• Le Poireau




    Famille
    Alliacée         
    Allium porrum
    Autres noms
    poireau, porreau, poirée, poirette, asperge du pauvre


    Description
    Le poireau commun est une plante herbacée bisannuelle 
    largement cultivée comme plante potagère pour ses feuilles
    Graines
    Noires semblables à celles de l'oignon germination : 2 ans
    400 graines/gr
    Levée: 8 à 15 j
    Culture
    50/60gr pour 5/6m² en pépinière.
    Qui donne 3000 plants/are pour une récolte de 600kg

    Semis
    Mars
    Repiquage
    A partir de fin mai Route à 30cm
    Espacé 10/15cm
    Prof. 10cm

    Végétation
    5 à 7 mois  Récolte à partir de fin juillet
    Association
    Céleri






    Fumure Azote-  Déjections de volaille
    Fumure Ancienne -  Fumier très décomposé
    -


    Parasites Teigne du poireau (Acrolepiopsis assectella)
    La mouche mineuse du poireau (Napomyza gymnoostoma)
    Certains jardiniers préconisent de maintenir humide le feuillage du poireau tout le long de la période sèche et pendant les pontes de la teigne du poireau.L'insecte détestant pondre en milieu humide. WS
    D'autres préconisent de laisser les plants déterrés en vue du repiquage, sur le sol, au soleil, pendant 48 heures.Les larves ne résistant pas à ce traitement.Le traitement à l'eau de javel, au moment du repiquage, est radical et connu de longue date.En cas d'attaque par la suite on peut couper une partie du feuillage et traiter de nouveau à l'eau de javel. WS
    Traitement après repiquage: mélanger dans un litre d'eau, une cuillère à café de savon noir, une autre d'alcool à 90° et une 3e d'huile de paraffine, vaporiser ensuite sur les feuilles du dessous, en deux fois à 20 minutes d'intervalle et renouveler après huit jours. L'idée sous-jacente étant de dissimuler la forte odeur du poireau aux parasites WS
    Gel
    En prévision du gel: on transplantera une partie des  poireaux avec les racines pour les installer
     dans un bac en cave avec du sable , ils blanchiront plus rapidement et deviendront plus tendres et  aussi plus blancs à souhait. Cette opération est à renouveler quand le temps se radoucit..
    En fonction des besoins.Il sera nécessaire de faire durer sa production tout l'hiver.
    Si on a réussi sa plantation...Bien entendu!
    Le poireau, c'est bien connu, reste un légume très précieux pour cette période hivernale.
    En auriez-vous douté ?
    WS
    Gel En règle générale,je les enlève et les surgèle mais bon cette année,tout n'a pas été fait
    On dit qu'ils tiennent en terre l'hiver,oui en ville mais par ici,les hivers sont trop rudes et surtout le gel dure très longtemps. Nous avons été surpris la première année,en voulant les prendre,ils n'étaient plus que de la bouillie!!!
    coyhug
    Variétés Réal - Poireau d'Elbeuf - Gros long d'été - Poireau de liège
    Maladie La rouille
    pulvérisation Purin de rhubarbe INFUSION DE RHUBARBE  - Plonger 1.5 kg de feuilles de rhubarbe dans 10 litres d'eau bouillante. Porter à ébullition et éteindre le feu. Laisser infuser au moins 24 heures. Pulvériser non dilué  - USAGES: Contre la teigne du poireau et les pucerons noirs
    ananasgold
    Plantation 250 à 1000  plants/an 1000 pour 5 personnes





    Rédaction White Satin  ananasgold coyhug
    Adresses
    Et les poireaux dans tout çà poireau

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    Édition
    21/12/2010 Dernière mise à jour le 22 février 2011
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    Niveau
    chinois 10/10
    10/10



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  • Une recette contre les parasites du poireau

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    Une solution contre le parasite du poireau

    Un seul problème inquiète les jardiniers qui ne savent plus comment faire pour lutter contre les parasites du poireau.

    Michel Leblond leur a renouvelé ses conseils pour un bon repiquage et leur a livré en sus une recette écologique de grand-mère pour le traitement après repiquage: mélanger dans un litre d'eau, une cuillère à café de savon noir, une autre d'alcool à 90° et une 3e d'huile de paraffine, vaporiser ensuite sur les feuilles du dessous, en deux fois à 20 minutes d'intervalle et renouveler après huit jours.

    L'idée sous-jacente étant de dissimuler la forte odeur du poireau aux parasites !

     voir la fiche sur le poireau ici

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    WS

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  • Une commune qui interdit l'usage de la bouillie bordelaise

    Une évidence qui suscite quelques remous dans la salle mais n'arrête pas le président qui cite l'exemple de la commune de Lamorlaye où le règlement intérieur fixé par la commune qui a investi 142000 € pour aménager 32 parcelles, interdit l'usage de la bouillie bordelaise pour protéger un ruisseau voisin des terrains.

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    Ce traitement est déjà règlementé en Belgique depuis quelques années

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  • SAINT-JUST-EN-CHAUSSÉE Les Jardins prennent racine
    Jeudi 17 Février 2011

    Frans Desmedt a assisté à l'assemblée générale des jardins familiaux présidés par Romain Marchand qui a reconnu qu'il fallait jardiner au naturel.
    Les jardins Familiaux de l'Oise tenaient dimanche leur assemblée générale. L'association se renouvelle et fleurit dans tout le département.
    Toujours fringuant et alerte malgré son âge -plus de 80 ans-Romain Marchand, apiculteur et président des jardiniers, s'est réjoui d'avoir face à lui une salle comble. Une centaine de personnes étaient présentes sur les 125 adhérents que compte l'association, qui a voté à l'unanimité la reconduction du bureau.
    «Les jardins familiaux sont tendance... On nous écoute beaucoup, ça marche bien », se réjouissait le président départemental des Jardins familiaux, Michel Leblond, insistant sur un rapport financier sain. Si bien que la part reversée par chaque section reste inchangée depuis2002 à 1,46€ pour une cotisation globale fixée à 13,50€ à Saint-Just-en-Chaussée.
    Les Jardins familiaux suivent les prescriptions du Grenelle de l'environnement. « Les jardins familiaux d'antan avec cabanon, c'est fini! Aujourd'hui, on a des abris de jardins, on récupère l'eau de pluie et on utilise de moins en moins de produits phytosanitaires», a précisé Michel Leblond avant de lâcher sans complexe: «Un jardinier pollue les terrains, bien plus qu'en agriculture, et il faut maintenant jardiner au naturel».
    Une évidence qui suscite quelques remous dans la salle mais n'arrête pas le président qui cite l'exemple de la commune de Lamorlaye où le règlement intérieur fixé par la commune qui a investi 142000 € pour aménager 32 parcelles, interdit l'usage de la bouillie bordelaise pour protéger un ruisseau voisin des terrains.
    Dans toutes les sections, les Jardins familiaux se portent bien. Après avoir redessiné 32 parcelles, les Jardins familiaux repartent de plus belle à Chambly.
    À Lamorlaye, la municipalité a aménagé 32 parcelles sur un terrain à l'abandon. Une section comportant 15 parcelles sur 60 possibles s'est créée à Bazincourt (Eure), qui adhère aussi à l'association isarienne. Cet exemple a donné des idées à sa voisine Gisors. La grosse section de Nogent-sur-Oise (250 adhérents) rejoint aussi les effectifs de l'Oise qui compte aujourd'hui plus de 5500 adhérents.
    La société des Jardins Familiaux de l'Oise a été fondée en1920. Elle compte en2010 5516 adhérents répartis en 48 sections. Les Jardins familiaux permettent aujourd'hui plus qu'hier d'équilibrer un budget familial par la récolte potagère, orientée vers des produits sains.
    Ils favorisent la vie sociale et collective et peuvent être un outil pédagogique pour s'initier à la protection de l'environnement. Ils représentent aussi pour les collectivités un outil d'aménagement et de valorisation du paysage.

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  •   MW+EDF+CSPE= Un impôt en plus!
       


    La Cour des Comptes critique le financement des énergies renouvelables

    Jeudi 17 Février 2011
    La Cour des Comptes critique dans son rapport annuel publié jeudi le mode de financement des énergies renouvelables, qui fait peser une lourde charge sur les comptes d'EDF et repose sur un "quasi-impôt" dont le niveau n'est pas soumis à l'approbation régulière du Parlement.
    Le soutien aux énergies renouvelables (solaire,
    éolien, etc.) est financé par la Contribution au service public de l'électricité (CSPE).
    Rappelant qu'il s'agissait d'un "prélèvement assis sur la consommation électrique, payé par tous", la Cour des Comptes estime que "le taux, et au-delà les conditions de prélèvement de ce quasi-impôt devraient faire l'objet d'une autorisation périodique et d'un contrôle du Parlement".
    Ce n'est actuellement pas le cas, le Parlement ayant confié fin 2010 à la Commission de régulation de l'énergie (CRE) le soin de fixer la CSPE, sauf décision contraire du gouvernement avant le 31 décembre de chaque année.
    Les sages de la rue Cambon soulignent aussi que le niveau de la CSPE n'a pas été modifié entre 2004 et 2010, quand bien même les charges qu'elle sert à financer augmentaient rapidement, du fait notamment du fort développement de l'énergie solaire.
    Le déséquilibre qui en découle "pèse sur le fonds de roulement d'EDF", note la Cour. Cela représentait une charge cumulée de 2,8 milliards d'euros fin 2010, selon le groupe public d'électricité. Et la situation pourrait s'aggraver car les charges de la CSPE devraient encore augmenter pour atteindre 5 milliards d'euros en 2020.

    La Cour plaide donc pour une maîtrise des charges, critiquant notamment des tarifs d'achat de l'énergie solaire "trop attractifs" et fonctionnant "à guichet ouvert" pour des "filières peu matures où l'évolution des technologies conduira à une évolution rapide des coûts de production".

    Le gouvernement doit justement annoncer une réforme du système de soutien à l'énergie solaire d'ici au 8 mars.

    Les sages estiment aussi qu'il faut "s'interroger sur l'opportunité" de soutenir la cogénération (production simultanée d'électricité et de chaleur), qui représente environ 20% des charges de la CSPE en 2011, alors que ce n'est pas une priorité gouvernementale en matière de politique énergétique.

    Enfin, elle se demande s'il est "justifié" de faire reposer le financement des énergies renouvelables "sur le seul consommateur d'électricité".

    Dans leur réponse à la Cour, les ministres de l'Economie et de l'Energie, Christine Lagarde et Eric Besson, défendent le système actuel en affirmant qu'il est "vertueux et équitable" que le coût complet de la production d'électricité "soit internalisé dans les prix de vente".

    Le ministre du Budget François Baroin partage, lui, l'analyse de la Cour et estime que "le Parlement devrait être en mesure de contrôler le dispositif et son équilibre" au vu "des enjeux budgétaires et financiers".

    Enfin, le patron d'EDF Henri Proglio "adhère aux observations de la Cour" en observant que les augmentations de facture nécessaires au financement des énergies renouvelables "ne pourront avoir qu'un effet préjudiciable à l'image d'EDF auprès du consommateur final".

    Il souligne que ces hausses de facture "devront s'ajouter aux hausses tarifaires nécessaires" au "bon fonctionnement" de l'outil industriel d'EDF.

    La CSPE est passée de 4,5 euros par mégawatheure (MWh) à 7,5 euros/MWh le 1er janvier 2011, provoquant une augmentation de la facture des consommateurs de 3%, qui est venue s'ajouter à une hausse des tarifs de 3% le 15 août.

    http://picardie.stop.eolien.free.fr/index.php?option=com_content&view=a…
    picardie environnement durable

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  • Jouy    La gale frappe l’école élémentaire 
    Publié le 24.11.2010
    Beaucoup la considèrent comme une maladie d’un autre siècle. Pourtant, la gale sévit encore. L’affection s’est invitée à l’école élémentaire de Jouy-sous-Thelle, où 117 élèves sont scolarisés. Deux cas ont été détectés en fin de semaine dernière chez des écoliers de CP et CE 1.
    Afin d’apaiser les craintes des parents, une réunion d’information s’est tenue lundi midi en présence de l’inspecteur de l’Education nationale d’Auneuil et d’un médecin scolaire.
    « Il y a effectivement eu deux cas de gale commune, confirme Carine Damblant, la directrice de l’école. Le premier a été diagnostiqué en début de semaine dernière et le second vendredi. Nous avons bien sûr alerté l’inspection académique, les parents d’élèves ont tous été avisés et toutes les précautions d’usage ont été prises afin d’éviter la contagion. Il n’y a vraiment pas lieu de s’inquiéter… »

    La réunion programmée lundi n’a pourtant pas rassuré tout le monde. L’angoisse des parents s’est même propagée beaucoup plus vite que l’affection. « J’ai eu le sentiment qu’on cherchait à minimiser les choses, confie une maman. Les deux enfants affectés n’ont même pas été isolés, soi-disant que la période d’incubation était passée. Hier après-midi (NDLR : lundi), je me suis longtemps demandé si je devais mettre mon fils à l’école. J’ai couru chez le pharmacien pour me procurer un traitement préventif, une bombe antiparasite et un gel pour la peau… » D’autres parents, visiblement très inquiets, sont allés jusqu’à contacter les hôpitaux Necker et Robert-Debré, à Paris, afin de connaître la marche à suivre en cas d’épidémie.
    « Je comprends les craintes .......
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    David Livois
    Le Parisien  

    Panique à Jouy sous Thelle!
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  • PLATEAU PICARD Passage à la TNT: les magnétoscopes en rade
    Mercredi 16 Février 2011


    Bernard Labalette dans son atelier du service après-vente de Maignelay-Montigny.
    Depuis le passage à la télévision numérique terrestre, beaucoup d'usagers ne peuvent plus se servir de leur magnétoscope pour enregistrer. Explications.
    Avec l'arrêt de la diffusion analogique le matin du 2 février vers 7heures et le retour du numérique à 12h30, la transition fut plutôt réussie du côté des techniciens de TDF.
    Mais sur le terrain, «ce fut la course pour aller régler téléviseurs et adaptateurs» , confie Bernard Labalette, patron de l'enseigne Gitem, installé dans la galerie commerciale du centre Leclerc à Saint-Just-en-Chaussée. « Mercredi et jeudi matin, nous avons reçu 350 appels chaque jour et heureusement que nous avions déjà pris les devants en allant installer les adaptateurs chez les clients nous ayant contactés avant cette date!»
    Comment éviter les interférences de fréquence.....

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  • Un homme de 45 ans se donne la mort



    Publié le 07.02.2011

    Drame conjugal hier à Jouy-sous-Thelle. Un homme de 45 ans s’est donné la mort, à son domicile, en absorbant, en grande quantité, des médicaments et de l’alcool. Les gendarmes ont ouvert une enquête, mais la thèse du suicide ne fait aucun doute.

    Le Parisien

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  • Message HéberForum
    Posté le: 17 Aoû 2007 à 6:16

    Sujet de :White Satin   Administrateur


    Le sol sous les arbres est ainsi protégé.

    Sous-produit du lin. En mulch ou en paillage du sol, au potager ou au jardin d'ornement.
    Epaisseur de 5 à 10 cm afin .
    Limite les arrosages. Pas de mauvaises herbes
    A l'automne ou au printemps, incorporation dans le sol.
    Allégement des sols. Fruits et légumes protégés de la terre quand il pleut. Les vers de terre prolifèrent sous ce revètement.
    Pas d'acidification. Pas de toxine pour les plantes
    Les écorces de pin, sont soupçonnées de cela pour les rosiers.
    Très décorative. En hiver isolant thermique. Ne s'envole pas.

    Les jardins communaux en font un grand usage.



    Mabul WS    Photos Rond-Point  Beauvais


    Il n'est pas de rose blanche que n'effleure à son heure un rien de poussière."
    (Nicéphore Vettrakos) Les Jardins De L'Aurore


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  • <blink>Le bêchage en hiver</blink> Si le climat le permet

    Le bêchage

    Le bêchage est indispensable avant tout semis ou plantation.
    Il permet de décompacter et d'aérer la terre et de favoriser un bon départ pour les végétaux et une meilleure
    levée pour les semis.
    Il permet en même temps, d'enfouir dans le sol le fumier, le compost, les engrais verts, les engrais naturels et biologiques ..
    Et aussi autrefois les engrais chimiques.......Mais c'était autrefois!
    Il permet du même coup d'éliminer les mauvaises herbes et surtout de capturer les racines du liseron et du chiendent..
    Il donne aussi au parcelles du jardin un bel aspect de netteté et de propreté, indispensable à l'organisation des futures cultures.
    Gommant ainsi l'aspect broussailleux et désordonnés que l'on a donné volontairement au potager pendant une grande partie de l'hiver, afin de sauvegarder la vie microbienne de celui-ci, en laissant à même le sol, les débris et les déchets de nos précédentes récoltes.
    Débris qu'ils faudra, bien entendu, enfouir que s'ils sont parfaitement décomposés.
    Et qui dans le cas contraire rejoindrons le tas de compost, afin d'y terminer leur lente décomposition.

    La grelinette
    Pour ceux qui ne connaissent pas encore....
    Une alternative au bêchage traditionnel.
    Plus respectueuse de la terre du jardin, de sa composition et de ses hôtes
    Avec la grelinette, la terre n'est pas retournée, mais plutôt fouillée, secouée et finalement aérée.
    L'humus de surface n'est pas enseveli sous les 15cm de la terre du fond souvent plus argileuse et un peu moins fertile..
    Micro-organismes, Insectes utiles, vers de terre peuvent continuer à vaquer à leurs occupations, si bénéfiques pour notre potager et ses légumes.
    Sinon tous ces pensionnaires sont fortement perturbés dans leurs habitudes et pour longtemps par le labour traditionnel..
    Quand ils ne sont pas purement et simplement détruits.
    Mais la grelinette ne peut pas tout; surtout dans des terres lourdes ou les terrains neufs; il faut alors recourir au bêchage traditionnel et parfois même au motoculteur.
    Autre avantage : Un grand confort d'utilisation; une moindre dépense physique; mal de dos et courbatures souvent évités.
    ce sont les bras et les jambes qui travaillent alternativement; pas le dos qui doit soulever la totalité de la terre déplacée.
    En bêchage traditionnel, on fini par soulever des tonnes.
    Une seule petite réserve pour l'usage de la grelinette : Son prix, souvent un peu cher.
    Mais cela devrait s'arranger dans l'avenir...Quand les grands fabricants proposeront ces nouveaux outils.]


    WS


    Extrait du journal du forum de février 2011 N°1

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  • Le bêchage en hiver
     
       
    Le bêchage en hiver Si le climat le permet

    Le bêchage

    Le bêchage est indispensable avant tout semis ou plantation.
    Il permet de décompacter et d'aérer la terre et de favoriser un bon départ pour les végétaux et une meilleure
    levée pour les semis.
    Il permet en même temps, d'enfouir dans le sol le fumier, le compost, les engrais verts, les engrais naturels et biologiques ..
    Et aussi autrefois les engrais chimiques.......Mais c'était autrefois!
    Il permet du même coup d'éliminer les mauvaises herbes et surtout de capturer les racines du liseron et du chiendent..
    Il donne aussi au parcelles du jardin un bel aspect de netteté et de propreté, indispensable à l'organisation des futures cultures.
    Gommant ainsi l'aspect broussailleux et désordonnés que l'on a donné volontairement au potager pendant une grande partie de l'hiver, afin de sauvegarder la vie microbienne de celui-ci, en laissant à même le sol, les débris et les déchets de nos précédentes récoltes.
    Débris qu'ils faudra, bien entendu, enfouir que s'ils sont parfaitement décomposés.
    Et qui dans le cas contraire rejoindrons le tas de compost, afin d'y terminer leur lente décomposition.

    La grelinette
    Pour ceux qui ne connaissent pas encore....
    Une alternative au bêchage traditionnel.
    Plus respectueuse de la terre du jardin, de sa composition et de ses hôtes
    Avec la grelinette, la terre n'est pas retournée, mais plutôt fouillée, secouée et finalement aérée.
    L'humus de surface n'est pas enseveli sous les 15cm de la terre du fond souvent plus argileuse et un peu moins fertile..
    Micro-organismes, Insectes utiles, vers de terre peuvent continuer à vaquer à leurs occupations, si bénéfiques pour notre potager et ses légumes.
    Sinon tous ces pensionnaires sont fortement perturbés dans leurs habitudes et pour longtemps par le labour traditionnel..
    Quand ils ne sont pas purement et simplement détruits.
    Mais la grelinette ne peut pas tout; surtout dans des terres lourdes ou les terrains neufs; il faut alors recourir au bêchage traditionnel et parfois même au motoculteur.
    Autre avantage : Un grand confort d'utilisation; une moindre dépense physique; mal de dos et courbatures souvent évités.
    ce sont les bras et les jambes qui travaillent alternativement; pas le dos qui doit soulever la totalité de la terre déplacée.
    En bêchage traditionnel, on fini par soulever des tonnes.
    Une seule petite réserve pour l'usage de la grelinette : Son prix, souvent un peu cher.
    Mais cela devrait s'arranger dans l'avenir...Quand les grands fabricants proposeront ces nouveaux outils.]
     
    WS

    Extrait du journal du forum de février 2011 N°1
            
     
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    Association Multi'colors
      L’association soutenue par la RIVP, prend notamment en charge la rénovation de son nouveau local.
    Toutes les semaines, accompagnée de Sygne Claverie, spécialisée en graphisme, Sylvie Faye accueille 14 enfants de locataires RIVP pour un après-midi d’ateliers.

    Association Multi'colors


    Découverte de la nature et aménagement d’un jardin partagé, peinture, réalisation de journaux relatant leur action…
    Pour tous, les projets riment avec amélioration du cadre de vie, richesse des contacts et des apprentissages.
    Ils revêtent de multiples facettes.
    L’atelier pour les préadolescents travaille depuis plusieurs mois sur un thème précis : « La nature en ville hier et aujourd’hui ».
    Le but souhaité est de faire découvrir la flore en milieu urbain, réaliser des reportages photos, témoigner des anciens et échanger avec eux sur l’urbanisation de leur environnement à partir de photos d’archives et de balades historiques.
    WS
    Photo et Texte © Association Multi’Colors  
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    Sylvie Faye, la jardineuse des quartiers pauvres
    Le 14 février 2011


    Elle mélange les générations, les couleurs et les odeurs.
    A travers l’association Multi’Colors, Sylvie Faye propose aux enfants et adolescents de milieux précaires, ainsi qu’aux personnes touchées par la maladie d’Alzheimer, de réaliser des jardins et ateliers artistiques.
    En 2003, elle lance cette démarche collective à Paris dans le 20e arrondissement. « J’habite depuis longtemps ce quartier et souhaite lui donner un visage plus vert, plus humain, en y créant, avec les enfants, des jardins pour offrir des refuges aux oiseaux », explique-t-elle.
    En impliquant les habitants dans la préservation de leur environnement, Sylvie Faye leur donne envie d’en prendre soin. « Ayant grandi et travaillé au milieu des cités, il me semblait urgent que leurs habitants puissent retrouver un lien avec la nature », poursuit-elle.
    Toute l’action de Multi’Colors se fait dans une logique de développement durable : récupération d’eau, tri des déchets, compostage, jardinage écologique, etc.
    L’association met également en place des activités ludiques, éducatives et variées, comme des ateliers d’écriture et de lecture, des rencontres festives ou encore des spectacles de danses. « Je partage la conviction que chaque action, même la plus modeste, compte pour préserver la Terre », ajoute Sylvie Faye. Après avoir travaillé comme plasticienne, cette diplômée des Beaux-arts de 48 ans s’est progressivement tournée vers le social. Elle a été amenée à diriger plusieurs structures socio-éducatives et projets pour des personnes en situation d’exclusion (gens du voyage, familles touchées par le sida, enfants autistes, etc.).
    Huit ans après le début de l’aventure, quatre jardins ont vu le jour dans le 20e arrondissement parisien. Et l’association travaille avec pas moins de 150 personnes. A la demande de bailleurs sociaux d’Ile de France, elle aide et forme les habitants de logements sociaux à réaliser un jardin partagé. Depuis deux ans, Sylvie Faye développe aussi un autre projet : permettre à une trentaine d’enfants de partir à Branféré, un parc animalier et botanique du Morbihan. Une escapade en or pour ces petits Parisiens qui partent rarement en vacances.
    Association Multi’Colors
    17, square des Cardeurs, Paris 20e
    Delphine Rabasté

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  • Grandviliers
    Une usine d'isolant en lin en projet

    Mercredi 6 août, Hugues Dangreville montre comment découper les panneaux de lin. Pas besoin de cutter, il suffit de déchirer.Natur'lin est une émanation de Lin 2000, coopératives de liniers. Elle va installer une usine d'isolants en lin.
    Le lin est une alternative à la laine de verre pour l'isolation de la maison. La nouvelle société Natur'lin vend des panneaux et des rouleaux de fibres de lin agglomérées entre elles par un liant végétal à base de maïs. Leurs performances sont équivalentes aux produits classiques.
    Ce lancement dans le secteur de la construction est une évidence pour Hugues Dangreville, gérant de la société créée en mars dernier. « Nous sommes dépendants d'un seul marché. Tout le lin part pour le textile chinois. Il faut diversifier nos débouchés. » Le conseil d'administration de Lin 2000, coopérative de liniers actionnaires du projet, a jugé opportun le développement de ce nouveau marché. Les isolants naturels comme le chanvre ou le lin progressent en France depuis quelques années. « Mais nous avons du retard à rattraper. Le lin est utilisé en isolation depuis quinze ans en Allemagne. »

    Usine en 2009 ou 2010

    La société utilise les fibres courtes du lin produites sur les 1 500 hectares des liniers de Lin 2 000. La société NTP à Limoges, également actionnaire, fabrique les rouleaux et les panneaux. Mais l'objectif est de monter une usine à ......

    Pour en savoir plus.......

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  • Apprenez à faire votre cidre
    INITIATION
    30.03.2007
    UNE JOURNÉE pour découvrir les secrets du cidre et apprendre à concocter vous-même ce breuvage. Voilà ce que propose l'association I z'on creuqué eun' pomm'. Samedi, à Blargies, une cinquantaine de personnes pourront être initiées à la culture cidricole. « L'objectif, c'est de permettre aux gens de franchir toutes les étapes, du ramassage de la pomme jusqu'à la mise en bouteille, indique Daniel Valiergue, président de l'association I z'on creuqué eun' pomm'.
    Pour cela, nous appliquons une méthode enseignée depuis une cinquantaine d'années dans un lycée agricole de l'Orne. Elle était destinée aux petits agriculteurs qui souhaitaient faire un bon cidre pour le vendre mais qui ne pouvaient pas avoir une production industrielle. A l'issue de cette journée, normalement, vous êtes en mesure de faire votre propre cidre. » Vous apprendrez ainsi à ramasser les pommes au bon moment en vous fiant à l'odeur, l'arôme des pommes mûres est spécial, ou à la consistance puisque la chair résiste moins sous la pression du pouce. Au programme également, le brassage avec un pressoir à vis, le cuvage et la maîtrise de la densité des jus qui permet d'avoir des produits plus ou moins riches. Après avoir appris à maîtriser la température et la teneur en azote, puis la technique de fermentation, des conseils très précis vous seront délivrés pour la mise en bouteilles. Après, il ne vous restera plus qu'à le boire...
    Renseignements : 03.44.56.50.67. Tarif : 15 (gratuit pour les adhérents).

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    Le Parisien   Tendance

     


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  • Posté le: 03 Jan 2008 à 8:14
    serres



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  •   Pour Hervé et Stéphane  
     
        407.jpg                      LogoVACFC.gif   Ce Comité de soutien est crée par les amis et les proches d'Hervé et Stéphane. Comme beaucoup, nous avons d'abord respecté l'anonymat de leurs identités avant de révéler leurs noms. Il nous est humainement impossible de rester sans réaction. Une pétition circule. Les signatures manuscrites ou en-ligne sont les bienvenues. Si vous le souhaitez, joignez-vous aux amis, aux proches, aux personnes d'influences, et à tous ceux qui souhaitent que la France reste un pays où la liberté d'expression est une valeur essentielle de la République  
         
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    Comité de soutien dont la marraine est Florence AUBENAS

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  •   Combat au Chemin des Dames
       

    Aisne
    La protection des paysages justifie le rejet du parc éolien

    Jeudi, 10 Février 2011 00:00
    Les élus de la communauté de communes des Vallons d'Anizy vont sans doute perdre leur combat contre le préfet de l'Aisne. Mardi matin, Guillaume Vandenberghe, le rapporteur du tribunal administratif d'Amiens, a demandé à la cour de rejeter la requête contre le refus, en 2008, du préfet d'autoriser la création d'une zone de développement éolien (ZDE).
    Une atteinte aux sites historiques
    Les élus avaient prévu d'installer les aérogénérateurs, notamment, sur les communes de Vauxaillon, Anizy-le-Chateau et Merlieux-et-Fouquerolles. Le préfet avait alors évoqué plusieurs raisons principales à son opposition, dont la présence d'un couloir de migration pour les volatiles et la protection des sites historiques et paysagers.
    Guillaume Vandenberghe n'a pas retenu la première raison. En revanche, il estime que les éoliennes « porteraient atteinte au Chemin des Dames, se trouveraient à moins de 10 km du château de Coucy et à 5 km de Laon et de sa butte emblématique, ce qui serait préjudiciable ». En conséquence, il a demandé le rejet de la requête. Jugement d'ici quinze jours.

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  •  L'année dernière dans les jardins familiaux
       
        Plus de 1 200 Beauvaisiens cultivent un jardin familial ou jardin ouvrier. Ces agriculteurs des villes ont fait les comptes : ils économisent ainsi 1 500 euros d'achat de légumes sur l'année.
     Depuis la crise, les demandes d'adhésion ont « explosé ».
      
    C'est une passion, qui, comme toutes les passions est exigeante. Mais cette folie-là, fait faire des économies : la culture d'un jardin familial, autrefois appelé jardin ouvrier, permet d'économiser de précieux euros.
    En période de crise et maintenant de restriction budgétaire de plus de plus de Beauvaisiens veulent s'y adonner. Mais les places sont chères.
    Car les jardins familiaux ont toujours eu du succès depuis leur création au début du siècle dernier. L'idée de louer un petit bout de terre à cultiver, en ville et alors qu'on habite dans un immeuble, ne peut qu'être séduisante.
    Mais entre urbanisation, développement économique et jardins familiaux, les municipalités doivent faire des choix. Les parcelles manquent et Beauvais n'échappe pas au.......

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    courrier picard
     
         
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    Revoir l'article ici....... Article déjà publié le : 23/05/2010 07:07
     

     


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  •  

     

    CHAMANT (60) Le faon a eu le crâne fracassé

    Samedi 22 Mai 2010

      Un garde-champêtre a surpris des jeunes qui transportaient la bête.
    Le garde-champêtre effectuait une ronde de surveillance mardi dans les environs de la commune. Alors qu'il se dirige en direction du hameau de Balagny, il aperçoit trois enfants, âgés entre 10 et 15 ans, sortant d'un bosquet. Surprise du garde-champêtre lorsqu'il constate que les gamins sont en train de transporter un animal mort !
    Voyant qu'ils ont été repérés, les jeunes partent en courant en direction d'un camp de gens du voyage installé à proximité. Ils abandonnent l'animal au milieu d'un champ.
    La bête est un faon, qui, selon le garde-champêtre, « a visiblement eu le crâne fracassé ».
     Pour le président de la fédération de chasse de l'Oise, Guy Harlé d'Ophove, il s'agit d'un « acte odieux qui n'est même plus du braconnage, mais de la barbarie » : « Les chasseurs sont outrés et révoltés devant de telles agressions qui font suite à de multiples actes de braconnages très souvent impunis ».
    Le président de la fédération a « demandé aux pouvoirs publics et aux politiques de prendre leurs responsabilités pour que de tels actes répétés et insupportables cessent. »

    Pour en savoir plus.......
    courrier picard
    ligne
    Scandaleux!
    Sur tous les plans..
    De la chasse, de la protection des espèces, de l'Amour que l'on porte aux bêtes, de l'humanité, enfin.
    Cet animal n'a pas du mourir sur le coup.
    Les coups portés par ces gamins n'ont pu l'abattre d'un coup!
    Tendance
    Carton rouge       

     

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    Revoir l'article ici....... Article déjà publié le : 23/05/2010 06:06
     

     


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