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Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans
26/07/2011
La police australienne a dû asperger de gaz lacrymogène un grand kangourou, qui avait attaqué une vieille dame après avoir bondi dans son jardin, alors qu'elle étendait son linge, a rapporté mardi la presse.
Photographe : Marcel Mochet
La victime âgée de 94 ans a raconté qu'elle avait cru sa dernière heure arrivée quand le kangourou rouge, qui peut mesurer jusqu'à 2 mètres de haut et parcourir 9 mètres en un bond, l'avait projetée sur le sol avant de lui donner des coups de pied.
"J'ai cru qu'il allait me tuer", a déclaré Phyllis Johnson au journal Courier-Mail, depuis son lit d'hôpital, après cette attaque survenue dimanche à Charleville, une localité reculée de l'Etat du Queensland (nord-est).
"Il était plus grand que moi et je me suis effondrée dans le linge ..." a raconté la vieille dame, qui a tenté de se défendre avec un balai tandis que son chien, effrayé, avait pris la poudre d'escampette.
Blessée, elle est tout de même parvenue à rentrer chez elle pour appeler son fils, qui a alerté la police.
Le sergent Stephen Perkins a déclaré au journal que le kangourou avait bondi sur les deux policiers dépêchés sur place et que ces derniers avaient dû se défendre avec du gaz lacrymogène pour maîtriser le marsupial.
Malgré ces émotions, Phyllis Johnson a dit qu'elle avait de la tendresse pour les kangourous, qu'elle avait l'habitude de nourrir avec des restes de pain, sans rencontrer jusqu'alors le moindre problème.
Marcel Mochet, AFP
Pour en svoir plus......
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Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans Un kangourou géant attaque une Australienne de 94 ans
26/07/2011
La police australienne a dû asperger de gaz lacrymogène un grand kangourou, qui avait attaqué une vieille dame après avoir bondi dans son jardin, alors qu'elle étendait son linge, a rapporté mardi la presse.
Photographe : Marcel Mochet
La victime âgée de 94 ans a raconté qu'elle avait cru sa dernière heure arrivée quand le kangourou rouge, qui peut mesurer jusqu'à 2 mètres de haut et parcourir 9 mètres en un bond, l'avait projetée sur le sol avant de lui donner des coups de pied.
"J'ai cru qu'il allait me tuer", a déclaré Phyllis Johnson au journal Courier-Mail, depuis son lit d'hôpital, après cette attaque survenue dimanche à Charleville, une localité reculée de l'Etat du Queensland (nord-est).
"Il était plus grand que moi et je me suis effondrée dans le linge ..." a raconté la vieille dame, qui a tenté de se défendre avec un balai tandis que son chien, effrayé, avait pris la poudre d'escampette.
Blessée, elle est tout de même parvenue à rentrer chez elle pour appeler son fils, qui a alerté la police.
Le sergent Stephen Perkins a déclaré au journal que le kangourou avait bondi sur les deux policiers dépêchés sur place et que ces derniers avaient dû se défendre avec du gaz lacrymogène pour maîtriser le marsupial.
Malgré ces émotions, Phyllis Johnson a dit qu'elle avait de la tendresse pour les kangourous, qu'elle avait l'habitude de nourrir avec des restes de pain, sans rencontrer jusqu'alors le moindre problème.
Marcel Mochet, AFP
Un bond en Australie nous fait découvrir ce fait-divers très sautillant.
Une histoire à rebondissement qui se termine bien.
Elle a encore du ressort , cette brave dame.
Pourtant dès le début, cette affaire n'était pas dans la poche.
Une conversation à continuer ici.........
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21 juin 2011
Jardins du partage à Saint-Amant-de-Boixe
Pays Angoumois
À Saint-Amant-de-Boixe, Alain Maltat a imaginé des jardins collectifs. Chacun paye les légumes en fonction de son investissement. Une vingtaine de pionniers.
Le président fondateur Alain Maltat fait partie des quatre propriétaires qui mettent des parcelles à disposition. Ce qui ne l\'empêche pas d\'éclaircir les radis. Photo S. C.
Les tomates tardent à s'élever, les radis doivent être éclaircis, les salades sont montées mais les artichauts ont plutôt fière allure. Les jardins collectifs de Saint-Amant-de-Boixe ne sont ni pire ni mieux que des jardins ordinaires. Ils sont originaux. Ici, les jardiniers amateurs, une bonne vingtaine, achètent leurs légumes en fonction de leur investissement au potager et à l'association «Culture et partage» qui le gère.
Le système prévoit trois couleurs, synonymes de trois engagements. Chacun choisit son profil. Le jaune pour le plus intermittent, le bleu pour celui qui intervient une fois par semaine et le vert pour le fidèle. Le premier paye le kilo de patates 0,60€, le second 0,30€ et le troisième 0,15€.
Précision: le vert n'a aucune connotation politique. «Juste l'addition du jaune et du bleu» prévient Alain Maltat, agriculteur en reconversion bio, à l'origine de la formule. Tout a commencé au lendemain des dernières municipales, en 2008. «On avait envie de réunir les énergies qui ne seraient pas élues et ceux qui voudraient nous rejoindre pour s'occuper des affaires citoyennes. On a listé des sujets et c'est comme ça qu'on a eu l'idée du jardin» raconte-t-il.
L'idée a germé pendant plus d'un an avant d'aboutir à sa forme actuelle: 75 ares dans la vallée du Javard. «Le hasard a bien fait les choses. Nous étions quatre propriétaires à avoir des parcelles contiguës. Nous les avons mises gracieusement à disposition de l'association pour deux ans minimum avec tacite reconduction» explique le quinquagénaire, en quête d'un modèle économique équitable. «L'objectif est d'arriver à équilibrer tous les tarifs. On a eu une subvention de la mairie la première année pour acheter un motoculteur d'occasion et une motopompe, mais on doit pouvoir fonctionner sans subvention» explique Alain Maltat, plutôt satisfait du résultat. Le paysan et ses amis ne visent pas le top chef des jardiniers. Ils ont écrit une parodie des «Copains d'abord» qui résume bien leur ambition.
2 euros l'adhésion
Extraits: «On y cultive en père peinard, sans prétention et sans costard (...) Et si certains bourraient de chimie tomates , salades et tous les semis, chacun de nous se fâcherait fort (...) Et quand la vie cause du tracas (...), on se serre les coudes (...), aider les autres, ça donne des ailes».
Retraités, aide-éducatrice, enseignante, ingénieur, secrétaire ou agriculteur... Tous les âges se retrouvent autour des fraises à ramasser et des betteraves à replanter. «On cultive ensemble plutôt que séparément. C'est plus efficace. On laisse les consignes pour ceux qui ne sont pas habitués, au tableau» détaille le fondateur. Tout est prévu, même le pique-nique de septembre pour animer le village, même l'approvisionnement des seniors qui ne se déplacent pas.
Les jardins de Saint-Amant, c'est un peu les jardins du coeur. Pour adhérer, il suffit d'acquitter 2€ minimum. Il n'y a pas de maxi. Résultat: la moyenne de la participation oscille entre 7 et 8€. De quoi constituer une cagnotte avec la vente des légumes; de quoi cultiver son jardin en méditant sur l'avenir de l'homme et de la femme.
Sylviane Carin
Les jardins du cœur
Le potager du cœur.
Une version encore plus participative de nos traditionnels jardins ouvriers; de nos jardins sociaux.
Qui furent un gigantesque progrès social dans la répartition des terres cultivables non affectées à l'agriculture.
Une formule très originale de répartition des taches.
Celui qui dispose de tout son temps, c'est malheureusement le cas des chômeurs, sera indirectement rémunéré par son voisin jardinier, beaucoup plus accaparé par son travail quotidien.
J'ajouterais même une couleur en plus.
Les amateurs de Bio, qui sans participer à la tache quotidienne, donneraient par exemple 1 € pour 1 kilo de patates; ou plus même!
Des amateurs qui paient souvent très chers les légumes bio proposés par les AMAP ou toutes autres associations.
Et donc une rémunération supplémentaire pour les chômeurs et pour les participants aux très faibles ressources.
Souhaitons que cette sympathique idée quitte le cadre de la Charente
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COMMÉMORATION Le moteur de l'avion crashé, restauré et désormais exposé
Dimanche 19 Juin 2011
Le moteur a été installé dans le parc de la mairie il y a quelques jours; il sera inauguré samedi prochain.
Retrouvé en 2009, le moteur du chasseur monoplace, qui s'était écrasé dans les marais le 3 janvier 1944, est à voir sur la place de la mairie. Son pilote avait trouvé la mort.
Quelque 300 personnes sont attendues, samedi prochain, à Sacy-le-Grand, à l'occasion de l'inauguration d'un lieu commémorant le sacrifice du flying officer Henry Hector MacKenzie, jeune pilote canadien tué le 3 janvier1944 aux commandes de son Hawker Typhoon.
L'avion, un chasseur monoplace britannique, s'était écrasé dans les marais à l'issue d'un combat avec des appareils allemands stationnés sur la base de Creil.
Soixante-sept ans plus tard, la commune et ses habitants s'apprêtent donc à lui rendre hommage. Un hommage qui se tiendra autour du moteur du Hawker Typhoon, retrouvé en avril2009, et qui vient d'être installé sur une stèle, dans le parc de la mairie.
Le moteur dormait dans un garage
«C'est l'aboutissement du travail réalisé durant deux ans, note Éric Fardel, un habitant de la commune passionné d'histoire et d'aviation, à l'origine, en compagnie d'un groupe d'amis, de la découverte du moteur. Il était depuis cette date dans mon garage et l'idée n'était absolument pas de le garder là éternellement, comme un trophée. Au contraire, dès le départ, mon souhait était d'en faire quelque chose, de le mettre en valeur dans la commune ».
L'idée avait été vite validée par Didier Warmé, maire, et son conseil municipal qui, en plus de la stèle, ont proposé de donner le nom du pilote à une nouvelle rue, située dans un lotissement en construction. «La commune s'est vraiment investie dans le projet, confirme Éric Fardel. Elle a compris que ce moteur devait rester ici et non aller dans un musée. Il fait partie de l'histoire de Sacy; il doit donc rester à Sacy».
Le moteur, patiemment nettoyé, est dans un état de conservation remarquable. L'une des pales de son hélice, bien que tordue lors du crash, est toujours présente.
C'est à l'aide d'un chariot élévateur que l'ensemble, pesant plus d'une tonne, a été sorti du garage d'Éric Fardel avant d'être conduit, il y a quelques jours, dans le parc de la mairie pour être scellé sur un socle. « Deux panneaux d'informations seront installés de part et d'autre. Il y aura également une plaque en bronze réalisée par des élèves du lycée Marie-Curie de Nogent-sur-Oise.Nous proposerons également, lors de l'inauguration, une petite exposition présentant la mission, le pilote, etc.»
Parmi les personnes qui assisteront samedi prochain à l'inauguration de la stèle figureront huit membres de la famille du pilote canadien.
Seront aussi présents un représentant de l'ambassade du Canada, un couple de Canadiens ayant aidé à retrouver la famille du flying officer, et un détachement de la base aérienne de Creil, sans oublier les élus locaux et les anciens combattants.
La veille, la famille se rendra sur les lieux du crash afin d'y déposer une gerbe de fleurs. Et le lendemain, dimanche, elle ira se recueillir sur la tombe du pilote, à Beauvais, avant de se rendre à Poix-de-Picardie où sont enterrés deux de ses amis, tombés eux aussi durant l'année 1944. Avec l'un d'eux, MacKenzie avait joué la mission du 3janvier1944 à pile ou face... avec la fin que l'on connaît aujourd'hui.
SYLVIE MOLINÈS
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Bonnes vacances cosmoss
14/07/2011 11:02:11
Bonjour tout le monde, quel plaisir les vacances, les embouteillages, bon, c'est du passé, les coups de soleil, il suffit de mettre de la crème,
les averses, un parapluie, les longues siestes en vacances sont quand mème très agréables, moi, mes vacances sont mon jardin,
dont voici quelques couleurs
14/07/2011 13:58:48
White Satin
Bonjour Cosmoss
Merci pour toutes ces images estivales...
et de vacances.
Bonnes vacances
Bien méritées...
Julie
Bonnes vacances à toi aussi
et beaucoup de beau temps
bise julie
14/07/2011 23:43:45
scrophu
Manque que l'odeur de miel du Buddleia!!!!!!
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Cueillette de fraises, légumes et verger bio
Denis Delannoy mise sur la vente directe
mercredi 08.06.2011
Les paniers bien garnis trouvent vite preneur sur l'exploitation ou au marché d'Arras.. Les paniers bien garnis trouvent vite preneur sur l'exploitation ou au marché d'Arras.
Douze ans à la chambre d'agriculture du Nord, dix dans celle du Pas-de-Calais.
Et un jour, Denis Delannoy décide de sortir de son bureau pour devenir agriculteur pour de vrai. Un pari un peu fou qui a débouché sur une cueillette de fraises à Neuville-Vitasse complétée par un verger et un potager bio. Un virage qu'il ne regrette pas. Le goût de ses produits et l'adhésion de ses clients l'encouragent même à se développer.
Ses parents sont à la tête d'une exploitation de quinze hectares quand Denis Delannoy décide de s'installer. Autant dire que leur ferme sera bientôt avalée par un plus gros à la recherche d'agrandissement. Malgré tout, l'ancien employé à la chambre d'agriculture décide de franchir le pas en 1992. Il arrive avec un solide bagage technique et des idées plein son panier. « J'ai bien réfléchi mon projet : je voulais faire de la vente directe. Mais pour cela, il fallait être présent toute l'année. Au début, je vendais surtout les surplus du jardin, juste pour me faire plaisir, pour rencontrer des gens alors que j'avais toujours été dans un bureau. »
Très branché sur l'agronomie, Denis Delannoy a aussi une approche différente sur l'utilisation des produits phytosanitaires : « Les fruits et les légumes, c'est ma femme et moi qui les cueillons. On ne veut pas s'intoxiquer. Alors, tant pis s'il y a des mauvaises herbes. »
Certains appellent cela de l'agric............PAR EMMANUEL CRÉPELLE - PHOTO PASCAL BONNIERE.
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TOMODORI
Il y a bientôt un an .......
Le 10 août 2010
Le site très connu sur les tomates "Tomodori" éprouve, en ce moment quelques difficultés au niveau de son administration.
Un tel site nécessite beaucoup de travail d'administration.
Un administrateur de ce site s'implique beaucoup moins dans son ministère depuis quelques mois.
L'autre administrateur a exposé courageusement auprès des membres les difficultés du site, que l'on espère passagères.
Avec Vent Marin, je consulte souvent ces sites.
Ce sont des bibles dans le domaine de la tomate.
Il serait désastreux qu'ils disparaissent.
Alors qu' une entreprise peut changer de direction, pourquoi les forums ne pourraient-ils pas changer d'administrateur ?
Pratiquement, à chaque fois que le cas se présente, le forum lui-même se trouve en grande difficulté.
On a déjà vu disparaitre des forums dans de telles circonstances.
Et pas des moindres.
Pour en savoir plus......
Longue vie à Tomodori
Article déjà publié le 10 août 2010
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James Lovelock
James Lovelock en 2005.
James Ephraim Lovelock (né le 26 juillet 1919 à Letchworth (Grande-Bretagne) est un penseur, scientifique et environnementaliste indépendant de nationalité britannique.
Il est spécialiste des sciences de l'atmosphère.
Il vit actuellement dans le comté de Cornouailles, en Grande-Bretagne.
Son nom a été donné en hommage à la quinzième version de la célèbre distribution libre et gratuite de GNU/Linux Fedora, parue le 24 mai 2011.
Pour en savoir un peu plus..........Très controversé aux Etats Unis, à la NASA, dans les années 60
le monde scientifique s'est ensuite rapproché, discrètement, de ses thèses sur Gaïa "La terre vivante".
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Une boisson: Le purin d'orties
Engrais naturel, antiparasitaire, diurétique,… l’ortie est une plante dont les multiples propriétés feront des merveilles dans les jardins et les potagers.
De la famille des Urticacées, l'ortie est une plante herbacée qui pousse sur des sols riches. Elle a pour nom latin « Urtica » .On compte plus de 30 espèces et celles les plus communes sont la grande ortie ou ortie des jardins(urtica dioica) dont la taille varie entre 50 cm à 1 mètre et la petite ortie ou ortie brûlante (urtica urens) qui a moins de 50 cm.
Les Mille Et Une Facettes De L’ortie
L’ortie, véritable panacée des jardins, fait un excellent purin et constitue un activateur du compost.Elle donne force, santé, vigueur et couleurs vives aux fleurs et apporte des éléments nutritifs importants aux plants de petits fruits rouges (framboisiers, groseilliers...) lorsqu’elle pousse au milieu d’eux ; les fruits sont plus beaux, plus parfumés, plus nombreux, plus colorés. Elle les rend plus résistants aux maladies et aux ravageurs. En insecticide, elle chasse, par pulvérisation de son purin dilué, les pucerons, la mouche de la carotte, et bien d’autres hôtes indésirables des plantes potagères ou horticoles.
L’ortie est également une grande dévoreuse de nitrates, de phosphates, elle débarrasse des excédents de ces substances, tous les coins où elle pousse. Elle contribue donc à un assainissement du sol très bénéfique.
Les soupes et infusions d’orties sont conseillées pour leurs propriétés diurétiques, cicatrisantes et antidiabétiques.
Le Purin d’Ortie
Le purin s'obtient par macération plus ou moins.........
Pour la boisson à base de purin d'ortie, c'est ici...............
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Regain d'intérêt pour les jardins
Objet d'une véritable redécouverte depuis le regain d'intérêt pour les jardins à partir des années 1970, ces savoirs et ces savoir-faire présentent en fait un degré de complexité qui pose la question de leur transmission à travers le temps. Celle-ci peut tout d'abord s'appréhender par le truchement de leur codification. Supports de cette « mise en art » (reducho in artem), les traités montrent ainsi comment la réalisation des jardins, traditionnellement rattachée à l'agriculture, s'en émancipe au cours du xviie siècle. Énumérant les qualités nécessaires au jardinier dans son Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art (1638), Jacques Boyceau de la Barauderie cite la connaissance du sol, du climat et des plantes, mais aussi la maîtrise du dessin et de la géométrie, ainsi qu'une bonne familiarité avec l'architecture. La Théorie et la pratique du jardinage d'Antoine-Joseph Dezallier d'Argenville comprend, dans son édition la plus complète (1747), une partie entièrement consacrée à l'hydraulique, qui fait écho à l'Architecture hydraulique (1737-1739) publiée par Bernard Forest de Bélidor.
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Des jardins à croquer à Saint-Fraigne
Thème
- Le vaisselier accueille les insectes.
- Les sculptures aériennes de Denis Tricot. (Photos Renaud Joubert)
- Dans certains arbustes de St-Fraigne pousse la recette de la glace à l'onagre.
- La boulette de déchets de David Ferrère pour méditer.
- Bonbons et fête foraine, les enfants sont gâtés.
- Bienvenue aux jardins de Saint-Fraigne.
- pour un moment de gourmandise
- et de plaisir
- Le vaisselier accueille les insectes.
- Les sculptures aériennes de Denis Tricot. (Photos Renaud Joubert)
10 juillet 2011
Christelle Lasaires
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Aidez les rosiers à résister à la sécheresse
dimanche 19 juin 2011
Comme toutes les plantes du jardin, les rosiers souffrent de la sécheresse. Les ravageurs en profitent, certaines maladies aussi. Aidez les plantes d'une manière naturelle.
Chers rosiers, plantes préférées des jardiniers jeunes et moins jeunes ! Leur état est parfois affligeant ! Rameaux malingres, feuilles enroulées, boutons floraux percés par des chenilles... Leur faiblesse et la rosée du matin, en dépit de l'absence de pluie, favorisent les maladies et les ravageurs : pucerons, oïdium, rouille, maladie des taches noires. Certaines variétés sont mieux loties, car résistantes aux maladies. On a bien fait de les planter. Pourquoi ne pas supprimer les autres ? Vous pouvez aussi les aider à passer ce cap sans trop en souffrir.
Paillis nourricier
C'est le leitmotiv du jardin au naturel. Beaucoup de vertus, si peu d'inconvénients ! Binez d'abord sous les rosiers, ajoutez du compost mûr (2 kg par pied) et recouvrez-le d'un épais paillis : tonte, branches broyées, cartons, feuilles tombées précocement...
Arrosage généreux
Arrosez peu souvent (toutes les trois semaines), mais abondamment, directement sur le paillis. Ne lésinez pas : 15 à 20 litres à la fois, progressivement, en évitant tout ruissellement. Le paillis évite la formation d'une croûte de battance, si néfaste aux rosiers.
Renforcez leur résistance
Coupez les parties mal en point des rosiers remontants (qui fleurissent plusieurs fois) et taillez les rosiers non remontants sitôt après leur floraison.
