• Article remixé - Déjà publié le 9 janvier 2008
    La France manque de vaches

      La France manque de vaches

    Posté le: 09 Jan 2008 à 18:0

     

    La France manque de vaches pour augmenter sa production de lait
    Au 1er janvier 2008, les prix du lait ont augmenté de 37 % par rapport au 1er janvier 2007
    Le monde réclame du lait et les prix se sont envolés en 2007. Pour calmer les tensions, la solution paraît simple : augmenter la production. Seulement voilà, après des années de maîtrise de l'offre, voire d'incitation à la baisse, les producteurs ne peuvent pas toujours augmenter les volumes du jour au lendemain. C'est le cas en France.
    "Il y a quatre mois, j'ai commandé à mon marchand de bestiaux des génisses ou des vaches, il n'a rien trouvé", relate Jean-Louis Belloche, éleveur laitier dans l'Orne. Il souhaitait profiter de la possibilité ouverte en septembre 2007 par le ministère de l'agriculture d'augmenter son quota de 10 % pour la campagne qui court jusqu'en avril. Mi-décembre, les volumes ne se redressant pas, le ministère a autorisé une hausse de 15 %. Mais sans vache en plus, M. Belloche ne peut rien faire.
    Chaque trimestre, en 2007, le prix du litre de lait payé au producteur par rapport à la même période de 2006 a augmenté : de 0,8 % au premier trimestre, 1,2 % au deuxième, 6,5 % au troisième et enfin 20 % au quatrième (7,7 % sur un an). Pour le premier trimestre 2008, producteurs et industriels recommandent une hausse de 37 % au 1er janvier.
    M. Belloche et ses associés, qui produisent 40 000 à 50 000 litres par mois, vont toucher 47 euros de plus qu'en décembre 2007 pour 1 000 litres... et 103 de plus qu'en janvier de la même année. Selon l'Office de l'élevage, le litre devrait en moyenne être payé 34,4 centimes en 2008, contre 28,8 en 2007 et 26,7 en 2006.
    " On n'a jamais connu de telles hausses", lance Thierry Roquefeuil, producteur dans le Lot. "Début 2007, certains se demandaient s'ils trouveraient preneur pour leur lait. Tout a changé en huit mois. Même les meilleurs experts se sont plantés", résume Régis Chevalier, éleveur dans l'Orne et vice-président de la Fédération nationale des producteurs de lait.

    LA VIANDE PRIVILÉGIÉE
    La flambée des prix s'explique d'abord par la hausse de la consommation européenne de fromages et de la demande de lait par les pays d'Asie et du Moyen-Orient. Elle s'explique aussi par une offre en baisse alors que l'Europe n'a plus de stocks. A 126 milliards de litres, la collecte européenne est au plus bas depuis quinze ans : il a manqué 2 milliards de litres lors de la campagne 2006-2007, et le déficit devrait s'élever à 3 milliards pour la suivante. Les producteurs ont été nombreux (5 000 par an en moyenne) à quitter une profession qui était encore il y a quelques mois en manque de perspectives. Entre 2003 et 2006, les prix français ont baissé de 10 %. Certains se sont donc reconvertis dans les céréales, une activité porteuse et moins pénible car elle n'oblige pas une présence pour la traite deux fois par jour, 365 jours par an.
    D'autres ont privilégié la production de viande. Quand un veau femelle naissait, ils le destinaient donc à la boucherie. Ou alors ils le laissaient grandir pour le croiser ensuite avec des taureaux limousins ou charolais pour faire de la viande, plutôt qu'avec des primholsteins ou des normands pour faire du lait. Et personne ne s'alertait, avant mi-2007, que la France, deuxième producteur européen avec 23 milliards de litres derrière l'Allemagne, ne remplisse plus son quota.

    "En septembre, nous avons craint que la campagne 2007-2008 se termine en avril sur un déficit de 900 millions de litres. Les volumes augmentant ces dernières semaines, il devrait s'élever à 600 millions, comme l'année précédente", explique le ministère de l'agriculture. Et ce malgré les hausses de quotas individuels. Selon les professionnels, il manque de 2 % à 3 % de vaches, soit entre 75 000 et 115 000, et il faudra au moins dix-huit mois pour reconstituer le cheptel, le temps que les veaux femelles naissent et grandissent.
    A Bruxelles, la Commission propose désormais d'augmenter en avril de 2 % les quotas européens, instaurés en 1986 pour résorber la surproduction. Si son projet voit le jour, il manquera 800 000 vaches en Europe. Aujourd'hui, on en trouve peu à vendre et elles valent cher : de 1 800 à 2 000 euros la génisse par exemple en Normandie. "En janvier 2007, j'en ai vendu cinq deux fois moins cher que ce qu'elles valent aujourd'hui", se souvient M. Roquefeuil.
    En attendant, pour augmenter un peu leur production, les éleveurs donnent plus de céréales et de protéines à leur troupeau, ou conservent les vieilles vaches qu'ils auraient d'ordinaire envoyées à l'abattoir après quatre phases de lactation. Mais ils restent prudents. Chacun craint un retournement du marché si tous se mettent à produire plus.
    Les industriels estiment que la nouvelle hausse devrait se traduire par une augmentation des prix des produits laitiers de 5 % à 10 % pour les consommateurs. Les entreprises doivent accepter les hausses pour garantir leurs approvisionnements, d'autant que certain producteurs préfèrent livrer leur lait aux Espagnols, qui payent plus cher. Ailleurs en Europe, les producteurs reçoivent 40 centimes le litre, voire 45, contre moins de 30 centimes en France en 2007.
    L'an dernier, selon le ministère de l'agriculture, le revenu des producteurs laitiers, entre la hausse des céréales et de l'énergie, aurait encore baissé de 4 %. Il pourrait enfin remonter en 2008.
    Sans commentaire....
    Laetitia Clavreul Le Monde.fr 8 janv 2008 Texte Intégral

     




    Le prix du lait, de mal en pis
    30/07/09 à 16h35
    La publication de données relatives à l’évolution des prix et des marges dans le secteur du lait élaborées par le groupe de travail mis en place le 1er juillet 2009 clarifie mais ne résout pas la crise que traverse la filière lait.
    Ces données rendues publiques par le comité de pilotage de l’Observatoire des prix et des marges sont complétées par les résultats de l’enquête conduite par la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) auprès de l’industrie laitière et des centrales d’achat sur le lait UHT, le yaourt nature et le beurre, pour les marques nationales ou de distributeur (MDD). Les données rassemblées par FranceAgrimer précisent les prix aux différents stades de la production agricole, de la transformation industrielle et de la distribution pour plusieurs produits de consommation courante (lait UHT demi-écrémé standard, yaourt nature, beurre, fromage emmental), ainsi que pour des produits dits « industriels » (beurre industriel, lait en poudre et lactoserum).
    Lever le voile
    Bruno Le Maire, ministre de l’Alimentation, et Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé du Commerce et de l’Artisanat s’étaient engagés sous la pression des acteurs de la filière laitière à publier l’ensemble des données concourant à la formation du prix des produits laitiers sur le site de la DGCCRF www.dgccrf.bercy.gouv.fr/concurrence/prix/observatoire_prix.htm). Si la démarche louable répond à une attente forte des professionnels comme des consommateurs, il apparaît que les marges brutes unitaires de ces produits sont établies aux stades de la transformation industrielle et de la distribution. Selon Eric Besson, secrétaire d’Etat chargé de la prospective et de l’évaluation des politiques publiques, auteur d’un rapport en décembre 2008 : « Les prix de détail apparaissent pratiquement indépendants des prix agricoles. L’introduction des marques de distributeurs, le hard discount, les premiers prix exercent une pression à la baisse sur les marges des industriels, inégalement répercutée sur les prix payés par les consommateurs. Les marges de la distribution sont parfois importantes. » La longueur de la chaîne d’intermédiaire, mais aussi l’identité des intermédiaires (grossiste ou centrale d’achat pour la grande distribution) peut influencer significativement le niveau des prix finaux. On peut ainsi trouver des écarts de prix atteignant 10 à 15 % du prix final, 20 à 30 % du prix payé par le producteur. En France, ce sont les coopératives qui supportent les hausses de prix des éleveurs et la pression sur les marges exercées par les distributeurs.
    Des distributeurs acculés
    Pour les distributeurs, le son de cloche diffère quelque peu. Au-delà des difficultés à répercuter l’augmentation du prix du lait, c’est l’extrême volatilité des cours du lait en poudre et de ses dérivés qui affecte certains fabricants. Les fromagers, les producteurs de beurre et de produits laitiers en sont très dépendants. Et les prix ne sont guère faciles à prévoir, dixit les intéressés. En janvier 2008, le prix du lait a touché, en France, un plus haut historique à 398 euros les 1.000 litres. Sur l’équivalent d’une année, la hausse a atteint 38 %, près de deux fois plus que le précédent record d’inflation (22,5 %) qui remontait au mois de novembre 1959. Le Groupe Bel, père de La Vache qui rit, a vu l’an passé son résultat net part du groupe pratiquement divisé par deux (– 48,4%), à 49,2 millions d’euros.
    Le deuxième groupe fromager français, Bongrain, a lui aussi été affecté par la hausse de 17 % du prix du lait en France (reparti à la baisse depuis). Du coup, le bénéfice opérationnel courant du producteur du Caprice des dieux s’est effondré de 43,3 %, à 86,5 millions d’euros. Cependant, le lait n’entre qu’à hauteur de 40 % environ dans le prix des produits laitiers. Et selon les enquêtes menées sur la période 2002-2007, il apparaît que la baisse du prix du lait n’a jamais été répercutée sur le consommateur, mais à l’inverse la hausse de 2007 l’a été intégralement.

    Arrow http://www.francesoir.fr/argent/le-prix-du-lait-de-mal-en-pis







    Mardi 29 septembre 2009 2 29 /09 /2009 06:30
    Crise du lait : C’est le capitalisme qui déborde !



    Depuis le lancement de la « grève du lait » le 10 septembre pour protester contre la chute des prix et la dérégulation du marché souhaitée par Bruxelles, les producteurs ont multiplié les actions en France et en Europe.

    Après la rencontre de Bruno Le Maire avec les banques, les producteurs de lait en France ne se voient proposer que des prêts à remboursement différé de 250 millions d’euros alors qu’ils sont déjà surendettés.
    Ces annonces vont se traduire en asphyxie dans les campagnes, pour les producteurs, condamnés à alourdir les charges sans augmenter leurs revenus.

    La commission de José Manuel Barroso refuse toujours la discussion sur l’augmentation des prix du marché alors que les éleveurs laitiers, revendiquent un prix de 0,40 € le litre minimum, simplement pour vivre. Pour le paysan livrant son lait au prix mondial, comme pour le milliard d’êtres humains affamés, c’est le capitalisme qui déborde !

    L’agriculture doit être extirpée de la logique de prix mondiaux conduite par l’OMC. L’Europe doit se doter d’outils de gestion des volumes, et de répartitions par exploitation après 2015.

    Le PCF demande à ce que la France et l’Europe prennent leurs responsabilités face à cette « crise laitière » :

    - Instauration d’un prix minimum indicatif européen 0,40 € le litre de lait
    - Partager les bénéfices entre producteurs, industriels et distribution sans alourdir le ticket de caisse du consommateur
    - Encadrer des marges de la grande distribution, par l’outil coefficient multiplicateur, fixé par décret.

    Par ailleurs, l’attribution des références laitières doit encourager les jeunes agriculteurs les plus modestes.
    L’avenir de la filière laitière dépend de l’orientation en faveur de produits de qualité, de valorisation du savoir faire des territoires, et de création de valeurs ajoutées.

    Marie-George BUFFET, Secrétaire Nationale du PCF, Pierre LAURENT, Coordinateur national du PCF et Xavier COMPAIN, Responsable de l’agriculture au PCF se rendront, mardi 29 septembre 2009, en Ille-et-Vilaine à la rencontre de producteurs lors d’une visite d’exploitation et détaillera ses propositions.






    Prix du lait : producteurs et industriels d’accord
    France Info - 30 mars 2010



    Producteurs et industriels ont trouvé un accord sur la hausse des prix du lait au deuxième trimestre. Une annonce qui intervient après une réunion au ministère de l’Agriculture, entre le ministre et la profession.
    La filière était jusqu’à maintenant dans l’impasse pour fixer les prix du lait à appliquer dès le 1er avril.

    "Il y a eu un accord de l’interprofession" (entreprises, coopératives et syndicat), a déclaré Bruno Le Maire.“C’est une bonne nouvelle. C’est un signe positif”, s’est félicité le ministre, qui avait demandé un peu plus tôt à la filière de parvenir à un accord dans la journée.

    Selon Henri Brichart, président de la Fédération nationale des producteurs laitiers, branche du syndicat FNSEA, “la hausse devrait atteindre une moyenne de 9 à 10% pour le deuxième trimestre par rapport au deuxième trimestre 2009”.
    Un compromis qui devrait calmer les producteurs qui sont en ébullition depuis plusieurs mois. Des manifestations ont d’ailleurs eu lieu en France dans plusieurs régions aujourd’hui.

    Industriels et producteurs de lait avaient signé le 3 juin un accord prévoyant une hausse de 5,5 à 5,8% du prix de base du lait au deuxième trimestre 2010 par rapport à la même période un an plus tôt. Mais les industriels ont dénoncé dernièrement ce compromis et réclamé un alignement des prix du lait en France sur ceux pratiqués en Allemagne, estimés 15% moins chers.







    Que de rebondissement!
    Décidément, l'Agriculture ne se décrète pas.
    L'URSS en fit largement les frais en son temps.
    Quand, un peu de bon sens reviendra-t-il dans l'agriculture?
    Elle en a bien besoin!
    WS

     

     

     

       
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  • Jardinière en réservoir d'eau
     Jardinière en réservoir d'eau



    Autrefois ce type de réservoir trônait au dessus de nos têtes dans les toilettes.Depuis il est descendu de son piédestal.
    Celui-ci a échangé son emploi contre une activité plus tranquille.
    Il y a même un trou d'évacuation à la base


    WS
            
     
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  • Recyclage des escargots
     Recyclage des escargots

    A près être passés à la casserole ces coguilles de gros bourgognes peuvent servir de décoration .


    Ce revêtement sert aussi de paillage.
    Très utile, en été, pour une plantation en poterie ou en jardinière.

    WS
            
     
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  • Couple de vieilles poteries
     Couple de vieilles poteries

    Anciennes poteries qui ont déjà fait de l'usage depuis plus de 15 ans


    On peut disposer cet ensemble sur des  pavés ou une terrasse.C'est le poids important de la grosse potée du bas, qui assure l'équilibre de l'ensemble.


    Pour le montage toujours le même principe que pour les autres ensembles déjà présentés
    Un tube carré de 10mm et de 1m 30 de longueur.
    Le tube carré est coincé dans le fond de la grosse poterie inférieure, avec des pavés autobloquants.
    Ce type de plantation ne réclame pas plus de 20cm de bonne terre. Les 30cm restants sont remplis par les pavés autobloquants, très lourds.
    La poterie supérieure est traversée par le tube carré
    Un fer à béton de 6mm formé en "S" et qui travers le tube carré, assure le maintien de la poterie supérieure.



    WS
            
     
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  • Tour avec des potées fleuries
     Tour avec des potées fleuries 
    Assemblage  de 3 potées en terre cuite
    Plantée avec des lobélias


    Le montage diffère un peu.
    Un fer à béton qui sert d'axe de maintien, enfoncée de 20 cm dans le sol.
    Ce sont 2 petits pot de terre cuite, assemblés tête-bêche  qui servent d'entretoises entre les différents étages de la tour.



    Ce type de tour est plus efficace avec des potées en terre cuite qu'avec des pots de fleur.
    On dispose au moins 3 plants par étage


    WS
            
     
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  • Une meule à eau qui repasse à sec
     Une meule à eau qui repasse à sec

    Elle fut déposée sur le bord de la route en un temps où les déchetteries n'existaient pas ; où les écolos ne discouraient pas.
    La faillite de son réservoir provoqua , non pas sa mise à la retraite, mais son extermination .

    La carcasse du réservoir, très solide, ayant du éclater au gel.


         Depuis, cette meule, récupérée par nos soins, termine tranquillement une carrière largement repassée et affutée, parmi les arbustes de notre jardin ; parmi les fleurs de nos plate(s)-bande(s) *
    * je ne sais toujours pas, où placer le (s) du pluriel
    Mais je sais très bien que vous le mettrez à  ma place, là où il faut - Merci!  Very Happy




    Un jambage sommairement restauré accueille une jardinière de pétunia.
    La meule pourra , le temps d'un élagage reprendre un peu de service , comme au bon vieux temps, pour repasser le fil du tranchant de nos ciseaux anglais ou de nos sécateurs. Le tout à sec bien évidemment..



    WS
            
     
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  • Une déco à boire
     Une déco à boire
    A consommer sans modération 

    tordant


    Une vivace qui sera encore fleurie cet hiver




    Une tige en aluminium
    Des contenants en verre coloré qui se balancent au gré des vents.
    C'est mieux que de finir dans le conteneur de recyclage.
    Des matériaux toujours  recyclables.



    WS
            
     
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  • Numéro d'équilibriste
     Numéro d'équilibriste
     

    Numéro de cirque ?
    Défi à la pesanteur ?
    Non! Un simple empilement de poteries de récup.

         

     


    On distingue très bien le trucage
    Un simple tube carré de 1cm de coté



    Construction de cette petite tour :
    Un tube carré en acier de 10mm de coté au moins.
    1m40 de hauteur au moins
    Enfoncer le tube à 20cm de profondeur
    Agrandir le trou au fond de chaque pot..
    Empiler les pots en les basculant alternativement
    Remplir de terre tout en y installant le plant de la variété choisie
    Bien arroser l'ensemble pour que poteries, terre et plantation occupent bien leur place..

    La flèche orange trahit la présence du tube.
    A l'emplacement des flèches vertes : Ménager une cuvette près du tube, pour éviter un débordement de l'eau
     et de la terre sur la poterie inférieure.
    Qui aurait pour effet de tacher les fleurs.
    Le trop-plein d'eau s'écoulera le long du tube

     
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  • Poterie du diable
     Poterie du  diable

    Pour faire mijoter de délicieuses pomme de terre

    Trouvaille en brocante d'une double poterie toute neuve.
    Plantées de joubarbes installées sur un lit de tourbe enrichie, cette potée va pouvoir affronter les rigueurs de l'été  Very Happy
    Visiblement la joubarbe survit très bien à son inconfortable situation.


     Le petit grillage vert retient très bien le substrat à base tourbe


    Pour percer le manche de la poterie, prendre quelques précautions


    La terre cuite se laisse facilement percer avec un foret béton, mais peut se fendre si on force le perçage.





    Diable




    Poterie diable




    WS
            
     
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  • Potées empilées
     Potées empilées
    Ou un sandwich de potées


    Des potées en plastique, le plus souvent récupérées dans les cimetières ou les déchetteries.
    Même en plastique ces poteries durent encore très longtemps.
    Avantage :
    • Gain de place (très pratique pour les petits jardins)
    • Mise en valeur considérable des 3 potées.
    On peut les remarquer de beaucoup plus loin, que lorsque qu'elles sont disposées sur le sol.
    Les pétunias ou les œillets d'inde ne font que 20cm de haut.
    • Facilité d'arrosage. L'excédent des potées supérieures s'écoule dans la potée inférieure sans tacher les fleurs.
    • Originalité de la composition.. On ne voit pas cela tous les jours. du moins pas encore
    • Cout : quelques centimes.. Les contenants sont de la récup.


    Construction très facile.
    Un fer à béton de 6mm ou assimilé; à la longueur désirée pour l'ensemble choisi.
    2 entretoises pour espacer les potées du haut ( 2 bouts de tubes de diamètre 20mm, d'égale longueur )
    Un petit pot en terre cuite pour coiffer l'axe central du dispositif, afin de ne pas blesser le jardinier.  
     

               Enfoncer l'axe central d'au moins 20 cm dans la terre. Un vent violent pourrait faire basculer l'ensemble. 


               
    Ce montage ne convient pas, à l'évidence, pour une surface bétonnée ou dallée . 




      Au moment de l'arrosage les potées supérieures peuvent prendre un peu de gite.

    On rattrape cela très facilement en retassant la terre près de l'axe central.
    Yapuka


    WS
            
     
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  • Poterie Décapitée

     Poterie Décapitée




    Il était une fois.....Une poterie trouvée en promo chez Leclerc (flêche orange) qui perdit sa partie supérieure, l'année dernière lors d'une manipulation.
    La poterie décapitée, ayant perdu son caractère décoratif devait normalement terminer sa brève existence à la déchetterie.
    Heureusement la base de la poterie était préservée sur une hauteur de 25cm.
    Quelques coups de disqueuse plus tard, la poterie handicapée pu reprendre sa place à coté de ses sœurs ( flêche verte) au nombre de quatre..




    Ainsi tout est bien qui finit bien

     

    WS

            
     
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  • Porte-fleur
     Porte-fleur



    Facile à réaliser


    Grâce à leur poids, les pots ne bougent presque pas.
    Ce mur exposé plein nord subit actuellement les violents effets du vent du nord




    WS
            
     
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  • Des jardins infestés par le mildiou
     Des jardins infestés par le mildiou

    Meurthe-et-Moselle Longwy
    Publiée le 24/07/2012


    Cette année, le mildiou fait des ravages : les pieds de tomate et les pommes de terre sont en première ligne. Petit point de la situation et quelques conseils.  





    Toujours les mêmes conseils.Traitement préventif à la bouillie
    Traitement en cours de culture.
    Pour les tomates, essayer de les protéger avec un tunnel approprié.
    Ou mieux, faire la culture en serre comme les Pros.
    Arroser au pied des tomates avec du purin d'ortie.
    Cela ne dispense pas de la lutte contre le mildiou; mais cette pratique renforce la résistance de la plante;
    tout en apportant un peu d'azote.

    WS


            
     
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  • Semis de lantana

     Bonjour
     j'ai récolté de la graine de Lantana.
    Le semis en serre en février n' a rien donné. foutu de chez foutu
    Avez-vous tenté le semis de lantana Question


     

    Photo

      

    Photo 

    WS 

     

     

            
     
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  • Grow Food not Lawns
     Grow Food not Lawns




    https://www.facebook.com/GrowFoodNotLawns  




    Cultivons nos aliments pas le gazon!
    Un slogan de la biodiversité, du naturel et de l'effort.
    Une idée qui fait son chemin aux États Unis



    WS
            
     
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  • L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto

     Je ne sais pas si c'est vraiment une info réaliste, mais j'ai trouvé ce texte sur le net
    Gwenn

    crayon

    L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto



    Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.
    Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
    Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
    Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
    L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
    Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
    Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
    Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
    Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
    Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
    Mais revenons aux OGM.
    La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
    Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
    Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
    Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
    Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
    Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
    Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
    La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
    Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
    Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
    5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
    Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
    Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
    Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
    Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
    Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».
    L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
    « Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».

    Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
    Source des images et du texte  

      crayon

    Si c'est pas un canular, les producteurs d'OGM devront revisiter leur copie
    Gwenn

     

            
     
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  • Silence ça pousse

     Silence ça pousse

    Bonjour Huguette
    Merci d'inaugurer ce nouveau forum.
    Très belle émission.
    Depuis déjà pas mal d'années à la télé.


    2 présentateurs tendres, sympathiques et pleins d'humour.
    Arrow http://www.france5.fr/silence-ca-pousse/#

     Bisous  


     

    De rien White,c'est avec plaisir....

    car comme le dit La quintinie ,elles sont plutôt rares les émissions sur le jardin (enfin à ma connaissances...mais je dois dire que je ne suis pas souvent devant la télé non plus !!! Laughing Laughing

    Mais s'il y avait plus d'émissions de ce genre,je ferais bien un effort ou les enregistrer car les heures sont assez  spéciales et je tombe dessus plutôt le samedi vers 10h30-11h car en fait je ne vois jamais le tout début!!!!
    La radio,là je ne connais absolument rien,mais il y en a car mon mari me raconte souvent ce qu'il a entendu sur ceci,celà mais oû:aucune idée

    Embarassed Embarassed Embarassed je suis plutôt:chants d'oiseaux,calme,abeilles.... Very Happy

    Mais si vous connaissez

    Merci pour les jours et heures de "silence ça pousse " White

    Bon après-midi @+


     

     

     

            
     
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  • Ecran de veille sur les tomates

     Ecran de veille sur les tomates

    http://tomodori.com/8noschoix/screensaver.php

     

            
     
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  • Chants d'oiseaux

     Chants d'oiseaux

     

     


    Charonne

    C'est dommage, je ne peux pas toujours entendre les fonds sonores sur les ordinateurs que je fréquente...
    Au sujet des oiseaux, j'ai lu ceci dans le journal de l'environnement d'aujourd'hui :
    "La liste des espèces d’oiseaux menacés d’extinction s’allonge, signe que l’érosion de la biodiversité ne sera pas endiguée en 2010 selon l’Union internationale pour la conservation de la nature.
    La liste rouge réactualisée de l’UICN a été publiée jeudi 14 mai. 1 227 espèces d’oiseaux, soit 12%, sont classées comme mondialement menacées d’extinction. La liste fait désormais état de 192 espèces d’oiseaux en danger critique d’extinction, la catégorie de menace la plus élevée. Soit 2 de plus qu’en 2008. Neuf ont été ajoutées à cette catégorie, et 7 classées comme «menacées»."
    Crying or Very sad
     
     Un site sur les chants des oiseaux 

            
     
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  • Christophe Dessoly crée "Jardiniers d'Artois"
     Christophe Dessoly crée "Jardiniers d'Artois"
    jeudi 14.10.2010, 14:00
    Une belle histoire de passionné 
    Le plaisir qu'il prend à cultiver, l'Houdinois ne se contente pas de le vivre, il le partage aussi via des échanges avec les jeunes ou gr
    Christophe Dessoly consacre beaucoup de temps à l'entretien de son jardin. 

     


    C'est une passion énergivore, « mais peu coûteuse ». En tous cas quand on a de bonnes astuces comme celles de Christophe Dessoly.
    L'Houdinois consacre au jardinage des heures entières, dans son modeste jardin du Haut d'Houdain ou devant son écran d'ordinateur. Car le quadragénaire, qui prépare un livre sur le jardinage, vient de créer officiellement une association et un forum. Histoire de continuer à partager son amour des fleurs et légumes et de pouvoir échanger des graines avec des amateurs d'autres régions, voire d'autres pays ! L'an dernier, l'Houdinois a ainsi fait pousser salades, courgettes, cornichons (900 grammes pièce !), haricots grecs, piments, etc. Sans oublier ses 130 variétés de tomates anciennes, et il prévoit d'en cultiver le double en 2011 ! Une spécialisation qui s'est imposée naturellement, presque par hasard pour aboutir à sa volonté actuelle de créer sa propre variété.

    Et l'homme transmet son savoir-faire. En effet, un coin du potager de Christophe Dessoly est réservé à quelques jeunes Houdinois qui découvrent les plaisirs de la terre et la fierté d'en faire sortir des légumes parfois oubliés, comme le topinambour. Encadrés par un animateur de la Maison des jeunes, ils se débrouillent presque seuls mais ils savent qu'ils peuvent compter sur les précieux conseils du pro qu'est devenu leur hôte. Attention, pas question pour Christophe Dessoly de faire de la concurrence aux vrais professionnels. Au contraire, il ambitionne de valoriser le travail des pépiniéristes et pourquoi pas d'établir un partenariat avec eux.
    Consommer des produits sains
    Christophe Dessoly vient donc de créer "Jardiniers d'Artois". Une association qui vise à « favoriser la mixité des générations et le lien social, ainsi que la pratique du jardinage dans un cadre collectif ». Ce n'est pas pour récolter de l'argent : « Les éventuels bénéfices seront réinvestis dans des actions autour du jardinage, promet-il ». Non, l'Houdinois et son épouse évoquent l'esprit de solidarité qui régnait autrefois dans les corons : « On pourrait peut-être aider nos anciens à s'occuper de leur jardin. Tous n'ont plus la santé pour ça ! » Entraide n'est pas un vain mot pour lui.
    L'homme ambitionne aussi de sensibiliser les gens à l'utilité du jardinage. Et attention, pas de produits chimiques, que du naturel ! Car le respect de l'environnement lui tient à coeur. En tant qu'écocitoyen, il défend plusieurs projets en ce sens, dont des interventions pédagogiques et de la mise en pratique. Par exemple, pour Halloween, il veut faire pousser un gros potiron qui pourra être dégusté en soupe avec des voisins.
    Cette passion du jardinage, Christophe Dessoly la cultive depuis son enfance : « J'ai passé quelque temps chez mon oncle, dans l'Aveyron. J'en garde de très bons souvenirs, c'est là que j'ai appris à jardiner et que j'y ai pris goût ». Attaché à sa région d'origine (ndlr : il a d'ailleurs consacré un site au Pas-de-Calais), aujourd'hui il rêve de pouvoir s'installer dans une maison avec, forcément, un grand jardin.
    Christine CERDEIRO
    Texte & photo 

            
     
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