• Regain d'intérêt pour les jardins

     

    Regain d'intérêt pour les jardins
     

     Objet d'une véritable redécouverte depuis le regain d'intérêt pour les jardins à partir des années 1970, ces savoirs et ces savoir-faire présentent en fait un degré de complexité qui pose la question de leur transmission à travers le temps. Celle-ci peut tout d'abord s'appréhender par le truchement de leur codification. Supports de cette « mise en art » (reducho in artem), les traités montrent ainsi comment la réalisation des jardins, traditionnellement rattachée à l'agriculture, s'en émancipe au cours du xviie siècle. Énumérant les qualités nécessaires au jardinier dans son Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art (1638), Jacques Boyceau de la Barauderie cite la connaissance du sol, du climat et des plantes, mais aussi la maîtrise du dessin et de la géométrie, ainsi qu'une bonne familiarité avec l'architecture. La Théorie et la pratique du jardinage d'Antoine-Joseph Dezallier d'Argenville comprend, dans son édition la plus complète (1747), une partie entièrement consacrée à l'hydraulique, qui fait écho à l'Architecture hydraulique (1737-1739) publiée par Bernard Forest de Bélidor.

    Un jardin blanc
       Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet
     
       
     Â suivre     Retour

       Compteur de visiteurs en temps réel

    « Un petit coin de paradis au coeur du TernoisBuvons du purin! »

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :