•  

    Une tondeuse automatique automower solaire
      Une tondeuse automatique automower solaire


    syklop, le 8 avril 2008
    La gamme des tondeuses robot d’Husqvarna (ou d’Electrolux, c’est selon, en fonction des époques…), dont le syklop est l’heureux propriétaire d’un des modèles, s’aggrandit :


    Jusqu’en 1999, il y avait le modèle « solaire » et le modèle « rechargeable ». Le solaire a eu un succès très limité parce qu’il était très cher et très peu fiable : Il fallait un ensoleillement digne du Sahara pour que l’énergie soit suffisante à la tonte, et… il n’y a pas de gazon au Sahara.
    Le modèle rechargeable (Automower G1), dont j’ai essuyé les plâtres, fonctionnait mieux, mais avait de sérieux défauts de jeunesse…
    En 2005, le modèle Automower G2 est sorti : Mieux pensé mécaniquement, il avait cependant le défaut d’avoir une moins grande autonomie : On passait d’une surface maximale annoncée de 3000 m2 pour la G1 à 1500 m2 pour la G2. Mais à part ça, elle est bien plus fiable : J’en suis propriétaire depuis 2006. Et c’est concluant : fini la corvée de tonte !
    En 2007, Husqvarna a revu sa gamme, pour élargir sa clientèle :
    La 210C : L’entrée de gamme, suffit pour 500m2. Elle ne se recharge pas automatiquement : Il faut la brancher au secteur pendant la nuit et la « lâcher » la journée. En bref, il faut s’en occuper tous les jours. Bof.
    La 220AC : L’équivalent de la G2. Se recharge automatiquement dans sa station de base. Suffit pour 1500m2.
    La 230ACX : Le modèle supérieur, avec une plus grande autonomie, qui suffit pour 3000m2.
    La brochure pour tous ces modèles est là.
    La nouveauté : Engadget nous informe qu’un nouveau modèle solaire va sortir : Hybride il est équipé de panneaux solaires, mais peut aller se recharger sur une station de base si nécessaire. Dingue : Même les tondeuses se mettent à être hybrides…


      Répondre au sujet
       

     

    On n’arrêtera jamais le progrès.
    En tout cas beaucoup moins de pollution Carbone, sonore et autres.
    Le modèle solaire coutait en 2008 la bagatelle de 3000€.
    Pas le petit investissement .......
     Il est nécessaire de posséder le N° 1088 de Science & Vie pour avoir plus de renseignement
    WS

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  • Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans
    26/07/2011

    La police australienne a dû asperger de gaz lacrymogène un grand kangourou, qui avait attaqué une vieille dame après avoir bondi dans son jardin, alors qu'elle étendait son linge, a rapporté mardi la presse.

    Photographe : Marcel Mochet
    La victime âgée de 94 ans a raconté qu'elle avait cru sa dernière heure arrivée quand le kangourou rouge, qui peut mesurer jusqu'à 2 mètres de haut et parcourir 9 mètres en un bond, l'avait projetée sur le sol avant de lui donner des coups de pied.
    "J'ai cru qu'il allait me tuer", a déclaré Phyllis Johnson au journal Courier-Mail, depuis son lit d'hôpital, après cette attaque survenue dimanche à Charleville, une localité reculée de l'Etat du Queensland (nord-est).
    "Il était plus grand que moi et je me suis effondrée dans le linge ..." a raconté la vieille dame, qui a tenté de se défendre avec un balai tandis que son chien, effrayé, avait pris la poudre d'escampette.
    Blessée, elle est tout de même parvenue à rentrer chez elle pour appeler son fils, qui a alerté la police.
    Le sergent Stephen Perkins a déclaré au journal que le kangourou avait bondi sur les deux policiers dépêchés sur place et que ces derniers avaient dû se défendre avec du gaz lacrymogène pour maîtriser le marsupial.
    Malgré ces émotions, Phyllis Johnson a dit qu'elle avait de la tendresse pour les kangourous, qu'elle avait l'habitude de nourrir avec des restes de pain, sans rencontrer jusqu'alors le moindre problème.
     Marcel Mochet, AFP
    Pour en svoir plus......



     Un bond en Australie nous fait découvrir ce fait-divers très sautillant.
    Une histoire à rebondissement qui se termine bien.
    Elle a encore du ressort , cette brave dame.
    Pourtant dès le début, cette affaire n'était pas dans la poche.


    Very HappyVery Happy Very Happy
          WSTendance       

     


           

     


    votre commentaire
  • Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans
      Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans
     26/07/2011
    La police australienne a dû asperger de gaz lacrymogène un grand kangourou, qui avait attaqué une vieille dame après avoir bondi dans son jardin, alors qu'elle étendait son linge, a rapporté mardi la presse.

    Photographe : Marcel Mochet
    La victime âgée de 94 ans a raconté qu'elle avait cru sa dernière heure arrivée quand le kangourou rouge, qui peut mesurer jusqu'à 2 mètres de haut et parcourir 9 mètres en un bond, l'avait projetée sur le sol avant de lui donner des coups de pied.
    "J'ai cru qu'il allait me tuer", a déclaré Phyllis Johnson au journal Courier-Mail, depuis son lit d'hôpital, après cette attaque survenue dimanche à Charleville, une localité reculée de l'Etat du Queensland (nord-est).
    "Il était plus grand que moi et je me suis effondrée dans le linge ..." a raconté la vieille dame, qui a tenté de se défendre avec un balai tandis que son chien, effrayé, avait pris la poudre d'escampette.
    Blessée, elle est tout de même parvenue à rentrer chez elle pour appeler son fils, qui a alerté la police.
    Le sergent Stephen Perkins a déclaré au journal que le kangourou avait bondi sur les deux policiers dépêchés sur place et que ces derniers avaient dû se défendre avec du gaz lacrymogène pour maîtriser le marsupial.
    Malgré ces émotions, Phyllis Johnson a dit qu'elle avait de la tendresse pour les kangourous, qu'elle avait l'habitude de nourrir avec des restes de pain, sans rencontrer jusqu'alors le moindre problème.
     Marcel Mochet, AFP

    Un bond en Australie nous fait découvrir ce fait-divers très sautillant.
    Une histoire à rebondissement qui se termine bien.
    Elle a encore du ressort , cette brave dame.
    Pourtant dès le début, cette affaire n'était pas dans la poche.
    WS   Very Happy Very Happy Very Happy

      Une conversation à continuer ici......... 


       
     Â suivre

              Retour



    votre commentaire


  • 21 juin 2011
    Jardins du partage à Saint-Amant-de-Boixe
    Pays Angoumois
    À Saint-Amant-de-Boixe, Alain Maltat a imaginé des jardins collectifs. Chacun paye les légumes en fonction de son investissement. Une vingtaine de pionniers.

    Le président fondateur Alain Maltat fait partie des quatre propriétaires qui mettent des parcelles à disposition. Ce qui ne l\'empêche pas d\'éclaircir les radis. Photo S. C.

    Les tomates tardent à s'élever, les radis doivent être éclaircis, les salades sont montées mais les artichauts ont plutôt fière allure. Les jardins collectifs de Saint-Amant-de-Boixe ne sont ni pire ni mieux que des jardins ordinaires. Ils sont originaux. Ici, les jardiniers amateurs, une bonne vingtaine, achètent leurs légumes en fonction de leur investissement au potager et à l'association «Culture et partage» qui le gère.
    Le système prévoit trois couleurs, synonymes de trois engagements. Chacun choisit son profil. Le jaune pour le plus intermittent, le bleu pour celui qui intervient une fois par semaine et le vert pour le fidèle. Le premier paye le kilo de patates 0,60€, le second 0,30€ et le troisième 0,15€.
    Précision: le vert n'a aucune connotation politique.  «Juste l'addition du jaune et du bleu» prévient Alain Maltat, agriculteur en reconversion bio, à l'origine de la formule. Tout a commencé au lendemain des dernières municipales, en 2008. «On avait envie de réunir les énergies qui ne seraient pas élues et ceux qui voudraient nous rejoindre pour s'occuper des affaires citoyennes. On a listé des sujets et c'est comme ça qu'on a eu l'idée du jardin» raconte-t-il.
    L'idée a germé pendant plus d'un an avant d'aboutir à sa forme actuelle: 75 ares dans la vallée du Javard. «Le hasard a bien fait les choses. Nous étions quatre propriétaires à avoir des parcelles contiguës. Nous les avons mises gracieusement à disposition de l'association pour deux ans minimum avec tacite reconduction» explique le quinquagénaire, en quête d'un modèle économique équitable. «L'objectif est d'arriver à équilibrer tous les tarifs. On a eu une subvention de la mairie la première année pour acheter un motoculteur d'occasion et une motopompe, mais on doit pouvoir fonctionner sans subvention» explique Alain Maltat, plutôt satisfait du résultat. Le paysan et ses amis ne visent pas le top chef des jardiniers. Ils ont écrit une parodie des «Copains d'abord» qui résume bien leur ambition.
    2 euros l'adhésion
    Extraits: «On y cultive en père peinard, sans prétention et sans costard (...) Et si certains bourraient de chimie tomates , salades et tous les semis, chacun de nous se fâcherait fort (...) Et quand la vie cause du tracas (...), on se serre les coudes (...), aider les autres, ça donne des ailes».
    Retraités, aide-éducatrice, enseignante, ingénieur, secrétaire ou agriculteur... Tous les âges se retrouvent autour des fraises à ramasser et des betteraves à replanter. «On cultive ensemble plutôt que séparément. C'est plus efficace. On laisse les consignes pour ceux qui ne sont pas habitués, au tableau» détaille le fondateur. Tout est prévu, même le pique-nique de septembre pour animer le village, même l'approvisionnement des seniors qui ne se déplacent pas.
    Les jardins de Saint-Amant, c'est un peu les jardins du coeur. Pour adhérer, il suffit d'acquitter 2€ minimum. Il n'y a pas de maxi. Résultat: la moyenne de la participation oscille entre 7 et 8€. De quoi constituer une cagnotte avec la vente des légumes; de quoi cultiver son jardin en méditant sur l'avenir de l'homme et de la femme.
    Sylviane Carin



    Les jardins du cœur
    Le potager du cœur.
    Une version encore plus participative de nos traditionnels jardins ouvriers; de nos jardins sociaux.
    Qui furent un gigantesque progrès social dans la répartition des terres cultivables non affectées à l'agriculture.
    Une formule très originale de répartition des taches.
    Celui qui dispose de tout son temps, c'est malheureusement le cas des chômeurs, sera indirectement rémunéré par son voisin jardinier, beaucoup plus accaparé par son travail quotidien.
    J'ajouterais même une couleur en plus.
    Les amateurs de Bio, qui sans participer à la tache quotidienne, donneraient par exemple 1 € pour 1 kilo de patates; ou plus même!
    Des amateurs qui paient souvent très chers les légumes bio proposés par les AMAP ou toutes autres associations.
    Et donc une rémunération supplémentaire pour les chômeurs et pour les participants aux très faibles ressources.
    Souhaitons que cette sympathique idée quitte le cadre de la Charente


      

      
          WSTendance              

     


         

     



    votre commentaire



  • COMMÉMORATION Le moteur de l'avion crashé, restauré et désormais exposé

    Dimanche 19 Juin 2011



    Le moteur a été installé dans le parc de la mairie il y a quelques jours; il sera inauguré samedi prochain.

