des mains et des pieds, donc des doigts ou des orteils. Microbes et autres bactéries risquent de s'y glisser, d'où la nécessité d'être bien à jour dans sa vaccination antitétanique ! Mais il y a un autre risque auquel on ne pense pas naturellement. Celui d'une contamination des ongles par des champignons microscopiques.
    C'est l'onychomycose comme l'appellent les médecins. En l'absence de traitement, ce champignon invisible mais… très contagieux va se développer. Et alors, bonjour les dégâts ! Jauni, épaissi, décollé, votre ongle -d'ailleurs bientôt décliné au pluriel... - devient un reproche vivant ! Et si, comme c'est d'ailleurs recommandé vous portez des gants et/ou des bottes pour jardiner, vous allez entretenir la maladie. Voire en favoriser la diffusion aux autres doigts. Car ce champignon raffole de chaleur et d'humidité !
    Ne prenez surtout pas la chose à la légère. L'onychomycose se soigne très bien… à condition de consulter un médecin. Aujourd'hui, un quart seulement des 5 millions de Français concernés sont pris en charge professionnellement. Le réflexe santé, c'est d'en parler immédiatement. Dès qu'un seul ongle change d'aspect. Surtout, ne vous habituez pas à cet aspect « bizarre » ! C'est le piège. Livrée à elle-même, l'onychomycose ne peut que s'aggraver et s'étendre à d'autres parties du corps.

    Source: Destination Santé (4/3/2008) www.onglesmalades.fr.

     

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  • Par Tendance
    La confrérie, défenseur amoureux du chou-fleur

    Saint-Omer : la confrérie, défenseur amoureux du chou-fleur
     La confrérie du chou-fleur s'est réunie, vendredi, en assemblée générale. Elle milite depuis 2004 pour la reconnaissance du chou-fleur de Saint-Omer, de la ville et du marais. Une mission d'amoureux que détaille le président, Roger Winock.
      


    Dire à quel point le chou-fleur de Saint-Omer « est tendre », « a bon goût », a la particularité d'être d'été. Dans la bouche de Roger Winock, président fondateur de la confrérie du chou-fleur, ces mots-là sonnent comme une évidence. Lui l'a cultivé, le chou-fleur, de l'âge de 14 ans à celui de sa retraite, une vie entière dédiée au même produit, comme si son existence et celle du légume étaient intrinsèquement liées.
    Ce n'est pas comme si, en fait. C'est comme ça. Roger Winock en sourit quand on lui fait la réflexion. Lorsqu'il crée la confrérie, en février 2004, avec dix-sept autres « confrères et consoeurs », ça lui paraît logique. « De très nombreuses personnes de l'extérieur ne savent pas que le chou-fleur est cultivé à Saint-Omer, que dans le marais, poussent six millions de têtes. On veut le faire connaître, pour améliorer la consommation. On travaille pour les maraîchers », confie Roger Winock.
    Les maraîchers ne sont pas les seuls à s'intéresser à la confrérie. Des restaurateurs, « toute personne qui aime le marais et le chou-fleur », dit le président, peut se porter candidat à l'intronisation. A l'heure actuelle, ils sont vingt membres fondateurs et autant d'actifs à défendre le chou-fleur par le biais de la confrérie. Malgré trois demandes cette année, le chiffre varie peu. « On souhaiterait rassembler plus de monde, ça nous permettrait de pouvoir plus nous déplacer. » Parce que c'est en voyageant, en rencontrant d'autres confréries, qu'on se fait connaître. L'année dernière, la confrérie du chou-fleur a conquis une trentaine de destinations. Espère en faire autant cette année. De Lille pour le salon culinaire, à Arras pour l'andouillette, en passant par la fête nautique ou le marché des saveurs dans le jardin public de Saint-Omer. « On essaie de répondre au maximum aux invitations qu'on reçoit.
    » Et de se faire remarquer. Avec sa tenue, la confrérie n'a pas trop de mal à le faire. « C'est un habillement peu ordinaire », confirme Roger Winock. Conçu comme tel. Avec le haut du chapeau blanc qui symbolise la pomme du chou-fleur, les feuilles vertes autour, et la tenue verte aux boutons comme des bouquets de choux-fleurs. « On nous reconnaît un peu partout. » Avec elle, la confrérie véhicule l'image du marais, de la ville de Saint-Omer, en même temps que celle du légume. « Au même titre que la cathédrale ou le musée Sandelin, le marais, le chou-fleur, font partie de notre patrimoine. Et ce patrimoine, on le défend, en lien notamment avec l'office de tourisme (lire ci-dessous). » Fidèle au serment de la confrérie : « Le chou-fleur est notre fierté et notre perle. Bien blanc, bien serré, formé de beaux bouquets, je fais le serment de le déguster de juin à novembre, en cet été de lumière, dans le respect de notre devise : la qualité ». •
    mardi 04.03.2008 JENNIFER-LAURE DJIAN
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    Je ne savais que l'on produisait du chou-fleur dans le Nord..
    Seule la Bretagne semble assurer la production Française.
    Le monde change..... Confused

    @+

     

     
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    Un Grec turbulent
      Un Grec turbulent
    Il défend la cuisine grecque et méditerranéenne pour son côté sain et goûteux, assure un service traiteur pour 1000 personnes si nécessaire, écrit un livre de cuisine et tâte même du pinceau.
    Salut l'artiste!
    Giannis Kalandranis ne quitte jamais le monde de la cuisine. Même pour ses peintures, il utilise des matériaux alimentaires et fouet et spatule lui servent de pinceaux. sedrik nemeth
    Giannis Kalandranis a plusieurs cordes à son arc. Cuisinier, homme d'affaires, éditeur et même peintre.
    Ce gourmand de la vie la croque à bouche que veux-tu. L'homme est sympathique, efficace et toujours partant. Pour satisfaire ses clients, il ne dit jamais non. Chez lui, les demandes particulières sont honorées. Végétariens, végétaliens, victimes d'une intolérance au gluten, ou d'une envie subite, appelez le Grand Bleu, son chef se pliera en quatre pour combler vos désirs.
    Qui c'est celui-là?
    Arrivé en Suisse en 1984 pour suivre les cours de l'Ecole hôtelière des Roches, à Bluche, Giannis Kalandranis se découvre un penchant pour la cuisine, pas étonnant avec un père journaliste porté sur la gastronomie et une mère cordon-bleu.
    Quelques stages plus tard, le jeune Grec crée la société de service traiteur: «Cuisine Evasion», tout en assurant, parallèlement, la promotion de la cuisine grecque, via des quinzaines gastronomiques dans toute la Suisse. De 1997 à fin 2000, il est à la tête du Grand Baillif à Sion, puis il achète, en 2004, le Restaurant Le Grand Bleu à Conthey. «La surface de ce restaurant me permettait de développer les activités de Cuisine Evasion, tout en gardant la clientèle que j'avais acquise à Sion», déclare Giannis Kalandranis qui relève: «Ce n'est pas évident pour un étranger de séduire le public valaisan.» Ah bon? Ceci n'a tout de même pas empêché Giannis de conquérir Corinne, valaisanne de la Noble Contrée et de lui faire trois beaux garçons: Andréas, Alexis et Nicolas. «Andréas est déjà intéressé par la cuisine, ce sera un grand chef. Curieux, gourmand et assidu, il en a les qualités. Alexis a plutôt le sens des affaires, quant à Nicolas, c'est un petit garçon très marrant, un artiste...»
    Un tempérament de latin
    Bouillant (en cuisine, c'est normal) vif et passionné, Giannis Kalandranis est un homme d'action. Il n'hésite pas à prendre des décisions spontanées; pas sur un coup de tête, mais parfois sur un coup de gueule. «Un soir, travaillant en cuisine avant le début du service, me sont parvenues des effluves de pipe. Interloqué, je passe du côté de la salle à manger et je découvre un client en train de fumer sa pipe.
    Comme je lui explique qu'en entrant dans un restaurant, on préfère sentir des odeurs de cuisine plutôt que de fumée, il répliqua que ce n'était pas un lieu non fumeur. Eh bien, dans la minute qui a suivi, je l'ai déclaré comme tel.»
    Idem lorsqu'on accuse les restaurateurs de trop majorer le prix des vins: il propose à ses clients d'amener leur propre bouteille. Dans le même état d'esprit, Giannis Kalandris a décidé, depuis la seconde guerre du Golfe, de supprimer tous les produits en provenance des Etats-Unis.
    Jamais à court d'idées
    Conscient de l'importance d'une alimentation saine, Giannis Kalandris prône le régime méditerranéen et les bienfaits des légumineuses. Une démarche qu'il défend aussi dans le cadre de l'association Euro-Toques. Il adhère au label Fourchette verte et propose même au sein de son service traiteur des repas labellisés.
    Jamais à court d'idées, il offre une réduction de 10% sur les réservations passées par internet (mais refuse les cartes de crédit), organise des journées portes ouvertes pour les écoles durant la Semaine du goût et invite les enfants à venir déguster la cuisine grecque durant cette même période. Quelle énergie! «J'ai de la chance, je suis entouré d'un personnel fantastique. Sandra, Liliana, Carlos et Jean-Pierre sont des fidèles. Je peux leur dire merci!»

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    Triangles aux épinards en pâte à fyllo
    Une recette de Giannis Kalandranis, Chef du restaurant grec "Le Grand Bleu" à Conthey (VS)
    Cette recette est extraite de Les secrets de Giannis. Saveurs méditerranéennes, aux éditions Cuisine Evasion
    Farce pour 4 personnes :
    * 100 gr d’épinards en branches cuits
    * 2 c à s d’aneth haché
    * ½ oignon haché
    * 30 gr de feta émiettée
    * 3 c à s de béchamel
    * Sel, poivre du moulin
    La pâte à fyllo se trouve dans les boutiques spécialisées en produits méditerranéens ou dans les grandes surfaces, uniquement congelée. Elle se présente sous forme de grands rectangles très fins, emballés séparément. C’est un produit grec qui s’accommode de recettes sucrées ou salées. Préparer la farce avant de déballer la pâte.
    Préparation :
    Griller l’oignon émincé à l’huile d’olive. Ajouter l’aneth en fin de cuisson. Réserver.
    Mélanger les épinards avec la feta, la béchamel et les oignons. Assaisonner de sel et de poivre du moulin.
    Comment travailler la pâte à fyllo :
    Prendre 2 feuilles, les badigeonner d’huile végétale et les remettre l’une sur l’autre. Couper 6 bandes de pâte dans le sens de la largeur. Poser la farce sur la partie supérieure et former ensuite un triangle. Cuire 8 à 10 minutes à 200°C.
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    1 mars 2008 - FRANCE MASSY     WS
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    06/03/2008

     

      La Banque des Rizières

      Il  y a quelques jours, une émission TV nous a montré une banque un peu spéciale aux  philippines.. Ceci afin d'établir une banque de semence des vaiétés de riz encore existantes.
    La banque de gènes de l'IRRI aux Philippines conserve encore environ 83 000 variétés.
    il parait qu'il existe encore 115.000 variétés de riz.. Les philippines, territoire menacé par les séismes et les calamités en tout genre, a commencé à transférer sa banque de gènes vers le site norvégien.. Dans l'émission un des protagonistes expliquait qu'on avait déjà perdu 20 à 30.000 variétés de riz dans le monde. C'est fou!  Et dire que l'on ne trouve plus dans le commerce de bonnes variétés de riz pour faire le bon riz au lait de notre enfance....
     

     

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  • Une soupe aux choux et un bon morceau de lard
    Une soupe aux choux et un bon morceau de lard

    L’émission le Plateau du J’Go enregistrée par la Mission Agrobiosciences à Radio mon Païs en février 2008 était consacrée à la biodiversité.
    Pour sa chronique "Le ventre du monde" Bertil Sylvander nous entraîne, dans les années 50, dans la cuisine d’une vieille demeure béarnaise, où la patronne s’affaire au repas de midi, en compagnie de madame Saint Laurent, employée de maison, qui l’aide dans cette tâche...
    Dans la cuisine de la vieille demeure béarnaise, la patronne s’affaire au repas de midi, en compagnie de madame Saint Laurent, employée de maison, qui l’aide dans cette tâche.
    En ces années 50, les cuisines n’ont pas le confort des cuisines actuelles : la pièce est sombre, à peine éclairée par une ampoule centrale, suspendue à son contrepoids de porcelaine. Une table centrale en guise de « plan de travail », un évier en pierre et quelques armoires.
    Dans le mur exposé au Nord, un placard, dont le fond à claire voie donne sur le jardin : c’est la pièce froide où l’on entrepose les aliments périssables.
    A travers la petite fenêtre, on voit le potager et ses rangs bien alignés, cultivés par le mari de madame Saint Laurent. La pièce est simple et accueillante. On sent à la fois l’encaustique et le fumet du repas, en train de cuire dans la marmite : légumes frais entourant une poularde abattue le matin même par madame Saint Laurent.
    L’atmosphère est amicale. Pour meubler le silence, mais aussi par réel intérêt pour cette dame, qui chaque été vient lui apporter son aide, la patronne se tourne vers elle :
    - Et vous, madame Saint Laurent, qu’allez vous manger ce midi ?
    - Oh, répond-elle, on va manger une soupe au choux et un bon morceau de lard. Intéressée, la patronne continue la conversation entamée :
    - Et hier, qu’avez-vous fait à dîner ?
    - Pareil ! Une soupe aux choux et un bon morceau de lard. La femme se met alors à rire :
    - Oh, chez nous, ce n’est pas comme ici. On mange tous les jours pareils : une soupe aux choux et un bon morceau de lard.
    Madame Saint Laurent habite une petite maison située dans un coin du parc et qui donne directement sur la rue du village. Son mari et elle sont les gardiens de la vieille demeure et s’en occupent en hiver. Ils ont eux-mêmes, à côté de leur logis exigu, un potager, un poulailler, quelques cochons, une remise à outils, un WC extérieur et une fontaine à manivelle.
    Ils cultivent leurs choux et tuent le cochon chaque année au mois de Février.
    Ils salent le jambon, font des pâtés, saucisses et saucissons, qui ne seront mangés que lors des fêtes : occasions familiales (communions, baptêmes, mariages, funérailles), et aussi bien entendu fêtes religieuses.
    Mais le reste du temps : soupe aux choux et ... bon morceau de lard !
    Un abîme sociologique sépare les deux familles, pourtant, si proches dans le quotidien et assises côte à côte à l’église, le Dimanche.
    Dans la famille de Mme Saint Laurent, on suit depuis la nuit des temps les rythmes recommencés de la vie rurale.
    Dans la famille bourgeoise de la patronne, les déterminants sociaux sont différents et les revenus plus élevés : on varie les repas, on varie les présentations, on varie les loisirs, on varie les sujets de conversations, on varie les voyages.
    On prépare sans le savoir le grand avènement - plus ou moins démocratique - de la variété.
    On ne se doute pas encore que, vers la fin du siècle, on sera inquiet pour la qualité des aliments et pour la pollution de l’environnement, mais on rit gentiment de Madame Saint Laurent, de sa soupe aux choux et de son bon morceau de lard !

     Bertil Sylvander 11 février 2008
     
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    Des souvenirs d'une époque où tout allait moins vite...
    La vie était âpre, simple et dure même, mais pas stressante comme aujourd'hui...
    C'est un temps à jamais révolu...
    Mais ne pourrions-nous pas remettre au gout du jour, ce qu'il y avait de bien à cette époque.
    Nous n'avancerons harmonieusement dans la modernité et le futur, qu'en vivant pleinement notre époque et avec un œil sur le rétro du passé...
    N'est-ce-pas ainsi que les automobilistes conduisent leur véhicule...
    Bonsoir

     

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  • Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu
      Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu
    Dans un contexte de pouvoir d'achat raplapla, l'interprofession bovine propose de cuisiner des viandes moins chères que le steak. À mitonner au coeur de l'hiver.

    « On essaie de redonner aux Français le goût de cuisiner des bourguignons et du pot-au-feu, explique Louis Orenga, le directeur du CIV, le Centre d'information des viandes. Par ces temps difficiles pour le pouvoir d'achat, il peut être intéressant de mitonner, le week-end, des plats avec les morceaux d'avant de la vache moins chers que l'entrecôte et les steaks. » C'est bon pour le porte-monnaie des ménages et pour celui des industriels. Ils peuvent mieux valoriser des parties de la vache plutôt boudées aujourd'hui. L'interprofession bovine grimpe jusqu'aux stations de ski dans le cadre de sa « tournée viande des neiges » pour faire goûter aux enfants des bouillons de pot-au-feu. « Souvent, c'est la première fois, qu'ils en mangent dans leur vie, souligne Louis Orenga. On leur explique aussi que l'été les vaches participent à l'entretien des alpages. »

    16 kg de boeuf par an


    Dans le cadre d'ateliers culinaires et sur la chaîne Cuisine-TV des chefs cuistots remettent au goût du jour des recettes un peu oubliées. Malgré ces efforts de communication, la consommation de viande rouge s'érode de 1 % par an. La production française est de 800 000 tonnes issue pour moitié du troupeau laitier et pour l'autre moitié des races allaitantes.
    Le Français consomme 16 kg de viande rouge dans l'année bien loin derrière l'Argentin avec 60 kg. Le boeuf n'a pas toujours bonne presse à cause de sa matière grasse. Ça fait bondir Gilles Gandemer, spécialiste des lipides à l'Inra, l'Institut national de la recherche agronomique. « En mangeant des croissants où des chocolatines vous avalez 15 % de matières grasses alors qu'une entrecôte ne dépasse pas 5 à 7 %, remarque-t-il. La consommation de viande apporte aussi un effet de satiété qui évite de grignoter entre les repas et donc de prendre du poids. »
    En fait, tout est une question d'équilibre. « Il faut surtout varier son alimentation, plaide le scientifique. Avec son mélange de viandes et de légumes, le pot-au-feu répond à cet impératif. « Si les gens n'ont pas le temps de le préparer qu'ils en achètent chez leur boucher-traiteur », disent en choeur Michel Renaudier et Gérard Luquet, deux bouchers retraités. Au Salon, ils font la promotion de leur métier devant le public. « On a vraiment le potentiel de clients, ajoutent-ils, mais on trouve de moins en moins de bouchers. À Paris, la profession est prête à en recruter 600 demain matin. »

    Jean-Paul LOUÉDOC. jeudi 28 février 2008

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      Répondre au sujetMabul : Mort  Mabul 
       

      Le pot au feu, ce plat que l'on apprécie surtout quand les frimas s'abattent sur le jardin.
    Un plat qui réchauffe le corps et le coeur..
    Un peu comme le couscous..
    ce n'est pas pour rien que ces plats sont devenus célèbres..
    Bon appétit Exclamation

    Bon après-midi WS

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  • La petite poule et le Premier ministre
     29/02/2008 15:43:58
    Il était une fois, une petite poule rousse qui se retrouva dans les bras d'un gentil Premier ministre originaire de la campagne sarthoise qui faisait son petit tour au Salon de l'agriculture. Comme elle lui était offerte par des gars du pays natal, ledit Premier ministre ne put refuser le cadeau qu'il confia aussitôt à l'un de ses gardes du corps, l'un de ces poulets de Paris que l'on rencontre dans tous les déplacements ministériels. On dit que le dit Premier ministre se trouva un peu interloqué lorsque le madré patron des Poulets de Loué lui expliqua que la petite poule rousse s'appelait Carla et qu'il précisa, non sans malice « qu'il ne savait pas si elle chantait juste ».

    Maintenant, me voilà tout énervé. Cette petite Carla me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus exactement quoi au juste ! Ces derniers temps, je commence à avoir des trous de mémoire. Pourtant, j'ai eu l'impression que les gars de la Sarthe avaient une idée derrière la tête. Même qu'une assistante de direction des Poulets de Loué a gentiment insisté: « S'il s'en occupe bien, elle peut pondre un oeuf par jour ». C'est balaise quand même !

    Je me demande bien ce qu'ils ont voulu dire, ces gars de la Sarthe !

    Jacques ROUIL. vendredi 29 février 2008
    Ligne
    Quand on devient meilleur que le patron, dans les sondages...
    On peut raisonnablement craindre pour sa survie politique.
    En France, sous la cinquième, les premiers ministres sont des fusibles...
    Le premier Sinistre...Comme disait Coluche..
    Rendez-vous aprés les élections..Il y aura certainement de la volaille sur le grill..
    Normal ! Me direz-vous, ce sera l'époque des barbecues..... Very Happy
    Tchao


    crayon
    Mabul sujet remixé

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  • Gourmand, forcément gourmand 
      Gourmand, forcément gourmand
    Le lundi, ce n’est plus raviolis.
    Grâce à LibéToulouse, c’en est fini du régime cantoche, sandwiches et surgelés à la maison.
    Chaque semaine, un fruit courant, un légume commun ou une viande, même d’en bas, subira les cuisines de Jean-Paul S.
    Aujourd’hui, c'est la carotte.
    La carotte, cette bien-aimable apiacée qui fait rougir les joues des bébés privés de ski et adoucit si bien la peau des femmes.
    Sachez quand même que l’idéal orange de ce légume peu calorique est tout à fait récent. 150 ans plus tôt, la chose était jaune. Un siècle avant encore, la carotte était blanche. Cette bizarrerie est confirmée par Alexandre Dumas dans son Dictionnaire de cuisine (Ed. 10-1Cool : «Il faut choisir les carottes jaunes ou d’un blanc pâle, se rompant aisément».
    L’apiacée, qui plus est, est bénéfique au corps. Crue et râpée depuis peu, ou bien à peine cuite à petits bouillons, pour conserver ses pro-vitamines A, la chose éloigne les pires diarrhées et apporte de salvateurs sels minéraux. On dit même que ses anti-oxydants militent contre le cancer. La belle affaire !
    Passons aux casseroles : «Alors là, pas de problèmes, vous dira Jean-Claude Plazzotta (Le pois gourmand). Avec les fanes, qu’il ne faut surtout pas jeter, vous faites un bouillon. Vous faites revenir à côté vos carottes en rondelles et vous arrosez de temps en temps avec votre bouillon. Sel, poivre, une épice que vous aimez, et le tour est joué. Zéro pertes. Tout dans la bouche, rien dans la poubelle».
    «Dites à vos lecteurs de s’amuser un peu, ajoute Yannick Delpech (L’Amphitryon). Vous achetez des babas et, au lieu de les imbiber de rhum, vous les faites infuser dans le jus frais d’une carotte mixée avec du citron, du sucre et du cumin. Vous servez, accompagné d’un sorbet à la carotte. C’est super !».
    Avec la carotte, Stéphane Tournié (Les jardins de l’Opéra) préconise plutôt des envies simplicites mais précises : «L’autre jour, j’ai fait une purée de carottes à mes enfants, bien lisse, au mixeur, avec une pointe de canelle et un soupçon de cumin. On la pose sur un poisson frais, juste poêlé. Ils en ont redemandé, c’est bon signe !».
    Mo Bachir (La corde) est plus aérien encore : «Dites à nos amis de passer des carottes crues au mixeur, avec quelques herbes, un peu de sucre plus des jaunes d’œufs. Vous battez les blancs en neige et vous mélangez doucement. Vous beurrez un plat à soufflé, vous y mettez le tout, et hop, au four ! Ils verront : c’est drôlement bon ».
    Daniel Gonzalez (Ô Saveurs) conseille de son côté «une sorte de confiture de carottes. A la casserole, sur feu doux, avec du sucre et un parfum de poivres et de cumin. On mixe et on sert sous un filet mignon de porc ou une autre viande blanche et neutre. C’est fabuleux, et même pas cher».
    Et qu’est ce qu’on boit, avec ? «Si la carotte est crue, vous dira François Dedieu, œnologue à Paul Sabatier, un rosé sera moins dur qu’un rouge. Et pour la vinaigrette, utilisez un vinaigre de cidre qui heurtera moins les tanins du vin. Si elle est confite, alors je vois plutôt un rouge un peu chaud, un Fitou par exemple».
    Si vous ne voulez pas cuisiner vos carottes, alors allez manger des tartes chaudes chez Carole. Son « Estaminet », situé au 4 de la Place du Parlement de Toulouse (Tel : 05.61.53.64.44), propose chaque midi de réconfortantes tartes salées, bonnes et pas chères, qu’elle accompagne toujours de carottes râpées fraîches et goûteuses. Et si vous demander du rab de carottes, de la part de LibéToulouse, Carole vous souriera encore. Elle est trop forte, Carole !

      Jean-Paul S. Un peu plus ? www.cuisinesretrouvees.com 25/02/2008
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      Et en plus ça rend aimable Very Happy  @+ WS

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  • Les textos, listes de courses et recettes de cuisine s'exposent au musée
      Les textos, listes de courses et recettes de cuisine s'exposent au musée

    .
    Vous n'avez jamais pensé à admirer vos listes de courses ou à contempler vos textos ? Du 2 mars au 22 avril*, le musée des Beaux-Arts de Nantes vous en donne l'occasion, en portant un « regard sociologique, ethnologique et anthropologique » sur 300 petits écrits du quotidien (recettes de cuisine, messages griffonnés sur un coin de table...) collectés aux archives départementales ou auprès de particuliers de Loire-Atlantique. L'exposition itinérante « Ecritures (extra)ordinaires », qui a déjà reçu plus de 18 000 visites en Pays de la Loire, veut « faire prendre conscience de l'importance » de cette petite littérature, explique Tiphaine Yvon, chargée du projet. « C'est un champ d'exploration assez nouveau : très peu de choses ont été faites jusque-là dans ce domaine. »

    « Une idée reçue voudrait qu'aujourd'hui on n'écrive plus, et particulièrement les jeunes », explique Tim Northam, scénographe de l'expo. « Or, c'est totalement faux : l'ordinateur a nettement réveillé l'écriture, avec des contraintes fortes. »

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    C'est vrai on pratique plus l'écriture devant un ordinateur, que devant la télé..
    L'informatique et internet sont de grands concurrents pour la télévision.
    Bonsoir


    Guillaume Frouin - ©2008 20 minutes

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  • Arrêtez d'imiter la cuisine italienne !
      Bonsoir
    Arrêtez d'imiter la cuisine italienne !
    L'éditorialiste Beppe Severgnini prend la défense de la cuisine italienne authentique. "Arrêtez de manger de la fausse cuisine italienne. Arrêtez de sanctifier quiconque ayant un nom se terminant par une voyelle et écrivant des livres de cuisine. Arrêtez de commander un cappuccino fumant après des pâtes aux coques. Ce message ne s'adresse pas seulement aux Américains, même si ce sont eux les pécheurs les mieux intentionnés. Il s'adresse à tous les étrangers. Nous leur disons d'aimer la nourriture italienne, mais de ne pas en encourager la parodie. Le succès planétaire de notre cuisine est dû à sa simplicité et, au fait qu'elle est facile à imiter, saine et économique. Ces caractéristiques, ainsi que la diaspora de ces 150 dernières années, ont porté nos traditions culinaires dans le monde entier (?). L'attaque que subit la cuisine italienne est insidieuse parce qu'involontaire : les saboteurs agissent en fait par amour."

    Corriere della Sera (Italie) 22/02/2008
     
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        Les pâtes sont véritablement une nourriture très saine sur le plan diététique..
    Le fruit de la cuisine Italienne..
    Importées par Marco Polo lors de son voyage en Chine, dit-on.....

    @+   WS

     

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  • Une étagère pour les fleurs
      Une étagère pour les fleurs
    Plant Ladder Stretches Your Growing Space
    27/02/2008 19:31:27 
    Originale et, somme toute assez simple...



    Toujours MADE IN USA
    Une variante





    WS


    sujet remixé Mabul

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  •  

    La demande de légumes oubliés
      La demande de légumes oubliés en forte progression en France


    Les fruits et légumes oubliés qui avaient disparu des assiettes des Français parfois depuis des siècles, mais ont été remis à la mode par la vogue "bio", refont surface depuis plusieurs années et leur demande explose, selon leurs promoteurs, qui en débattront au Salon de l'Agriculture.

    Philippe Desbrosses, PDG de la ferme bio de Sainte-Marthe à Millançay (Loir-et-Cher), évoquera lors d'une rencontre ce retour en force des crones du Japon, panais et autres potimarons, qu'il date du "début des années 80". Sans pouvoir donner de chiffres sur cette vogue qui touche aussi bien le Bio que le secteur traditionnel, il évoque "20% d'augmentation depuis une dizaine d'années". Samantha Breitembruch, de Biocop, le plus important réseau de magasins Bio en France, indique que son organisation a enregistré une croissance de +22% des ventes de fruits et légumes en 2007 et de + 7% en 2006, dont des légumes anciens.

    "Nous ne distinguons pas dans nos statistiques les produits anciens ou rares, mais il est évident qu'il y a une forte demande et qu'elle inclut les variétés oubliées. Si vous êtes à la recherche de ce genre de produits moins standardisés, il y a plus de chance que vous les trouviez chez nous que dans le secteur conventionnel', dit-elle. "Depuis le début du XXe siècle, 75% des variétés comestibles cultivées ont disparu, selon la FAO, l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture. Des mille variétés de pommes qui existaient en France, il n'en reste plus que vingt ou trente, dont la golden, qui a colonisé le verger français et européen", explique M. Desbrosses. "Après cette extinction massive, qui a démarré dans les années 50 avec l'agriculture intensive, l'opinion s'est rendue compte du désastre et de l'appauvrissement de la biodiversité et a voulu retrouver ces variétés anciennes", dit-t-il.

    A titre d'exemple de variétés cultivées chez lui, M. Desbrosses cite des rutabagas et les topinambours, consommés par nécessité durant la Seconde Guerre Mondiale, et qui ont retrouvé les faveurs des consommateurs, mais aussi des panais, sorte de longue carottes blanches, très en vogue de nos jours, qui étaient absents des marchés français, à l'exception du Nord, depuis deux siècles. "Plante favorite de l'Empereur Tibère, qui envoyait des émissaires en Allemagne pour lui en ramener, il avait disparu depuis le XIXe siècle au profit de la carotte, pour des raisons de mode, et a été réhabilité depuis vingt ans", souligne M. Desbrosses.


    La Ferme-de-Sainte Marthe qu'il dirige est le prototype de ce retour aux sources ou de découvertes. On y cultive aussi bien du potimaron issu de l'Amérique pré-colombienne et importé en Europe depuis 1957, que des cerfeuils tubéreux, "de grosses raçines qui rappelent les chataignes, valent très chers et sont utilisés par les grands restaurateurs", ou des arroches, "des sortes d'épinards". Sur cette exploitation de cent vingt hectares, les légumes anciens redécouverts sous forme de graine, de bouture ou de plant, sont privilégiés.
    Chaque année, la ferme "reçoit de 30 à 40 variétés originales qui lui sont envoyées par des jardiniers amateurs, des universités ou des centres de recherche", explique Jean-Yves Fromonot, un des responsables. Après identification, les semences "conservées dans des endroits frais et secs, sont vendues sur notre catalogue par internet ou via le réseau Nature et Découverte", indique Patrick Maliet, un autre responsable de Sainte-Marthe

    Publié le 22/02/2008 www.terre-net.fr, un titre Terre-net Média
    _______________________________________________________________________
    Moins de standardisation..
    Plus de biodiversité..
    Malheureusement des prix plus élevés...
    On ne peut pas tout avoir...
    WS .
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  • Un monde  fou fou fou ...

      Cuisine de dans 10 ans
    Un monde  fou fou fou ...
     ______________________________________________________________


    ___________________________________________________________________________

    _________________________  


    __________________________ ________________________________________________
    Dans le cadre d'un proet futuriste pour la marque Brandt,

    ce styliste français envisage une meuble qui fait à la fois jardinière, évier et cuisinière.

    Une fois fermé, le meuble ne fait que ... jardin.
    _______Antoine  Lebrun__________________________________________________________________

    On les a connu plus sage que cela ces fabricants de machine à laver..
    Et si le végétal pouvait remplacer certaine matière de décoration dans les maisons.
    Pensez à une moquette de salon en vrai ray-grass, par exemple..
    A la place de l'aspirateur on passerait une petite tondeuse..
    Bon! Là on délire......
    Quoique!!!!!
    WS



    sujet remixé Mabul : Mort Mabul lien casséLa quintinie

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  • La chasse aux chats sauvages

    Posté le: Dim 24 Fév - 18:36 (2008)
    Sujet du message: La chasse aux chats sauvages



    .Il n'est pas normal que des chats domestiques retourne à l'état sauvage..La méthode employé pour se débarrasser des chats errants est tout aussi inacceptable..Si ces chats sont en trop grand nombre, il existe des moyens corrects et humanitaires pour en limiter le nombre..Il n'est pas légitime de laisser des chasseurs bredouilles se venger sur des animaux, qui n'étant pas encore complètement sauvages, ne se méfieront pas assez du chasseur qui va les massacrer.La faune sauvage, très méfiante, vend chèrement sa peau ou ses plumes, au grand désespoir des  pseudo chasseurs de piètre qualité qui arpentent le plus souvent, aujourd'hui nos vallons et nos campagnes et rentrent le carnier vide à la maison..La chasse a toujours été une pratique de grande technicité, tant que l'homme a dû chasser pour subvenir à sa subsistance.Ce n'est plus le cas aujourd'hui..Le carnage dominical est devenu un jeu..Donner la mort, même par nécessité, ne pourra jamais être un jeu.Tous les reportages ,sur les peuplades dites primitives ou sauvages, démontrent le haut degré de compétence et de savoir- faire de ces peuples dont la subsistance reposent sur la chasse.Je dirais plutôt sur le prélèvement dans la faune sauvage...Car ils prélèvent que ce qu'ils ont besoin..Et pour cela ils nous font percevoir, à nous les civilisés, à quel point l'acuité de certains sens s'est émoussée au fil des millénaires..L'odorat, la vue (bientôt tout le monde portera des lunettes)et même l'ouie sont des sens qui on perdu de leur finesse.Ces peuples chassent autant avec leurs armes (très rudimentaires) qu'avec leurs sens et leur observation du milieu.Nos sois-disant chasseurs ne peuvent pratiquement plus que spéculer sur le numéro de plomb à mettre dans la gueule de leurs fusils....Ne pourrait-on pas comme certains pêcheurs remettre l'animal, aussitôt après capture dans son milieu naturel ?Pour la chasse, c'est impossible vous me direz..Le coup de feu au but est toujours mortel..Mais notre technologie très avancée, ne pourrais-t-elle pas concevoir un moyen infaillible de marquer le gibier visé, sans le tuer, ni le blesser( ce qui peut être le plus souvent encore pire)..Il y a , aujourd'hui, des gens qui jouent à des simulacres de petites guerres, où les victimes sont authentifiées par un jet de peinture. (Il faut de tout pour faire un monde).Ne pourrait-on pas trouver des moyens analogues ?Si, aux dires des chasseurs la chasse est un sport...Et confier aux professionnels de la nature, le soin de réguler les espèces sauvages, afin d'assurer leur développement harmonieux au sein de leur environnement..Allez ! On peut toujours rêver...Mais les animaux domestiques qui retourneraient, pour  diverses raisons à l'état sauvage, ne méritent absolument pas une telle extermination..Comme dans la savane, la jungle ou la steppe, les animaux d'origine sauvage, relâchés, après un passage en captivité, sont en grand danger..Ils ne craignent plus l'homme et les prédateurs...Et c'est là leur faiblesse....Les reportages cinématographiques animaliers ( fort beaux et forts intéressants d'ailleurs) nous le rabâchent continuellement.....Et cela est bien..

    White Satin

     

     

     
     
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  • Le printemps par Giuseppe Arcimboldo

    Bonjour 

    Posté le: 22/02/2008 02:30:51   

    Le printemps par Giuseppe Arcimboldo
    Une définition du printemps...
    Par Giuseppe Arcimboldo ...
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    Amusantes ou mystérieuses, les œuvres de Giuseppe Arcimboldo ne passent pas inaperçues. Jusqu'au 13 janvier 2008, le Musée du Luxembourg à Paris rend hommage à ce peintre méconnu de la Renaissance italienne. Joues en pêche, nez en courgette et cheveux en grappes de raisin vous attendent à cette première exposition mondiale consacrée au créateur des célèbres têtes composées.
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    Effectivement cela a de quoi surprendre..
    Mais nous reviendrons sur cela..
    Nez en courgette et cheveux en grappes de raisin, çà nous branche, nous les jardiniers...
    Bonsoir
    Mabul

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  • Grass
      Grass

    Une création du designer Claydies, ce vase fabriqué à la main en grès représente des ... herbes qui d'après son créateur "apportent une nouvelle vie aux fleurs coupées" (comme quoi, l'illusoire est le privilège de l'herbe).

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    Bonjour
    Si cela plait aux fleurs...Après tout....Pourquoi pas Question

    http://www.normann-copenhagen.com/Designers/Claydies
    On rit
    Chacun jugera selon ses gouts
    WS

    sujet remixé Mabul : Mort Mabul

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  •  

       
    20/02/2008

     

      OGM, Clones et Criminalité

      C'est vrai que les OGM et les Clones n'ont pas fait la pleine démonstration de leur nocivité.Mais manipuler les gènes sans en avoir pleinement mesuré les conséquences, relève de la criminalité..Même si les propriétés d'un OGM ou d'un clone sont déterminées et connues pour un organisme vivant donné.Il y a toujours le risque de contamination aux autres organismes vivants..Le simple principe de précaution s'impose..On a commis les mêmes erreurs avec les applications de la fission du noyau atomique..

     

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  •  

    Chou-fleur orange à la crème
      Chou-fleur orange à la crème


    Cuisson : 5 min
    Pour 4 personnes

    . 1 chou-fleur orange
    . 50 g de crème
    . 1 endive

    Préparation
    Cuire pendant 5 min la moitié du chou-fleur orange dans de l'eau salée.

    Egoutter et séparer les fleurettes.

    Les écraser à la fourchette et les incorporer à la crème.

    Mixer et décorer avec de petites fleurettes crues.

    Servir dans les feuilles d'endive
    WS
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  •  

      Le compost, ça s’apprend…
     
      Le compost, ça s’apprend…
    Réaliser un compost, c’est plus simple que ça en a l’air. Pour s’initier à l’art du compostage, rien de tel qu’une formation sur le terrain ou qu’une séance d’information. Et pourquoi pas ensuite passer le mot à ses voisins ?
    Le compost ? C’est plus simple que ce que l’on ne pense… En compostant ses déchets de jardin et ses déchets organiques de cuisine comme des épluchures de fruits et de légumes, des sachets de thé ou votre marc de café (et bien d’autres substances encore) dans son jardin et même à l’intérieur, il est possible de réduire de plus d’un tiers le poids de la poubelle ménagère. Mais la réussite du processus dépend du respect de certaines règles simples.
    Qui se sent l’envie de se lancer dans l’aventure aura peut-être besoin d’un coup de main et de conseils pratiques. C’est pourquoi Bruxelles Environnement (anciennement IBGE) en partenariat avec Inter Environnement Bruxelles (IEB) organisent deux types de formations gratuites au compostage. D’une part, une formation pour devenir « maître composteur », un expert en compostage qui fera ensuite passer son savoir à d’autres. D’autre part, des formations plus courtes de type individuel abordant le compostage et le vermicompostage (technique destinée aux personnes ne possédant pas de jardin).
    Catherine Maréchal, chargée du projet à IEB, s’occupe des formations aux composts : « Bruxelles Environnement sort tous les 5 ans un plan de prévention et de gestion des déchets, avec des objectifs chiffrés notamment sur le compost. En 2007, l’objectif était de faire composter 10% des Bruxellois. Le nouveau plan déchets est en cours d’élaboration avec de nouveaux objectifs à atteindre. »
    Pourquoi ne pas devenir maître composteur?
    La formation « maître composteur » se déroule une fois par an, en 10 séances de 3 heures données par des professionnels. Réservée à une quinzaine de personnes, cette formation longue s’adresse à tous les Bruxellois, même aux novices… « Tant qu’ils gardent à l’esprit qu’ils ne sont pas là uniquement pour apprendre la technique à titre individuel mais aussi pour passer leur savoir, souligne Catherine Maréchal. Les candidats les plus motivés sont sélectionnés en fonction des candidatures sur base d’un questionnaire. » Cette formation vise donc tous ceux qui veulent partager leur savoir avec toute âme de jardinier désireux de défendre l’environnement en ville.
    « Cette formation donne de la théorie, mais aussi la possibilité de pratiquer sur le terrain. Les participants construisent une compostière, découvrent ce qu’ils peuvent y mettre, apprennent à retourner le compost, vérifient s’il est trop sec ou trop humide… ». Un cours de communication est donné en fin de formation pour apprendre aux maîtres composteurs à partager leurs connaissances. « Ils reçoivent une question à laquelle ils doivent répondre devant un groupe tout en étant filmé. Ensuite, ils visionnent la vidéo, c’est un bon exercice pour voir s’ils ont retenu la matière apprise et savent la transmettre ».
    En plus de pouvoir donner des conseils à des voisins et à des amis, « ils doivent s’intégrer au réseau de maîtres composteurs bénévoles et mener des actions en vue de promouvoir le compostage », explique Cathernie Maréchal. Les maîtres composteurs sont sollicités plusieurs fois par an pour tenir des permanences aux stands d’événements comme la journée sans voiture, la fête du printemps, la fête de l’Environnement… Ils sont également sollicités par des associations, des écoles ou des communes qui souhaitent faire une animation compost. Certains lancent leurs propres projets avec de nouvelles idées. »
    Apprendre à composter rapidement !
    Pour ceux qui ne se sentent pas l’âme du passeur de bonnes pratiques, mais qui désirent se lancer dans le compostage à titre personnel, d’autres formations existent de type court. Organisées à Bruxelles, elles sont ouvertes à tous et se tiennent deux fois par an, au printemps et en automne. « Ce sont les saisons qui correspondent le mieux au compostage. En automne, les feuilles mortes s’amassent et sont une bonne matière à récupérer pour être compostées. Au printemps, la vie redémarre dans le jardin. »
    Pour ceux qui disposent d’un jardin, la formation sur le compostage individuel est davantage une séance d’informations, comprenant deux heures de théorie suivies d’une séance pratique. Elle répond tant aux questions des habitués du compost qu’à celles des non connaisseurs. En moyenne, 50% des participants à cette formation sont convaincus et ont un compost chez eux. Un suivi permet de sonder si la formation a porté ses fruits. « Un an après la formation, un questionnaire est envoyé aux participants. Ils y posent leurs questions et expliquent les problèmes rencontrés. Nous les recontactons ensuite pour leur apporter des réponses».
    Et pour ceux qui n’ont pas de jardin, pas de panique, il existe aussi un moyen de composter à l’intérieur : le vermicompostage (processus naturel par lequel les matériaux biodégradables sont convertis, grâce à l’action des verres de terre, en un amendement riche : le compost). Un exposé théorique suivi par une demi-heure consacrée à la réalisation d’une vermicompostière avec le matériel adéquat (des bacs en plastique perforé, la préparation de la litière, …). Présents également lors de ces séances, les maîtres composteurs montrent différents modèles de vermicompostières (artisanales ou commerciales) et répondent aux questions avant et après l’exposé théorique du conférencier.
    En 2007, près de 200 curieux ont participé aux formations de compostage individuel et de vermicompostage. Au rendez-vous, observation, découverte, mais aussi l’occasion de faire table rase sur certaines idées reçues qui ont encore trop souvent tendance à freiner les plus sceptiques. Exemple classique : un compost dégage de mauvaises odeurs. Détrompez- vous, il n’en est rien ! Alors, convaincus ?
    Ligne
    Convaicu !
    Bye
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  • Savez-vous quel est votre arbre symbolique ?

      Savez-vous quel est votre arbre symbolique ? 

    Posté le: 29 Déc 2007 à 9:25

     

    Recherchez votre date de naissance dans la liste qui suit et vous trouverez votre arbre...

    Un petit jeu amusant qui s'inspire de l'astrologie celtique (astrologie des arbres).

    23 déc. au 01 janv. - Pommier
    02 janv. au 11 janv. - Sapin
    12 janv. au 24 janv. - Orme

    25 janv. au 03 fév. - Cyprès
    04 fév. au 8 fév. - Peuplier
    09 fév. au 18 fév. - Cèdre

    19 fév. au 28 fév. - Pin
    01 mars au 10 mars - Saule pleureur
    11 mars au 20 mars - Tilleul

    21 mars - Chêne

    22 mars au 31 mars - Noisetier
    01 av. au 10 av. - Cormier
    11 av. au 20 av. - Érable

    21 av. au 30 av. - Noyer
    01 mai au 14 mai - Peuplier
    15 mai au 24 mai - Châtaignier

    25 mai au 03 juin - Frêne
    04 juin au 13 juin- Charme de la Caroline
    14 juin au 23 juin - Figuier

    24 juin - Bouleau

    25 juin au 04 juill. - Pommier
    05 juill. au 14 juill. - Sapin
    15 juill. au 25 juill. - Orme

    26 juill. au 04 août - Cyprès
    05 août au 13 août - Peuplier
    14 août au 23 août - Cèdre

    24 août au 02 sept. - Pin
    03 sept. au 12 sept. - Saule pleureur
    13 sept. au 22 sept. - Tilleul

    23 sept. - Olivier

    24 sept. au 03 oct. - Noisetier
    04 oct. au 13 oct. - Cormier
    14 oct. au 23 oct. - Érable

    24 oct. au 03 nov. - Noyer
    04 oct. Au 11 nov. - Peuplier
    12 nov. au 21 nov. - Châtaignier

    22 nov. au 01 déc. - Frêne
    02 déc. au 11 déc. - Charme de la Caroline
    12 déc. au 21 déc. - Figuier

    22 déc. - Hêtre

    BOULEAU (l'inspiration) - Enjoué, séduisant, élégant, amical, sans prétention, modeste, n'aime pas les excès, a en horreur la vulgarité, aime la vie dans la nature et le calme, n'est pas très passionné, regorge d'imagination, a peu d'ambition, créé une atmosphère calme et satisfaisante.

    CÈDRE (la confiance) - D'une rare beauté, sait s'adapter, aime le luxe, jouit d'une bonne santé, loin d'être timide, a tendance à regarder les autres de haut, est sûr de lui, déterminé, impatient, aime impressionner les autres, a de nombreux talents, travailleur, d'un optimisme sain, attendra son seul vrai amour, capable de prendre des décisions rapidement.

    CHARME DE LA CAROLINE (le bon goût) - D'une beauté affranchissante, fait attention à son apparence et à sa condition physique, fait preuve de bon goût, n'est pas égoïste fait en sorte que sa vie soit aussi confortable que possible, mène une vie raisonnable et disciplinée, recherche la gentillesse et la reconnaissance chez un partenaire de vie, rêve d'amants exceptionnels, est quelquefois heureux de ses sentiments, a peu confiance dans la plupart des gens, n'est jamais certain de ses décisions, est très consciencieux.

    CHÂTAIGNIER (l'honnêteté) - D'une beauté peu commune, ne veut pas impressionner, a un sens de la justice très développé, est intéressé, un diplomate, ne s'irrite pas facilement et est souvent blessé en société en raison de son manque d'estime de lui, quelquefois donne l'impression d'être supérieur, a l'impression de ne pas être compris, n'aime qu'une fois, peut avoir des difficultés à trouver un partenaire.

    CHÊNE (le brave) - De nature robuste, courageux, fort, implacable, indépendant, raisonnable, n'aime pas le changement, aime garder les pieds sur terre, une personne d'action.

    CORMIER (la délicatesse) - Plein de charme, enjoué, talentueux sans être égoïste aime attirer l'attention, adore la vie, le mouvement, l'agitation et même les complications, est à la fois dépendant et indépendant, fait preuve de bon goût, est artistique, passionné, émotif, est de bonne compagnie, mais ne pardonne pas.

    CYPRÈS (la fidélité) - Fort, musclé, adaptable, prend ce que la vie a à offrir, content, optimiste, a soif d'argent et de reconnaissance, déteste la solitude, amant passionné qui ne peut être satisfait, est fidèle, s'emporte facilement, est indiscipliné, pendant et négligent.

    ÉRABLE (l'indépendance d'esprit) - Sort de l'ordinaire, débordant d'imagination et d'originalité, timide et réservé, ambitieux, fier, sûr de lui, désire ardemment vivre de nouvelles expériences, est quelquefois nerveux, possède plusieurs complexités, a une bonne mémoire, apprend facilement, a une vie amoureuse compliquée, désire impressionner.

    FIGUIER (la sensibilité) - Très fort, un peu entêté, indépendant, ne tolère pas les contradictions ou les controverses, adore la vie, sa famille, les enfants et les animaux, un peu volage en société, a un bon sens de l'humour, aime l'oisiveté et la paresse, possède des talents et une intelligence pratiques.

    FRÊNE (l'ambition) - Très séduisant, vif, impulsif, exigeant, ne se préoccupe pas des critiques, ambitieux, intelligent, talentueux, aime jouer avec le destin, peut être narcissique, très fiable et digne de confiance, amant fidèle et prudent, laisse quelquefois sa tête avoir le pas sur son coeur, mais prend le couple très au sérieux.

    HÊTRE (le créatif) - Fait preuve de bon goût, s'inquiète de son apparence, matérialiste, démontre un bon sens de l'organisation en ce qui concerne sa vie et sa carrière, est économe, bon dirigeant, raisonnable, ne prend pas qui permet de garder la forme (diètes, sports, etc.).

    ORME (la générosité) - De forme plaisante, porte des vêtements élégants, a des exigences modestes, a tendance à ne pas pardonner les erreurs, enjoué, aime mener mais n'aime pas obéir, partenaire fidèle, aime prendre des décisions pour les autres, généreux, a un bon sens de l'humour, est pratique.

    NOISETIER (l'extraordinaire) - Charmant, peu exigeant, très compréhensif, sait comment faire bonne impression, ardent défenseur des causes sociales, populaire, d'humeur changeante, est un amant capricieux, honnête, un partenaire tolérant, possède un sens précis du jugement.

    OLIVIER (la sagesse) - Aime le soleil, la chaleur et les doux sentiments, équilibré, évite les agressions et la violence, tolérant, enjoué, calme, possède un sens de la justice bien développé, sensible, emphatique, n'éprouve pas de jalousie, aime lire et aime être entouré de gens sophistiqués.

    NOYER (la passion) - Implacable, surprenant et plein de contrastes, souvent narcissique, peut démontrer de l'agressivité, est généreux, de vastes horizons s'ouvrent à lui, peut avoir des réactions inattendues, est spontané, fait preuve d'une ambition sans limite, aucune flexibilité, est un partenaire difficile et peu commun, n'est pas toujours aimé mais est souvent admiré, stratège hors pair, très jaloux et passionné, ne fait aucun compromis.

    PEUPLIER (l'incertitude) - Très décoratif, n'a pas beaucoup confiance en lui, courageux seulement lorsque nécessaire, a besoin d'être entouré de personnes plaisantes et de bonne volonté, très sélectif, souvent solitaire, peut éprouver une grande animosité, possède une nature artistique, est un organisateur, a un penchant pour la philosophie, fiable dans toutes les situations, le couple est très important pour lui.

    PIN (le particulier) - Adore être entouré de gens agréables, très robuste, sait comment rendre la vie confortable, est très actif, naturel, un bon compagnon, rarement amical, devient facilement amoureux, mais sa passion s'éteint vite, renonce facilement, tout est matière aux déceptions jusqu'à ce qu'il rencontre son idéal, est digne de confiance et pratique.

    POMMIER (l'amour) - Frêle possède beaucoup de charme, a un bon pouvoir de séduction et d'attraction, a une aura plaisante, aime flirter, est aventureux, sensible, toujours en amour, veut aimer et être aimé, partenaire tendre et fidèle, est très généreux, a des talents scientifiques, ne vit que pour aujourd'hui, est un philosophe insouciant et imaginatif.

    SAPIN (le mystérieux) - Fait preuve d'un goût extraordinaire, est digne, sophistiqué, adore tout ce qui est beau, est d'humeur changeante, entêté, a une tendance à l'égoïsme, mais est attentif aux personnes qui sont proches de lui, est plutôt modeste, très ambitieux, talentueux, travailleur, un amant insatisfait, a plusieurs amis, plusieurs ennemis, on peut compter sur lui.

    SAULE PLEUREUR (la mélancolie) - Beau mais plein de mélancolie, séduisant, très emphatique, aime tout ce qui est beau et de bon goût, aime voyager, est rêveur, agité, capricieux, honnête, peut être influencé mais il n'est pas facile à vivre, exigeant, bonne intuition, souffre en amour mais trouve quelquefois un partenaire qui lui sert de point d'ancrage.

    TILLEUL (le doute) - Accepte calmement les leçons parfois difficiles que lui impose la vie, déteste la bagarre, le stress et le travail, n'aime pas la paresse et l'inaction, est doux et se laisse fléchir facilement, fait des sacrifices pour ses amis, a plusieurs talents mais n'a pas la ténacité nécessaire pour les développer, se plaint et gémit souvent, est très jaloux mais est aussi loyal.


    White Satin
    Administrateur
    Posté le: 29 Déc 2007 à 10:25
    Marie
    Très beau sujet...
    Moi je suis Noyer...

    Big-woman
    Modérateur
    Posté le: 29 Déc 2007 à 10:40
    Moi, je suis cyprès
    ça débute bien : fort, imposant, big woman, c'est pas un pseudo pour rien
    Le reste , pas vraiment ça
    a soif d'argent : sûrement pas, au contraire !
    de reconnaissance !!!! Oh oui, ç'est un grave défaut !
    Déteste la solitude !!!!!! Ben non, je préfère même
    Indiscipliné !!!! Oh oui !
    Fidèle : Oui
    Mais j'ajoute : très rancunière !!!!!!! Est-ce une qualité ???? Parfois oui !

    Alors, allez-y faites votre examen de passage


    Posté le: 05 Jan 2008 à 16:52
    En tout cas les images évoquent la passion et l'érotisme..
    Ces arbres ont visiblement été dirigés dans ce sens .


    sujet remixé Sujet publié sur HéberGForum Mabul : Mort

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