• Les carnets de Jules Hostouley

  • La page du jour de Jules Hostouley -  06/04/2020

       
     06/04/2020 8:00


     

    Bonjour à tous

    Comme promis je poursuit mon propos sur cette minuscule vermine qui nous empoisonne l'existence. Les économies budgétaires nous ont conduit, une fois de plus, au chaos actuel.Depuis deux ou trois décennies, il n'était question que d'hôpitaux peu ou pas rentables du tout. Dans notre monde aux mains des capitalistes, tout  doit être rentable. La santé a un prix, avons-nous fini par comprendre. Nous, qui naïvement avions cru longtemps que «La santé n'a pas de prix». Et ce fut le tour de la justice. Des palais de justice supprimés dans beaucoup de départements. Comme pour la santé, il suffit de prendre sa bagnole pour aller se faire soigner ou se faire rendre justice. Même s'il faut faire trente, cinquante ou parfois cent kilomètres. On est au siècle de la vitesse et de l'automobile, que diable! Qu'ont-ils donc à nous les casser, ces bouseux ? Susurre-t-on dans les ministères Parisiens. Des ministères Parisiens qui siègent dans la ville musée qui serait notre capitale, dit-on. Une capitale qui dirige un pays qui était, il n'y a pas si longtemps à 80% rural. On peut très bien habiter dans la capitale sans avoir besoin de posséder un véhicule. Taxis, métros, vélos et autres trottinettes font l'affaire et permettent de se déplacer aisément dans la ville lumière. Une ville lumière qui vient encore une fois d'illuminer le monde avec un incendie record. Notre Dame de Paris devenue la proie des flammes. Négligence au niveau de la sécurité. Peut-être, mais quand on sait que notre monde n'est fait que de mesures d'économie, on ne retouche pas à la structure d'un tel monument sans prendre d'infinies précautions et sans mettre de très gros budgets là où il faut. Les pompiers, auxquels, on dispute trop souvent les crédits depuis des années, ont sauvé au péril de leur vie, ce monument de plus de sept siècles. Comme tout cela est vraiment désolant, j'arrête ce propos pour l'instant et vous dit à bientôt.  

     

     

    «Les pauvres ont la santé, les riches les remèdes»

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  28/03/2020

       
     28/03/2020 8:00


     

    Bonjour à tous

    Cela fait un bout de temps que l'on ne s'est pas rencontré. Mais vu les circonstances actuelles, il est nécessaire de s'exprimer et de tenter de voir clair dans les événements actuels. Tout d'abord ce genre de virus apparaîtra de nouveau dans les temps futurs. Ce virus est apparu en Chine à la suite de pratiques alimentaires dignes du moyen age. La région de la ville de Wuhan infectée par le virus s'est bien gardé, par crainte de remontrances, de prévenir le pouvoir central. C'est ce qui arrive parfois dans les pays aux pouvoirs autoritaires ou facistes. Mais le pouvoir en Chine, prenant conscience de la gravité de la situation, a réagi rapidement, durement et efficacement. Le monde entier a été frappé de stupéfaction en voyant une région de cinquante million d'habitants complètement mise à l'arrêt. Tout le monde mis en confinement; les industries mises, elles aussi, en«stand-by». Bref, un pays à l'arrêt, socialement et économiquement. Tous les autres pays du Monde perdirent beaucoup de temps en attendant les directives de l'OMS. C'est très tardivement que l'on nous mis en confinement. Le virus a eu tout le temps de s'installer confortablement à travers tous les pays. Du coup, les citoyens terrorisés par cette pandémie, à caractère mortel pour certains, se sont tournés vers leurs états qu'ils n'avaient eu de cesse, pendant des décennies, de dénigrer, de critiquer et de dépouiller. Ces mêmes pays qui se sont ruinés en empruntant abusivement, pour donner satisfaction à leurs électeurs. Résultat des états de plus en plus pauvres et des particuliers, ou des citoyens, de plus en plus riches. En conséquence, depuis le crack de 2008, ces mêmes pays, par crainte de la banqueroute, ont entrepris de faire de drastiques économies. Malheureusement ils ont fait de grosses coupes dans les budgets les plus importants; à savoir l'armée, l'éducation et la santé. 

     

    «Le savoir est le plus intellectuel des virus, dommage qu'il ne soit pas très contagieux.» Adrien Verschaere

    Â bientôt pour la suite de cette petite conversation 

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  12/08/2017

       
     12/08/2017  09:10

    Pouvoir en Vacances- Vacance du pouvoir
     

    Bonjour

    Voici le week end du 15 août qui s'annonce. La politique s'est mise en vacance. Triste sort pour certain médias. Eux qui s'étaient habitués depuis plus d'un an à pouvoir faire de l'Info facile. Ils leurs suffisait de se brancher sur les Primaires, les Présidentielles et enfin les Législatives, pour tenir le crachoir aux malheureux électeurs, pendant des heures et des heures. Les nombreux aléas de cette campagne vraiment peu ordinaire, ont du être au delà de toutes espérances pour ces hyènes du fait divers. Même le Clown des Amériques, s'est mis en vacances. Vraiment ils ne respectent plus rien ces politiciens; oser laisser certains chroniqueurs politiques choir devant leur page blanche; quelle incorrection, quelle perfidie! Les médias ont curieusement évolué ces dernières années. Si la Presse papier est en régression, cela ne semble pas être le cas pour la presse télévisuelle. Il y eu France Info à la radio qui inaugura l'info en continu. Un journal complet et détaillé toutes les demi-heures. Des magazines très différents et très intéressants publiés entre ces journaux. De la très bonne musique, durant toute la nuit, entre chaque journaux. Mais depuis l'arrivée de BFMTV, de LCI et  de C News, c'est de l'info toute la journée. En rabâchant continuellement au fil des heures on finit par dire des âneries. Donc à travers des nombreux magazines politiques, les observateurs en sont réduits à disserter sur les chances du nouveau Président à se ramasser face au déchainement populaire orchestré par les forces syndicales assoiffées du sang des nouveaux élus. On est encore en août et en vacances; attendons la rentrée prochaine pour voir ce qu'il va en advenir de la mise en place de toutes ces réformes annoncées par voie de Campagne Présidentielle. Il n'est pas difficile d'inquiéter par des pronostics douteux, les électeurs que nous sommes et qui vont devoir contribuer à éponger une dette pharaonique, de plus de trente ans. Ces nouveaux médias travaillent plus à la désinformation qu'à une vraie information, objective et impartiale. Il est vrai que le nouveau Président leur a fait clairement comprendre, qu'il causerait beaucoup moins que ses prédécesseurs. On comprend leur amertume.

