-
Par White Tendance le 3 Février 2011 à 07:43
Appel d'offre sans concurrence Par White Tendance le 3 Février 2011 à 07:10
PATRIMOINE Un scandale «monumental»
Dimanche 30 Janvier 2011
Les fleurons du patrimoine picard sont concernés, comme ici les grandes écuries de Chantilly (photo DOMINIQUE TOUCHART)
En Picardie, comme en Normandie, les entreprises spécialisées dans la restauration des monuments historiques s'arrangeaient entre elles pour se partager les chantiers.
Cette pratique d'échanges de prix a toujours existé, je n'ai rien inventé, et tout le monde était au courant. » C'est le commentaire du gérant de la société beauvaisienne Charpentier PM, l'une des principales entreprises spécialisées de Picardie, émis devant les enquêteurs.
Entre 1997 et 2002, les entreprises procédaient à des «petits » arrangements pour se distribuer les chantiers. En gros, cela consistait à s'attribuer les chantiers selon les critères géographiques, et cela permettait, en plus, de gonfler la facture.
Les sociétés de maçonnerie et de taille de pierre s'entendaient pour la réponse aux appels d'offres. Après s'être concertées, celle à qui devait revenir le chantier établissait son devis, et les autres en faisaient de même avec des prix plus élevés pour la «couvrir ».
L'Autorité de la concurrence a mis son nez dans ces pratiques. Vu l'ampleur du scandale, l'enquête a été longue et fastidieuse. Mais elle a finalement abouti. Charpentier PM (Beauvais), Pradeau et Morin (Beauvais), Faber SA (Compiègne), Léon Noël (Saint-Maximin)... De grosses entreprises de Picardie sont épinglées.
Des ententes inter-entreprises, y compris avec des sociétés non picardes, ont eu lieu pour de nombreux chantiers de la région, notamment pour des.........La justice est passée..
Mais le montant de ces amendes sera-t-il dissuasif.
Il est permis d'en douter, car cet article ne rapporte pas le produit de ces ententes illicites.
Quelques centaines de milliers d'Euros de pénalités contre des dizaines de millions d'Euros de malversations.
Devinez qui a gagné.....
Une fois de plus!
votre commentaire -
Par White Tendance le 18 Janvier 2011 à 08:28
Faut-il craindre les sols acides ?
dimanche 09 janvier 2011 Toute activité biologique dans le sol, toute décomposition des débris organiques produit une très légère acidification, le plus souvent temporaire. Rien de grave. Mais trop d'acidité nuit aux cultures.
De nombreux jardiniers ont une peur excessive de l'acidité et de tout ce qui est suspecté d'en produire (thuyas, tontes humides...). Il est certain que de nombreux sols de l'Ouest, en particulier en Bretagne, sont naturellement acides. Pour les améliorer et augmenter leur productivité, nos aïeux jardiniers et agriculteurs ont dû apporter beaucoup d'amendements basiques calcaires : scories potassiques de Lorraine, calcaire de Mayenne, tangue, lithothamne... Grâce à cela, l'acidité des sols s'est fortement atténuée.
Acidité = hydrogène
Mais à quoi est due l'acidité et quel est le risque ? Elle est liée à la quantité d'hydrogène, sous forme d'ion H +, fixé sur le sol. Elle est mesurée par le pH, abréviation de « potentiel Hydrogène ».
Plus la terre contient d'ions hydrogène, plus elle est acide. Cet ion H + se fixe facilement sur l'argile et l'humus, liés intimement l'un à l'autre, au détriment des éléments minéraux tels que le calcium, le magnésium, le potassium, qui sont aussi les principaux aliments des plantes. Donc, plus le sol contient d'ions hydrogène H +, moins la terre fixe d'éléments minéraux utiles aux plantes. Moins bien nourries, les plantes poussent moins et sont moins vigoureuses. Pire, un sol trop acide devient toxique pour de nombreuses plantes. Les micro-organismes et les vers de terre y sont moins actifs.
La lutte contre l'acidification des sols est notre préoccupation constante, chez nous, les jardiniers, les maraichers et les agriculteurs.
Si on aime vraiment notre terre
Mais il est bon de rappeler, de temps en temps, les principes fondamentaux de notre action envers nos sols.
Cet article y contribue.
Voir l'article ici
votre commentaire -
Par White Tendance le 18 Janvier 2011 à 07:52
Les algues sont des engrais à ramasser l'hiver
Les algues regorgent de matière organique facilement décomposable et de sels minéraux nutritifs.
Les algues échouées sur les plages font partie des meilleurs engrais pour le potager et toutes les plantes du jardin. Profitez des tempêtes et fortes marées pour récolter ces offrandes de Neptune.
Un trésor de bienfaits
Fucus, laminaire, ascophyllum, porphyre, laitue de mer... Quelles soient brunes, rouges ou vertes, les algues sont un trésor de bienfaits pour amender et fertiliser le jardin.
Elles contiennent environ 70 % de matière organique facilement décomposable et des sels minéraux nutritifs : 2 % d'azote, 2 à 3 % de potasse (6,5 % dans le fucus vésiculeux), mais assez peu de phosphore (0,3 %), 2 % de calcium, 1 % de magnésium (utile pour construire la chlorophylle), entre 1 et 8 % de soufre, 5 % de sodium et de nombreux oligoéléments, c'est-à-dire des éléments présents en quantités infimes mais indispensables aux plantes : fer, iode, zinc, manganèse, nickel, cuivre...
Les algues vertes, tristement célèbres dans les baies, sont les plus riches en calcium (3 %) et en magnésium (6 %).
L'hiver est propice à leur ramassage sur le haut des plages. Elles ont depuis longtemps fait la réputation des maraîchers de l'île de Batz, du littoral atlantique et de la Manche. Pensez d'abord à les étaler dans un point bas du jardin pour que la pluie élimine le sel qui, à la longue, peut nuire à la terre et aux plantes.
Pour les légumes
Les algues les plus fines, rouges ou vertes, peuvent être étalées à la surface du sol en hiver puis mélangées à la terre de surface au moment du bêchage léger. Elles se décomposent vite en libérant les éléments nutritifs et les hormones de croissance qu'elles recèlent. Un bon plan avant la plantation des pommes de terre, des tomates, des betteraves, c'est-à-dire des légumes racines et des légumes fruits exigeants en potasse.
Pour en savoir plus.......
Bien évidemment la plupart d'entre nous, ne résidons pas au bord de la mer.
Mais tout cela est bon à savoir pour notre culture générale et personnelle.
Le dernier paragraphe de l'article peut aussi nous concerner.
Voir l'article ici Dimanche 16 janvier 2011
1 commentaire -
Par White Tendance le 17 Janvier 2011 à 08:34
OISE Les enseignants au tableau de la rigueur Vendredi 21 Mai 2010
Dans l'Oise, le budget consacré à la formation des enseignants est passé de 634 301 € en 2008 à 477 371 € en 2010. Des coupes sévères que dénonce le Snuipp-Fsu.
Par manque d'argent, l'Inspection académique du département a supprimé des centaines d'heures de formation auxquelles avaient droit les enseignants pour se perfectionner. Certains stages étaient pourtant obligatoires.
Gros coup de rabot sur les crédits.
Dans l'Éducation nationale, les économies budgétaires dépassent désormais le cadre des non-remplacements de postes.
L'Inspection académique de l'Oise vient d'effacer d'un coup d'éponge toutes les formations continues et tous les stages de perfectionnement programmés jusqu'à la fin de l'année scolaire.
Problème, elle n'est plus en mesure de payer les frais de déplacement de ses enseignants censés aller améliorer leurs compétences aux quatre coins de l'académie.
Plusieurs centaines de professeurs des écoles seraient concernées, parmi lesquels de nombreux « première année » à qui il manquera 50 heures de formation initiale pourtant obligatoires.
« Surtout pas de nouveau projet ! »
Le tour de vis est également sévère pour les enseignants spécialisés - ceux qui pourtant exercent auprès des enfants les plus en difficulté - dont les formations ont été divisées par deux.
« Alors qu'ils avaient déjà obtenu leurs autorisations », relève Gervaise Knoff, secrétaire départementale du Snuipp-Fsu.
Budget de crise....
L'état réduit ses dépenses....
La difficulté est de hiérarchiser l'ordre des priorités budgétaires.
Et là! C'est pas gagné!
Voir l'article ici Article déjà publié le 22/05/2010 05:27
votre commentaire -
Par White Tendance le 15 Janvier 2011 à 11:24
PICARDIE Douche froide pour le solaire
21 Mai 2010
Le marché est en plein « boom » : + 300% depuis 2007. Les professionnels des panneaux photovoltaïques (panneaux solaires) voyaient là la poule aux œufs d'or.
Mais le conseil régional, qui soutenait financièrement l'installation de ces panneaux, onéreux mais rentables, a décidé de lever le pied.
Les aides régionales accordées pour l'installation de panneaux solaires ont été supprimées. Finis donc les 3 000 € qui tombaient du ciel pour la pose de 25m² de panneaux solaires. Les professionnels font la grimace. Les particuliers doivent désormais être vigilants.
Depuis 2007, tout particulier qui installait des panneaux photovoltaïques sur sa toiture pouvait prétendre à une aide régionale. Un coup de pouce dont a bénéficié la famille Debienne, à Villers-Vicomte, à mi-chemin entre Beauvais et Amiens. « Ce fut vraiment le déclencheur, explique le mari. Cela nous a fait gagner deux ans de crédit ».
« On ne comprend pas »
Mais cette aide subordonnée à la surface installée a été supprimée le 12 avril. « On ne comprend pas, regrette Aurélia Carions, d'AS construction, installateur certifié. On a investi, nous nous sommes formés, on a senti un engouement pour cette technologie, on était prêts à embaucher pour former une équipe rien que pour la pose de panneaux.
Mais là, il (ndlr : conseil régional) nous coupe l'herbe sous le pied. »
Sans cette « bouée d'oxygène » qui pouvait s'élever à 3 000 € pour les particuliers, les professionnels en sont convaincus : le marché va s'essouffler. Ils craignent que les devis, désormais sans aides régionales, ne fassent fuir les clients. « On va ralentir le processus », peste Michel Bouadama de France Photovoltaïque, distributeur spécialisé.
Distributeurs et installateurs montrent également les toitures de maisons anciennes qui ont été réhabilitées, pour poser des panneaux, parce que les propriétaires y voyaient un réel investissement rentable. Car l'énergie produite par les panneaux est obligatoirement rachetée par EDF. En quelques années, l'investissement est rentabilisé et rapporte même de l'argent. Sans compter la plus-value éventuelle en cas de revente du bien immobilier.
« Ils ont amorcé la pompe, et maintenant ils stoppent », regrette Stéphane Marseille de France Photovoltaïque. Un effet levier assumé par le conseil régional qui étudie désormais la possibilité de subventionner d'autres énergies renouvelables.THOMAS DELOBELLE
Date de première mise en ligne : 22/05/2010 05:05
C'est la Crise Madame! C'est la Crise!!!!!!!!
Il va bien falloir s'en accommoder un jour ou l'autre......
votre commentaire -
Par White Tendance le 15 Janvier 2011 à 09:45
Le cidre dans l'Oise
Article du 25 septembre 2009
Au XIXème siècle, avant l'arrivée du chemin de fer, le département de l'Oise était essentiellement agricole. Le cidre était une boisson courante, fabriquée dans bon nombre de fermes. Il suppléait ainsi à l'insuffisance du vin, produit par des vignes de médiocre qualité.
Au XVIème siècle, la culture du pommier était venue de la Normandie toute proche, ce qui explique que l'on trouvait la plus grande quantité de pommiers à l'ouest du département et en particulier dans le pays de Bray. La multiplication des pommiers semble avoir suivi la destruction des vignes. Les pommiers étaient plantés au bord des routes ou en quinconce à travers champs. En 1830, les meilleurs cidres étaient ceux du canton de Songeons, Formerie et Granvilliers. La race de pommiers les plus répandues sont désignées sous les noms de d'Hardivilliers, pomme du déluge, brutin, fenouillet, cave, barbari, frayé, glane, crapaud, glaine d'oignon...L'orgueil et la ruelle étaient les variétés les meilleures.
On mêlait parfois les poires dans la fabrication du cidre. Bien qu'inégale en fonction de années, la production de l'Oise suffit à la consommation intérieure. Il était courant à Chambly que des pommes soient achetées à Auneuil ou Valdempierre, Jouy-sous-Thelle ou Villotran à cause de leur abondance. Les pommes d'Ully-saint-Georges alimentent Creil ou Senlis.
http://www.ville-chambly.fr/Decouvrir-Chambly/Festivites/La-Fete-du-cidre-e…
Date de première mise en ligne : 21/05/2010 19:21
votre commentaire -
Par White Tendance le 15 Janvier 2011 à 08:18
Réhabilitation de la salle des fêtes
Réunion du 26 juin 2009
661132€ HT = 4 336 741,63 F Date de première mise en ligne : 21/05/2010 19:14
Pour en savoir plus.......
votre commentaire -
Par White Tendance le 10 Janvier 2011 à 10:05
Création d'un poste de rédacteur
Félicitation à Laurence,
la secrétaire de Mairie, pour cette promotion
Forum jouy sous Thelle
Déjà publié sur le Blog :
21/05/2010 07:50
Article du 4 avril 2010
2 commentaires -
-
Par White Tendance le 10 Novembre 2010 à 15:52
 chacun sa Merde! Publié sur le forum le 10 novembre 2010 Message de P'tibonomenor
L'ECHOJOVACIEN se fait l'écho, à juste titre, de la préoccupation des Jovaciens quant à l'utilisation des fonds de leur commune .
Les agents communaux ont, semble-t-il été employés à d'autres taches, ces derniers temps.
D'où le recours à des machines et des entreprises fort couteuses.
Mais il faut reconnaitre que l'espace communal s'agrandit.
La commune ne vient-elle pas de recouvrer le domaine d'un lotissement qu'une entreprise a souhaité lui rétrocéder.
Donc du boulot en plus!.
Et comme certains riverains n'entretiennent pas leur devanture, la tache des communaux en est d'autant plus alourdie.
Ces riverains refusent toute participation à ces menus travaux, parce qu'ils payent des impôts, disent-ils.
L'immense majorité de ceux qui balaient devant leur porte, aussi!
Et les impôts augmenteront toujours, si certains refusent de mettre la main à la pâte, dans leur domaine de compétence.
Le travail des communaux s'en trouverait valorisé; ayant moins de taches ingrates et pénibles à entreprendre.
A chacun sa Merde, finalement!
© Scott Maxwell - FOTOLIAP'tibonomenor
votre commentaire -
Par White Tendance le 17 Octobre 2010 à 13:57
Un service offert par La Poste sur Google Map
Nostalgie......
Les différentes boites aux lettres relevées chaque jour par votre facteur
Voir aussi l'article de Félix
http://www.jouy-sous-thelle.org/spip.php?article81
votre commentaire -
Par White Tendance le 14 Octobre 2010 à 08:12
La bande des quatre Et quatre saisons
Mardi 1er juin 2010, par Félix // Budget communal
En 1976, la "Bande des quatre" est un épisode crucial de l’histoire de la Chine de l’après Mao ;
En 1988, c’est aussi un film de Jacques Rivette sur quatre jeunes femmes ;
En 2010, ce sont les quatre taxes avec lesquelles se calculent les différents impôts communaux : Habitation ; Foncières bâties et non bâties ; professionnelle (supprimée et remplacée par ?).
Et...foin de culture ! Dommage...Nous allons nous borner, dans cet article, aux 2 taxes : Habitation et Foncière bâtie.
Les taxes communales
Souvent, pour faire passer "la pilule" de l’augmentation des taxes, les maires justifient cette augmentation par celle de l’indice des prix (inflation). Cet argument, bien sûr, ne tient pas. Nous verrons pourquoi. D’ailleurs, selon cet argument, on pourrait aussi, augmenter tous les ans le taux de la TVA en fonction de l’inflation !?
Les taxes d’habitation et foncière bâtie
La taxe d’habitation concerne les occupants et les taxes foncières (bâties et non bâties), concernent les propriétaires.
Sur l’avis d’imposition figure la notion de :
Valeur locative brute
La valeur locative (dite cadastrale) correspond au loyer théorique annuel que l’on pourrait tirer d’un bien en le louant.
En effet, chaque parcelle et chaque local est évalué pour obtenir la valeur locative brute (ou cadastrale). Elle est calculée par l’administration sur la base des déclarations faîtes par les propriétaires.
Calcul valeur locative : http://droit-finances.commentcamarc...
Depuis 1980, les valeurs locatives brutes sont revalorisées forfaitairement, chaque année, par le parlement, en fonction d’indices macroéconomiques, tels que :
Taux de croissance ;
Taux d’inflation ;
et ce, après prise en compte des éventuels changements ayant affectés les locaux au 1er janvier.
Pour les constructions nouvelles, les évaluations sont réalisées à partir des déclarations faîtes par les propriétaires.
Calcul de la Taxe d’habitation
Elle est calculée sur la base de la valeur locative brute .
La valeur locative moyenne correspond, elle, à la valeur locative moyenne de l’ensemble des logements de la commune. C’est sur la base de cette valeur locative moyenne, que différents abattements s’appliquent. Seul l’abattement pour charges de famille est obligatoire. Les autres abattements (se reporter à votre avis d’imposition) sont facultatifs.
Valeur locative brute - les différents abattements [1] = la valeur locative nette.
Nota : Appliquer l’abattement (optionnel) en faveur des personnes disposant de faibles revenus, serait de nature à un peu plus de justice sociale, car chaque augmentation du taux des taxes touche tout le monde quelque soit ses revenus.
La taxe d’habitation se calcule donc, en multipliant la valeur locative nette [2] , par le taux fixé par la collectivité. Ce qui donnerait, de 2008 à 2010, pour Jouy sous Thelle, sur une base d’une valeur locative nette de 2000 € en 2008
2008Collectivité Valeur locative nette Taux d’imposition Montant de la taxe Commune 2000 € 7,67% 153,40 € syndicat de Communes 2000 € 0,863% 17,26 € Intercommunalité 2000 € 3,08% 61,60 € Département 2000 € 8,28% 165,60 €
Montant de la taxe d’habitation : 397,86 € + 4,4% de frais de gestion =
415, 37 € Pour 2009
En ne tenant compte que de la revalorisation de la valeur locative brute de la loi de finance 2009, soit + 2,5%
Montant de la taxe d’habitation : 415,37 + (415,37 x2,5%) = 425,75 €
La facture grimpe ! Et, comme toutes les collectivités augmentent aussi leurs taux (sauf le syndicat de communes qui baisse, passant de 0,863% à 0,835% !) :
La facture grimpe encore !
En 2010, le taux communal augmente de 2% (7,94%) ; celui de la Communauté de commune de 1% ; taux inchangé pour le département ; mais pour le syndicat de communes : mystère et...
Calcul de la Taxe Foncière bâtie
Si le principe est le même, le calcul ne s’effectue que sur 50% de la valeur locative, soit dans notre cas, toujours en 2008 : 2000 €/2 = 1000 €.
Pour 2010, on aura, comme nouvelle base de calcul de l’impôt : 2050 €/2 = 1025 € au lieu des 1000 €, en 2009.
Pour la taxe foncière bâtie, il y a deux collectivités en plus, qui............
Pour en savoir plus.......
Un article de Félix sur http://www.jouy-sous-thelle.org/spip.php?article57
2 commentaires -
-
Par White Tendance le 23 Septembre 2010 à 06:59
Un logiciel sympa d'animation d'images
Et il a d'autres possibilités!
Pour en savoir plus.......
Article déjà publié le 26 mai 2010
1 commentaire -
Par White Tendance le 10 Septembre 2010 à 07:51
Des bouteilles recyclées en abribus
Publié le Vendredi 26 Mars 2010
Abribus nuit
A Lexington, dans le Kentucky, un abribus a été construit dans un matériau pour le moins original : des bouteilles en verre usagées.
Avec son look un peu barré imaginé par l'architecte et designer Aaron Scales, cet abri n'en reste pas moins écologique.
Toutes les bouteilles utilisées ont été ..........
Pour en savoir plus.......
votre commentaire -
Par White Tendance le 30 Août 2010 à 11:28La campagne s’installe sur les Champs-Élysées
24/05/2010
Les Parisiens ont découvert hier un spectacle bucolique sur les Champs-Élysées transformés sur un kilomètre en ferme géante par de jeunes agriculteurs. Philippe Wojazer/Reuters
Environnement L'installation des 8 000 parcelles de terre a fait l'objet d'une organisation digne d'un ...........
votre commentaire -
Par White Tendance le 15 Août 2010 à 08:30
Cédric Devisscher est maréchal-ferrant depuis 15 ans. Portrait de cet habitant de La Rue Saint-Pierre.
Depuis dix ans, Cédric Devisscher a ouvert sa propre activité de maréchalerie. Une passion plus qu'un métier, découverte après avoir observé un maréchal-ferrant travailler sur le cheval de sa soeur.
Pour en savoir plus.......
2 commentaires -
Par White Tendance le 22 Juillet 2010 à 07:28
SACY-LE-GRAND Les fraises toujours autant plébiscitées
Dimanche 11 Juillet 2010
Pour que la qualité des fraises perdure, la famille Cugnière entend poursuivre ses efforts pour les années à venir.
À la ferme « Aux Jardins de Sacy » la saison touche à sa fin pour la fraiseraie. les dernières cueillettes pourront se faire lundi et mardi. Le bilan de la saison est positif pour la famille Cugnière qui, depuis 25 ans, propose des fraises à la libre cueillette.
Cela s’annonçait comme une année exceptionnelle, finalement elle n’aura été ni meilleure, ni plus mauvaise que les précédentes: « Les mois d’avril et de mai ont été des mois ensoleillés, mais, malheureusement, à partir du début du mois de juin, il s’est mis à beaucoup pleuvoir. Si le beau temps avait perduré, il en aurait .......
votre commentaire -
Par White Tendance le 20 Juillet 2010 à 07:02
Lundi 19 Juillet 2010
Malgré le succès de certaines soirées, comme ici celle pour les 10 ans de l'Elispace, la salle enregistre une forte baisse de fréquentation. (photo d'archives)
Depuis sa création à Beauvais en 1999, l'Élispace se veut une salle de spectacle mixte. À la fois palais des sports et des spectacles, la structure vit grâce à une subvention qui a fortement augmenté, notamment à cause d'une baisse de fréquentation.
La salle de spectacle de Beauvais a dû bénéficier d'une subvention d'équilibre de 314 000 euros pour l'année 2009. Ce budget est utilisé pour combler le « déficit » de la salle qui accueille aussi bien des manifestations privées que publiques.
Ces dernières années, à cause de la ...........
votre commentaire -
Par White Tendance le 20 Juillet 2010 à 06:44
Dimanche 18 Juillet 2010
Stanislas et Dorothée ont encore un peu de chemin à parcourir avant de pouvoir vivre uniquement du maraîchage.
Stanislas et Dorothée, 27 et 28 ans, sont ingénieurs. Ils ont repris la ferme de leurs aïeux et sont devenus maraîchers. Ils ont fait le choix de vivre de cette terre, abandonnée par la génération précédente.
«J'ai été conseiller financier. Mais ça s'est mal terminé, raconte Stanislas Caudron, 27 ans, ingénieur agricole. Je me suis toujours posé la question : que veux-tu vraiment faire ? Et j'ai toujours voulu travailler la terre, la travailler physiquement. »
Le bonheur de la vie a voulu que Stanislas, originaire de la région parisienne, rencontre, au cours de ses études, Dorothée Genteur. La jeune femme, elle-même ingénieur agricole, est fille et petite-fille d'agriculteur de la ferme des Bonnevals de Craonne.
« Nous avons fait un choix de vie, celui de vivre de la terre, explique Stanislas. J'ai décidé d'être maraîcher. Je suis allé me former dans .............
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique