• Vieillir

     

    Vieillir  

     

    V oici qu'arrive le soir insidieusement, sournoisement,

    I l faisait encore si clair, il y a quelque temps

    E t ces douleurs qui font le corps se pencher

    I l nous arrive parfois de les oublier

    L entement, on avance sans pouvoir

    L e temps commande, jamais d'au revoir

    I ci lutter ne sert à rien, on peut juste retarder

    R egarder nos enfants pour toujours adorés.

     

    Lilou

     
       
     

    Revue de l’atelier « virtuel » d’écriture « LE CLAVIER LIBRE »  N°03 – Novembre  2012

    « A la Sainte-Catherine, tout bois prend racine « Coton tiges », tu les appelais. »

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