     

    «La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information» Albert Einstein

    Â bientôt 

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  10/08/2017

       
     10/08/2017  09:03

    Sentinelles massacrées
     

    Bonjour
    Je ne pensais pas hier que l'actualité allait me fournir, une fois encore, matière à écriture. Oui! Ce monde est vraiment déjanté. L'attaque d'un groupe d'individus avec un véhicule est malheureusement devenue une immonde habitude. On a été rassuré sur l'état sanitaire des victimes. Pas de mort, heureusement. Mais ces jeunes engagés, lorsqu’ils auront pansé leurs plaies, garderont encore très longtemps le souvenir de cet attentat sur leurs personnes. J'imagine leur angoisse, lorsque déambulant tranquillement dans les rues de nos villes, ils percevront un bruit inhabituel émis par un véhicule circulant dans leur dos. 38 408 000 véhicules en France nous rappelle Wikipédia. Je ne sais pas s'il circule 38 408 000 armes en France, mais en matière de véhicules fous, les «Djihadistes» n'ont que l'embarras du choix. Tous les sites sensibles et touristiques, toutes les manifestations et fêtes populaires, peuvent être protégés par de massifs blocs de béton, cela n'empêchera pas un groupe de promeneurs, dans une petite rue tranquille, d'être sauvagement massacrés avec une voiture-bélier, pilotée par un individu déterminé, qui a fait son deuil de sa propre vie en devenant le bras armé de «Daech». Les autorités ne pouvant tout surveiller, tout protéger, les assassins de «Daech» ont encore un bel avenir. Certains spécialistes en matière de terrorisme, estiment que l'opération «Sentinelle» se révèle inadaptée à ce genre d'assassinat. Des experts en criminologie et en terrorisme, privilégient beaucoup plus le renseignement et la mise en détention dans des lieux spécialisés des individus qui se sont radicalisés. Ce constat est vraiment triste pour les 15000 militaires qui ont travaillé et se sont dévoués à notre sécurité.

    «Le terrorisme, c'est la propagande par l'action» Walter Laqueur

    Â bientôt 


     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  09/08/2017

       
     09/08/2017  09:30

    Les Carnets de Jules Hostouley
     Bonjour fidèles lecteurs . Je me propose de réouvrir les carnets de Jules Hostouley, tant l'actualité est riche en évènements de toutes natures. On a que l'embarras du choix face à tout ce qui nous concerne dans ce monde déjanté.

    Â bientôt 


     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  22/03/2014

       
     22/03/2014 18:22:19  

     Conseillés, Conseillères ! Qu’avez-vous fait de vos six ans ?
    Nous voici arrivés au bout du mandat de l’actuelle municipalité . Que de péripéties ces 6 dernières années. Jouy sous Thelle un petit village tranquille où l’on ne s’ennuie pas. Si l’on observe les réunions du conseil municipal, ce fut parfois le Far West. On a pu souvent se demander qui était le shérif. La maréchaussée s’est, occasionnellement, invitée certains soirs de débat. Rétrospectivement cela prête à sourire… Mais malheureusement ce n’est pas une histoire drôle. Si quelques réalisations ont pu être menées à bien par l’équipe municipale actuelle, c’est le caractère social de notre village qui est une catastrophe. Les associations ne fonctionnent pratiquement plus. Les bonnes volontés semblent désabusées . La nouvelle salle socioculturelle, qui, si elle accueille journellement le périscolaire et périodiquement la séance de cinéma, ne semble pas arriver à développer un peu plus le coté culturel et social dans notre village. Il fut évoqué en son temps, la création d’une bibliothèque, au sein de cette salle… Point de bibliothèque. Cette salle socioculturelle pourrait se prêter à d’autres manifestations que seulement la séance de cinéma , qui est déjà une expression culturelle de qualité.…On pourrait, par exemple, proposer des expositions diverses, du théâtre ou des conférences. Les habitants de Jouy sous Thelle sont cultivés et répondraient positivement par leur présence aux propositions des associations. Mais seulement voila, en matière sociale, tout est en panne, tout est en berne dans notre village. Il est permis de penser à la veille des élections municipales, que la nouvelle équipe arrivera à renflouer le navire social et associatif, qui a sombré depuis longtemps dans notre commune. C’est là tous nos espoirs pour les six prochaines années.
    L'adulte ne croit pas au père Noël. Il vote. » (Desproges)
      

     

     


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    La page du jour de Jules Hostouley -  02/02/2014
     Posté le: 2 février 2014 11:25:55  

       Des fromages à chier ! Non ! Â puer.
    Je me souvient que le vrai fromage Français vraiment populaire était le camembert.
    Le "calandosse" comme on dit encore de nos jours.
    Seulement voilà ! Depuis, on a voulu gouter tous les Fromages et se dispenser de l'odeur.
    Plus prosaïquement, le fromage n'est qu'une espèce de substance tirée du lait animal, que l'on a mis a pourrir, pendant un temps, bien déterminé, en fonction de la variété du fromage.
    En terme concret !Bonjour l'odeur! Mais malheureusement, les nouveaux fromages ont tous des appellations très ronflantes; mais sont dépourvus d'odeur et par voie de conséquence de gout.
    Si l'on ne veut pas manger de fromage qui pue, il faut se rabattre sur le yaourt nature, le Petit Suisse ou le fromage blanc, la Caillebotte ou la Jonchée .
    Rassurez-vous ! Les qualités nutritionnelles sont sensiblement les mêmes.
    Et surtout arrêter d'en interdire l'usage aux autres, au nom d'une "soi-disant" hygiène alimentaire.
    Il a suffit que depuis la guerre, un quarteron de " Bonne-femmes" en mal de diététique, agissent contre les productions de ces fromages au lait cru, pour que le Camembert y laisse le meilleur de lui-même : Son gout! Et du même coup, son odeur, bien évidemment. L’un n’allant pas sans l’autre.
    Les Américains ont aussitôt emboité le pas pour éliminer toutes productions non aseptisées, non pasteurisées et non stérilisées. Au profit de la crème glacée sucrée. Ils n'ont vraiment pas de leçon à nous donner, quand on voit la largeur que le "cul" de leurs "bonne femmes", a pris en moins d'un siècle.. Rappelons que les Américains consomment près de 10 fois plus de crème glacée que les européens. Aujourd'hui on est obligé de se rabattre sur des fromages plus élitistes en terme de gout, mais bien plus cher... Roquefort, Maroilles , Munster, Pont l'Évêque et autres Crottin de Chavignol.
    Bien évidemment tous les Normands et aussi tous les Picards savent bien que le Camembert , ne peut se consommer, immédiatement, après l'achat; mais qu’il doit faire l'objet d'un affinage familial de quelques heures, voir de quelques jours, pour que cette production laitière renommée, développe tous ces arômes les plus subtiles. Le Camembert a cette vertu suprême, de pouvoir être consommé à divers stade de son évolution. Livré dans son emballage papier et sa boite si caractéristique, par le fromager, le Camembert n’a pas encore vraiment d’odeur, ni de gout. Il comblera, avec bonheur, l’appétit des tout-petits et aussi celui des adultes qui craignent de puer de la gueule par la suite. Certains puent déjà de la gueule, quand on les entend s’exprimer dans la vie courante ou sur les réseaux sociaux ; alors bouffer du Calandos surfait, ne doit pas les effrayer beaucoup. Ensuite ce Camembert peut passer par tous les états de la matière ; les fragrances coutumières, le suivant de peu. Des variétés allotropiques, en quelque sorte… Bien connues des chimistes. Sa pâte molle et blanchâtre, encore de bonne tenue dans les heures qui suivent l’achat, peut se transformer, alors, en un sirop épais, un torrent crémeux, de couleur jaunâtre, aux effluves pédestres. Et cela, surtout en cas de fortes chaleurs. Â ce stade il est souvent traité de « coulant ». Par la suite s’il n’a pas débordé de son emballage, il va prendre une consistance bien plus ferme et colorer son épiderme de toutes sortes de nuances d’orange de noir et de jaune, et parfois aussi…De veèèèèrt !. Dans les cas les plus extrêmes.
    Il m’est arrivé, en des temps plus anciens, de me délecter de cette substance très élaborées, que quelques asticots frétillants s’étaient, déjà, offert en guise d’amuse-gueule. En été, en Normandie, dès l’apparition des premières pommes, nous mangions souvent des pommes épluchées, en accompagnement de notre cher camembert tartiné sur de grosses tranches de pain confectionnées à partir de ce « 4 livres » qui semble avoir, maintenant, déserté les rayons de nos boulangeries, qui n’en demeurent pas moins et pour longtemps, encore, les temples, du savoir-faire, du bon gout et de la qualité.