    Retrouvé en 2009, le moteur du chasseur monoplace, qui s'était écrasé dans les marais le 3 janvier 1944, est à voir sur la place de la mairie. Son pilote avait trouvé la mort.

    Quelque 300 personnes sont attendues, samedi prochain, à Sacy-le-Grand, à l'occasion de l'inauguration d'un lieu commémorant le sacrifice du flying officer Henry Hector MacKenzie, jeune pilote canadien tué le 3 janvier1944 aux commandes de son Hawker Typhoon.

    L'avion, un chasseur monoplace britannique, s'était écrasé dans les marais à l'issue d'un combat avec des appareils allemands stationnés sur la base de Creil.

    Soixante-sept ans plus tard, la commune et ses habitants s'apprêtent donc à lui rendre hommage. Un hommage qui se tiendra autour du moteur du Hawker Typhoon, retrouvé en avril2009, et qui vient d'être installé sur une stèle, dans le parc de la mairie.

    Le moteur dormait dans un garage

    «C'est l'aboutissement du travail réalisé durant deux ans, note Éric Fardel, un habitant de la commune passionné d'histoire et d'aviation, à l'origine, en compagnie d'un groupe d'amis, de la découverte du moteur. Il était depuis cette date dans mon garage et l'idée n'était absolument pas de le garder là éternellement, comme un trophée. Au contraire, dès le départ, mon souhait était d'en faire quelque chose, de le mettre en valeur dans la commune ».

    L'idée avait été vite validée par Didier Warmé, maire, et son conseil municipal qui, en plus de la stèle, ont proposé de donner le nom du pilote à une nouvelle rue, située dans un lotissement en construction. «La commune s'est vraiment investie dans le projet, confirme Éric Fardel. Elle a compris que ce moteur devait rester ici et non aller dans un musée. Il fait partie de l'histoire de Sacy; il doit donc rester à Sacy».

    Le moteur, patiemment nettoyé, est dans un état de conservation remarquable. L'une des pales de son hélice, bien que tordue lors du crash, est toujours présente.

    C'est à l'aide d'un chariot élévateur que l'ensemble, pesant plus d'une tonne, a été sorti du garage d'Éric Fardel avant d'être conduit, il y a quelques jours, dans le parc de la mairie pour être scellé sur un socle. « Deux panneaux d'informations seront installés de part et d'autre. Il y aura également une plaque en bronze réalisée par des élèves du lycée Marie-Curie de Nogent-sur-Oise.Nous proposerons également, lors de l'inauguration, une petite exposition présentant la mission, le pilote, etc.»

    Parmi les personnes qui assisteront samedi prochain à l'inauguration de la stèle figureront huit membres de la famille du pilote canadien.

    Seront aussi présents un représentant de l'ambassade du Canada, un couple de Canadiens ayant aidé à retrouver la famille du flying officer, et un détachement de la base aérienne de Creil, sans oublier les élus locaux et les anciens combattants.

    La veille, la famille se rendra sur les lieux du crash afin d'y déposer une gerbe de fleurs. Et le lendemain, dimanche, elle ira se recueillir sur la tombe du pilote, à Beauvais, avant de se rendre à Poix-de-Picardie où sont enterrés deux de ses amis, tombés eux aussi durant l'année 1944. Avec l'un d'eux, MacKenzie avait joué la mission du 3janvier1944 à pile ou face... avec la fin que l'on connaît aujourd'hui.

    SYLVIE MOLINÈS

     Pour en voir plus............






    14 juillet 2011
    Défilé sur les Champs Élysées .
    Pour ne pas oublier le sacrifice de cet aviateur.
    Pour ne pas oublier le sacrifice de tous les soldats du monde.
    Pour ne pas oublier le sacrifice de tous les soldats de toutes les guerres
      
          WSTendance       fou volant

     

     


        

     


     

    cliquez sur l'image


    votre commentaire
  • Bonnes vacances

    cosmoss

    14/07/2011 11:02:11

     

    Bonjour tout le monde, quel plaisir les vacances, les embouteillages, bon, c'est du passé, les coups de soleil, il suffit de mettre de la crème,
    les averses, un parapluie, les longues siestes en vacances sont quand mème très agréables, moi, mes vacances sont mon jardin,
    dont voici quelques couleurs














      14/07/2011 13:58:48

    White Satin

    Bonjour Cosmoss
    Merci pour toutes ces images estivales...
    et de vacances.
    Bonnes vacances
    Bien méritées...
    WS

     

      14/07/2011 15:39:17 

    Julie

    Bonnes vacances à toi aussi
    et beaucoup de beau temps
    bise julie

    14/07/2011 23:43:45

    scrophu

    Manque que l'odeur de miel du Buddleia!!!!!! olé

       
     Â suivre
    Forum

    votre commentaire


  • Cueillette de fraises, légumes et verger bio

    Denis Delannoy mise sur la vente directe
    mercredi 08.06.2011
    Les paniers bien garnis trouvent vite preneur sur l'exploitation ou au marché d'Arras.. Les paniers bien garnis trouvent vite preneur sur l'exploitation ou au marché d'Arras.



    Douze ans à la chambre d'agriculture du Nord, dix dans celle du Pas-de-Calais.
     Et un jour, Denis Delannoy décide de sortir de son bureau pour devenir agriculteur pour de vrai. Un pari un peu fou qui a débouché sur une cueillette de fraises à Neuville-Vitasse complétée par un verger et un potager bio. Un virage qu'il ne regrette pas. Le goût de ses produits et l'adhésion de ses clients l'encouragent même à se développer.

    Ses parents sont à la tête d'une exploitation de quinze hectares quand Denis Delannoy décide de s'installer. Autant dire que leur ferme sera bientôt avalée par un plus gros à la recherche d'agrandissement. Malgré tout, l'ancien employé à la chambre d'agriculture décide de franchir le pas en 1992. Il arrive avec un solide bagage technique et des idées plein son panier. « J'ai bien réfléchi mon projet : je voulais faire de la vente directe. Mais pour cela, il fallait être présent toute l'année. Au début, je vendais surtout les surplus du jardin, juste pour me faire plaisir, pour rencontrer des gens alors que j'avais toujours été dans un bureau. »

    Très branché sur l'agronomie, Denis Delannoy a aussi une approche différente sur l'utilisation des produits phytosanitaires : « Les fruits et les légumes, c'est ma femme et moi qui les cueillons. On ne veut pas s'intoxiquer. Alors, tant pis s'il y a des mauvaises herbes. »

    Certains appellent cela de l'agric............

     Pour en savoir plus......

    PAR EMMANUEL CRÉPELLE - PHOTO PASCAL BONNIERE.



    Retour à la nature, positif .
    Retour à la ferme, encourageant.
    Retour à des valeurs un peu plus simples.
    Retour à des pratiques séculaires mais plus que jamais d'actualité.
    Nous avons maintenant grand besoin de ces initiatives.
    Sinon nous gouterons à la fraise Chinoise*, après celle d'Espagne.
    Félicitation et bon courage à ces nouveaux pionniers.

    *Qui est certainement très bonne. Mais quand on peut faire simple........

      
          WSTendance

     

    votre commentaire
  • TOMODORI

    Il y a bientôt un an .......

    Le 10 août 2010

    Le site très connu sur les tomates "Tomodori" éprouve, en ce moment quelques difficultés au niveau de son administration.
    Un tel site nécessite beaucoup de travail d'administration.
    Un administrateur de ce site s'implique beaucoup moins dans son ministère depuis quelques mois.
    L'autre administrateur a exposé courageusement auprès des membres les difficultés du site, que l'on espère passagères.
    Avec Vent Marin, je consulte souvent ces sites.
    Ce sont des bibles dans le domaine de la tomate.
    Il serait désastreux qu'ils disparaissent.
    Alors qu' une entreprise peut changer de direction, pourquoi les forums ne pourraient-ils pas changer d'administrateur ?
    Pratiquement, à chaque fois que le cas se présente, le forum lui-même se trouve en grande difficulté.
    On a déjà vu disparaitre des forums dans de telles circonstances.
    Et pas des moindres.
    Pour en savoir plus......
    Longue vie à Tomodori


    Tendance      
     
     
      Article déjà publié le 10 août 2010 

    1 commentaire
  • James Lovelock

     



    James Lovelock en 2005.

    James Ephraim Lovelock (né le 26 juillet 1919 à Letchworth (Grande-Bretagne) est un penseur, scientifique et environnementaliste indépendant de nationalité britannique.
    Il est spécialiste des sciences de l'atmosphère.
    Il vit actuellement dans le comté de Cornouailles, en Grande-Bretagne.
    Son nom a été donné en hommage à la quinzième version de la célèbre distribution libre et gratuite de GNU/Linux Fedora, parue le 24 mai 2011.
    Pour en savoir un peu plus..........

    Très controversé aux Etats Unis, à la NASA, dans les années 60

    le monde scientifique s'est ensuite rapproché, discrètement, de ses thèses sur Gaïa "La terre vivante".

     

      
          WSTendance              

     


        



    1 commentaire
  • Une boisson: Le purin d'orties

     
    Engrais naturel, antiparasitaire, diurétique,… l’ortie est une plante dont les multiples propriétés feront des merveilles dans les jardins et les potagers.
    De la famille des Urticacées, l'ortie est une plante herbacée qui pousse sur des sols riches. Elle a pour nom latin « Urtica » .On compte plus de 30 espèces et celles les plus communes sont la grande ortie ou ortie des jardins(urtica dioica) dont la taille varie entre 50 cm à 1 mètre et la petite ortie ou ortie brûlante (urtica urens) qui a moins de 50 cm.
    Les Mille Et Une Facettes De L’ortie
    L’ortie, véritable panacée des jardins, fait un excellent purin et constitue un activateur du compost.

    Elle donne force, santé, vigueur et couleurs vives aux fleurs et apporte des éléments nutritifs importants aux plants de petits fruits rouges (framboisiers, groseilliers...) lorsqu’elle pousse au milieu d’eux ; les fruits sont plus beaux, plus parfumés, plus nombreux, plus colorés. Elle les rend plus résistants aux maladies et aux ravageurs. En insecticide, elle chasse, par pulvérisation de son purin dilué, les pucerons, la mouche de la carotte, et bien d’autres hôtes indésirables des plantes potagères ou horticoles.

    L’ortie est également une grande dévoreuse de nitrates, de phosphates, elle débarrasse des excédents de ces substances, tous les coins où elle pousse. Elle contribue donc à un assainissement du sol très bénéfique.

    Les soupes et infusions d’orties sont conseillées pour leurs propriétés diurétiques, cicatrisantes et antidiabétiques.

    Le Purin d’Ortie


    Le purin s'obtient par macération plus ou moins.........

     

     



    Pour la boisson à base de purin d'ortie, c'est ici...............

     



        
          WSTendance      

     

    votre commentaire
  •  

    Regain d'intérêt pour les jardins
     

     Objet d'une véritable redécouverte depuis le regain d'intérêt pour les jardins à partir des années 1970, ces savoirs et ces savoir-faire présentent en fait un degré de complexité qui pose la question de leur transmission à travers le temps. Celle-ci peut tout d'abord s'appréhender par le truchement de leur codification. Supports de cette « mise en art » (reducho in artem), les traités montrent ainsi comment la réalisation des jardins, traditionnellement rattachée à l'agriculture, s'en émancipe au cours du xviie siècle. Énumérant les qualités nécessaires au jardinier dans son Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art (1638), Jacques Boyceau de la Barauderie cite la connaissance du sol, du climat et des plantes, mais aussi la maîtrise du dessin et de la géométrie, ainsi qu'une bonne familiarité avec l'architecture. La Théorie et la pratique du jardinage d'Antoine-Joseph Dezallier d'Argenville comprend, dans son édition la plus complète (1747), une partie entièrement consacrée à l'hydraulique, qui fait écho à l'Architecture hydraulique (1737-1739) publiée par Bernard Forest de Bélidor.

    Un jardin blanc
       Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet
     
       
     Â suivre     Retour

       Compteur de visiteurs en temps réel


    votre commentaire
  •  

    Un petit coin de paradis au coeur du Ternois
     
    Un petit coin de paradis au coeur du Ternois
    jeudi 30.06.2011,
    Les Jardins de Séricourt sont une vraie parenthèse. Une respiration. 4,5 ha d'émerveillement, au coeur du Ternois

    Dessinés par Yves Gosse de Gorre et son fils, Guillaume, architectes du paysage. Tout a commencé en 1983. Le père, Yves, avant-gardiste en matière de plantes vivaces, décide de créer, devant sa maison, un jardin de démonstration... Son jardin sert de laboratoires d'idées à son entreprise de paysagiste. Il a transmis sa passion à son fils. Les Jardins collectionnent aujourd'hui les blasons : Jardin remarquable, plus beaux jardins de France, Ses sentiers vous portent de surprise en surprise : trente jardins imbriqués, trente ambiances différentes. De l'allée nostalgique où pleurent les saules, au jardin guerrier où se dressent les lupins, blancs et rouge sang, en passant par l'allée de l'infini ou la chambre d'amour... Ici pas de flèche, pas de pancarte, tout est là pour laisser libre court à la rêverie. Prenez votre temps, respirez les odeurs, les couleurs. Passez d'une clairière lumineuse aux bois des ombres... Les connaisseurs apprécieront les collections de marronniers, de magnolias, et les variétés hybrides créées par les Gosse de Gorre, la rose de Séricourt, les hostas bleutés...


      Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  •  

    Un paysage pastoral créé de toutes pièces
       
    10 juillet 2011 Un paysage pastoral créé de toutes pièces

    Le parc de Piré-sur-Seiche a été dessiné au XIXe siècle pour offrir des vues et une promenade agréables aux châtelains. Au XXIe siècle, le peuple apprécie son charme bucolique.
    Des allées forestières, des prairies, des vergers, un étang, de beaux arbres... Le paysage bucolique à souhait, au cœur de l'opulente campagne d'Ille-et-Vilaine, fait illusion : rien n'est vraiment « naturel » ici. Tout est l’œuvre de l'homme. Un jardinier du duc de Berry, en 1818, a dessiné le paysage afin de le rendre agréable à l’œil quand on le contemple du château et quand on s'y promène.
    L'ensemble faisait, à l'origine, une cinquantaine d'hectares (et même 250 avec les métairies). Le château, ses dépendances et ses abords sont privés ; un entrepreneur de BTP vient de racheter cette partie du domaine aux Pères spiritains qui ont formé ici, au XXe siècle, des générations de missionnaires. Les 21,5 hectares situés en contrebas, vers le bourg de Piré, ont été acquis en 1991 par le conseil général d'Ille-et-Vilaine et sont ouverts au public.

    Charmes, hêtres et barbastelles

    Aujourd'hui, la balade commence à 500 mètres du château sous les ramures denses d'un beau chemin forestier. Ces arbres sont-ils des charmes ou des hêtres ? Il suffit d'observer les feuilles et de savoir, comme notre guide Laurène, que « le charme d'Adam, c'est d'être à poil ». Traduisez : les feuilles de charme sont dentelées, celles du hêtre ont une surface duveteuse...
    Un nichoir tout plat est accroché en hauteur. « Pour les chauves-souris, précise Laurène. On en a recensé douze espèces ici. Dont le petit rhinolophe, le grand murin et la barbastelle, très intéressants. » Elles cohabitent dans les bois environnants avec le hibou moyen duc, la chouette hulotte, l'épeiche et le pic noir. L'allée borde un étang où le héron cendré est chez lui.

    Vaches cornues et chevaux gourmands
    L'allée débouche sur de vastes prairies où les papillons s'enivrent de fleurs de centaurées. À gauche, en hauteur, apparaît le château à la façade sobre, dominant le parc. Les bâtiments (XVe et XVIIIe siècle) sont encadrés par des bosquets qui s'élèvent en silhouettes vert sombre.
    Le sentier fait le tour des prairies où pâturent quelques vaches trapues aux cornes immenses et au long poil roux ou crème : des Highland-Cattle. Celles-là n'ont pas été choisies pour faire joli mais pour leur rusticité, qui leur permet d'entretenir les lieux à moindres frais. Dans l'enclos voisin, trois chevaux mulassiers du Poitou broutent sans lever la tête une seconde. « Impossible de les arrêter. Après, il faut les mettre au régime dans des landes ! »

    Des « points d'appel » pour le regard
    Le regard est attiré par un grand chêne solitaire, tout en rondeur, magnifique. C'est un des « points d'appel » du parc, dont la découverte progressive renouvelle l'intérêt de la promenade. Le château, l'étang, et quelques arbres remarquables forment d'autres « points d'appel » conçus dès l'origine du parc. De même, les bosquets ne sont pas là pour « remplir » l'espace. Ils servent tantôt à cadrer des vues intéressantes, tantôt à masquer des « points d'appel » qui doivent se découvrir plus loin. Ils peuvent aussi faire office de « fonds de tableau » ou marquer des plans successifs pour donner au paysage de la profondeur. Deux cents ans après, le jardinier du duc de Berry continue de charmer le promeneur.
    Textes et photos :Didier AUBIN.




    Ce charmant village, dont les remarquables maisons anciennes du centre-ville méritent à elles seules que l'on rende visite à Piré, signifie "lieu couvert de poires". Une belle invitation au voyage, non ?

    Le Centre-ville
    l'importance de la Seigneurerie de Piré se remarque par la présence de nombreuses maisons des XVIe et XVIIe siècles dans le bourg. De la grande place de l'église (ah, quelle étrange église que celle-là, avec ses deux clochers !), on peut observer cet ensemble d'anciennes maisons, dont l'une, la Maison du Plessis, appartenait à la famille du Plessis-Guériff (voir le château des Pères)
    L'église aux deux clochers abrite 3 retables de Corbineau de Laval datés du début du XVIIe siècle. Dans le cimetière, une chapelle abrite une Piéta du XVIe siècle ainsi que des toiles.Rien que ça !
    Châteaux de la Beauvais et de l’Epinay (ne se visitent pas).

    Vestiges archéologiques
    Voie romaine Rennes-Angers
    Parc Départemental. Le Conseil Général d'Ille-et-Vilaine a fait l'acquisition de ce parc. En savoir plus (site du Conseil Général)
    Le Château des Pères Spiritains
    Si le château ne se visite pas, un sentier de 3 kilomètres vous fera visiter le beau parc qui abrite des arbres plus que centenaires. Le château abrite un musée des arts africains qui recèle des objets de grand intérêt.
      Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  •  

    Des jardins à croquer à Saint-Fraigne

     
    Des jardins à croquer à Saint-Fraigne

    Thème

    • Le vaisselier accueille les insectes.
    • Les sculptures aériennes de Denis Tricot. (Photos Renaud Joubert)
    • Dans certains arbustes de St-Fraigne pousse la recette de la glace à l'onagre.
    • La boulette de déchets de David Ferrère pour méditer.
    • Bonbons et fête foraine, les enfants sont gâtés.
    • Bienvenue aux jardins de Saint-Fraigne.
    • pour un moment de gourmandise
    • et de plaisir
    • Le vaisselier accueille les insectes.
    • Les sculptures aériennes de Denis Tricot. (Photos Renaud Joubert)
    Cette année, les jardins éphémères de Saint-Fraigne se dégustent avec les yeux et la bouche. Le visiteur est autorisé à goûter la déco Fraises, framboises, onagre. C'est même fait pour ...
    10 juillet 2011
    Christelle Lasaires
      
      Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  •  

    Message
      Tondre avec son téléphone
    18 juin 2011


    Tondre sa pelouse est désormais aussi facile qu'un coup de fil ! Car il est aujourd'hui possible d'envoyer des messages à sa tondeuse (grâce à une carte SIM intégrée sous le capot). L'appareil exécute tous les ordres : tondre pendant le temps voulu ou se rendre sagement à la station de charge. Et si l'envie lui prend d'aller voir si l'herbe est plus verte chez le voisin, son kit GPS permettra de le localiser. Les robots tondeuses Automower (de la marque Husqvarna) ont également l'avantage d'être silencieux. Il est donc tout à fait possible de faire marcher sa tondeuse tout en en se laissant aller à une bonne sieste !


    On pourra aussi tondre le Week end sans gêner les voisins.
       Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  • La tondeuse à gazon circulaire
      La tondeuse à gazon circulaire



    Un jardin blanc
    WS
       Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire
  • Aidez les rosiers à résister à la sécheresse
    dimanche 19 juin 2011
    Comme toutes les plantes du jardin, les rosiers souffrent de la sécheresse. Les ravageurs en profitent, certaines maladies aussi. Aidez les plantes d'une manière naturelle.
    Chers rosiers, plantes préférées des jardiniers jeunes et moins jeunes ! Leur état est parfois affligeant ! Rameaux malingres, feuilles enroulées, boutons floraux percés par des chenilles... Leur faiblesse et la rosée du matin, en dépit de l'absence de pluie, favorisent les maladies et les ravageurs : pucerons, oïdium, rouille, maladie des taches noires. Certaines variétés sont mieux loties, car résistantes aux maladies. On a bien fait de les planter. Pourquoi ne pas supprimer les autres ? Vous pouvez aussi les aider à passer ce cap sans trop en souffrir.


    Paillis nourricier
    C'est le leitmotiv du jardin au naturel. Beaucoup de vertus, si peu d'inconvénients ! Binez d'abord sous les rosiers, ajoutez du compost mûr (2 kg par pied) et recouvrez-le d'un épais paillis : tonte, branches broyées, cartons, feuilles tombées précocement...
    Arrosage généreux
    Arrosez peu souvent (toutes les trois semaines), mais abondamment, directement sur le paillis. Ne lésinez pas : 15 à 20 litres à la fois, progressivement, en évitant tout ruissellement. Le paillis évite la formation d'une croûte de battance, si néfaste aux rosiers.
    Renforcez leur résistance
    Coupez les parties mal en point des rosiers remontants (qui fleurissent plusieurs fois) et taillez les rosiers non remontants sitôt après leur floraison.
    Pour renforcer leur résistance et stimuler leur croissance, pulvérisez sur leur feuillage une préparation à base d'algues contre l'oïdium ou un biostimulant aux algues (en jardinerie) mélangé à du Megagreen. Ce nouveau produit, à base de carbonate de calcium, de magnésium et de silice très finement broyé, pénètre dans les orifices des feuilles, stimule la photosynthèse (elle s'arrête lors de la sécheresse) et augmente ainsi la résistance des plantes à la sécheresse.

    Lutte biologique
    Normalement, à cette saison, la plupart des pucerons sont déjà éliminés par leurs ennemis naturels. Inutile d'en acheter, ceux de la nature, gratuits, sont très nombreux cette année et font le « travail » tellement mieux.

    Pour en savoir plus......
    Texte et photos : Denis PÉPIN.
    ouest france


    La reine des fleurs a-t-on coutume de dire.
    Mais aussi la Reine pour les ennuis et les tracas.
    Attaques d'insectes et maladies diverses ruinent les espoirs :
    D'une floraison magnifique.
    D'un enchantement olfactif.
    D'un spectacle ravissant.
    La rose ne peut se contenter d'un entretien sommaire, et cela pratiquement tout au long des saisons.
    Même en hiver, par sa taille et sa protection.
    Fertilisation, protection antiparasitaire, taille sitôt les fleurs fanées et maintenant arrosages.
    Le dalhias, qui l'accompagne tout au long de l'été, ne réclame, par exemple, qu'une taille de ses plus belles productions
     pour aller garnir les vases et les coupes des intérieurs bien tenus.
    Pluies et orages mettent à mal une floraison sublime et généreuse.
    Heureusement on a créé les rosiers remontants qui offriront une nouvelle floraison d'ici 3 semaines..
    Et ce, jusqu'aux gelées, nous dit-on!
      
        WSTendance      

     

    votre commentaire
  • Entretenir une pelouse qui résiste à l'été
    dimanche 26 juin 2011
    Pour aider votre pelouse à résister à la sécheresse, il suffit de presque rien. Avec un entretien adapté,très naturel, elle peut rester verte en été, même sans arrosage.

    Évitez de tondre trop court
    La tonte rase (moins de 5 cm), pratiquée par tradition, est une calamité pour la pelouse et, au final, pour le jardinier. Tondu trop court, le tapis herbeux recouvre moins le sol, laissant apparaître des trouées ici ou là. La terre se dessèche plus vite. Les racines restent en surface au lieu de s'enfoncer profondément. Inévitablement, les herbes indésirables en profitent pour s'engouffrer dans les interstices laissés par le gazon affaibli, suivies par la mousse qui prolifère en hiver. Pour remédier à ce désastre inexorable, vous devrez ensuite dépenser beaucoup d'énergie et d'argent.
    Tondez haut toute l'année
    À l'inverse, la tonte haute (5 à 6 cm minimum) favorise un enracinement plus profond, une meilleure couverture du sol et automatiquement, une bien meilleure résistance à la sécheresse, aux herbes indésirables, à la mousse, mais aussi aux vers blancs ou gris qui s'attaquent parfois aux racines.
    Ne pensez pas qu'en tondant haut, il faudra tondre plus souvent. Bien au contraire. Vous pourrez continuer à tondre toutes les deux semaines au printemps et en période pluvieuse, moins souvent en été. La tonte ne sera pas plus difficile et vous n'aurez pas plus de déchets verts de tonte.
    Tonte mulching
    Laisser l'herbe coupée sur place est bon pour la pelouse. Cisaillée en menus morceaux grâce au kit mulching des tondeuses ordinaires ou à la double lame des tondeuses mulching, elle se dépose entre les interstices et recouvre la terre comme un paillis. En se décomposant sur place, l'herbe finement coupée nourrit le sol et ses êtres vivants qui travaillent la terre à votre place, l'aèrent et libèrent les éléments nutritifs qu'elle contient. La pelouse s'autonourrit !
    Pelouses nouvelles
    Sans arrosage, les pelouses semées ce printemps auront bien du mal à germer et s'installer. Si nécessaire, arrosez copieusement une fois par semaine, en début ou en fin de nuit. En cas d'échec, n'hésitez pas à ressemer, dès que les pluies reviennent. La meilleure période est la fin août ou le mois de septembre. Pensez surtout à décompacter la terre en profondeur, casser la couche tassée par les piétinements et surtout par les engins de chantier lors de la construction de la maison. Si la couche de terre est peu épaisse, semez un gazon haut de gamme Label Rouge, résistant à la sécheresse, à base de fétuque élevée ou, en zone peu gélive, de Koeleria et de Zoyzia tenuifolia.
    Pour en savoir plus........
    Texte et photos :Denis PÉPIN.

    ouest france


    Les belles pelouses vertes sont devenues un rêve inaccessible au fil des années.
    Dans nos régions, elles sont maintenant régulièrement grillées dès le mois de juillet.
    Nous n'avons plus rien à envier aux régions du sud.
    A partir des années 70, les été secs se sont succédés.
    Venant à la suite des années 60 célèbres pour leurs étés pourris, au grand dam des vacanciers du littoral Breton ou Normand.
    Conséquences :
    •  Beaucoup moins d'années à champignons (il faut un été humide et chaud).
    •  Beaucoup d'incendies en plaine au moment de la récolte.
    •  Raréfaction des fourrages pour nourrir les animaux.
    • Irrigation continue des cultures céréalières et betteravières.
    • Par voie de conséquence, baisse des nappes phréatiques.
    • Niveau des cours d'eau trop bas, au détriment de ses habitants.
    • Risques sanitaires pour les personnes âgées ( Plan canicule réactivé chaque année).

    2011 fera date dans les annales de la sècheresse, à la suite de 76, 95, 2003, 2005   etc.. etc...
    Seuls les amateurs de chaleur et de beau temps sont comblés.
    Et ils sont le plus grand nombre.
    Seulement ces dérèglements climatiques entrainent des surcouts fantastiques dans le domaine agricole, entre autre.
    Et alimente la spéculation sur les matières premières agricoles.
    On a déjà maintes fois évoqué ces conséquences dommageable pour les consommateurs.
    Même si nous n'y pouvons rien, essayons de ne pas être les cigales de l'été quand la rentrée fut venue.....
    On peut déjà appliquer les conseils de l'article ci-dessus.
    Qui permettra d'économiser individuellement cette denrée qui se raréfie.
    Cette denrée à la base de toute vie.
    Cette denrée merveilleuse : L'eau!

    Tendance   

     
     

    votre commentaire
  • Arrosez d'une manière efficace pour ne pas gaspiller l'eau
    dimanche 12 juin 2011
    Tout d'abord, renoncez à l'arrosage par aspersion sur les plantes et la pelouse. Plus de la moitié de l'eau s'évapore aussitôt. Pire, le feuillage mouillé est une proie facile pour les maladies à champignon dont les « graines » ont besoin d'eau pour germer et pénétrer dans les plantes.


    De plus l'aspersion ne permet guère de savoir quelle quantité d'eau vous apportez. Trop souvent, pas assez. Résultat, la terre est à peine mouillée sur quelques centimètres et les racines restent en surface au lieu de descendre en profondeur.

    Il est plus efficace et plus économe d'arroser beaucoup à la fois pour que l'eau descende et réalimente la réserve en eau du sol. Au pied des tomates ou des rosiers plantés récemment et couverts d'un paillis, apportez l'équivalent de 2 à 3 arrosoirs de 10 l, progressivement en plusieurs passages. Grâce au paillis, vous ne risquez pas de provoquer la formation d'une croûte de battance. Arrosez avec le goulot de l'arrosoir, sans mouiller le feuillage. Un bon arrosage de 30 litres sur sol paillé, permet d'abreuver les plantes pendant dix à quinze jours.
    Pour les semis, arrosez plus souvent, tous les 2 à 3 jours si vous ombrez la terre. Tous les jours autrement. Pour les plantes à enracinement peu profond (fraisier, laitues), arrosez 1 à 2 fois par semaine, environ 10 l/m2.
    En arrosant avec un tuyau goutteur ou microporeux, vous diminuez encore la consommation d'eau. Déroulez ce tuyau au pied des plantes, couvrez-le d'un paillis et branchez-le à un tuyau d'arrosage alimenté par l'eau d'une citerne, d'un puits ou du réseau d'eau potable. Ouvrez le robinet d'un quart de tour. En laissant l'arrosage une nuit, vous apportez l'équivalent d'une pluie de 30 mm sur 35 cm de large, de quoi satisfaire les besoins des plantes pendant deux à trois semaines.
    Denis PÉPIN.
    Pour en savoir plus..........
    ouest france
        


    Transporter des arrosoirs peut être dommageable pour le dos.
    Préférez si possible des arrosoirs de taille intermédiaire.
    Moins de 10 litres. Eviter les 12 litres et plus, si vous n'avez pas une carrure d'athlète. Very Happy
    Sinon remplissez  les à moitié.
    Vous ferez 2 voyages au lieu d'un; mais fatiguer les jambes est meilleur pour la santé que de solliciter abusivement la colonne vertébrale.
    Vous perdrez un peu plus de temps ; mais les jardiniers n'ont-ils pas tout le temps devant eux....  Very Happy
    De plus il est plus efficace de porter 2 arrosoirs pour l'équilibrage de la charge.
    5kgs sur chaque bras.
    Il faudra simplement investir un peu plus dans un deuxième arrosoir en plastique.
    Mais ils sont aujourd'hui  de coût  assez modique et souvent proposés en promotion dans les jardineries.
    Un arrosoir en métal durera plus longtemps.
    Mais un arrosoir en plastique peut durer 15 ans (Expérience personnelle)
    Il suffit de le stocker à l'intérieur pendant les mois d'hiver ( les plastiques n'aiment pas beaucoup le gel)
    Bon arrosage! ( Le soir, à la Fraiche, de préférence)

    Tendance 

     
     

    votre commentaire
  • « J'essaie de retrouver un sens aux choses »
       

    « J'essaie de retrouver un sens aux choses »
    dimanche 03 juillet 2011

    Yann Le Sech est né dans le Nord-Finistère d'une famille de militaires « curieuse de tout ». À l'appel des armes, il préfère... l'école des Beaux-Arts de Rennes, où il rencontre sa femme. Ils créent à Paris une boutique de stylisme qui aura ses heures de gloire, dans les années 60-70. Puis les goûts et les temps changent... C'est en 1976 qu'ils acquièrent le domaine de Kerambar'h, où tout est à restaurer.



    Il ne cache pas sa passion pour « l'Ancien Régime » - il parle du temps où la Bretagne était souveraine - durant les 1 200 ans d'avant le rattachement à la France (1532). « C'est un mémoricide de ne plus le savoir », dit-il. Restituer ces jardins tels qu'ils existaient est pour lui un devoir de mémoire mais aussi un acte de foi.

    Quand les traces et les documents historiques manquent, il interprète et invente, et se justifie d'un passé antérieur : « Je me dis : il eut pu y avoir ça... C'est une thèse ! ». Mais rien n'est gratuit ni fortuit dans l'ouvrage, tout est bordé de réflexion et de culture. « J'essaie de retrouver un sens aux choses. Puis j'essaie de les faire exister... »



    Contact
    Propriétaire(s) : M. et Mme Yann Le Sech (Jardin Privé)
    Jardinier(s) : nc
    Téléphone : 02.97.24.63.86
    Site web : http://www.apjb.net
    Adresse : Château de Kerambar'H
    Code postal : 56690
    Ville : LANDAUL
    Département : 56 - Morbihan
    Localiser : LES JARDINS DU CHÂTEAU DE KERAMBAR'H
      Répondre au sujet
       

     

      Compteur de visiteurs en temps réel  

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires