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    Fête des Agriculteurs Au Vauroux
    12 septembre 2010
    Beaucoup de visiteurs pour cette Fête des Agriculteurs, qui est une Première.
    Le beau temps est au rendez-vous.
    Fini la pluie du matin.
    L'exposition se situe sur l'emplacement de la brocante et de la salle des fêtes.

    Une machine dernier cri, qui domine tout le paysage de cette fête bien sympathique.

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  • Saint Paul
    Le marché de Saint Paul
    12 septembre 2010
    Marché toujours très vivant depuis sa création.
    Exposants et commerçants demeurent très fidèles à ce rendez-vous du dimanche matin
    De plus, ce jour là des attractions et des manèges animent joyeusement ce marché fermier.
    Toujours quelques originalités dans les races d'animaux présentées sous la Halle.

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  • Beauvais
    Le pont de Paris menace de s’effondrer

    Le pont de Paris est-il bon pour la casse?
    Il est encore trop tôt pour le dire. Mais une chose est certaine aujourd’hui, ce pont, axe stratégique pour accéder au centre-ville de Beauvais par le sud, est devenu dangereux. La décision a donc été prise de le fermer ce soir.
    Une sacrée tuile pour les usagers mais aussi pour le propriétaire de l’ouvrage, c’est-à-dire le département : « il est clair qu’aujourd’hui le pont, construit en 1949, est dans un état critique.
    La corrosion fait que les câbles lâchent les uns après les autres.
    Les fissures sont de plus en plus importantes et le pont peut s’effondrer.
    Il ne s’agit pas de faire peur mais de prendre les mesures qui s’imposent. » Pour le conseil général, il n’y a plus une seconde à perdre.
    Il faut appliquer le principe de précaution et fermer le pont.
    Dès ce soir, la circulation sera interdite sur le pont mais aussi sous l’ouvrage, boulevard Aristide-Briand.
    Et ce, pour plusieurs mois.

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    Le Parisien


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  • Taumatawhakatangihangakoauauotamateapokaiwhenuakitanatahu


    C'est  le deuxième nom le  plus long au monde.
     Ce mot vient de la tribu ethnique de Nouvelle-Zélande des Maoris.
     Il s'agit d'un mot maori qui signifie «Le lieu où Tamatéa, les montagnes de l'homme avec les gros genoux, qui a glissé, monté et avalé, connu sous le nom« landeater », joué de la flûte à sa bien-aimée". 

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    Jouy


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  • Ils restaurent les calvaires avec passion

     

    09-05-2010
    «Notre récente croisade contre le projet de parc éolien nous a prouvé que les gens sont de plus en plus attachés à leur environnement.
    C'est pourquoi nous venons de créer une association simplement intitulée Ferrières, cadre de vie. »
     Philippe Huchez et son frère Jean- Paul sont de jeunes retraités qui n'ont pas l'intention de demeurer inactifs.
    Avec un petit groupe motivé, ils ont défini leur première cible, les calvaires de ce village de moins de 500 habitants, tout au nord de l'Oise.
    «Notre objectif est de faire des propositions au............
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    Le Parisien

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  • On arrive à Auneuil, en venant de Beauvais.




    Feu vert! ça roule.....



    La côte du point du jour..............

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  • aux marais


    Aux-Marais: une scierie ravagée par les flammes
     
    Dans la nuit de samedi à dimanche, 5000 palettes ont brûlé et trois pompiers ont été légèrement blessés.
    Samedi 31 juillet, vers 23h30, 100m2 de bureaux et 800m2 d'un entrepôt de stockage de palettes de bois sec dans la scierie du Belloy à Aux-Marais sont partis en feu.



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  • Les finances sont dans le rouge
    Mardi 27 Octobre 2009
    Le village subit la crise de plein fouet et a dû revoir à la baisse son budget en faisant des choix sur certaines dépenses.
    Les finances de la commune traversent une période difficile, confirmant la rumeur qui courait. Des restrictions sur l'aide aux classes de neige et le repas des anciens sont déjà annoncées.
    Cela fait de nombreuses semaines que la rumeur courait : le budget de la commune est dans le rouge.
    L'un entend parler d'une entrevue entre élus et services de trésorerie.
    Un autre se renseigne auprès des impôts au sujet de la hausse constante des taxes locales et se fait entendre dire que « Saint-Germer est une des communes les plus sinistrées du secteur » et que, dans l'avenir, la hausse des impôts risque de continuer.
     Aux questions les plus pressantes, « Va-t-on supprimer le repas des anciens ? Va-t-on moins financer les classes de neige ? », Guy Maillard, le maire répond « oui ! ».
    Il s'explique d'ailleurs dans la Lettre ouverte aux Gerémarois, déposée dans la boîte aux lettres ce week-end qui commence ainsi : « Notre commune subit malheureusement elle aussi la crise », avoue-t-il.
    La situation critique de la commune est expliquée par « des charges incombant aux collectivités qui augmentent d'année en année tandis que les recettes baissent ».

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  • 4 ans ont passé.
    Bosch à Beauvais, c'est mort!
    Bien que nous n'adhérions pas  à toutes ses idées, Force ouvrière avait fait le bon diagnostique en 2006.
    Aujourd'hui, nous nous apercevons, qu'il a fallu délocaliser vers des pays qui n'ont pas respecté la charte de déontologie de la bonne marche de l'Europe....Pourrions nous dire....
    Que n'a-t-on pas vanté ces paradis pour entreprises que furent l'Irlande ( avec ses usines et PME sans taxe); l'Angleterre (avec sa protection sociale à très bas-cout); le Portugal (avec son importation massive chez nous, de main-d'œuvre souvent mal payée, mais qui maintenant vient se faire soigner gratuitement dans nos CHU très efficaces et  très sophistiqués ( normal: ils ont cotisé)) ; L'Espagne qui a su capter  la plupart des délocalisations des vrais pays industriels Européens, sans posséder vraiment un capital culturel industriel et scientifique, mondialement reconnu.
    Contrairement à L'Italie, qui demeure une démocratie souvent agitée et Folklorique.
    Mais productrice et novatrice dans tous les domaines de l'industrie, de la science, du progrès et des arts..Et que sais-je encore . Viva Italia!

    L'Espagne qui s'est vautrée pendant presqu'un demi-siècle dans le Fachisme, n'a jamais été capable de concevoir, industriellement, de A jusqu'à Z,  une automobile.
    Qu'on le veuille ou non,  c'est la référence d'un véritable état industriel et de progrès au XXème siècle!
    Des créateurs Espagnol sont venus établir leur génie dans notre pays et dans bien d'autres encore.
    En fuyant le Fachisme.

    Et aujourd'hui, après tous ces emplois détruits par ces paradis du travail ( pour les multinationales), il faudrait que ces travailleurs Français licenciés de leurs entreprises, viennent renflouer les finances déficientes, de ces pays, qui non content de truster notre économie à leur profit, ont engagé durablement  le capital écologique de certaines de leurs régions, déjà traditionnellement, bien malades écologiquement parlant..

    Déjà 2 ou 3 régions de l'Espagne doivent  importer de l'eau par Tanker depuis Marseille (France).
    Ces mêmes régions d'Espagne se font une guerre sans merci pour tenter de capter à leur profit les dernières réserves d'eau que peuvent encore fournir quelques uns de ces  grands fleuves Espagnol .

    On a pu rigoler de l'assèchement de la mer d'Aral sous un régime soviétique.
    Il nous faudra pleurer, lorsque les régions agricoles (sous plastique actuellement) du sud de l'Espagne seront devenues un nouveau Sahara.
    En attendant ils concurrencent toujours, de manière effroyable, nos productions agricoles de qualité.
    Sans contrepartie!

    Moralité:
    La crise a révélé les failles de ces pays souvent portés aux nues de manière outrancière et injuste.
    La crise les a précipité dans les abimes de la rigueur et de la récession.
    La crise a mis en lumière les vrais valeurs des pays de l'Europe et aussi du Monde.
    La crise a banni les pays qui ont longtemps profité  du système, politiquement
    bienveillant, de l'Europe, sans jamais démontrer une vraie volonté d'accéder par l'effort, au niveau  des  pays les plus forts, économiquement.

     

    L'article de Lutte Ouvrière......

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  • Beauvais

    Lutte Ouvrière- 23 juin 2006

     

    Bosch – Beauvais (Oise): Encore des suppressions d'emplois dans un groupe florissant

    Le groupe Bosch a annoncé début juin la suppression de 371 postes, sur un total de 1600 dans sa branche française du freinage automobile. Les deux sites les plus touchés sont celui de Saint-Barthélémy-d'Anjou (près d'Angers) où 200 postes sur 550 sont visés, et celui de Beauvais pour 120 postes sur 325.

    Ce n'est pas que Bosch perdrait de l'argent. Le groupe est florissant: il se flatte d'un «résultat des opérations courantes» de 2,6 milliards d'euros en 2004 (soit 1450 euros par mois et par personne en moyenne, l'équivalent d'un salaire d'ouvrier) contre 1,8 en 2003, et en 2005 ses bénéfices ont encore augmenté de 18% d'après le journal pro-patronal Le Figaro.

    120 suppressions d'emplois: 120 chômeurs de plus

    Sur les 120 postes à supprimer sur le site de Beauvais, 80 seraient des départs anticipés amiante, suivant le procédé que Bosch a utilisé à maintes reprises depuis des années pour se .............

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    Déjà en 2006 - Bosh - Lutte ouvrière
       

         
     
     

    Lutte Ouvrière- 23 juin 2006
    Bosch – Beauvais (Oise): Encore des suppressions d'emplois dans un groupe florissant




    Le groupe Bosch a annoncé début juin la suppression de 371 postes, sur un total de 1600 dans sa branche française du freinage automobile. Les deux sites les plus touchés sont celui de Saint-Barthélémy-d'Anjou (près d'Angers) où 200 postes sur 550 sont visés, et celui de Beauvais pour 120 postes sur 325.

    Ce n'est pas que Bosch perdrait de l'argent. Le groupe est florissant: il se flatte d'un «résultat des opérations courantes» de 2,6 milliards d'euros en 2004 (soit 1450 euros par mois et par personne en moyenne, l'équivalent d'un salaire d'ouvrier) contre 1,8 en 2003, et en 2005 ses bénéfices ont encore augmenté de 18% d'après le journal pro-patronal Le Figaro.

    120 suppressions d'emplois: 120 chômeurs de plus

    Sur les 120 postes à supprimer sur le site de Beauvais, 80 seraient des départs anticipés amiante, suivant le procédé que Bosch a utilisé à maintes reprises depuis des années pour se débarrasser des plus anciens à peu de frais.

    Restent 40 postes dont on nous dit que ce ne seront pas des licenciements secs. Des mini-mesures d'accompagnement seraient prévues sous la forme de primes de départ et la possibilité de mutations sur d'autres sites comme celui de Drancy en Seine-Saint-Denis, mais les volontaires ne se bousculent pas pour autant. Car, alors que Bosch supprime régulièrement des emplois dans chacun de ses sites, comment ceux qui accepteraient, sous la contrainte, d'être mutés, pourraient-ils avoir la garantie de conserver ensuite leur emploi?

    De propriétaire en propriétaire, 2000 emplois supprimés en 30 ans

    Quoi qu'il en soit, 120 départs, même s'il n'y a pas beaucoup de licenciements secs, cela fera 120 emplois de moins sur la région. C'est donc 120 chômeurs de plus qui s'ajouteront aux [blink=500]2000 emplois supprimés sur cette usine en 30ans[/blink].
    Bosch se comporte en effet comme la plupart des entreprises du Beauvaisis –Nestlé, [blink=500]Spontex[/blink] (groupe Total), La Brosse et Dupont (auparavant groupe LVMH), l'imprimerie Goossens, Tréfimétaux, GE Plastics, Esselte, etc.– appartenant quasiment toutes à des groupes internationaux richissimes, dont les effectifs ont baissé d'environ 7000 dans cette période. 7000, c'est le nombre officiel de demandeurs d'emploi du Beauvaisis; ce n'est pas un hasard: les chômeurs sont fabriqués avant tout par les licenciements.

    Depuis 40 ans, l'usine de Beauvais est passée de propriétaire en propriétaire: de Lockheed, elle a été vendue à DBA (Ducellier-Bendix-Air Équipement) puis à Bendix, puis à deux trusts mondiaux: d'abord Allied Signal (aujourd'hui Honeywell, 5e fournisseur du Pentagone), enfin Bosch, leader mondial de l'équipement automobile. À chaque fois, vendeur et acheteur ont fait des affaires: le vendeur s'était enrichi des profits réalisés par le travail des ouvriers, et l'acheteur, lui, commençait par supprimer des centaines d'emplois pour accroître encore la productivité.

    Au milieu des années 1970, l'usine comptait environ 2500 salariés. Près de 300 personnes ont été mutées fin 1970 vers une entreprise voisine qui a fermé deux ans plus tard. À partir de 1985, DBA-Bendix s'est débarrassé de centaines de travailleurs, à la fois sous la pression, en les faisant démissionner, et sous la forme de neuf licenciements par mois pendant des années, astuce qui lui permettait de ne pas payer les conséquences légales d'un plan social.

    Ces plans de licenciements ont réduit les effectifs de l'usine à moins de 800 personnes en 1999. Cette année-là, Bosch a trouvé un autre moyen de se débarrasser des plus anciens, sans devoir payer de frais de licenciement. En effet, de 1966 à 1985, les travailleurs de l'usine ont manipulé de l'amiante et respiré cette poussière dont les dangers mortels sont connus depuis près d'un siècle. Une loi de 1998 prévoit que les travailleurs concernés peuvent bénéficier d'une retraite anticipée de trois mois par année passée sur le site amianté –c'est bien la moindre des choses! –mais payée par la Sécurité sociale, et non par l'employeur. Plusieurs centaines de personnes sont donc parties dans ces conditions, sans être remplacées.

    Un but constant: réaliser le maximum de profits

    Tout au long de cette période de suppressions d'emplois, on nous a servi les mêmes balivernes: nous ne serions pas assez rentables. Et cette fois l'objectif proclamé est d'augmenter de 30% la productivité de l'usine! Décidément, pour les actionnaires, il en faut toujours plus.

    Mais cet argent ainsi accumulé dans leurs coffres-forts, c'est nous qui l'avons créé par notre travail. Il doit servir à ce que pas un seul d'entre nous ne soit lésé. Les profits accumulés doivent servir à conserver les emplois de tous et à embaucher des jeunes pour remplacer les anciens.






    4 ans ont passé.
    Bosch à Beauvais, c'est mort!
    Bien que nous n'adhérions pas  à toutes ses idées, Force ouvrière avait fait le bon diagnostique en 2006.
    Aujourd'hui, nous nous apercevons, qu'il a fallu délocaliser vers des pays qui n'ont pas respecté la charte de déontologie de la bonne marche de l'Europe....Pourrions nous dire....
    Que n'a-t-on pas vanté ces paradis pour entreprises que furent l'Irlande( avec ses usines et PME sans taxe); l'Angleterre ( avec sa protection sociale à très bas-cout); le Portugal ( avec son importation massive chez nous, de main-d'œuvre souvent mal payée, mais qui maintenant vient se faire soigner gratuitement dans nos CHU très efficaces et  très sophistiqués ( normal: ils ont cotisé)) ; L'Espagne qui a su capter  la plupart des délocalisations des vrais pays industriels Européens, sans posséder vraiment un capital culturel industriel et scientifique, mondialement reconnu.
    Contrairement à L'Italie, qui demeure une démocratie souvent agitée et Folklorique.
    Mais productrice et novatrice dans tous les domaines de l'industrie, de la science, du progrès et des arts..Et que sais-je encore . Viva Italia!

    L'Espagne qui s'est vautrée pendant presqu'un demi-siècle dans le Fachisme, n'a jamais été capable de concevoir, industriellement, de A jusqu'à Z,  une automobile.
    Qu'on le veuille ou non,  c'est la référence d'un véritable état industriel et de progrès au XXème siècle!
    Des créateurs Espagnol sont venus établir leur génie dans notre pays et dans bien d'autres encore.
    En fuyant le Fachisme.

    Et aujourd'hui, après tous ces emplois détruits par ces paradis du travail ( pour les multinationales), il faudrait que ces travailleurs Français licenciés de leurs entreprises, viennent renflouer les finances déficientes, de ces pays, qui non content de truster notre économie à leur profit, ont engagé durablement  le capital écologique de certaines de leurs régions, déjà traditionnellement, bien malades écologiquement parlant..

    Déjà 2 ou 3 régions de l'Espagne doivent  importer de l'eau par Tanker depuis Marseille (France).
    Ces mêmes régions d'Espagne se font une guerre sans merci pour tenter de capter à leur profit les dernières réserves d'eau que peuvent encore fournir quelques uns de ces  grands fleuves Espagnol .

    On a pu rigoler de l'assèchement de la mer d'Aral sous un régime soviétique.
    Il nous faudra pleurer, lorsque les régions agricoles (sous plastique actuellement) du sud de l'Espagne seront devenues un nouveau Sahara.
    En attendant ils concurrencent toujours, de manière effroyable, nos productions agricoles de qualité.
    Sans contrepartie!

    Moralité:
    La crise a révélé les failles de ces pays souvent portés aux nues de manière outrancière et injuste.
    La crise les a précipité dans les abimes de la rigueur et de la récession.
    La crise a mis en lumière les vrais valeurs des pays de l'Europe et aussi du Monde.
    La crise a banni les pays qui ont longtemps profité  du système, politiquement bienveillant, de l'Europe, sans jamais démontrer une vraie volonté d'accéder par l'effort, au niveau  des  pays les plus forts, économiquement.

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  • Article du 30/04/2009 à 12:17

    Villotran Championnat de France d'attelages d'âne : Les ânes attirent les foules

    Pour la 15e année consécutive, les ânes ont joué les vedettes à Villotran.

    Plus de 600 personnes sont venues assister à la 15e édition du championnat de France d'attelage d'ânes.


     

    Comme tous les ans, les visiteurs étaient nombreux pour assister au 15e Concours et aux 9e championnat de France d'attelage d'ânes qui se tenaient le week-end dernier à ...................

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  • Article du 24/04/2009 à 09:00

    Villotran : Championnat de France d'Attelage d'ânes:
     Les meilleurs ânes sont ce week-end à Villotran




    Samedi et dimanche, les ânes seront à la fête à l'occasion des championnats de France d'attelages d'ânes organisés par l'association ANENA à Villotran.
    Samedi et dimanche, les meilleurs meneurs d'attelage d'ânes se disputeront le titre de champion de .....

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  • Auneuil

     

    Article du 16/05/2009 à 16:08
    Auneuil / Saint Léger-en-Bray: Désaccord autour de la voie de chemin de fer

    Jean-Eric Ménard ne comprend pas pourquoi la voie ferrée est démantelée contre l'avis des commissaires enquêteurs.
    Le démantèlement de la voie ferrée créé la polémique entre le maire d'Auneuil et de Saint Léger-en-Bray.
    Une nouvelle fois Jean-Eric Ménard, maire de Saint Léger-en-Bray et Robert Christiaens, maire d'Auneuil sont en opposition.
    Le sujet de la polémique se situe autour des usines Lafarge à Auneuil, qui dans le cadre de son extension a supprimé le tronçon de voie ferrée traversant une partie des installations. Un démantèlement effectué pour permettre un meilleur accès aux poids lourds.
    Si Robert Christiaens et Jean-Eric Ménard se félicitent de l'extension de l'usine qui passe de 8000 à 13 000 m2, en reconnaissant l'intérêt pour le marché de l'emploi local, il n'en est pas de même en ce qui concerne la suppression de ce tronçon de rail.

    Une décision irrespectueuse


    «L'aménagement du territoire est mis à mal» fulmine Jean-Eric Ménard.
    «Les experts disent que cette voie ferrée est un plus pour le territoire et on la démantèle.
    Nous avons émis des réserves qui ont été reprises par la commission de l'enquête publique mais la voie est ......

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  • Auneuil

    Auneuil : 1 million € pour rembourser les emprunts


    Article du 08/06/2009 à 09:31

    Pour Robert Christiaens et les Auneuillois, le montant du remboursement de la dette pourrait être de 350 euros par habitant.
    Auneuil provisionne 1 007 809,37 € pour rembourser le passif de la communauté de communes du Thelle Bray.

    1007 809,37 €. C'est la somme qu'a provisionnée le conseil municipal d'Auneuil pour rembourser sa part des dettes contractées par l'ancienne communauté de communes du Thelle-Bray.
    Une somme considérable mais qui selon Robert Christiaens, maire d'Auneuil, n'aura pas une grande influence sur le budget de la commune.

    Un passif de 2 697 653 €

    Dissoute en 2006, la C.C. du Thelle-Bray qui regroupait 13 communes a laissé un passif de 2 697 653 € dû essentiellement aux emprunts souscrits par Christiane Renault, l'ancienne présidente, pour les besoins de la structure.


    Mais rien n'est encore décidé quant à la répartition du remboursement.
    Après l'arrêté pris par Philippe Grégoire, préfet de l'Oise, les communes qui contestent les montants des remboursements ont déposé un recours devant le tribunal administratif d'Amiens. Etudié vendredi 29 mai par les magistrats, le délibéré devrait être rendu dans une quinzaine de jours.

    Des remboursements inégaux

    Le problème est que cette répartition ne semble pas avoir pris en compte les possibilités financières de chaque commune dont certaines ne comptent que quelques centaines d'habitants.

    Plus la commune est petite et plus la facture par habitant sera élevée.
     Ainsi, le remboursement par habitant s'échelonne de 173,27€ pour la commune du Mesnil-Théribus, (122 499 euros pour 707  habitants) à 783,16 euros pour Troussures, (120 606 euros pour 154 habitants).

    La décision de justice est donc attendue avec impatience car si le recours est débouté, il faudra se plier à verser des sommes très importantes en regard des budgets de chacun.
    Bien évidemment et toujours dans le cas où le recours est débouté, il faudra ajouter les pénalités de retard et les intérêts.

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  • Article du 14/08/2009 à 08:42
    Saint Léger-en-Bray : nouvelle école et nouvelles maîtresses


    De gauche à droite : Annick Bourdon, Virginie Sagnier et Jean-Luc Sagnier, se félicitent de la nouvelle école.

    A la rentrée, les enfants de Saint Léger-en-Bray découvriront leur nouvelle école et deux nouvelles institutrices.

    Une nouvelle école. Deux nouvelles enseignantes. Le lundi 3 septembre sera le jour de la rentrée mais aussi celui de la découverte pour les 38 enfants qui fréquentent l'école communale de Saint Léger-en-Bray.
    Construit à proximité de l'ancienne école, le nouveau bâtiment proposera des locaux beaucoup plus adaptés aux besoins des élèves et des enseignants.
    «Nous sommes globalement satisfaits.

    les anciens locaux étaient ...........

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  • aux marais Beauvais
    La subvention d'Aux Marais déclenche la polémique

    Beauvais / Conseil d'agglomération
    30.03.2009



    C'est la délibération 14 bis qui a mis le feu aux poudres, vendredi soir lors du conseil d'agglomération du Beauvaisis : la demande de subvention de 258 000 € déposée par Aux Marais pour déménager sa mairie dans les anciens locaux du Clep. Philippe Topin, maire de Milly-sur-Thérain, réclame la parole.

    « La communauté d'agglomération s'est engagée dans une démarche de fonds de concours pour les communes, rappelle le vice-président. Réunis en bureau le 18 mars, nous avons décidé de créer un groupe de travail pour attribuer les aides. Je n'ai rien contre Alain Fritot, rien contre le projet d'Aux Marais, mais ce n'est pas avec ces quelques lignes que l'on peut se rendre compte de l'ampleur du projet. Il doit être examiné selon la procédure. Sinon, c'est la porte ouverte à ce qu'il n'y ait plus de règles. »

    A l'autre bout de la salle, Alain fritot manque de s'étouffer sur sa chaise      .

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  • aux marais  


    Samedi 19 Juin 2010

    Les travaux entrepris au CLEP devrait offrir à la population de nouveaux équipements.

    Plus d'espace pour les écoliers, une vraie salle des mariages, l'église bientôt illuminée la nuit, enfouissement des réseaux et éclairage des rues... La commune entreprend de grands chantiers.
    Cette année est l'année des grands chantiers pour la commune qui a entrepris depuis 8 ans de redynamiser les anciens locaux du Centre laïque d'éducation populaire (CLEP).
    Le lieu à pendant 40 ans permis à des Beauvaisiens de venir se ressourcer. Mais en 2001 le CLEP est en liquidation judiciaire. « Nous avons estimé que les locaux pouvaient répondre à tout ce qui manquait à la municipalité. Un restaurant scolaire, une salle des fêtes, une véritable mairie et une extension de l'école sont alors envisagés », rappelle Alain fritot le maire de la commune.
    Depuis, « les travaux se sont entrepris par tranches. Il y a eu la cantine scolaire et la salle des fêtes et maintenant la création d'un parking à la place de la salle de classe en préfabriqué qui existe depuis 1998. »

    Les réseaux enfouis, les rues éclairées.
    « Les bureaux des élus et le bureau du maire sont un véritable placard à balai de 7 m². Les nouveaux bâtiments seront d'un véritable confort pour tous » commente en riant le maire.
    La nouvelle mairie aura un vrai hall d'accueil, des bureaux séparés de celui du maire, la salle du conseil servira aussi de salle de mariage et pourra de .......

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    Des entreprises qui ferment dans le Nord
      Message de Savapa 
    Dans notre département cela n'a été que çà des entreprises qui ferment
    et ça continu
    c'est comme la mort on ne s'y habituera jamais.
    Quel scandale!


     
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    SONGEONS 

    Les salariés de l'usine Métalform sous le choc

       
    Vendredi 04 Septembre 2009



     SONGEONS Les salariés de l'usine Métalform sous le choc






    Les employés de Métalform ont passé toute la journée de mercredi devant leur entreprise en attendant la lettre de licenciement qui fixera leur sort.


    Après la confirmation de la fermeture de l'usine par le tribunal de commerce mardi, les salariés attendent leur lettre de licenciement. En oscillant entre écœurement et angoisse de l'avenir.

    « On y a cru jusqu'au bout, confient, pleins d'amertume, les 48 salariés du site songeonnais de Métalform.

    Au lendemain de la décision de cessation d'activité rendue par le tribunal de commerce, ils ont reçu la visite de leur président Michel Debreux.

    « Il est venu nous dire au revoir ce matin (mercredi, ndlr) et nous annoncer que nous recevrions très vite notre lettre de licenciement avec un dossier de reclassement. » Un reclassement qui, pour beaucoup, ne s'annonce pas si facile.

    Pour Jean-Marc, 43 ans, soudeur depuis 20 ans chez Métalform et papa d'un enfant de deux ans et demi, l'avenir est plus qu'incertain. « Pour l'instant on ne sait pas ce qu'on va faire, ce n'est pas facile de trouver un autre boulot dans le coin en ce moment... Heureusement que ma femme travaille. Mais, il ne va plus rentrer qu'un seul salaire à la maison... » déplore-t-il.

    Un carnet de commandes plein pour deux mois

    À 59 ans, Alain, pointeur chez Métalform depuis 21 ans, va bénéficier d'un dispositif de retraite anticipée dû à un travail au contact de l'amiante dans un poste précédent. Mais son fils David, soudeur depuis 1992 et père de trois adolescents, envisage pour sa part de se former sur les pompes à chaleur, « un secteur porteur » selon lui.
    Les collaborateurs sont restés toute la journée de mercredi devant leur usine, espérant une visite de soutien du maire, François Dumars, et du conseiller général, Thierry Maugez.
    Et remâchant leur incompréhension. « Ce n'est pourtant pas le travail qui manque, le carnet de commandes est plein pour deux mois et les clients nous soutiennent » expliquent-ils en observant deux Fenwick, pilotés par les chefs d'équipes, charger un camion de pièces diverses.

    « Mais heureusement nous sommes tous solidaires, les chefs sont très estimés par les ouvriers » affirment ces derniers, même si l'un des responsables passe sa rancœur sur les journalistes... « Quand Fillon était conseiller général à Sablé-sur-Sarthe, un des deux autres sites de Métalform, il avait promis de soutenir l'entreprise, mais maintenant qu'il est premier ministre, il s'en fout complètement ! » entendait-on encore...


    http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-locale/Beauvais-Cler…
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