Pour renforcer leur résistance et stimuler leur croissance, pulvérisez sur leur feuillage une préparation à base d'algues contre l'oïdium ou un biostimulant aux algues (en jardinerie) mélangé à du Megagreen. Ce nouveau produit, à base de carbonate de calcium, de magnésium et de silice très finement broyé, pénètre dans les orifices des feuilles, stimule la photosynthèse (elle s'arrête lors de la sécheresse) et augmente ainsi la résistance des plantes à la sécheresse.
Lutte biologique
Normalement, à cette saison, la plupart des pucerons sont déjà éliminés par leurs ennemis naturels. Inutile d'en acheter, ceux de la nature, gratuits, sont très nombreux cette année et font le « travail » tellement mieux.Pour en savoir plus......
Texte et photos : Denis PÉPIN.
La reine des fleurs a-t-on coutume de dire.
Mais aussi la Reine pour les ennuis et les tracas.
Attaques d'insectes et maladies diverses ruinent les espoirs :
D'une floraison magnifique.
D'un enchantement olfactif.
D'un spectacle ravissant.
La rose ne peut se contenter d'un entretien sommaire, et cela pratiquement tout au long des saisons.
Même en hiver, par sa taille et sa protection.
Fertilisation, protection antiparasitaire, taille sitôt les fleurs fanées et maintenant arrosages.
Le dalhias, qui l'accompagne tout au long de l'été, ne réclame, par exemple, qu'une taille de ses plus belles productions
pour aller garnir les vases et les coupes des intérieurs bien tenus.
Pluies et orages mettent à mal une floraison sublime et généreuse.
Heureusement on a créé les rosiers remontants qui offriront une nouvelle floraison d'ici 3 semaines..
Et ce, jusqu'aux gelées, nous dit-on!
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Entretenir une pelouse qui résiste à l'été
dimanche 26 juin 2011
Pour aider votre pelouse à résister à la sécheresse, il suffit de presque rien. Avec un entretien adapté,très naturel, elle peut rester verte en été, même sans arrosage.
Évitez de tondre trop court
La tonte rase (moins de 5 cm), pratiquée par tradition, est une calamité pour la pelouse et, au final, pour le jardinier. Tondu trop court, le tapis herbeux recouvre moins le sol, laissant apparaître des trouées ici ou là. La terre se dessèche plus vite. Les racines restent en surface au lieu de s'enfoncer profondément. Inévitablement, les herbes indésirables en profitent pour s'engouffrer dans les interstices laissés par le gazon affaibli, suivies par la mousse qui prolifère en hiver. Pour remédier à ce désastre inexorable, vous devrez ensuite dépenser beaucoup d'énergie et d'argent.
Tondez haut toute l'année
À l'inverse, la tonte haute (5 à 6 cm minimum) favorise un enracinement plus profond, une meilleure couverture du sol et automatiquement, une bien meilleure résistance à la sécheresse, aux herbes indésirables, à la mousse, mais aussi aux vers blancs ou gris qui s'attaquent parfois aux racines.
Ne pensez pas qu'en tondant haut, il faudra tondre plus souvent. Bien au contraire. Vous pourrez continuer à tondre toutes les deux semaines au printemps et en période pluvieuse, moins souvent en été. La tonte ne sera pas plus difficile et vous n'aurez pas plus de déchets verts de tonte.
Tonte mulching
Laisser l'herbe coupée sur place est bon pour la pelouse. Cisaillée en menus morceaux grâce au kit mulching des tondeuses ordinaires ou à la double lame des tondeuses mulching, elle se dépose entre les interstices et recouvre la terre comme un paillis. En se décomposant sur place, l'herbe finement coupée nourrit le sol et ses êtres vivants qui travaillent la terre à votre place, l'aèrent et libèrent les éléments nutritifs qu'elle contient. La pelouse s'autonourrit !
Pelouses nouvelles
Sans arrosage, les pelouses semées ce printemps auront bien du mal à germer et s'installer. Si nécessaire, arrosez copieusement une fois par semaine, en début ou en fin de nuit. En cas d'échec, n'hésitez pas à ressemer, dès que les pluies reviennent. La meilleure période est la fin août ou le mois de septembre. Pensez surtout à décompacter la terre en profondeur, casser la couche tassée par les piétinements et surtout par les engins de chantier lors de la construction de la maison. Si la couche de terre est peu épaisse, semez un gazon haut de gamme Label Rouge, résistant à la sécheresse, à base de fétuque élevée ou, en zone peu gélive, de Koeleria et de Zoyzia tenuifolia.
Pour en savoir plus........
Texte et photos :Denis PÉPIN.
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Arrosez d'une manière efficace pour ne pas gaspiller l'eau
dimanche 12 juin 2011
Tout d'abord, renoncez à l'arrosage par aspersion sur les plantes et la pelouse. Plus de la moitié de l'eau s'évapore aussitôt. Pire, le feuillage mouillé est une proie facile pour les maladies à champignon dont les « graines » ont besoin d'eau pour germer et pénétrer dans les plantes.
De plus l'aspersion ne permet guère de savoir quelle quantité d'eau vous apportez. Trop souvent, pas assez. Résultat, la terre est à peine mouillée sur quelques centimètres et les racines restent en surface au lieu de descendre en profondeur.
Il est plus efficace et plus économe d'arroser beaucoup à la fois pour que l'eau descende et réalimente la réserve en eau du sol. Au pied des tomates ou des rosiers plantés récemment et couverts d'un paillis, apportez l'équivalent de 2 à 3 arrosoirs de 10 l, progressivement en plusieurs passages. Grâce au paillis, vous ne risquez pas de provoquer la formation d'une croûte de battance. Arrosez avec le goulot de l'arrosoir, sans mouiller le feuillage. Un bon arrosage de 30 litres sur sol paillé, permet d'abreuver les plantes pendant dix à quinze jours.
Pour les semis, arrosez plus souvent, tous les 2 à 3 jours si vous ombrez la terre. Tous les jours autrement. Pour les plantes à enracinement peu profond (fraisier, laitues), arrosez 1 à 2 fois par semaine, environ 10 l/m2.
En arrosant avec un tuyau goutteur ou microporeux, vous diminuez encore la consommation d'eau. Déroulez ce tuyau au pied des plantes, couvrez-le d'un paillis et branchez-le à un tuyau d'arrosage alimenté par l'eau d'une citerne, d'un puits ou du réseau d'eau potable. Ouvrez le robinet d'un quart de tour. En laissant l'arrosage une nuit, vous apportez l'équivalent d'une pluie de 30 mm sur 35 cm de large, de quoi satisfaire les besoins des plantes pendant deux à trois semaines.
Denis PÉPIN.
Pour en savoir plus..........
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« J'essaie de retrouver un sens aux choses »
« J'essaie de retrouver un sens aux choses »
dimanche 03 juillet 2011
Yann Le Sech est né dans le Nord-Finistère d'une famille de militaires « curieuse de tout ». À l'appel des armes, il préfère... l'école des Beaux-Arts de Rennes, où il rencontre sa femme. Ils créent à Paris une boutique de stylisme qui aura ses heures de gloire, dans les années 60-70. Puis les goûts et les temps changent... C'est en 1976 qu'ils acquièrent le domaine de Kerambar'h, où tout est à restaurer.
Il ne cache pas sa passion pour « l'Ancien Régime » - il parle du temps où la Bretagne était souveraine - durant les 1 200 ans d'avant le rattachement à la France (1532). « C'est un mémoricide de ne plus le savoir », dit-il. Restituer ces jardins tels qu'ils existaient est pour lui un devoir de mémoire mais aussi un acte de foi.
Quand les traces et les documents historiques manquent, il interprète et invente, et se justifie d'un passé antérieur : « Je me dis : il eut pu y avoir ça... C'est une thèse ! ». Mais rien n'est gratuit ni fortuit dans l'ouvrage, tout est bordé de réflexion et de culture. « J'essaie de retrouver un sens aux choses. Puis j'essaie de les faire exister... »
Contact
Propriétaire(s) : M. et Mme Yann Le Sech (Jardin Privé)
Jardinier(s) : nc
Téléphone : 02.97.24.63.86
Site web : http://www.apjb.net
Adresse : Château de Kerambar'H
Code postal : 56690
Ville : LANDAUL
Département : 56 - Morbihan
Localiser : LES JARDINS DU CHÂTEAU DE KERAMBAR'H
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