    « Comment voulez-vous gouverner un pays qui a plus de 300 fromages » Charles De Gaulle.

      

     

     

     


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    La page du jour de Jules Hostouley -  28/01/2014
     Posté le: 28 janvier 2014 

    Moins cher que moins cher

    Petites réflexions en ces temps de crise. Malgré la crise nous ne réformons pas  nos habitudes d'acheteur et de consommateur. Toujours le moins cher possible et, si possible en grande quantité. Regardons un domaine que je connais bien : Les outils de jardinage.

    Les outils de nos grand-parents étaient très solides mais aussi très chers.
    La preuve: ils ne nous laissaient jamais les utiliser. De crainte que nous cassions le manche. Aujourd'hui, les aciers sont encore de meilleur qualité qu'autrefois.
    Et ils le seront encore plus dans l'avenir. Et on peut fabriquer des outils encore plus solides que ceux des anciens. Mais il faut , mettre le prix qu'il faut. Les consommateurs que nous sommes, ont été habitués à acheter tout au moins cher possible. Mais la qualité est à la hauteur du prix et inversement. Nos grand-parents quand ils achetaient une bêche, par exemple, se rendaient dans l'unique grande quincaillerie du chef-lieu de canton, dans le bourg voisin.  Ils demandaient une bêche et le vendeur leur apportait souvent l'unique modèle en magasin. Nos grand-parents ne s'inquiétaient du prix qu'au moment de passer à la caisse. Ils avaient de toute façon grand besoin de cet outil et ils savaient que celui-ci leur ferait de l'usage pendant des années, voire pendant des décennies.
    Et comme les prix ne variaient que très peu, à l'époque, ils avaient en permanence le souvenir du prix réel. Aujourd'hui, si on doit acheter une bêche, on consulte les montagnes de pub déposées dans les boites aux lettres. On fait le tour des jardineries, des grandes surfaces, à la recherche du moins cher que moins cher.  Tout en évitant le petit magasin du vrai professionnel. Et on achète un outil à 9€99 , par exemple . Très important çà 9€99...On n'a pas payé 10€00! La belle affaire! Et par la suite on s'étonne que l'outil commence à rouiller au bout de quelques mois; que le manche perd sa rectitude à la fin de la saison; que l'outil se démanche au bout d'un an ou deux; qu'une dent casse ou se tord sur un effort un peu plus violent. Il en est ainsi pour tous nos achats. La faute en est aux consommateurs que nous sommes (et dont je fais partie); toujours à la recherche d'un produit le moins cher possible. A chaque promo de grande surface, on s'encombre d'objets ou de produits de faible qualité, que l'on n'utilisera jamais, pour la plupart. Mais on a l'impression d'avoir gagné de l'argent. Il nous faut des grandes maisons pour stocker tous ces achats. Si l'on n'achetait que des produits de bonne qualité, à un prix raisonnable, mais forcément plus couteux, que tout ce qui se vend habituellement, on rentabiliserait cet achat couteux sur un temps forcément plus long mais finalement rentable à long terme.
    On n'aurait plus besoin d'importer ces produits à bas cout fabriqués par un personnel bas de gamme, dans des pays encore sous-développés.. On restaurerait des emplois manuels de qualité qui se sont exportés en Chine , par exemple.  Et la Chine pourrait enfin travailler à plein pour son marché intérieur.  Car seul 10% de la population chinoise profite, pour l'instant, pleinement du boum économique de ce pays..
    Les Chinois, peuple très ingénieux, très courageux, très travailleurs, n'ont pas besoin qu'on leur ouvre notre marché de produits bas-de-gamme, pour faire tourner leurs usines.
    Du coup, ils se contentent de produire bas-de-gamme, pas cher et en grand nombre.
    Ils ne cherchent donc pas à faire plus de qualité et par voie de conséquence à proposer des salaires plus attractifs à leurs employés. Ils le feront un jour ou l'autre, n'en doutez pas; mais ceci n'est pas encore d'actualité.  Cela représente une menace politique grave pour ce pays; les populations rurales très nombreuses et tenues à l'écart de cette expansion fabuleuse, ne se contenteront pas toujours d'être les spectateurs d'une société urbaine qui profite pleinement de cette réussite. Comme le Maghreb en a fait  récemment la démonstration, qui peut encore parier pour un avenir serein  de la Chine, dans les conditions où une partie très importante de sa population est laissée pour compte.
    Six mois avant, personne n'avait pronostiqué la chute du mur de Berlin.
    Et le monde n'a pas encore fini de tourner...Loin s'en faut!


    Quand la Chine s'éveillera.....................

      

     

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  29/11/2013
     Posté le: /2013 05:25:55  

    La face de Bouc de Facebook
    Il est en train de vider nos forums et nos sites ; de déprécier Internet.           
    J'y suis inscrit depuis peu  et je comprends très vite pourquoi il a un tel succès.
    C'est le domaine de la facilité. Déjà internet en général c'est le domaine de la paresse.
    Voyez les gamins qui ne font que du copié-collé en guise de devoir.
    Facebook une interface bâclée où l'on ne comprend pas très bien, qui voit quoi ou quoi voit qui? De plus de la publicité récurrente et omni présente.
    Sur nos forums et nos blogs ils suffit de baisser la page et hop oublié la pub.
    En outre, comme Google, Facebook a vendu son âme au diable.
    Le diable c'est cette saleté de publicité poisseuse qui vous colle partout.
    Facebook fait une concurrence au principe des forums.
    Mes pointages sur plusieurs forums, me permettent de constater que les gens continuent de s'enregistrer sur les forums, mais vont bavasser sur Facebook.
    Forte baisse de participation depuis l'année dernière.
    Sur Jardin blanc, toujours autant d'inscriptions. Mais pleins qui ne valident même pas.
    Et les validés qui restent muets. Qu'espèrent-ils voir en s'inscrivant?
    Il est évident que la qualité de présentation de Facebook n'est pas à la hauteur de nos sites. Google le "Zeus de l'internet " a intégré les réseaux sociaux dans son nouvel algorithme " Panda", pour assurer le référencement des sites. Du coup on est obligé d’aller sur Facebook, si l’on veut avoir une chance d’être aperçu.
    Quelle est votre opinion sur tout cela?

    Â l'Ouest rien de nouveau? Si! Facebook!  ( Les Nouveaux Proverbes)
      

     

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  21/06/2013

        21/06/2013 07:12:04 
      

      Le Van de la Tarare
    Dimanche 16 juin, c’était la brocante à Jouy sous Thelle. Plus importante que l’année précédente par le nombre d’inscriptions. Les visiteurs et les chineurs furent fidèles aux rendez-vous. Nous avons pu remarquer parmi les nombreux objets proposés, une ancienne machine agricole : Une Tarare. Machine inventée au début du XIX siècle pour remplacer le Van ; outil ancestral utilisé pour débarrasser le grain de ses impuretés ; outil au maniement très pénible pour les ouvriers agricoles. Cette machine de petite dimension évoque parfaitement le passé et la vocation agricole de notre commune qui est toujours au top en matière de production agricole. Le ventilateur de cette petite machine n’est pas sans rappeler le batteur de nos très modernes moissonneuses batteuses. Notre commune s’apprête à faire installer deux puits pour embellir notre village ; louable intention s’il en est ; mais intention onéreuse ; onéreuse pour le budget communal. En ces temps de crise, le produit de nos impôts doit se diriger en priorité vers des dépenses et des investissements de la plus haute utilité. Donc cet appareil, cette Tarare aurait pu très bien, pour un coût très modique, devenir un objet d’exposition pour stigmatiser la vocation principalement agricole de Jouy sous Thelle. Pas question, par exemple, d’exposer sur la place de l’Église, une ancienne moissonneuse batteuse, pour commémorer et sanctifier le labeur des anciens. D’autre part, pour enseigner aux jeunes générations le formidable développement des techniques agricoles, depuis près de deux siècles, cette petite machine aurait très bien pu faire l’affaire. On peut ainsi remarquer dans certaines communes environnantes, diverses charrettes, carrioles, tombereaux ou chariots, restaurés avec soin en lieux et place des aménagements floraux de ces communes. Il aurait été très utile pour la commune de négocier, ce jour-là, avec le vendeur, afin d’acquérir cet objet. 100€ fut-il proposé au petit matin ; 80€ fut-il offert à la mi-journée. Au soir de la brocante ce volumineux objet ne semblait toujours pas avoir trouvé preneur. La commune aurait même pu obtenir un tarif encore plus intéressant en flattant la fibre citoyenne du vendeur. Bref ! L’achat conclu, il suffisait de trouver parmi la population des retraités (de plus en plus nombreuse) un expert en menuiserie afin de restaurer et de sécuriser l’engin. Ceci bénévolement, bien sur. Seulement voila ! C’est là où le bât blesse : Les bénévoles, espèces non protégées, sont en voie de grande disparition dans Jouy. Le mot « Bénévolat » aura bientôt disparu du dictionnaire communal. Tant la situation et l’esprit des affaires communales sont calamiteux.

    Si on payait mieux les bénévoles, ça donnerait peut-être envie à plus de gens de travailler gratuitement. » Philippe Geluck
     

      

      

      Tarare   

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  20/06/2013
     Posté le: 20/06/2013 05:25:55  

        Commune en friche ? La commune s’en fiche !
    Le climat de ce début d’année engendre un surcroit de travail dans tous les domaines de l’entretien des jardins et des espaces verts. Chacun peut s’en rendre compte au quotidien. La commune est maintenant obliger de passer par une entreprise pour assurer l’entretien des chemins de la commune ; notamment les chemins qui mènent vers la Chaire à Loup. Pour quelle raison ce travail n’est-il plus assuré par les agents communaux ?. Il faut se souvenir qu’en 2012, on vit apparaitre de multiples plates-bandes sur les trottoirs le long des murets des riverains. Réalisation menées à bien grâce au grand talent des deux agents communaux. Tout cela serait fort bienvenu, s’il ne fallait pas assurer l’entretien de toutes ces plantations. Il faut de plus apporter une irrigation importante durant les fortes chaleurs, de ces derniers jours. Chacun sait que les quelques orages qui bombardent notre région actuellement, ne peuvent maintenir une humidité suffisante au pied de ces végétaux fragiles et onéreux, acquis par la commune l’année dernière. Donc ce sont les deux agents communaux qui s’y collent. Leur tache s’alourdissant au fil des années, il a fallu recourir à une aide extérieure pour assurer l’entretien de la commune. Alors, qu’il eut été si simple de communiquer avec la population de Jouy sous Thelle ; afin de lui proposer, dans la mesure du possible, d’entretenir et d’arroser ces parterres fleuris. Une bonne partie de nos concitoyens n’aurait pas refusé de rendre ce petit service à la collectivité. C’eut été une réalité, si le premier magistrat de la commune avait pris la peine de faire connaitre ses désidératas auprès de ses administrés. Que Nenni ! Point de dialogue ! Au lieu de cela, on a vu fleurir des bordures en pavés sur les trottoirs de Jouy sous Thelle . Tout cela sans concertation aucune. Et sous ces pavés, nous eûmes beau gratté et regratté ; point de sable ; point de plage ! Certaines de ces implantations florales ont même suscité des interpellations orageuses en réunion de Conseil Municipal. La Maréchaussée étant même invitée certains soirs de réunion. En définitive, nos concitoyens ne sont pas, une fois de plus, associés à la vie de la commune, par manque de dialogue du maire de la commune. Beaucoup de talent, de générosité et de citoyenneté, qui ne demandent qu’à s’investir, à Jouy sous Thelle ; encore faut-il vouloir et pouvoir les solliciter. Depuis ces dernières années, la Mairie s’est emmurée dans un lourd silence, qui en devient méprisant pour nos concitoyens, arrogant pour chacun d’entre nous.

    Un homme seul est toujours en mauvaise compagnie. Paul Valéry

      

     

     

     


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    La page du jour de Jules Hostouley -  15/12/2012

       Posté le: 15/12/2012 08:15:01  
      

      Allez ! Signez là
    Engagez-vous ! Rengagez-vous ! Qu’ils disaient…Pourquoi le conseil municipal, par la volonté de son Maire, tient-il à adhérer au plus vite au Syndicat des Sablons ? C’est ce qui préoccupe légitimement Félix
    et LECHOJOVACIEN.
    Donc, une adhésion sans débat. On voudrait faire voter au Conseil Municipal, une adhésion définitive au Syndicat des Sablons, à la manière d’un notaire venu recueillir les dernières volontés d’un mourant dans ses derniers instants. Notre Conseil Municipal serait-il moribond à ce point ? Hémiplégique le Conseil, pourrait-on dire ; paralysé dans son jugement et son pouvoir de décision, il en est réduit à expédier au plus vite ces dossiers embarrassants, mais d’une importance vitale pour le bien de notre commune. Sommes-nous encore en démocratie ? Une démocratie sans débat, sans dialogue, n’est plus une démocratie. Une dictature !! C’est ainsi que l’on nomme un régime autoritaire. Que remarque-t-on, lors de la dernière réunion du conseil Municipal? Un personnage politique, éminent, Monsieur Gérard Lemaître, président de la communauté de communes, est invité à venir donner au public, toutes informations utiles au sujet de la future adhésion au Syndicat des Sablons. Noble entreprise ! Mais on ne se donne même pas la peine de prévenir le public citoyen, de la venue de cet élu, lors de la dernière réunion du conseil Municipal. Un public bâillonné et muselé qui ne déplace plus pour assister aux débats stériles et souvent tourmentés du Conseil Municipal. Un public qui ne peut plus poser aucune question, à l’issue de la réunion, une fois que le conseil Municipal a débattu et voté les orientations nécessaires à la bonne gestion de notre commune. C’est là une attitude vraiment méprisante de nos élus envers un public qui possède, encore, heureusement, le pouvoir des urnes…Le pouvoir de renvoyer toute cette équipe à ses chères études, à l’issue d’un rendez-vous électoral, maintenant très proche. Une assemblée d’élus, dont le bilan sera revu en long, en large et en travers ; selon une formule nouvellement connue.
    « La démocratie, c'est un code moral, qui repose en fait sur deux règles essentielles : parler vrai en campagne électorale et tenir parole une fois élu. »[ Mendès-France ]

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  03/12/2012
    03/12/2012 06:40:35  
       Vers le conteneur à verre
    Encore une débilité de nos autorités. Depuis près de 20 ans, a été organisée la collecte du verre. Le public avait pris l'habitude de rapporter ses verres dans les conteneurs prévus à cet effet.
    Hé bien chez nous, la nouvelle communauté de commune organise le ramassage. En fournissant une quatrième poubelle. Une habitude éco citoyenne battue en brèche. Une bonne habitude qui avait été difficile à mettre en place. Par contre les Objets Encombrants ne sont plus ramassés que 2 fois par an. Des objets qui sont souvent très difficiles à déplacer pour la plupart d’entre nous.
    Je pense que les déchets récupérables et recyclables devraient être rapportés dans des conteneurs appropriés, entreposés sur les lieux de consommation habituels. Une sorte de consigne.
    Je ne suis pas centenaire, mais je viens d'une époque où beaucoup d'emballages ou contenants étaient consignés et rapportés chez le commerçant. Ils étaient pratiquement tous en verre ou en métal. Les consommateurs arrivent très bien à transporter, chaque semaine, des dizaines de kilos de denrées, de leur magasin vers leur domicile. Pourquoi ne rapporteraient-ils pas eux-mêmes, verres, bouteilles plastiques, boites de conserve, bombes aérosol, papier, carton etc ? Ils le font bien pour les piles, les ampoules à base de mercure, les médicaments périmés et autres cartouches d’imprimante. On a même remarqué des conteneurs à huile de vidange (disparus, eux aussi de la circulation). Il existe en certains endroits des conteneurs pour vêtements usagés.(emplacements très confidentiels). Et pourquoi ne pas installer les déchetteries près des Grandes Surfaces. Les communes et les collectivités locales font de très grosses facilités en termes de fiscalité et de cout du terrain pour faire venir ces Grandes Surfaces… Ces Grandes Salopes qui garnissent, à grand renfort de publicité, nos caddies, d’objet la plupart du temps inutiles et très polluants. Des déchetteries que les communautés de communes ont installé ou réinstallé à grand frais, une fois de plus, dans la nature (Porcheux). En ce qui concerne la collecte hebdomadaire de nos déchets, le personnel employé à courir derrière les camions de ramassage, serait mieux utilisé sur les lieux de collecte. C'est un métier très dangereux en termes de sécurité routière. Et beaucoup moins de gaz oïl serait dépensé pour la collecte en porte-à-porte. Devant chez nous le camion fait une marche arrière de plus de 200 mètres pour venir ramasser nos quelques kilos de déchets, une fois par semaine. Nous habitons à la sortie du pays. Je devine, que je vais susciter une tempête de protestations. Comment! On devrait rapporter nous-mêmes nos déchets aux abords du supermarché???? Et comment vont faire les plus âgés d’entre nous et les personnes à mobilité réduite ??? Ces personnes sont, malgré tout, bon an mal an, approvisionnées en denrées alimentaires et en biens de consommation. Et bien, certains de ces déchets recyclables peuvent très bien faire le trajet inverse. Sans passer par le camion de collecte de nos poubelles. Ce pourrait être une économie aux niveaux de nos impôts locaux, qui vont augmenter de plus en plus. Une économie de rejet carbone vers l’atmosphère (c’est à la mode en ce moment). Une économie de carburant. Un travail plus valorisant pour les agents du ramassage. Pourquoi faut-il que ce soit toujours la même catégorie de salariés qui soient obligés de ramasser et de nettoyer nos déchets et nos saletés ? Â chacun sa merde !

    Un verre ça va, 3 verres... ça sera mieux dans le conteneur! (Tendance)

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  30/11/2012

      30/11/2012 09:22:19   
     

        Présidents courageux. Capitaines courageux
    En mars 2012 notre Président promettait des cadeaux fiscaux à ses électeurs. Tous les présidentiables l'ont toujours fait. Aujourd'hui il est obligé de les étrangler, ces pauvres citoyens.. Enfants du socialisme. Il n'a pas eu le temps, comme en 1981, de les récompenser, ces sympathisants. La conscience populaire lui en porte déjà rigueur. Les Français n'aiment pas les politiques qui les obligent à être moins cigales. Mais un peu plus fourmis. Clémenceau, Héros Politique de la guerre 14, au sortir de cette guerre, eut une carrière politique écourtée. Raymond Barre, après avoir jugulé le Crédit ramena l’inflation dans des valeurs inférieures à 10% ; et du se contenter, par la suite, d’une carrière politique régionale, tout aussi méritoire, mais peu prisée du personnel politique à vocation « élitiste ». Dans ces années là, l’inflation galopait à plus de 14%. Impossible d’économiser…Les taux des livrets d’épargne n’atteignaient pas 10%. Dans ces conditions, on avait perdu des sous en mettant de l’argent de coté. Les épargnants reportaient leurs économies en investissant dans la « pierre », comme on disait à l’époque. Mais aucune maison n’était mise sur le marché. Ou si cela était le cas, à des prix astronomiques. Donc on achetait du terrain et on faisait construire. Les pieds dans l’eau ou à la montagne. La résidence secondaire faisait recette ; « Merlin Plage » aussi. Le chômage en était qu’à ses débuts. La dette de la France, insignifiante ; les économies des Français, aussi. Â partir de la « génération Mitterrand » des esprits avisés ont développé le système bancaire qui s’est mis à proposer de nouveaux produits d’épargne. Plus séduisants pour les épargnants. Dans le même temps les gouvernements successifs se sont attaqués à l’inflation et en la jugulant sévèrement, pour reprendre les termes de l’époque. Mais l’État du remettre dans le circuit privé, toutes les entreprises nationalisées, à grand frais, dans les gouvernements précédents. L’État a commencé à s’endetter lourdement pour indemniser un chômage dont il ne maitrisait plus le développement. Se soumettant aux marchés financiers, il a du abandonner certaines de ses prérogatives. En clair, il s’est affaibli ; n’étant plus vraiment le maître dans la maison France. Mais l’épargne des Français s’est accrue considérablement. L’inflation flirtant, bon an mal an, avec les 2/3 %. On recommandait, déjà, aux salariés de « faire leur retraite » en investissant dans les nouveaux et nombreux produits financiers et d’épargne. Le « Pékin moyen» se mettait à boursicoter, souvent maladroitement. Le chômage continuait son petit bonhomme de chemin. Un comique ouvrit une nouvelle chaine de distribution pour ventre vide. La rue découvrit une nouvelle race de « clodos ». SDF, furent-ils nommés pudiquement par les médias. Médias, qui s’écorchaient encore du stylo et mettaient souvent, leur mouchoir sur leur propre déontologie, lorsqu’il fallait disserter sur la montée grandissante de la précarité, du chômage et de la misère. Trois facteurs qui conduisirent, par voie de conséquence, à développer, considérablement l’insécurité dans la société, à un taux devenu intolérable pour tous. Un certain « Jospin » s’y vit déposséder, à cause de cela, d’une carrière politique pourtant brillante et prometteuse. Â l’époque, on se payait de mots et de formules alambiqués, pour dénoncer cette société de plus en plus injuste, qui se mettait en place. Tant la perspective de la faillite de la société de consommation, glaçait le cœur des plus endurcis de nos politiques et de nos médias. Quand est-il de nos jours ? Pas besoin de faire un dessin ; tout le monde peut gouter chaque jour, au fil des communiqués, la gravité de la situation. Tous peuvent assister à la fracture de la société ; cette dérive des continents en deux blocs, qui se repoussent… Les nouveaux riches et les « nouveaux pauvres » ; une formule qui fit recette il y a peu, encore. Les deux blocs qui partageaient le monde avant la faillite du socialisme à la « Soviétique » se sont mués en deux nouveaux blocs séparés, scandaleusement, par une misère de plus en plus grande. D’un axe « Est-Ouest » nous passâmes à une dure réalité géographique « Nord-Sud ». La boussole « sociale » ayant complètement perdu le Nord. C’est pourquoi nous supplions notre Président de tenir bon dans le maelström « politico-social » qui gronde de plus en plus fort chaque jour, afin de réformer les structures calamiteuses qui couchent le vaisseau France, en travers de la lame scélérate et mortelle, portée par les flots tumultueux de cette grave crise mondiale. Dut-il, non pas en perdre son Latin, mais se préparer à immoler sa carrière politique sur l’autel du courage et de la probité. Si tel était le cas, nous lui en sommes, déjà, par avance, reconnaissant.

    Der Fliegende Holländer (déjà) L’histoire d’un capitaine qui ayant insulté le ciel se vit condamner à errer éternellement, sur les flots impétueux de l’océan. « Le Vaisseau Fantome » Opéra de Richard Wagner

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  19/11/2012

      19/11/2012 11:32:43 
      

      La commune de Jouy sous Thelle
    La commune de Jouy sous Thelle s’apprête à emprunter 100 000 € sur cinq ans, nous dit-on. La commune de Jouy sous Thelle n’avait pas de dette, mais elle va s’en fabriquer une…Â l’instar de sa grande sœur « La France », la commune de Jouy sous Thelle rejoint le peloton des endettés. Certainement en mettant en pratique le vieil adage, où il vaut mieux devoir des sous à autrui plutôt qu’autrui vous doive des sous. L’emprunteur un peu indélicat se rassure toujours en se disant, qu’en cas de coup dur, il arrivera, après tout, à échapper au remboursement de sa dette. Mais sur quel coup dur administratif la commune de Jouy sous Thelle, s’appuie-t-elle pour espérer échapper aux inconséquences de ses dépenses. Elle devra rembourser jusqu’au dernier kopeck ; si tant est que cette monnaie est encore de la valeur d’ici là. Trêve de plaisanterie, je pense que la commune de Jouy sous Thelle compte plus sur les vicissitudes du prochain scrutin municipal qui se profile à l’horizon du printemps 2014, pour se dérober devant ses responsabilités. Un horizon qui est, d’ailleurs, déjà chargé de nuages menaçants pour l’avenir de l’équipe municipale actuelle, de la commune de Jouy sous Thelle. Cette équipe se préparerait-elle à refiler le « baigneur », comme on dit familièrement, en cas de perte des élections ? Il faudrait pour cela connaitre la côte de popularité du Maire de la commune de Jouy sous Thelle. Comme au bon vieux temps des Présidentielles. Mais point d’institut de sondage dans les institutions de la commune de Jouy sous Thelle. Si l’on compare avec les sondages Nationaux, la côte du Maire de la commune de Jouy sous Thelle ne doit pas être bien fameuse, par les temps qui courent. L’usure du pouvoir nous dira-t-on…. D’autant plus que ce pouvoir s’exerce sans partage, ni concertation, en notre bonne commune de Jouy sous Thelle. Enfin une bonne nouvelle pour les impôts fonciers et locaux des assujettis de la commune de Jouy sous Thelle . Qu’ils se rassurent, leurs contributions fiscales vont augmenter de manière très conséquente dans les prochaines années. On avait déjà la dette nationale à rembourser, maintenant on va contribuer à la dette municipale. Et pourquoi va-t-on s’endetter ? En France, chacun sait pourquoi l’état s’est lourdement endetté. Mais en notre bonne commune de Jouy sous Thelle, on se demande, encore, pourquoi il faut emprunter 100 000€ ? Pour quelles réalisations…. Â Jouy, point de tout- à-l’égout ; ça pue, à jouy, nous a dit, Monsieur le Maire, récemment, en réunion. Pas de mise en conformité du réseau électrique ; ça se pratique dans les communes voisines. Pas de véritable réfection de certaines voies importantes de jouy sous Thelle. Pas de salle des fêtes ! Oui vous avez bien entendu ! Une salle socioculturelle fut rénovée à grand frais et inaugurée en grande pompe, il y a peu. Mais pas de véritable salle des fêtes. Alors que des communes voisines, de la taille d’un hameau, possèdent, déjà, la leur. Amis de jouy sous Thelle, quand le désir de faire un peu de bruit vous titillera, il vous faudra vous expatrier. Il vous faudra, alors, frapper humblement à la porte des autres communes, pour pouvoir profiter d’un local approprié à vos réjouissances familiales, toutes légitimes, certes, mais souvent très bruyantes. En douteriez-vous encore ?

    « Si vous voulez voir la valeur de l'argent, essayez donc d'en emprunter » ( Benjamin Franklin)

     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  08/11/2012

     
      08/11/2012 05:51:52 

       Les carpes du conseil
    Â Jouy sous Thelle, les carpes ne s’égayent pas uniquement dans la mare de l’église, animée par son jet d’eau, devenu, maintenant, célèbre. Elles viennent aussi en surface, gober, silencieusement quelques molécules d’air de la réunion du conseil municipal. Sans plus ! C’est là ce qu’est devenue, désormais, leur mission de conseil, auprès de notre Maire. Comme le souligne justement Félix dans son compte-rendu du conseil municipal du 28 septembre 2012, les membres du conseil municipal sont muets comme des carpes. Quelle peut donc en être la raison ? Plus rien à dire sur le sujet, peut-être ? Ola ! Il y a justement beaucoup à dire sur le sujet. Un sujet intarissable en notre bonne ville de Jouy sous Thelle. Notre bonne ville ??. Oui ! Car notre petit village de moins de 1000 habitants a tant fait parler de lui, dans les journaux, les médias et les comptes-rendus, qu’il mérite le titre, très envié, de petite ville. C’est vrai ! Quoi ! Comment avec un peu moins de 1000 habitants, peut-on, aussi facilement et régulièrement, défrayer la chronique départementale, voire nationale. Quand des dizaines de milliers de petites communes, de notre beau pays, la France, vaquent à leurs occupations, sans bruit, ni gesticulation. Point de surenchère dans notre propos, aujourd’hui ! Il suffit d’entendre le leitmotiv martelé à la fin de chaque conseil municipal, au sujet des questions orales. Questions orales qui ont disparu de notre paysage politico-municipal. Notre Maire évoque un « bordel » et des « insultes » qui seraient provoquées par l’émission des questions orales en fin de réunion. Ces deux termes ne recouvriraient-ils pas, dans le discours de notre Maire, les questions qui fâchent. Ces fameuses questions trop souvent embarrassantes à entendre ou à évoquer, voire à discuter. Cela étant devenu rédhibitoire, et même récurant au cours de chaque conseil municipal, assène notre Maire à un conseiller municipal, légitimement préoccupé par ces manquements les plus élémentaires, au dialogue et à la démocratie. Donc on peut observer un conseil municipal muet et tétanisé, chargé d’entériner les décisions de notre Maire, sans moufeter, ni argumenter. Aurais-je mal compris le sens du mot « Conseil » ? M’aurait-on trompé ? .Si je m’en réfère au dico, « conseil » signifie : Avis, recommandation donnée à une personne sur ce qu'il convient de faire. Ou aussi : Assemblée qui est chargée de donner son avis et de statuer dans un domaine donné….. Chacun appréciera ! Notre maire se prive donc du concours très précieux de ses collaborateurs. Pourrait-on concevoir un conseil d’administration sans proposition, sans mise en garde, sans dialogue, sans vote ? Une des missions du premier magistrat de notre commune n’est-il pas de faire respecter l’ordre, notamment lors de la réunion du conseil municipal. Mais pour cela il faut pouvoir donner de la voix et faire la démonstration de sa personnalité, et non pas faire donner la troupe en plein conseil municipal (on n’est pas au Far-West), comme cela s’est déjà vu à jouy sous Thelle. Dans les communes avoisinantes on peut observer, de temps en temps, quelques Maires capables de remettre à leur place, très démocratiquement et très efficacement, quelques perturbateurs de réunion ou de conseil….Et cela, sans effusion de sang, je vous prie ! Quand on en arrive à faire parler la poudre, c’est que l’on est à cours d’argument. Si tant est qu’on en ait eu, un jour. Il est beaucoup plus simple, pour administrer, d’imposer, comme dans les petites classes enfantines, le silence le plus absolu. Mais vouloir entrer en politique, même municipale, suppose de maitriser, parfaitement, toutes les techniques démocratiques de la concertation, du dialogue et de la gestion. Ces qualités démocratiques, pour l’instant, se sont évaporées du cadre municipal. Il nous est permis d’espérer en ce début du printemps 2014, le retour de ces ondées rafraichissantes, pourvoyeuses de plus de valeurs démocratiques sur notre petit village. Somewhere over the Rainbow… La chanson du Magicien d’Oz. Un magicien, dorénavant, tellement souhaité à jouy sous Thelle. Il n’est pas interdit de rêver…Du moins pas encore !

     
    Le silence est la parure de l'ignorant dans l'assemblée des sages.- (Proverbe sanskrit)


     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  20/10/2012

    20/10/2012 17:36:22 
      

      Je ne vous dis pas merci
    Deux réunions municipales en septembre. Inauguration officielle de la nouvelle salle socioculturelle. En grande pompe. Avec de nombreux élus invités. Beaucoup de monde à cette manifestation. Les corps constitués de Jouy dans une présentation impeccable. Un pèlerinage à la Chaire à Loup. Un incendie dramatique qui met une famille à la rue. Et que sais-je encore…Ils se passe des choses à Jouy sous Thelle..Petit village de l’Oise. Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, si ce n’était le compte-rendu de la réunion du conseil municipal qui attire sur lui, une fois de plus, le train de nos critiques. Une soixantaine de lignes anémiées pour résumer l’actualité de ces trois derniers mois. Vraiment un « Extrait » de l’extrait du compte-rendu de la réunion du conseil municipal. Un chef d’œuvre de non-communication. Une formule littéraire largement épurée de toute information qui pourrait faire sourciller les électeurs. Quatre articles sur sept qui traitent de l’immobilier dans Jouy. Pour le reste, les tarifs de location de la salle socioculturelle et la mise en place d’un columbarium au cimetière. Et c’est tout ! Où le conseil Municipal remercie-t-il les nombreux électeurs qui se sont déplacés pour honorer de leurs présences l’inauguration de la salle socioculturelle ? Où, les personnes qui n’ont pu se dégager de leurs obligations, ce jour-là, trouvent-elles un résumé de cette manifestation ? Dans la presse peut-être…. Mais elle est payante la « Presse » ! Où le conseil Municipal remercie-t-il, la magnifique prestation des corps constitués de Jouy sous Thelle ? La présence très remarquée des Élus locaux et nationaux qui sont venus assister de bonne grâce, Monsieur le Maire de Jouy sous Thelle, dans l’inauguration de la salle socioculturelle ? Nulle part ! Pas de remerciements, pas de résumé, rien ! Le quidam en charge de la communication pourra toujours objecter qu’il suffit de consulter le site officiel de la commune. Erreur ! Il se goure, le malheureux ! Tout le monde n’a pas internet ; et ceux qui en dispose ne savent pas encore, surfer facilement sur les nombreux sites d’internet. Donc quelques lignes de gratitude dans l’extrait du compte-rendu de la réunion du conseil municipal, n’auraient nui à personne. Encore moins au conseil Municipal, qui aurait pu faire la pub légitime de son action et de son entreprise. Le précédent conseil Municipal, nous gratifiait souvent d’une prose plus abondante et souvent conviviale dans ses comptes-rendus de réunion .
    « La demande est chaude, le merci est froid. »(Proverbe Allemand)


     


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  • Le meilleur des carnets de Jules Hostouley -  04/10/2012

     
     04/10/2012 08:37:36


    Rigolez pas ! C’est vous qui payez
    C’est la rentrée. Le tour de vis annoncé avant les élections est là. Allègement des charges des entreprises. Augmentation de la CSG. Qu'en est-il aujourd'hui, en 2012, 4 ans après le passage de la crise, de la rigueur et de l'austérité... Il n'y a pas que l'état qui alourdit les charges des entreprises. Tous ces séminaires à l'autre bout de la planète. Ces multiples repas d'affaires. Ces notes de frais astronomiques. On se souvient des footballers de l’équipe de France. Là aussi une entreprise Française en faillite. Maintenant les entreprises sont parties en Chine. Et les états réputés riches, économiquement ruinés. Pas grave ! Ce sont les plus faibles qui vont payer la note. D’ailleurs c’est en court. Depuis la fin des vacances, l’état a publié sa note de frais. Elle est aussi astronomique, à défaut d’être gastronomique. Particulièrement indigeste le menu concocté. On nous susurre à l’oreille que ce sont les plus riches qui vont payer plus. Billevesées ! Ces plus riches, s’ils ne se sont pas téléportés vers des rivages plus sains pour leur fortune, vont trouver une combine pour faire payer leurs notes de frais au plus pauvres. En licenciant, par exemple. En délocalisant, s’ils sont employeurs. Ces beaux messieurs vont pouvoir y faire leurs séminaires….En Chine….C'est très exotique.....La Chine. Bonnes vacances !

    « Octobre, chute des feuilles..d’impôts »
     

     


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  • La page du jour de Jules Hostouley -  17/10/2012

       17/10/2012 13:24:07  

      Chien connu avec collier
    Le récent compte rendu de la réunion du conseil municipal du 28 septembre de l’an de grâce 2012, nous rappelle collégialement que nos compagnons à quatre pattes ne doivent pas être surpris en état de divagation, sans leurs maitres attachés au bout de la laisse. Il est, d’ailleurs, rappelé à ces même propriétaires de « clébards » de se munir des instruments adéquats pour récupérer et rapatrier vers la poubelle familiale, prévue à cet effet, les déjections (merdes de chien) du plus fidèle ami de l’homme. J’entends déjà la vindicte populaire s’indigner et protester : « Comment fait-on avec les déjections (Crottin) de la plus noble conquête de l’homme ; les déjections (bousas) de nos paisibles ruminants pourvoyeurs du meilleur de nos petits déjeuners et les déjections(fientes) de tous nos (Roucouleurs*) qui repeignent périodiquement, les honorables statues de nos vénérables gloires nationales ». Oui ! Comment fait-on ? Fi de toutes ces considérations à caractère légèrement hypocrite et scatologique. Reprenons ici le cours de notre propos, d’ordre sanitaire et de salubrité publique. Les autorités locales se foutent de nous, une fois de plus, car un toutou bien connu de tous, depuis des mois, squatte le domaine public, en permanence. Pour lui point de fourrière, point de procès-verbal… Non!L’impunité. L’animal n’étant pas équipé pour récupérer par devers lui, ses propres déjections (si tant est qu’une déjection puisse être une chose propre) le domaine public est de plus en plus pollué. Demandez, un peu, au personnel communal quand il passe la tondeuse ou la débroussailleuse sur ce genre de cadeau. Imaginez un peu le résultat.. Moucheté ! Comme disait Coluche, du front au pantalon, le malheureux cantonnier ! (comme on les appelait autrefois). Et l’odeur en plus…….. Imaginez, au cours de votre promenade, la sensation molle au bout de votre pied, confortablement logé, dans une belle chaussure, au cuir de qualité, qui s’enfonce soyeusement, mollement et durablement dans cette signature canine. Beurk ! Dites-vous ! Un consensus mou… Pas celui de l’excrément de Médor, mais de celui des autorités, qui nous admonestent d’une circulaire stéréotypée, à la fin de chaque compte rendu de la réunion du conseil municipal, pour nous rappeler nos devoirs de citoyen. Des autorités qui, elles, se défilent, quand il faut sanctionner les manquements à ces devoirs citoyens. Des autorités qui ne mettent pas en œuvre les moyens pour remédier à tous ces inconvénients. C’est déjà la deuxième ou troisième fois, qu’il a fallu hurler et aboyer au sujet de cet animal aux propriétaires indélicats. Nous ne nous contenterons pas de japper, de laper, de lécher et de remuer la queue éternellement. Nous finirons par mordre, un de ces jours prochains. Et gare aux fesses de ceux qui passent à coté de leur mission d’ordre public ! Que toutes ces considérations « scatocaninologiques* » ne vous empêchent pas de terminer votre savoureux petit déjeuner.
    Ce qu'il y a de meilleur dans l'homme, c'est le chien.(Maxime Du Camp)

    *Ne cherchez pas dans le dico. Ça n’existe pas !

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  • Le meilleur des carnets de Jules Hostouley -  03/10/2012

     03/10/2012 09:04:20
     

     
    Fosse commune ou fausse commune ?
    On est en droit de s’interroger. LECHOJOVACIEN nous rappelle que Jouy sous Thelle possède une gloire dans son patrimoine. « L’illustre homme » pour reprendre les termes de LECHOJOVACIEN ; donc cet illustre homme, curé de Jouy sous Thelle, dont nous avons eu la joie de lire les œuvres d’historien sur notre village, consignées dans un manuscrit que beaucoup de Jovaciens ont pu apprécier la densité…Donc, poursuivrais-je, cet illustre homme est assigné à résidence. Si l’on en croit la nouvelle épitaphe, aux épithètes peu élogieuses, décernée par les services de la Mairie. Une épitaphe qui vous envoie tout droit, non pas en enfer, mais à la fosse commune, comme l’indique un extrait du texte de loi afférant au « reprise de concession en état d’abandon » à savoir : « avoir fait aussitôt réinhumer ces restes dans un emplacement du même cimetière affecté à perpétuité à cet usage par un arrêté municipal et aménagé en ossuaire » Ossuaire qui ressemble comme deux gouttes d’eau à ce que les gens ont coutume d’appeler la fosse commune. Qui n’est heureusement pas tout fait pareil que la fosse bien connue. Donc une résidence perpétuelle, pour un homme illustre et un illustre personnage que l’on aurait du honorer officiellement depuis fort longtemps. Un illustre défunt qui aurait tout a fait le droit d’avoir un carré pour lui tout seul… Â perpétuité ! On se doute bien que la recherche d’éventuels descendants a de forte chance de ne pas aboutir. Après tant d’années… Les esprits malicieux pourront toujours objecter qu’un curé ne possède pas, en principe, de descendance. Fi de ces esprits goguenards et passons sur ce manque de respect à la mémoire de Louis-Isidore Bouche, curé de Jouy sous Thelle, pour subodorer que quelques arrières-arrières petits neveux, puissent, le cas échéant, se présenter en Mairie. Quand on voit comment certaines sépultures récentes sont traitées par les héritiers, on se doute bien que notre brave curé ne pourra compter sur sa famille pour voir sa dernière résidence restaurée et honorée dans des termes qu’il est en droit d’espérer. Notre village, de par la volonté de nos élus, est en quête de son passé prestigieux et de son patrimoine, comme il la prouvé récemment. Qu’il remplace, donc, cette épitaphe infamante, par une plaque…. Comment dirais-je... Vous savez bien.. Une plaque du meilleur marbre,

     

    Carrare s’il vous plait ; donc une plaque à l’épitaphe rédigée en lettres d’or. Pas moins

     


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