• Le conseil municipal dégénère 

     
    Le conseil municipal dégénère 
    22/12/2013




    C'est connu, l'ambiance du conseil municipal d'Angy est toujours houleuse. On a franchi une étape vendredi : les gendarmes ont dû intervenir.
    Lors des différents conseils municipaux, les débats comme les votes sont souvent rendus impossibles à Angy.


    Vendredi soir a eu lieu le conseil municipal de la commune d'Angy, située au sud de Clermont dans l'Oise. Un conseil comme tous les autres : tendu. « Comme d'habitude, le maire n'a pas répondu aux questions posées », souligne Alain Debraine, ancien responsable des services techniques de la commune qui faisait partie du public ce soir-là. Pourtant une question lui tient à cœur : « Lors du conseil, Jean Boulat, le maire, a annoncé qu'il retirait 165 euros d'un agent administratif pour des arrêts maladie, avance Alain Debraine, enlever de l'argent à quelqu'un qui travaille de manière exemplaire, alors que d'autres touchent largement trop pour le travail qu'ils fournissent, ça me révolte, c'est de l'injustice, et je l'ai dit. »


    Des propos que le fils de la secrétaire générale de mairie n'aurait pas appréciés. « Il m'a dit de me "la fermer" et m'a insulté. Ça m'a mis hors de moi. Je l'ai attrapé et plaqué contre le mur, admet l'ex- responsable technique avant de préciser, aucun coup n'est parti. »

    Les gendarmes ont été appelés pour calmer le jeu. Ils sont déjà intervenus à Angy pour démêler les batailles de clan qui rythment la petite vie politique de cette commune de 1 200 habitants depuis près de trois ans, mais jamais en conseil municipal. « Leurs querelles sont habituelles. Ils n'arrivent pas à s'entendre », note l'un d'eux.
    Cette année, les lettres d'un corbeau ont encore semé le trouble. Rien ne va non plus, du côté des services techniques qui s'étaient rebellés en 2012 contre le licenciement d'un des agents, qu'ils jugeaient abusifs.
    Jean Boulat,, le maire, n'a pas souhaité réagir : « C'est une affaire de personnes qui se montent les unes contre les autres, cela n'a rien à voir avec les affaires de la municipalité. » La secrétaire générale ainsi que son fils n'ont pas pu être joints.
    H.G. avec M.C

    courrier picard

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     Du rififi dans la commune ; on a déjà donné à Jouy.
    On a peut-être fourni l'exemple, finalement.
    En tout cas ce n'est pas la trêve de Noël à Angy.
    Il est temps de réduire le nombre des communes dans notre pays.
    quand on observe de tels comportements
    Pour l'instant, on en est encore qu'aux cantons, à diviser par deux.
    Et là c'est pas gagné.

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    La Fibre sera déployée par Orange à Chantilly
     
    La Fibre sera déployée par Orange à Chantilly
      


    Fibre
    Le 20 Décembre 2013
    Aujourd'hui, le directeur régional de Picardie (Orange), Olivier Girault, annonce le déploiement de la fibre jusqu'à l’habitation à Chantilly. Les études de faisabilité et d’ingénierie démarreront en 2015 et permettront de définir le calendrier de déploiement par quartier. L’ambition d’Orange est d’avoir terminé l’intégralité du déploiement en 2020, afin de faire bénéficier à tous les Cantiliens, particuliers et professionnels, des services très haut débit.
    10 fois plus rapide que l'ADSL
    Les débits de la fibre optique, jusqu’à 10 fois plus rapides que ceux de l’ADSL et atteignant jusqu’à 200 Megabits/s favorisent l’émergence de nouveaux usages internet et multimédia à la maison. Par ailleurs, la fibre offre également un débit montant très élevé, ce qui facilite des usages comme l’envoi de fichiers lourds, des services tels que le télétravail. Enfin, avec la fibre, de nouveaux services comme la télévision 3D, et le Cloud gaming (jeux sans téléchargement et en réseau).


       
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    Le palmarès 2013 national des villes et villages fleuris 
        Le palmarès 2013 national des villes et villages fleuris dans l'Oise


    Quatre fleurs : Bailleul-sur-Thérain ; Beauvais ; Mureaumont et Rémérangles.   



    Trois fleurs : Bresles ; Campeaux ; Hondainville ; Le-Coudray-Saint-Germer ; Ourcel-Maison ; Lieuvillers ; Tillé et Thibivillers.



    Deux fleurs : Fouquenies, Noroy et Wacquemoulin ont deux fleurs.



    Une fleur : Agnetz ; Feuquières ; Froissy ; Grandvilliers ; Lalande-en-Son ; Le-Mesnil-sur-Bulles et Sarnois.




                    
                                          

                
                                         

       
              


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    Concours des villes fleuries 
      Concours des villes fleuries : question d'envie et de budget
    03/11/2013

               


    Les villages de Mureaumont et Rémérangles ont chacun conservé leurs quatre fleurs. Le premier végète, le second dépense. Le palmarès des villes fleuries perd de son sens.
    La commune de Mureaumont, 150 habitants, bien que titulaire de quatre fleurs, n'a plus les moyens financiers d'assumer son statut. Les bénévoles d'hier ont pris de l'âge ou quitté le village.
    Quatre fleurs : c'est désormais le seul point commun entre Mureaumont et Rémérangles. Les deux seules communes isariennes à justifier de quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris dans la catégorie des communes de moins de 1000 habitants. Car derrière la distinction, se cachent deux trajectoires sensiblement opposées, deux situations radicalement différentes. Et un classement qui ne veut plus dire grand-chose...
    Mureaumont d'abord, village de 150 habitants situé dans le canton de Songeons. Depuis 2010 et la mise en sommeil du comité local d'embellissement, faute de bénévoles - qui ont pris de l'âge ou ont quitté le village - la commune entretient, à raison de 1 500 à 2 000 euros par an. Un point c'est tout. Le village n'a pas les moyens de suppléer ces bénévoles.
    Le village a donc limité ses efforts, au risque assumé de perdre une fleur lors du prochain passage du jury en 2014. Un jury qui a fondé le classement 2013 de Mureaumont sur la base d'une visite réalisée... en 2010. Parce qu'il ne parvient pas à faire face au nombre croissant de villages candidats. Mais ce comité ignore sans doute que la situation a bien changé en trois ans à Mureaumont.
    La taille des massifs, la tonte de la pelouse, « tout cela prend au moins 30% » du temps du seul agent communal employé à mi-temps. Et l'employer à plein temps : « Nous y avons songé, mais c'est impossible », affirme le maire, Alain Degry. Le budget communal - 100 000 euros par an - est trop serré, bientôt grevé par un projet de réfection de la toiture de la mairie. « Si nous devions poursuivre le fleurissement, comme l'ancien maire pouvait le faire, nous devrions augmenter les impôts », poursuit le maire, « les habitants ne seraient pas d'accord ». Confirmation dans la rue principale du village : « Pour des fleurs, je dirais non », lâche un administré.

    Les éoliennes font pousser les fleurs

    À Rémérangles en revanche, le village est sur une pente ascendante, titulaire de quatre fleurs « depuis une quinzaine d'années ». Le village de seulement 229 habitants, situé dans le canton de Clermont, s'est lancé dans le fleurissement dans les années 1960 et s'est « pris au jeu ».
    Aujourd'hui, la commune emploie deux agents, parce que « le seul entretien des fleurs nécessite un équivalent temps plein », poursuit Hubert Proot, le maire. Et investit 6 000 à 7 000 euros chaque année dans le renouvellement des fleurs. Le jury a fondé son classement sur la base d'une visite réalisée... en juillet dernier.
    À la différence de Mureaumont, le village a les moyens : dix éoliennes érigées il y a cinq ans sur le territoire de la commune permettent au village de dépenser sans compter, sans augmenter les impôts. « Il y avait des fleurs avant les éoliennes », tempère le maire. Mais la manne financière tirée des éoliennes permet d'investir bien plus librement - dans la restauration de l'église actuellement - et donc de continuer à fleurir le village.
    La commune bénéficie des retombées fiscales liées à la présence de deux entreprises sur le territoire, quand Mureaumont doit se contenter d'une poignée d'agriculteurs. À Rémérangles, le budget de fonctionnement est bien supérieur à celui de la petite commune de Mureaumont. Ironie de l'histoire, un cadre de vie fleuri se paye donc, en partie parfois avec des éoliennes. Mais ça, le classement des villes et villages fleuris ne le dit pas...

    MATTHIEU HÉRAULT


     Crayon
     
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    Pas très sérieux le comité des villages fleuris.
    On se base sur une visite d'il y a 3 ans pour attribuer un prix.
        

       

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    Le futur ensemble immobilier du Franc Marché
        Beauvais       
    les premières images du futur ensemble immobilier du Franc Marché

       17/12/2013
    Beauvais : les premières images du futur ensemble immobilier du Franc Marché

    Surprise sur le site de la ville de Beauvais ! A côté des quelques lignes reprenant l'historique du dossier de la zone commerciale du Franc Marché, on retrouve les premières images du projet immobilier privés qui devrait remplacer la friche actuelle.
    Rappelons que les élus avaient validé en conseil municipal du 4 octobre la vente de trois lots au promoteur beauvaisien Louis Kotarsky, des lots sur lesquels sont implantés encore actuellement la salle des fêtes du Franc-Marché et les salles de sport attenantes.
    D’un montant total de 3 051 000€, cette nouvelle opération a permis à la société LK Promotion de devenir l’unique propriétaire du site.
    Une fois les lieux complètement vidés, et après notamment le déménagement de la station service, LK Promotion devrait s'atteler à la destruction du bâti.
    Sur ce site, d'ici quelques années devrait alors sortir de terre, en plusieurs étapes, un vaste ensemble immobilier de logements, des petits commerces et de parkings publics.

    Raphaël Thiollier


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      avis de la rédaction
    Plot Vaste entreprise.
    Beaucoup de changement dans Beauvais.
    L'immobilier de haut standing remplace des sites et des bâtiments à caractère économique, social ou commercial, accessibles à tous.

    On se souvient de l'enseigne Darty qui nous a longtemps obligé à emprunter le parking souterrain du Franc Marché.
    Match et Brico Gem furent aussi nos fournisseurs attitrés, en attendant le développement de la ZAC Saint Lazare.
    Â l'époque Leclerc se trouvait à quelques dizaines de mètres du Site, rue de Calais.
    Quand on habite dans un des villages périphériques, on est quasiment Beauvaisien.
    Tendance
    Tendance 
       

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    Cantons : la réforme passe mal
      Cantons : la réforme passe mal 
     17/12/2013

    Alors que le PS a été mis en minorité dans l'Aisne et que l'UMP de l'Oise annonce déjà un recours, les projets de nouvelles cartes cantonales virent au casse-tête pour la majorité.

    1 L'OISE DÉBAT DEPUIS HIER
    L'opposition de droite au conseil général de l'Oise demandera un vote à bulletin secret. Commencée ce lundi 16 décembre en commission permanente, la discussion se poursuivra demain mercredi en séance publique. Et pourrait donc donner lieu à une guerre de tranchées. S'il est un département où la réforme électorale dans les conseils généraux passe mal, c'est bien dans l'Oise. Le 5 décembre, le Courrier picard a allumé la mèche en publiant la nouvelle carte des cantons. Comme partout en France en prévision des élections de 2015, l'Oise voit leur nombre divisé par deux. Tandis que le nombre d'élus restera le même, mais que pour y parvenir il faudra désormais voter pour un ticket homme-femme dans chaque canton. En découvrant la nouvelle carte, les élus d'opposition ont cru s'étrangler. Car selon le projet qui a été adressé au ministère de l'Intérieur par la préfecture, il faut désormais dans certains secteurs jusqu'à cinq anciens cantons pour en faire un nouveau dont la démographie se rapprochera mieux de la moyenne départementale (38 266 habitants). Sauf qu'à ce petit jeu, ils se retrouvent par exemple à quatre sortants UMP sur le même nouveau canton de Saint-Just-en-Chaussée. La désignation des futurs candidats annonce de belles guerres fratricides. Autre sujet de division, l'éclatement d'une dizaine de communautés de communes parfois sur cinq cantons. En tout cas, le vote de ce mercredi ne sera que consultatif.
    2 LA SOMME S'IMPATIENTE
    Dans la Somme, la carte officielle n'est toujours pas redescendue du ministère de l'Intérieur. « Nous sommes dans le dernier tiers des départements étudiés. On espère une présentation mi-janvier », s'impatiente-t-on au cabinet du président, alors que tout doit être figé au minimum un an avant le scrutin (fin février a priori). En attendant, les esquisses de la majorité font déjà grincer à droite. Le projet table sur 23 cantons au lieu de 46, de 24 000 habitants de moyenne chacun (à plus ou moins 20%) contre un écart actuel maxi de 5,5 entre le plus et le moins peuplé. Et parité oblige, 17 hommes devront céder la place à 17 femmes. À Ham par exemple, le sortant Grégory Labille fulmine (lire ci-contre) contre une réforme qu'il taxe de vouloir préserver la gauche des villes pour diviser la droite des campagnes. Si son voisin Paul Pilot « a fait savoir qu'il ne repartira pas », la réforme risque par contre de le mettre en concurrence avec Philippe Cheval (Chaulnes). « Je n'en ai pas encore discuté avec lui, mais j'ai l'intention de me représenter en 2015. »
    3 AISNE : UNE MAJORITÉ D'ÉLUS CONTRE  
    Dans l'Aisne, la nouvelle carte (21 cantons au lieu de 42) a été débattue en séance plénière le 14 octobre dernier, devant le préfet. Y voyant un tripatouillage en sa défaveur, notamment en Thiérache, l'UMP axonaise, opposée à ce redécoupage, avait même proposé sa contre-carte. Le groupe des Indépendants de droite avait également désapprouvé le projet, selon lui contraire « à la revitalisation souhaitable de notre espace rural ». Alliés des socialistes au département, les élus communistes et d'IDG (Initiative démocratique de gauche) seraient aussi pénalisés par le redécoupage, en particulier pour trois conseillers généraux de l'arrondissement de Saint-Quentin, Thierry Lefèvre (Vermand rattaché à Saint-Quentin 1), Roland Renard (Saint-Simon englouti dans le super-canton de Ribemont) et Raymond Froment (Le Catelet associé à Bohain). Résultat, seuls les socialistes ont voté pour la nouvelle carte et ont été mis en minorité.
    Le 26 novembre dernier, le Conseil d'État a validé 24 nouvelles cartes sur 32, dont celle de l'Aisne. Mais l'UMP départementale pourrait déposer un recours. Celle de l'Oise a annoncé la même chose en cas de validation du projet.

    3 QUESTIONS 
     Comment se traduirait la réforme dans votre canton ? Les cantons de Ham, Chaulnes et Nesle seraient regroupés. Soit 59 communes au lieu de mes 19 actuelles, pour 28 000 habitants contre 13 000. Soit davantage que certains cantons d'Amiens où les distances à parcourir sont déjà moins longues. Je n'aurai pas assez de mercredis pour des permanences partout !

    Les binômes ne permettront-ils pas d'alléger la tâche ? Est-ce qu'avec deux maires dans une commune ça marcherait mieux ? Comment partagerons-nous nos interventions ? Qui les habitants devront-ils solliciter ? Est-ce un bon signe adressé aux femmes que d'imposer de force la parité ?

    N'est-il pas temps quand même de rééquilibrer les départements où la ruralité est sureprésentée ? Mais la Somme est rurale ! Au-delà, je suis pour un redécoupage. Notre groupe a d'ailleurs proposé une carte alternative intégrant les habitudes de vie et pas que le nombre d'habitants. Ce dossier, c'est un peu comme les rythmes scolaires : on voit qu'il faut une réforme, mais on sent qu'elle s'appliquera mieux en ville qu'à la campagne. Et puis derrière cette fusion de cantons, je vois s'ouvrir la voie d'un transfert de compétences du social vers les communautés de communes
    courrier picard

     
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    Enencourt le Sec
        Enencourt le Sec...
       

    Une petite commune presque voisine.

    Des aménagements de qualité
    Une aire de jeu, déjà connue de longue date.
    Et visiblement pas périodiquement vandalisée....



    Du patrimoine.
    Eglise Saint Jean Baptiste .
    Des aménagement récents
    Une place très spacieuse
    Une petite Mairie, avec une allure très originale.
    Une place magnifique qui peut accueillir toutes les manifestations de la commune
    Des plantations qui offriront dans quelques décennies un paysage incomparable
    Il n'y a que patience à prendre..
    Un rond-point original, mais à l'efficacité certainement discutable..
    C'est à voir..
    Mais que voulez-vous! Tant que les automobilistes seront autant indisciplinés, les municipalités continueront de déployer des dispositifs de plus en plus barbares et dommageables pour les mécaniques.
    Un joli petit village....Tranquille..(pas souvent dans les pages de nos quotidiens).
    De 206 habitants...
    Mais au fait, comment font-ils pour financer tous ces aménagements..
    Une potion magique peut-être..

    Alors que nous à Jouy avec 888 habitants...  
    Bientôt 1000... Parait-il!



           
     
       
     
     


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  • Ouverture officielle du pont de Paris
      Beauvais
    Ouverture officielle du pont de Paris

    16/12/2013

    A moins de cinq jours de l'ouverture officielle du pont de Paris, programmée samedi matin, les ouvriers s'activent à terminer les finitions de l'ouvrage mais également des abords du pont. Rappelons que l'édifice sera inauguré par les officiels, jeudi, qu'un gros feu d'artifice sera proposé aux Beauvaisiens le vendredi et que les premières voitures pourront l'emprunter samedi matin. -



     
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  • Hardivillers en Vexin

      Hardivillers en Vexin

    A 20 minutes à pied de Jouy


    Petit village du Vexin . 134 habitants


    Sa salle des fêtes


    En pur style de la région


    Une façade qui ne manque pas d'allure

    Un environnement durablement paysagé


    L'entrée des artistes


    Bien à l'aise dans notre campagne


    Sa voisine l'Église du lieu.


    Des voisins à la réputation paisible


    Un petit village sans histoire......

     

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  • Redécoupage des cantons de l'Oise

      Redécoupage des cantons de l'Oise
     
    05/12/2013

    Voilà la nouvelle carte cantonale de l'Oise


    On connaît désormais les contours des nouveaux cantons de l'Oise. Un redécoupage qui pourrait déboucher sur des conflits lors de la désignation des futurs candidats.

    Le colonel moutarde a frappé ! Hier, c'est sous ce nom d'emprunt que la presse a reçu un e-mail l'informant du projet de nouvelle carte cantonale dans l'Oise. Information vérifiée auprès de la préfecture. Mon colon, merci ! Comme on le savait, la moitié des cantons sont appelés à disparaître. Il en restera 21 au lieu de 41.
    Ce que l'on savait moins - encore que... - c'était les gagnants et les perdants de ce charcutage électoral. Parmi les sacrifiés, un pur hasard, Noailles, fief de Jean-François Mancel. Cela ne signifie pas que l'ex-patron UMP du département, adversaire historique du PS, ne se représentera pas le moment venu en 2015. Il pourrait le faire dans un nouveau méga canton de Chaumont englobant Noailles. Mancel pourrait alors se retrouver en concurrence avec le divers droite Gérard Lemaître, sortant sur Chaumont...
    Des bisbilles en perspective
    À droite, c'est surtout au nord que ça se passe. Quatre UMP, André Coët, Alain Vasselle, Jean Cauwel et Frantz Desmedt, vont se cogner les coudes dans le nouveau canton de Saint-Just. Dilemme du même acabit à prévoir à gauche où le PRG Thibault Delavenne (Guiscard) risque de se trouver en conflit avec le PS Patrick Deguise (Noyon).
    C'était l'une des obligations de la réforme électorale. La nouvelle carte prévoit une répartition de la population par canton plus proche de la moyenne départementale (38 266 habitants). Le nombre d'élus restera, lui, identique. Mais cela ne suffira pas à sauver tous les sortants, une majorité d'hommes. Car il faudra désormais un binôme homme-femme pour chaque canton. Débattu le 16 décembre au département, le projet sera ensuite soumis au Conseil d'État.
    P.M.

    courrier picard

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      avis de la rédaction
    Enfin une mesure très attendue en matière d'économie et d'efficacité administrative.
    Il ne reste plus qu'à suivre les développements de cette réforme.
    Attendons les résultats du débat le 16 décembre et les réactions que cela va susciter.
    Tendance
    Tendance
       

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  • Le projet de redécoupage des cantons dévoilé !

    Oise : Le projet de redécoupage des cantons dévoilé !

    Nouveaux cantons Oise 2013-2014
    Le redécoupage des cantons de l'Oise est une nouveauté de taille. Ce projet, construit est censé corriger d'importantes différences démographiques qui existent aujourd’hui entre plusieurs cantons. Le redécoupage rétablit un poids proportionnel aux agglomérations dans l’assemblée départementale, sans pour autant remettre en cause la représentation des territoires ruraux.
    L'écart démographique entre les différents cantons isariens est donc réduit. Dans l’Oise, pour une population cantonale actuelle moyenne de 19.600 habitants, l’écart existant entre la population du canton le moins peuplé, celui de Froissy (6.640 habitants) et le plus peuplé, celui de Liancourt (37.475 habitants) est de 1 à 5,64. A l’issue de la révision de la carte cantonale, il ne sera plus que de 1 à 1,48.
    Rééquilibrer les différences entre cantons les moins et les plus peuplés
    Les 21 nouveaux cantons s’inscrivent donc dans la fourchette garantissant l’égalité démographique d’un écart maximal de 20% à la moyenne départementale de 38.266 habitants. Le canton le moins peuplé sera celui de Nanteuil-le-Haudouin (30.783 habitants) et le plus peuplé celui de Compiègne-2 (45.711 habitants).
    La procédure de révision de la carte cantonale de chaque département a été lancée en avril 2013 avec la consultation du président du Conseil Général, les élus du département et des forces politiques locales. Elle sera réalisée par décret en Conseil d’Etat pris après avis du Conseil Général, qui devrait intervenir dans le courant du mois de décembre.
    Réduire le nombre de cantons

    Aujourd’hui, un département compte autant de cantons que d’élus. Demain, dans chaque département, le nombre de cantons sera égal à la moitié du nombre actuel. Les électeurs de chaque canton seront représentés par une femme et un homme.

    Découvrez le redécoupage des nouveaux cantons de l'Oise avec toutes leurs communes
    Voir la carte grand format du redécoupage des cantons >>>ici<<<


    Beauvais
    Le canton n° 1 (Beauvais-1) comprend :

    1° Les communes suivantes : Fouquenies, Herchies, Milly-sur-Thérain, Le Mont-Saint-Adrien, Pierrefitte-en-Beauvaisis, Saint-Germain-la-Poterie, Savignies ;

    2° La partie de la commune de Beauvais située au nord d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune de Goincourt, cours de la rivière Avelon, rivière de Saint-Quentin, rue Lucien Lainé, rue du général Leclerc, cours Scellier, boulevard Antoine Loisel, rue Saint-Pierre, rue des Jacobins, rue Pierre Jacoby, rue de la Madeleine, boulevard Jules Brière, rue du Thérain, rue du Pont d’Arcole, rue Louis Coatalen, rue de l’abbé Pierre, avenue JF Kennedy, ligne de chemin de fer jusqu’à la limite de la commune de Therdonne.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Beauvais.

    Le canton n° 2 (Beauvais-2) comprend :

    1° Les communes suivantes : Allonne, Auneuil, Auteuil, Berneuil-en-Bray, Flavacourt, Frocourt, Goincourt, La Houssoye, Labosse, Lachapelle-aux-Pots, Lalande-en-Son, Lalandelle, Aux Marais, Ons-en-Bray, Porcheux, Rainvillers, Saint-Aubin-en-Bray, Saint-Léger-en-Bray, Saint-Martin-le-Noeud, Saint-Paul, Sérifontaine, Troussures, Le Vaumain, Le Vauroux, Villers-Saint-Barthélemy, Warluis ;

    2° La partie de la commune de Beauvais non incluse dans le canton de Beauvais -1.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Beauvais.

    Chantilly
    Le canton n° 3 (Chantilly) comprend les communes suivantes : Apremont, Boran-sur-Oise, Chantilly, Coye-la-Forêt, Crouy-en-Thelle, Gouvieux, Lamorlaye, Le Mesnil-en-Thelle, Morangles, Saint-Maximin.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Chantilly.
    Chaumont-en-Vexin     
    Le canton n° 4 (Chaumont-en-Vexin) comprend les communes suivantes : Abbecourt, Bachivillers, Beaumont-les-Nonains, Berthecourt, Boissy-le-Bois, Boubiers, Bouconvillers, Boury-en-Vexin, Boutencourt, Cauvigny, Chambors, Chaumont-en-Vexin, Chavençon, Corbeil-Cerf, Le Coudray-sur-Thelle, Courcelles-lès-Gisors, Delincourt, Le Déluge, Énencourt-Léage, Énencourt-le-Sec, Éragny-sur-Epte, Fay-les-Étangs, Fleury, Fresneaux-Montchevreuil, Fresne-Léguillon, Hadancourt-le-Haut-Clocher, Hardivillers-en-Vexin, Hénonville, Hodenc-l'Évêque, Ivry-le-Temple, Jaméricourt, Jouy-sous-Thelle, Laboissière-en-Thelle, Lachapelle-Saint-Pierre, Lattainville, Lavilletertre, Liancourt-Saint-Pierre, Lierville, Loconville, Le Mesnil-Théribus, Monneville, Montagny-en-Vexin, Montherlant, Montjavoult, Montreuil-sur-Thérain, Monts, Mortefontaine-en-Thelle, Mouchy-le-Châtel, Neuville-Bosc, La Neuville-d'Aumont, La Neuville-Garnier, Noailles, Novillers, Parnes, Ponchon, Pouilly, Reilly, Ressons-l'Abbaye, Saint-Crépin-Ibouvillers, Saint-Sulpice, Sainte-Geneviève, Senots, Serans, Silly-Tillard, Thibivillers, Tourly, Trie-Château, Trie-la-Ville, Valdampierre, Vaudancourt, Villers-Saint-Sépulcre, Villers-sur-Trie, Villotran.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Chaumont-en-Vexin.

    Clermont
    Le canton n° 5 (Clermont) comprend les communes suivantes : Agnetz, Bailleval, Breuil-le-Sec, Breuil-le-Vert, Catenoy, Clermont, Erquery, Étouy, Fitz-James, Fouilleuse, Labruyère, Lamécourt, Liancourt, Maimbeville, Nointel, Rantigny, Rémécourt, Rosoy, Saint-Aubin-sous-Erquery, Verderonne.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Clermont.
    Compiègne
    Le canton n° 6 (Compiègne-1) comprend :

    1° Les communes suivantes : Attichy, Autrêches, Berneuil-sur-Aisne, Bienville, Bitry, Choisy-au-Bac, Clairoix, Couloisy, Courtieux, Janville, Jaulzy, Margny-lès-Compiègne, Moulin-sous-Touvent, Nampcel, Rethondes, Saint-Crépin-aux-Bois, Saint-Pierre-lès-Bitry, Tracy-le-Mont, Trosly-Breuil ;

    2° La partie de la commune de Compiègne située au nord d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune de Vieux-Moulin, route départementale n° 973, avenue du 1er Septembre, boulevard des Ėtats-Unis, boulevard Gambetta, jusqu’à l’Oise.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Compiègne.
    Le canton n° 7 (Compiègne-2) comprend
    1° Les communes suivantes : Armancourt, Chelles, Croutoy, Cuise-la-Motte, Hautefontaine, Jaux, Jonquières, Lachelle, Lacroix-Saint-Ouen, Le Meux, Pierrefonds, Saint-Étienne-Roilaye, Saint-Jean-aux-Bois, Saint-Sauveur, Venette, Vieux-Moulin ;

    2° La partie de la commune de Compiègne non incluse dans le canton de Compiègne -1.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Compiègne.

    Creil
    Le canton n° 8 (Creil) comprend les communes de Creil et de Verneuil-en-Halatte.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Creil.

    Crépy-en-Valois
    Le canton n° 9 (Crépy-en-Valois) comprend les communes suivantes : Auger-Saint-Vincent, Béthancourt-en-Valois, Béthisy-Saint-Martin, Béthisy-Saint-Pierre, Bonneuil-en-Valois, Crépy-en-Valois, Duvy, Éméville, Feigneux, Fresnoy-la-Rivière, Gilocourt, Glaignes, Morienval, Néry, Orrouy, Rocquemont, Russy-Bémont, Saintines, Saint-Vaast-de-Longmont, Séry-Magneval, Trumilly, Vauciennes, Vaumoise, Verberie, Vez.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Crépy-en-Valois.

    Estrées-Saint-Denis
    Le canton n° 10 (Estrées-Saint-Denis) comprend les communes suivantes : Antheuil-Portes, Arsy, Avrigny, Bailleul-le-Soc, Baugy, Belloy, Biermont, Blincourt, Boulogne-la-Grasse, Braisnes, Canly, Cernoy, Chevrières, Choisy-la-Victoire, Coivrel, Conchy-les-Pots, Coudun, Courcelles-Epayelles, Cressonsacq, Crèvecoeur-le-Petit, Cuvilly, Domfront, Dompierre, Épineuse, Estrées-Saint-Denis, Le Fayel, Ferrières, Francières, Le Frestoy-Vaux, Giraumont, Godenvillers, Gournay-sur-Aronde, Grandfresnoy, Grandvillers-aux-Bois, Hainvillers, Hémévillers, Houdancourt, Lataule, Léglantiers, Longueil-Sainte-Marie, Maignelay-Montigny, Margny-sur-Matz, Marquéglise, Ménévillers, Méry-la-Bataille, Monchy-Humières, Montgérain, Montiers, Montmartin, Mortemer, Moyenneville, Moyvillers, Neufvy-sur-Aronde, La Neuville-Roy, La Neuville-sur-Ressons, Orvillers-Sorel, Le Ployron, Pronleroy, Remy, Ressons-sur-Matz, Ricquebourg, Rivecourt, Rouvillers, Royaucourt, Sains-Morainvillers, Saint-Martin-aux-Bois, Tricot, Vignemont, Villers-sur-Coudun, Wacquemoulin, Welles-Pérennes.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune d’Estrées-Saint-Denis.

    Grandvilliers
    Le canton n° 11 (Grandvilliers) comprend les communes suivantes : Abancourt, Achy, Bazancourt, Beaudéduit, Blacourt, Blargies, Blicourt, Bonnières, Boutavent, Bouvresse, Briot, Brombos, Broquiers, Buicourt, Campeaux, Canny-sur-Thérain, Cempuis, Le Coudray-Saint-Germer, Crillon, Cuigy-en-Bray, Daméraucourt, Dargies, Élencourt, Ernemont-Boutavent, Escames, Escles-Saint-Pierre, Espaubourg, Feuquières, Fontaine-Lavaganne, Fontenay-Torcy, Formerie, Fouilloy, Gaudechart, Gerberoy, Glatigny, Gourchelles, Grandvilliers, Grémévillers, Grez, Halloy, Hannaches, Le Hamel, Hanvoile, Haucourt, Hautbos, Haute-Épine, Hécourt, Héricourt-sur-Thérain, Hétomesnil, Hodenc-en-Bray, Lachapelle-sous-Gerberoy, Lannoy-Cuillère, Lavacquerie, Laverrière, Lhéraule, Lihus, Loueuse, Marseille-en-Beauvaisis, Martincourt, Le Mesnil-Conteville, Moliens, Monceaux-l'Abbaye, Morvillers, Mureaumont, La Neuville-sur-Oudeuil, La Neuville-Vault, Offoy, Omécourt, Oudeuil, Pisseleu, Prévillers, Puiseux-en-Bray, Quincampoix-Fleuzy, Romescamps, Rothois, Roy-Boissy, Saint-Arnoult, Saint-Deniscourt, Saint-Germer-de-Fly, Saint-Maur, Saint-Omer-en-Chaussée, Saint-Pierre-es-Champs, Saint-Quentin-des-Prés, Saint-Samson-la-Poterie, Saint-Thibault, Saint-Valery, Sarcus, Sarnois, Senantes, Sommereux, Songeons, Sully, Talmontiers, Thérines, Thieuloy-Saint-Antoine, Villembray, Villers-sur-Auchy, Villers-sur-Bonnières, Villers-Vermont, Vrocourt, Wambez.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Grandvilliers.

    Méru
    Le canton n° 12 (Méru) comprend les communes suivantes : Amblainville, Andeville, Anserville, Belle-Église, Bornel, Chambly, Dieudonné, Ercuis, Esches, Fosseuse, Fresnoy-en-Thelle, Lormaison, Méru, Neuilly-en-Thelle, Puiseux-le-Hauberger, Villeneuve-les-Sablons.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Méru.

    Montataire
    Le canton n° 13 (Montataire) comprend les communes suivantes : Balagny-sur-Thérain, Blaincourt-lès-Précy, Cires-lès-Mello, Cramoisy, Foulangues, Maysel, Mello, Montataire, Précy-sur-Oise, Rousseloy, Saint-Leu-d'Esserent, Saint-Vaast-lès-Mello, Thiverny, Ully-Saint-Georges, Villers-sous-Saint-Leu.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Montataire.

    Mouy
    Le canton n° 14 (Mouy) comprend les communes suivantes : Angy, Ansacq, Bailleul-sur-Thérain, Bonlier, Bresles, Bury, Cambronne-lès-Clermont, Le Fay-Saint-Quentin, Fontaine-Saint-Lucien, Fouquerolles, Guignecourt, Haudivillers, Heilles, Hermes, Hondainville, Juvignies, Lafraye, Laversines, Litz, Maisoncelle-Saint-Pierre, Mouy, Neuilly-sous-Clermont, La Neuville-en-Hez, Nivillers, Oroër, Rémérangles, Rochy-Condé, La Rue-Saint-Pierre, Saint-Félix, Therdonne, Thury-sous-Clermont, Tillé, Troissereux, Velennes, Verderel-lès-Sauqueuse.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Mouy.


    Nanteuil-le-Haudouin
    Le canton n° 15 (Nanteuil-le-Haudouin) comprend les communes suivantes : Acy-en-Multien, Antilly, Autheuil-en-Valois, Bargny, Baron, Betz, Boissy-Fresnoy, Borest, Bouillancy, Boullarre, Boursonne, Brégy, Chèvreville, Cuvergnon, Ermenonville, Étavigny, Ève, Fontaine-Chaalis, Fresnoy-le-Luat, Gondreville, Ivors, Lagny-le-Sec, Lévignen, Mareuil-sur-Ourcq, Marolles, Montagny-Sainte-Félicité, Montlognon, Nanteuil-le-Haudouin, Neufchelles, Ognes, Ormoy-le-Davien, Ormoy-Villers, Péroy-les-Gombries, Le Plessis-Belleville, Réez-Fosse-Martin, Rosières, Rosoy-en-Multien, Rouville, Rouvres-en-Multien, Silly-le-Long, Thury-en-Valois, Varinfroy, Ver-sur-Launette, Versigny, La Villeneuve-sous-Thury, Villers-Saint-Genest.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Nanteuil-le-Haudouin.


    Nogent-sur-Oise
    Le canton n° 16 (Nogent-sur-Oise) comprend les communes suivantes : Cauffry, Laigneville, Mogneville, Monchy-Saint-Éloi, Nogent-sur-Oise, Villers-Saint-Paul.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Nogent-sur-Oise.

    Noyon
    Le canton n° 17 (Noyon) comprend les communes suivantes : Appilly, Baboeuf, Beaugies-sous-Bois, Beaurains-lès-Noyon, Béhéricourt, Berlancourt, Brétigny, Bussy, Caisnes, Campagne, Carlepont, Catigny, Crisolles, Cuts, Flavy-le-Meldeux, Fréniches, Frétoy-le-Château, Genvry, Golancourt, Grandrû, Guiscard, Larbroye, Libermont, Maucourt, Mondescourt, Morlincourt, Muirancourt, Noyon, Passel, Le Plessis-Patte-d'Oie, Pont-l'Évêque, Pontoise-lès-Noyon, Porquéricourt, Quesmy, Salency, Sempigny, Sermaize, Suzoy, Varesnes, Vauchelles, Ville, Villeselve.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Noyon.

    Pont-Sainte-Maxence
    Le canton n° 18 (Pont-Sainte-Maxence) comprend les communes suivantes : Les Ageux, Angicourt, Barbery, Bazicourt, Beaurepaire, Brasseuse, Brenouille, Cinqueux, Monceaux, Montépilloy, Ognon, Pontpoint, Pont-Sainte-Maxence, Raray, Rhuis, Rieux, Roberval, Rully, Sacy-le-Grand, Sacy-le-Petit, Saint-Martin-Longueau, Villeneuve-sur-Verberie, Villers-Saint-Frambourg.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Pont-Sainte-Maxence.


    Saint-Just-en-Chaussée

    Le canton n° 19 (Saint-Just-en-Chaussée) comprend les communes suivantes : Abbeville-Saint-Lucien, Airion, Angivillers, Ansauvillers, Auchy-la-Montagne, Avrechy, Bacouël, Beauvoir, Blancfossé, Bonneuil-les-Eaux, Bonvillers, Breteuil, Broyes, Brunvillers-la-Motte, Bucamps, Bulles, Campremy, Catheux, Catillon-Fumechon, Chepoix, Choqueuse-les-Bénards, Conteville, Cormeilles, Crèvecoeur-le-Grand, Le Crocq, Croissy-sur-Celle, Cuignières, Doméliers, Erquinvillers, Esquennoy, Essuiles, Fléchy, Fontaine-Bonneleau, Fournival, Francastel, Froissy, Le Gallet, Gannes, Gouy-les-Groseillers, Hardivillers, La Hérelle, Lachaussée-du-Bois-d'Écu, Lieuvillers, Luchy, Maisoncelle-Tuilerie, Maulers, Le Mesnil-Saint-Firmin, Le Mesnil-sur-Bulles, Montreuil-sur-Brêche, Mory-Montcrux, Muidorge, La Neuville-Saint-Pierre, Noirémont, Noroy, Nourard-le-Franc, Noyers-Saint-Martin, Oursel-Maison, Paillart, Plainval, Plainville, Le Plessier-sur-Bulles, Le Plessier-sur-Saint-Just, Puits-la-Vallée, Le Quesnel-Aubry, Quinquempoix, Ravenel, Reuil-sur-Brêche, Rocquencourt, Rotangy, Rouvroy-les-Merles, Saint-André-Farivillers, Saint-Just-en-Chaussée, Saint-Remy-en-l'Eau, Sainte-Eusoye, Le Saulchoy, Sérévillers, Tartigny, Thieux, Troussencourt, Valescourt, Vendeuil-Caply, Viefvillers, Villers-Vicomte, Wavignies.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Saint-Just-en-Chaussée.

    Senlis
    Le canton n° 20 (Senlis) comprend les communes suivantes : Aumont-en-Halatte, Avilly-Saint-Léonard, Chamant, La Chapelle-en-Serval, Courteuil, Fleurines, Mont-l'Évêque, Mortefontaine, Orry-la-Ville, Plailly, Pontarmé, Senlis, Thiers-sur-Thève, Vineuil-Saint-Firmin.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Senlis.

    Thourotte
    Le canton n° 21 (Thourotte) comprend les communes suivantes : Amy, Avricourt, Bailly, Beaulieu-les-Fontaines, Cambronne-lès-Ribécourt, Candor, Cannectancourt, Canny-sur-Matz, Chevincourt, Chiry-Ourscamp, Crapeaumesnil, Cuy, Dives, Écuvilly, Élincourt-Sainte-Marguerite, Évricourt, Fresnières, Gury, Laberlière, Lagny, Lassigny, Longueil-Annel, Machemont, Marest-sur-Matz, Mareuil-la-Motte, Margny-aux-Cerises, Mélicocq, Montmacq, Ognolles, Pimprez, Plessis-de-Roye, Le Plessis-Brion, Ribécourt-Dreslincourt, Roye-sur-Matz, Saint-Léger-aux-Bois, Solente, Thiescourt, Thourotte, Tracy-le-Val, Vandélicourt.

    Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Thourotte.



     

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     On peut remarquer que notre canton devrait disparaitre du découpage cantonal de notre département.
    Fin d'une époque pourrait-on dire.
    Le découpage des nouvelles communautés de communes présageaient déjà de sa mise à mort.
    Dommage! Une commune pourtant dynamique.
    Certainement trop près de Beauvais.
    Phagocytée par ce chef-lieu d'arrondissement.
    Toujours la loi du plus fort!
    Jouy sous Thelle convole en juste noce avec Chaumont en Vexin..
    Pour le meilleur et pour le pire.....

     

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    Châbons est un village français, situé dans le département de l'Isère et la région du Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Chabonnais et les Chabonnaises.
    La commune s'étend sur 18,1 km² et compte 1 813 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 99,9 habitants par km², Châbons a connu une nette hausse de 22,1% de sa population par rapport à 1999.
    Entouré par les communes de Burcin, Bizonnes et Blandin, Châbons est situé à 15 km au Nord-Ouest de Voiron la plus grande ville des environs.
    Situé à 501 mètres d'altitude, La Rivière La Bourbre, le Ruisseau de Grand Lemps, le Ruisseau de la Combe sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Châbons.
    La commune est proche du parc naturel régional de la Chartreuse à environ 15 km.
    Le maire de Châbons se nomme monsieur Didier RAMBAUD.
     
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    Durtal est une petite ville française, située dans le département de Maine-et-Loire et la région des Pays de la Loire. la ville de Durtal est le chef-lieu du canton. Ses habitants sont appelés les Durtalois et les Durtaloises.
    La commune s'étend sur 60,6 km² et compte 3 337 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 55,1 habitants par km², Durtal a connu une hausse de 3,1% de sa population par rapport à 1999.
    Entourée par les communes de Les Rairies, Bazouges-sur-le-Loir et Huillé, Durtal est située à 13 km au Sud-Ouest de la Flèche la plus grande ville aux alentours.
    Située à 29 mètres d'altitude, La Rivière Le Loir, la Rivière L'argance sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Durtal.
    La commune est proche du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine à environ 20 km.
    Le maire de Durtal se nomme monsieur André LOGEAIS.
     
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    Montmorency est une ville française, située dans le département du Val-d'Oise et la région d'Île-de-France. la ville de Montmorency est le chef-lieu du canton. Ses habitants sont appelés les Montmorencéens et les Montmorencéennes.
    La commune s'étend sur 5,4 km² et compte 21 429 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 3 990,5 habitants par km², Montmorency a connu une hausse de 9% de sa population par rapport à 1999.
    Entourée par les communes de Soisy-sous-Montmorency, Andilly et Groslay, Montmorency est située à 2 km au Nord-Ouest de Deuil-la-Barre la plus grande ville des environs.
    Située à 128 mètres d'altitude, Le Ruisseau de la Marlière est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Montmorency.
    La commune est proche du parc naturel régional Oise-Pays de France à environ 10 km.
    Le maire de Montmorency se nomme monsieur François DETTON.
     
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      Uckange est une ville française, située dans le département de la Moselle et la région de Lorraine. Ses habitants sont appelés les Uckangeois et les Uckangeoises.
    La commune s'étend sur 5,6 km² et compte 7 124 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 1 281,3 habitants par km², Uckange a subi une forte baisse de 10,8% de sa population par rapport à 1999.
    Entourée par les communes de Bertrange, Richemont et Fameck, Uckange est située à 6 km au Sud-Ouest de Thionville la plus grande ville à proximité.
    Située à 158 mètres d'altitude, La Rivière La Moselle, le Ruisseau la See, le Ruisseau le Kribsbach sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune d'Uckange.
    La commune est proche du parc naturel régional de Lorraine à environ 23 km.
    Le maire d'Uckange se nomme monsieur Gérard LEONARDI.
     
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    Limoges est une ville française, située dans le département de la Haute-Vienne et la région du Limousin. la ville de Limoges est la préfecture de la région du Limousin. Ses habitants sont appelés les Limougeauds et les Limougeaudes.
    La commune s'étend sur 78 km² et compte 139 216 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 1 784,1 habitants par km², Limoges a connu une hausse de 6,7% de sa population par rapport à 1999.
    Entourée par les communes de Isle, Panazol et Feytiat
    Située à 267 mètres d'altitude, La Rivière La Vienne, la Rivière L'aurence sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Limoges.
    La commune est proche du parc naturel régional Périgord Limousin à environ 11 km.
    Le maire de Limoges se nomme monsieur Alain RODET.
    La ville est jumelée avec 6 autres villes dans le monde qui implique la municipalité dans le domaine culturel.
     
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    Terrains délaissés en zones urbaines
              

    Une jeune association entend valoriser collectivement des terrains délaissés en zones urbaines
    Limousin > Haute-Vienne > Limoges 26/03/12 - 06h00
    300 mètres carrés au début, et maintenant 2.000 ici, rue de Nazareth : “Jardinons ensemble à Limoges” démarre fort l’exploitation de terres urbaines abandonnées.? -
    On connaît bien les jardins ouvriers, devenus jardins familiaux. Voici le temps des jardins partagés, qui veulent exploiter des terres délaissées en ville.
    Attention ! Si on les laisse faire, ils sont capables de planter des poireaux en plein Champ de Juillet ! Plaisanterie ? On rit
     À peine : baptisés "Jardinons ensemble à Limoges" ces paisibles insurgés se fixent en effet comme objectif de revivifier les terres délaissées en pleine zone urbaine.
    À l'origine de ce projet qui prend tournure, une poignée de jeunes vivant en ville, qui ne veulent plus se contenter de quelques pots de thym ou de persil sur leurs balcons. Ils s'appellent Louisa, Nahoum, Florent, Amine, Jax ou encore Ismaël. « Au bas de la Roche-au-Go, le propriétaire d'une maison a accepté de nous confier un grand terrain à l'abandon », raconte Nahoum Champroy, devenu le président de l'association.
    300 mètres carrés plus 2.000. En janvier dernier, l'aventure commence sur quelque 300 mètres carrés. Bien sûr, les premiers chantiers ont demandé de l'énergie : débroussaillage, nettoyage, piochage pour récupérer quantité de ferrailles et de matières plastiques enfouies. Après bêchage et installation de tunnels, vint le temps des premiers semis et plantations. Les premières récompenses s'annoncent sous la forme de salades et de radis et autres légumes de qualité, procurant ce plaisir rare de la vraie fraîcheur réservée aux seuls jardiniers.
    Mais déjà, le terrain en bord de Vienne s'avère trop petit. Ils sont à présent une vingtaine d'adhérents, cultivant à la fois leurs légumes et le bonheur de partager ce plaisir en toute convivialité. « Rue de Nazareth, un autre terrain nous paraissait adapté. Grâce à un prêtre, alors à Eymoutiers, nous avons pu entrer en contact avec les S'urs Bleues de Castres, les propriétaires de cet ancien site des Petites S'urs des pauvres. »
    En liaison avec l'Atelier, l'association à vocation culturelle et sociale, que préside Philippe Masson et hébergée dans l'ancien Foyer Nazareth, "Jardinons ensemble" remet ainsi en culture un terrain de 2.000 mètres carrés, qui correspond à une partie de l'ancien parc des Petites S'urs des pauvres.
    Des projets. « Nous savons bien que nous ne resterons pas forcément longtemps sur les terres que nous exploitons, admet Nahoum Champroy. Mais nous n'avons pas une vocation de propriétaires terriens. Il s'agit pour nous de maintenir et même développer une agriculture urbaine et locale avec éthique, bonne humeur et partage intergénérationnel. Quant à la production, elle sera partagée entre les adhérents en fonction de leurs besoins, les éventuels surplus seront cédés à des organisations caritatives. »
    Les premiers légumes des jardins partagés ne sont pas encore récoltés que s'annoncent d'autres projets. « Nous envisageons d'organiser un petit réseau de collecte de déchets fermentiscibles, en partenariat avec l'agglomération de Limoges. Nous fabriquerions alors notre propre compost ».
    « Nous n'avons rien de jardiniers professionnels, mais nous avons quand même l'intention d'expérimenter de nouvelles techniques, plus écologiques », ajoute Nahoum Champroy. Permaculture, jardin en lasagnes, paillage, engrais vert, lombricompost viendraient ainsi à l'ordre du jour.

    Contact. Tél. 07.60.96.81.01. ou par email jardinonsensemble87@gmail.com. L'association manque d'outils : pioches, bêche, râteaux, brouettes, seau, petit outillage. Les dons sont les bienvenus.
    Yves Bourgnon
    yves.bourgnon@centrefrance.com
    PHOTO BRIGITTE AZZOPARD

      Une idée jeune pleine d'allant .
    On leur souhaite toute la réussite possible.
    Des terrains en friches remis en valeur
    Tout le monde y gagne.
    Propriétaires et adhérant-jardiniers
    Ok s
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    Lasseube-Propre est un petit village français, situé dans le département du Gers et la région de Midi-Pyrénées. Ses habitants sont appelés les Lassilvains et les Lassilvaines.
    La commune s'étend sur 14,6 km² et compte 337 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 23,1 habitants par km², Lasseube-Propre a connu une nette hausse de 42,8% de sa population par rapport à 1999.
    Entouré par les communes de Boucagnères, Lasséran et Auterive, Lasseube-Propre est situé à 8 km au Sud-Ouest d'Auch la plus grande ville des environs.
    Situé à 168 mètres d'altitude, La Rivière Le Gers, la Rivière Le Cédon, le Ruisseau de la Bâche sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Lasseube-Propre.
    Le maire de Lasseube-Propre se nomme monsieur Gilbert LACARCE.

    Pour toutes vos démarches administratives, vous pouvez vous rendre à la mairie de Lasseube-Propre village aux horaires d'ouverture indiqués sur cette page. vous pouvez aussi contacter la mairie par téléphone ou par courrier électronique grâce à l'adresse e-mail de la mairie indiquée ci-dessous.
     
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    Mogneville est un village français, situé dans le département de l'Oise et la région de Picardie.

    Actualité sur le village Mogneville

    Les habitants appelés aux urnes en 2013
    Mardi 04 Décembre 2012

    Les semaines passent, mais les habitants de Mogneville ne décolèrent pas. À la rentrée, ils ont eu la surprise de découvrir que leurs impôts locaux allaient fortement augmenter cette année. De 35 à 60% selon les versions des uns et des autres....

    Impôts: toujours l'incertitude pour 2013
    Samedi 24 Novembre 2012

    Une délégation d'habitants a été reçue par le sous-préfet au sujet de la dette de la commune et des impôts locaux. Impossible de dire que ces derniers n'augmenteront pas encore.

    Hausse d'impôts: «On est en train de trouver une solution»
    Vendredi 02 Novembre 2012

    Après un rendez-vous avec la banque de la commune, Lionel Duchatel, le maire, se veut rassurant. Les habitants, eux, accusent toujours le coup.

    Hausse d'impôts : la valse des euros
    Samedi 06 Octobre 2012

    Alors que les propriétaires de la commune reçoivent leur avis d'imposition, la hausse de 30% imposée par la préfecture engendre des augmentations de plusieurs centaines d'euros.

    Un prêt relais met les finances en péril
    Vendredi 31 Août 2012

    Confronté à de grosses difficultés budgétaires, le conseil municipal s'est vu imposer cette année, par la préfecture, une importante hausse d'impôts.


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    MOGNEVILLE Les habitants appelés aux urnes en 2013 
    Mardi 04 Décembre 2012


    C'est un projet de lotissement, prévu à cet endroit, qui est à l'origine des problèmes financiers rencontrés par la commune et le maire, Lionel Duchatel.
    Les semaines passent, mais les habitants de Mogneville ne décolèrent pas. À la rentrée, ils ont eu la surprise de découvrir que leurs impôts locaux allaient fortement augmenter cette année.
    De 35 à 60% selon les versions des uns et des autres. Les finances de la commune étant au plus mal, la préfecture s'est vue dans l'obligation d'imposer cette hausse.
    Il y a 15 jours, réunis en sous-préfecture de Clermont, les habitants apprenaient que la situation économique désastreuse de Mogneville avait fait l'objet d'une alerte, dès 2008, de la part des services de l'État. Pour eux, «le maire était au courant et il n'en a rien dit ».
    Voilà pourquoi certains se réjouissent de la dernière nouvelle en date: suite à la démission, validée en préfecture il y a quelques jours, d'un cinquième membre du conseil municipal, ils vont devoir revoter en début d'année.
    «Nous allons enfin pouvoir sanctionner l'équipe en place et changer de maire», se réjouit, un peu vite, une habitante. Car contrairement à la rumeur qui court, qui voudrait que l'ensemble du conseil soit à renouveler, le vote ne portera que sur les cinq sièges qui ont été désertés. C'est en tout cas ce qu'affirme la préfecture.
    Cinq sièges à pourvoir
    Que la commune ait, depuis les élections de 2008, dépassé les 1500 habitants, ce qui l'amènerait dans la tranche nécessitant 19 élus au lieu de 15 actuellement, ne change rien.
    « Il s'agit de retrouver un conseil municipal complet, tel qu'il a été élu en 2008», précisent les services de la sous-préfecture. Cela dit, il est toujours possible qu'une liste d'opposition se constitue afin d'installer cinq élus contestataires à la table du conseil.
    Quant à la dernière démission en date, celle du maire-adjoint, Stéphane Deligny, elle agace dans la commune. «Je trouve lamentable que nos élus s'enfuient les uns après les autres, commente un Mognevillois installé depuis 1992. Dans une entreprise ou dans la société, quand on fait une erreur qui porte préjudice à autrui, on en paye les conséquences. Devant la loi. Là, ils vont en sortir blanc comme neige
    JULIEN BARBARE

    courrier picard
     
    Mardi 2 octobre 2012

    Ils n'ont pas tiré les leçons de la crise Espagnole. Construire à tout va, quand c'est la crise. De l'immobilier sur du sable. Des châteaux en Espagne. Des moulins à vent, chers à Cervantès.

    Tendance

    Vendredi 14 décembre 2012

    On n'a pas le droit de faire n'importe quoi avec l'argent des autres, martèle depuis des décennies, un réalisateur bien connu, Robert Hossein . C'est ce qui s'est produit à Mogneville. Maintenant que le vin est tiré, il faut boire la coupe jusqu'à la lie. Le réveillon des Mognevillois (ils n’ont pas de gentillé, eux aussi) sera un peu plus amer qu’à l’accoutumé. Rendez-vous en 2013 pour ce nouveau feuilleton politico-communal.

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