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Par White Tendance le 20 Mars 2013 à 07:48
Alonsoa Alonsoa
Dans les jardins d’agrément, l'alonsoa est très utile pour donner, par ses hampes chargées de fleurs groupées, une touche sauvage dans une pelouse, ou en bordure de bosquet.
Famille des Scrofulariacées
Exposition
Type : fleur Origine : Andes péruviennes
Caractéristiques :
Plante annuelle du genre Antirrhinum, elle est appréciée dans les jardins d’agrément pour son feuillage léger et ses fleurs groupées en panicules autour d’une haute tige florale.
Espèces et variétés :
Alonsoa warscewiczii, aux fleurs orangées ou rouges.
A. acutifolia, à fleurs rouge écarlate.
Culture :
Spontanée dans les régions tempérées et de montagnes d’Amérique du Sud, l'alonsoa ne demande pas de soins particuliers, si ce n’est l’arrosage en période de sécheresse. Étant relativement frileuse, elle ne doit pas être repiquée avant la fin des gelées, lorsque le sol a commencé de se réchauffer. Compte tenu de son origine, il lui faut une exposition bien ensoleillée et une terre parfaitement drainée.
Multiplication :
Par semis, exclusivement sous abri dans nos régions, à une température supérieure à 10 °C au moins. Le semis en pleine terre n’est possible que dans les régions méditerranéennes les plus favorisées.
Photo et texte
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Par White Tendance le 20 Mars 2013 à 05:17
Acroclinium L'Acroclinium
Plante haute de 50 cm.
Formant des fleurs roses, blanches ou rouges.
Confection de bouquets de fleurs séchées.
S’accommode de sols pauvres. Annuelle.
Photo
L’acroclinimum préfère les sols bien drainés et les expositions ensoleillées ou mi ombragées.
Doc Le Paysan
Acroclinium rose (Acroclinium roseum) ou immortelle rose.
— Famille des Composées. Originaire du Texas.
Plante annuelle, pour massifs ou bordures, haute de 35 cent. environ.
On sème en plein air, en mars, pour repiquer dans une terre saine,
à exposition chaude et aérée.
On peut semer en plein air, au mois de septembre, pour repiquer en pots
sous châssis.
En juin, fleurs en panicule, d'un joli rosé satiné avec disque jaune,
qui peuvent être conservées comme les Immortelles en les séchant avec soin.
Avez-vous déjà planté cette fleur
Photoj'ai parfois semé des immortellles et aussi des acrocliniums
je trouve ces dernières plus jolies et plus délicates !!!
et les coloris plus jolis aussi !
Big-womanPour mémoire botanique, les acrocliniums sont le synonyme de Rhodanthe et Rhodanthe à pour synonymes aussi Helipterum.
Voila pour l'info. Belavie
A bientôt.
MenixAcroclinium ou helipterum
Les acrocliniums peuvent être utilisés en bordure de massifs bien exposés ainsi qu'en potées. Pour les bouquets de fleurs séchées, il faut les cueillir avant complet épanouissement et les faire sécher à l'abri du soleil et des courants d'air, la tête en bas.
Famille des Composées Exposition :
Type : fleur Origine : Australie
Caractéristiques :
Cette plante annuelle est aussi appelée Helipterum. Elle est très ramifiée et les rameaux portent des feuilles glauques et étroites. La floraison se fait en capitules, les boutons sont d'abord inclinés sur la hampe florale, haute de 20 à 35 cm, et à maturité les fleurs sont dressées. Le terme Acroclinium ne désigne que les espèces australiennes d'Helipterum à feuilles étroites dont la seule espèce cultivée est H. roseum.
Espèces et variétés :
L'espèce la plus utilisée dans les jardins est Acroclinium roseum, à tiges ramifiées, haut de 30 cm environ, qui a donné différentes variétés : ‘Album’ à fleurs blanches ; ‘Double Rouge’, de 35 cm de haut, rouge foncé ; acroclinium à fleurs géantes.
Culture :
L'acroclinium se plaît dans un sol léger et une exposition ensoleillée. On peut le cultiver en pot.
Multiplication :
Les semis ont lieu en mars-avril sur couche en mélange léger. Les plantes sont repiquées directement en place dès que le sol est bien réchauffé, la floraison a lieu en juillet. On peut semer directement en place en mai, la floraison se produira alors en août et se prolongera tout le mois. Pour une floraison en avril-mai, un semis en pépinière aura lieu en septembre, hiverner sous châssis froid après avoir repiqué en godet.
Texte & photo
Une fleur assez facile finalement .
A commander pour cette année.
De très beaux bouquets secs.
Une annuelle qui va venir combler les pertes dans les rangs de certaines vivaces.
Un peu trop exotiques pour notre climat.
La vie n'est pas qu'un long fleuve tranquille..........
En douteriez-vous encore ?
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Par White Tendance le 19 Mars 2013 à 10:11
Chou Palmier Légume Chou Palmier
Chou Palmier, chou nero di toscana, chou décoratif
Ce chou, détesté par les enfants, résiste bien au froid de l'hiver, dans les régions moins rigoureuse, il peut même repousser l'année suivante. Mais pas chez moi. A un certain moment, il pourrit... l'humidité du sol certainement. quoique planté pour son caractère décoratif, j'espère tous les ans en consommé l'hivers, en potée, mais sans compter sur les enfants qui ponctionnent sans cesse les feuilles pour nourrir les lapins. sinon pour la culture, c'est comme les autres choux. Semer en mars / avril, repiquer en avril / mai dans une terre riche. Récolte pendant l'hiver de préférence quand la gelée est passée dessus. il est plus sucré et plus tendre.
Photo & texte
Variété à longues feuilles cloquées tombantes, de couleur bleu-vert, ressemblant à des frondes de palmiers. Commence en apparence comme un chou pour finir comme un petit "palmier" d'un mètre de hauteur. On récolte habituellement les feuilles après les premiers gels, car cela rehausserait leur saveur et les rendrait plus tendres. On peut aussi couper les jeunes pousses tendres tout au long de la saison de croissance. Se prépare et se consomme à l'instar du chou. Populaire en Toscane dans les recettes de soupes et de ragoûts. Le chou palmier est aussi une plante ornementale en vertu de ses feuilles et de son port à allure exotique. Très résistant aux gels
Photo & texte
A ne pas confondre avec le chou que nos amis originaires du Portugal, cultivent dans leurs potagers
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Par White Tendance le 19 Mars 2013 à 09:24
Chou Palmier
C. NON POMMÉ NERO di TOSCANA PRÉCOCE,
(noir de Toscane, chou palmier), appelé aussi corne de cerf,
cette originale variété est très ornementale, tige pouvant atteindre une hauteur de 2 mètres.
Se termine par un bouquet de feuilles entières longues de 60 cm et plus.
D'un vert foncé presque noir et finement cloquées.
La disposition particulière des feuilles donne à cette variété l'aspect d'un petit palmier.
Ne fleurit que la troisième année. >>
Photo
On trouve ce choux chez Baumaux dans les légumes comme plante ornementale.
On peut peut-être le boulotter..
En cas de famine...
Photo
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Par White Tendance le 19 Mars 2013 à 08:00
Aconit Napel
Photo
Plante vivace de 50 cm à 2 m, remarquable par son feuillage et ses fleurs bleues en casque.
La plante contient plusieurs alcaloïdes toxique
L’aconitine est mortelle pour l’homme
Photo
Floraison Mai/août
Plante de mi-ombre
Bordures en sous bois
Rocailles
Multiplication par éclats au printemps
Poison pour le système nerveux.
A des propriétés médicinales
Analgésiques (antidouleurs) utilisées en cas de rhumatisme, de sciatique, de douleurs dentaires, de goutte
Photo
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Par White Tendance le 19 Mars 2013 à 06:36
Adonide Photo Adonide d'été, goutte de sang
Adonis aestivali, devenue rare...
Ancienne fleur des champs (aussi nielle des blés) devenue rare.
Plante buissonneuse de10-50 cm
Feuilles découpées avec fleurs rouge brillant.
Adonis veut dire joli jeune homme.
Semis mars-avril (fleurit juin-juillet) ou semis en sept (fleurit mai-juin). Distance: 15cm x 20 cm.
Peut être semé avec d'autres fleurs des champs (coquelicot, bleuet, nielle).
Exposition ensoleillée ou mi-ombragée.
Une terre légère et saine convient à la culture de l'adonis, qu'il faut
disséminer dans les plates-bandes.
Le semis, cette plante étant annuelle, est le seul mode de multiplication.
On peut l'effectuer en septembre si l'on veut avoir des fleurs de mai à
juin ; de mars en mai pour obtenir une floraison un peu plus tardive de
juin en juillet.
Les graines se ressèment aussi fréquemment d'elles-mêmes.
Un des grands mérites de l'adonis, c'est de pouvoir continuer à fleurir
dans l'eau ou dans la terre humide quand ses tiges ont été coupées.
Ces dernières se conservent pendant plusieurs jours.
« Au printemps, nous apprend M. de Vilmorin, dès que les premières
fleurs se montrent, les jardiniers coupent les rameaux, les réunissent en
bouquets qu'ils plantent ensuite dans de très petits pots ;
les fleurs s'épanouissent successivement et en grand nombre à la fois.
Traitée ainsi, l'adonis goutte de sang forme de petites potées qui peuvent
servir à l'ornement des fenêtres et des appartements. »Photo Photo
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Par White Tendance le 18 Mars 2013 à 05:46
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Par White Tendance le 18 Mars 2013 à 05:15
Fourons St Martin 2007
Fourons St Martin 2007
Sympathique manifestation cette année là à Fourons Saint martin
Que les oiseaux se tiennent à l'écart....
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Par White Tendance le 18 Mars 2013 à 05:02
Épouvantails à Loisy
Épouvantails à Loisy
En 2009 les habitants de Loisy ont confectionné des épouvantails. on les voit partout devant les maisons.
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Par White Tendance le 18 Mars 2013 à 04:39
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Par White Tendance le 15 Mars 2013 à 07:33
Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe
Photocultiverunpotager
| RONCHIN |
Une quarantaine de jardiniers cultivent leur parcelle au pied de l'autoroute, à l'entrée de la ville. Pour beaucoup c'est un loisir, pour d'autres une obligation. Bienvenue dans ces coins de nature qui font aussi pousser les liens humains et les souvenirs.
« Vous aimez les fèves ? Tenez, prenez aussi des oignons, vous mettez le tout dans un couscoussier avec une tomate et, quand on se reverra, vous m'en direz des nouvelles ! ». Aïssa est à la fois jardinier, cuisinier et thaumaturge. Sur sa parcelle de 200 m², le retraité de 64 ans fait pousser les quatre saisons à foison. Les fines herbes raffolent de ses bordures. La coriandre, pourtant peu amène dans les contrées septentrionales, étale à son aise ses vertes feuilles. Ses voisins : des navets blancs en forme de carottes.
Ici, on révise sa biodiversité. On met les mains dans la terre.
Un bienfait pour Aïssa qui y descend « deux à trois fois par semaine » de son appartement lillois. « Tous les jours, au moins une heure », pour ce père de famille, deux parcelles plus loin. « Je travaille dans le nettoyage, je commence tôt, alors en été, je passe tous mes après-midis ici ». Indispensable pour donner ces légumes « plus naturels » à ses quatre enfants. La semaine, il bêche, il bine, il sème puis il récolte. « J'aime bien le jardinage, même si c'est une contrainte. On peut cultiver pour seulement 30 E par an, ce serait dommage de ne pas en profiter », souffle le papa.
La parcelle est le poumon vert de la famille. « Aujourd'hui, on a fait un barbecue, avec un sandwich à la merguez », se régale Mohammed, 6 ans. C'était la première fois que la famille prenait ses aises au jardin, un jour férié. En fin d'après-midi, les parents, la belle-mère, les enfants, tout le monde a mis la main à la cueillette des petits pois. La maman insiste : pas question de repartir sans les salades. La convivialité est aussi une culture maison.
Un peu plus loin, Marie-Line fait visiter son coin de terre à Évelyne, une amie. Cette dernière s'extasie : les lignes de plants de tomates sont impeccables. pas une mauvaise herbe. « J'y ai passé la matinée avec mon père », confie la jardinière de 46 ans.
Quand Marie-Line se rend sur sa parcelle, c'est un peu comme si elle partait en pèlerinage. « Mon mari aimait cet endroit, il adorait jardiner. Jean-Pierre n'en a profité qu'un an, car il est décédé il y a deux ans », confie la jeune veuve. « Pour lui, je continue à l'entretenir du mieux que je peux. » Pas facile quand on travaille et qu'on vit seule. « Je ne cultive plus de pommes de terre, ou de carottes, trop d'entretien. » Marie-Line a adapté ses semis à sa situation familiale. « J'ai planté des tomates, des haricots : je n'ai qu'à me baisser pour les récolter ». Les petits pois, elle en donne des paniers entiers à ses amis, en congèle pour ses enfants. Et pour la génération d'après, elle vient d'installer un salon de jardin, près du cabanon. En espérant, cette année, ne pas être vandalisée : « En 2007, ils avaient cassé la serre qu'avait construite Jean-Pierre. Maintenant, j'y ai mis des fleurs ». Quand il fait beau, Marie-Line s'assoit dans son jardin et regarde pousser les glaïeuls. Ils fleuriront bientôt la tombe de Jean-Pierre dont l'esprit plane toujours sur le jardin. •
PAR MARIE VANDEKERKHOVE
villeneuvedascq@lavoixdunord.fr PHOTOS LA VOIX
vendredi 18.07.2008, 05:01 - La Voix du Nord
Des histoires simples.
Des drames aussi.
Le jardinage devient de plus en plus une nécessité économique..
Un besoin de naturel pour d'autres.
Un hobby passionnant pour la plupart. d'entre nous.
Le premier loisir pratiqué par nos concitoyen.
ça se passe comme çà du coté de l'autoroute.
Bienvenue Chez les Ch'tis..
W.S.
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Par White Tendance le 14 Mars 2013 à 07:47
La jussie La jussie
La jussie ou ludwigia est une plante vivace aquatique originaire d'Amérique du Sud ou du Sud des États-Unis ; vendue chez nous au départ, pour la décoration des aquariums ou des bassins, elle est devenue une redoutable envahisseuse des milieux naturels humides et aquatiques calmes.
Elle appartient à la famille des oenothéracées ou onagracées.
Cette plante ne demande pour se développer qu'un sol humide, une exposition ensoleillée ou de la mi-ombre.
Moyennant quoi elle se développe très rapidement, doublant sa masse toutes les 2 à 3 semaines.
Disséminée en France au milieu du XIX ème siècle dans les régions landaise et languedocienne, sa prolifération s'est étendue vers le Nord, envahissant les lieux humides calmes jusqu'au au delà de la frontière belge.
La jussie qui rencontre des conditions favorables forme des herbiers très denses voire inextricables qui éliminent les autres plantes, notamment la myriophylle servant d'abri à la micro-faune, aliment de base des poissons.
L'écoulement de l'eau s'en trouve ralenti et les sédiments ou matières organiques transportés par l'eau sont ainsi piégés et viennent combler les fonds.
Des activités humaines sont perturbées : la navigation, l'irrigation, la pêche, etc...
Lorsque cette grosse masse de végétation se décompose, à cause du froid par exemple, il se crée un déficit en oxygène nuisible aux habitants des lieux.
Le pouvoir invasif redoutable de la jussie est dû surtout à la très grande difficulté, voire l'impossibilité de s'en débarrasser et cela pour plusieurs raisons :
- ses racines peuvent s'enfoncer jusqu'à 3 m dans le sol
- bien que le gel détruise ses parties aériennes ou semi-immergées, il suffit d'une partie de rhizome protégé par de la boue, sur les berges par exemple, pour que la plante survive.
- la plante se multiplie facilement par bouturage naturel à partir d'un fragment de tige qui régénère une plante entière
- la germination des graines, possible en laboratoire, doit constituer un autre moyen de multiplication
- Les animaux herbivores dédaignent cette plante qui ne fait pas partie de leur menu habituel
- les essais de désherbage chimique ne sont pas concluants.
http://www.pays-de-loire.ecologie.gouv.fr/article.php3?id_article=303&v…
Importée pour la décoration des aquariums!
Que n'importe-t-on pas pour les loisirs.
Si seulement cela avait été pour un développement agricole utile.
On pourrait pardonner l'erreur.
Non! c'est simplement pour jouer, finalement.
Combien de pratiques, que se doit chez les plantes ou les animaux, nous conduisent à ces conséquences catastrophiques.
http://unjardinblanc.xooit.fr/t2280-Dix-bras-de-Loire-seront-restaures.htm#…
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Par White Tendance le 14 Mars 2013 à 07:00
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Par White Tendance le 14 Mars 2013 à 06:38
Les associations de plantes Vaste sujet.
Les associations de plantes sont multiples.
"Le poireau préfère les fraises "
Hans Wagner
Les meilleures associations de plantes .
Choisir de bonnes associations.
- Le persil est trop fort pour la laitue .
- Céleri et chou-fleur; une communauté idéale.
- Les roses et les carottes ne s'aiment pas elles mêmes.
- Pour les tomates , il en va tout autrement ; elles aiment les
emplacement où des tomates ont déjà poussées précédemment.
- Les limaces peuvent devenir une plaie , semer du cerfeuil peut aider.
- Les bactéries et les champignons nuisibles se multiplient plus facilement
dans les monocultures . Avec des cultures associés , ils se heurtent
rapidement à une limite, c'est à dire à une autre plante qu'ils n'arrivent
pas à envahir .(alternance des rangs)
- Dans les potagers, les plantes aromatiques et les fleurs sont non
seulement belles, mais attires également les abeilles, les papillons, des
coccinelles, et divers autres auxiliaires, qui sont tous utiles à la croissance
et à la santé de nos plante
Photo rustica
Doc Le jardin de St Martial
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Par White Tendance le 14 Mars 2013 à 06:33
Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces
Attention, travail de longue haleine en perspective ! Car le sarclage et le binage sont deux tâches essentielles à l'entretien du potager, mais pas les moins sportives.
Sarcler signifie arracher les plantes sauvages, racines comprises, à la main ou en s’aidant d'un outil de jardinage (fourche-bêche, sarcloir et houe surtout). Si on le pratique avant qu'elles ne soient montées à graine, on les empêche de se propager dans le jardin.
Quant au binage, il permet d'arracher en nombre les jeunes herbes, pour moins d'efforts que le sarclage. L'opération se fait avec une binette, long manche muni de pointes courbes, qui va gratter le sol. Pratiqué régulièrement, il a en outre pour but d'aérer le sol, laissant mieux pénétrer les eaux de pluies, et limitant ainsi l'évaporation.
Par temps chaud, on peut laisser à terre les plantes arrachées. En se désagrégeant, elles nourriront le sol. Mais si la terre est encore humide, mieux vaut les jeter au compost, pour éviter qu'elles ne s'enracinent à nouveau.
Texte & photo
Cela a toujours été, pour la plupart du temps, le travail des femmes.
Sarclage à la main ou avec un outil.
Binage et sarclage sont très dommageables pour le dos.
Travail très pénible..
Bien souvent encore plus fatiguant que le bêchage.
Ouvrage pratiquement toujours exécuté par les hommes.
j'ai toujours le souvenir de ces groupes de travailleurs saisonniers qui binaient les champs de betteraves
dans les années 50 et même, encore dans le début des années 60.
Aujourd'hui les nouvelles techniques de semis et de production de semences ont fait disparaitre ce labeur harassant.
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Par White Tendance le 14 Mars 2013 à 06:20
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Par White Tendance le 13 Mars 2013 à 18:13
Farine de Gluten en herbicide Farine de Gluten en herbicide
Utilisation d'un paillage et d'un herbicide naturel en culture hors-sol
La réduction du nombre d’herbicides autorisés et l’augmentation des contraintes liées à leur utilisation incitent les producteurs à rechercher des solutions alternatives à leur usage. Cette étude présente les résultats concernant la rémanence et l’efficacité d’un herbicide naturel de post-levée précoce, la farine de gluten de maïs. Elle évalue également l’efficacité d’un paillage à base de cosse de sarrasin. En conditions idéales de dégradation, la farine de gluten de maïs a une rémanence d’au moins 2 mois avec une période optimale d’efficacité entre 7 à 12 jours après application. En conditions de production extérieure, elle a réduit de 40% le développement des adventices comme l’herbicide Gardenet® Granulé. La cosse de sarrasin l’a réduit de 90%. Ces deux produits sont des solutions alternatives efficaces à l’usage d’herbicides de synthèse
Texte et photo
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Par White Tendance le 13 Mars 2013 à 14:47
Les limites du désherbage au vinaigre Les limites du désherbage au vinaigre
Ou acide acétique
DÉSHERBER AU VINAIGRE
Au chapitre des recettes de grand-mère figure le désherbage au vinaigre blanc. Une solution naturelle issue de la vinification du vin, mais pas vraiment efficace ni inoffensive.
C'est un grand classique des forums de désherbage : pur ou dilué à 50%, le vinaigre blanc viendrait à bout des mauvaises herbes. A moins de 1 euro le litre, il présenterait un rapport prix/efficacité imbattable. La réalité est plus nuancée. Si le vinaigre, qui contient de l’acide acétique dans une concentration de 5 à 8%, brûle en effet les plantes, il est loin de les tuer toutes…
AVERTISSEMENT
Cette technique est une déviation d’usage, contrairement aux produits homologués créés pour l’usage du désherbage avec des doses prescrites.
N’AGIT QUE SUR LES HERBES TENDRES
En arrosage ou en pulvérisation, le vinaigre peut être efficace contre les mauvaises herbes à tige tendre, comme les graminées annuelles levant dans les allées. En revanche, son action contre les vivaces est plus hypothétique. S’il peut flétrir les parties aériennes, il laisse intactes les racines, qui permettront à la plante de repartir de plus belle.
LES LIMITES DU VINAIGRE
Par ailleurs, le vinaigre, s'il est employé en grande quantité, n’est pas sans effet sur le sol. Mal dosé, il risque de détruire les micro-organismes qu’il abrite et dont les plantes ont besoin pour se développer.
Texte
Cette technique pour être vraiment efficace devra s'accompagner d'autres méthodes naturelles.
Désherber en méthode naturelle ne peut être aussi rapide qu'avec l'emploi des herbicides assassins de l'environnement.
Mais au bout du compte les efforts supplémentaires à fournir, seront payants.
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Par White Tendance le 13 Mars 2013 à 13:02
Méthode de désherbage biologique Méthode de désherbage biologique
Vinaigre blanc à 0,40 Euros le litre le désherbant total
J'utilise du vinaigre que je pulvérise ! Du vinaigre tout seul et en un jour, plus rien ! Bon, évidemment je l'utilise sur des pousses ou plantes coupées d'avances (pour ne pas utiliser des tonnes de vinaigre) !
100 % naturel
A utiliser en faisant attention a ne pas exagérer dans le nombre d’utilisations pour ne pas acidifier le sol.
Du vinaigre produit blanc ne coûte pas cher. Celui que j'ai acheté coûtait environ 40 cent le litre ! donc du pas cher !
L'acide acétique n'est pas reconnue comme dangereux pour l'environnement car il est très rapidement biodégradable par la plupart des organismes (d'ailleurs notre propre corps en synthètise!) De plus le vinaigre n'est pas de l'acide acétique pur!
J’utilise donc du vinaigre blanc pur pour éliminer la mousse et les mauvaises herbes. C’est tout à fait efficace. C’est encore plus efficace si vous arrosez au soleil. S’il y a des mauvaises herbes récalcitrantes, j’utilise de l’eau très chaude : dès le lendemain elles sont flétries.
Double avantage : vous faîtes des économies car le vinaigre et l’eau chaude sont beaucoup moins chers que le Roundup et surtout c’est une méthode tout à fait écolo.
Dilution : 20 à 50%, herbicide de contact. Prix environ 0,40 euros le litre.
Huile essentielle de basilic et de citrus.
Certaines huiles essentielles ont des propriétés désherbantes en plus des propriétés bactéricides, insecticides et fongicides connus. Il y a lieu de choisir la bonne huile essentielle qui a l’action voulue. Certaines huiles essentielles peuvent être utilisé comme désherbant total, d’autres comme anti-germinatif.
Ajouter du savon liquide bio pour faire une bonne solution avec l’eau.
Dilution : 100 ml à 1 litre par hectare en bas volume donc pour 30 à 200 litres d'eau.
Farine de gluten de Maïs (FGM)
Antigerminatif, herbicide
Il existe plusieurs alternatives afin de réduire la présence de mauvaises herbes sur votre pelouse. Il est possible de faire appel à des méthodes biologiques mais encore faut-il savoir lesquelles.
Il y a quelques années, le gluten de maïs a fait ses preuves en tant qu’engrais et protecteur de votre pelouse contre les mauvaises herbes, telles les pissenlits et le plantain sauvage.
Il s’agit d’un produit naturel Provenant du broyage humide du maïs qui se retrouve sous forme de fine poudre jaune ou de petites boulettes.
Le gluten de maïs a la propriété d’arrêter la formation des racines des graminées, ce qui entraîne leur mort.
Si vous désirez utiliser le gluten de maïs comme herbicide naturel, en premier lieu, il faut épandre le gluten de maïs sur votre pelouse.
Il est très important de le faire avant l’apparition des mauvaises herbes, soit au temps de la germination. Cette première étape aura pour effet d’empêcher les racines de se former.
Par la suite, il faut s’assurer d’humidifier la zone traitée ce qui activera le traitement. Nous pouvons également se servir du gluten de maïs comme engrais.
Il est recommandé de mettre 20 livres de gluten de maïs par 1000 pieds carré.
Son utilisation régulière permettra de réduire de 50 à 60 pour cent des plantes indésirables d`s la première année.
Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans plusieurs centres de jardinage et pépinières.
Cet herbicide est purement naturel puisqu’il provient du broyage humide du maïs, procédé de création du sirop de maïs.
Cette farine est composée de 60% de protéines et de 10% d’azote (Lutte contre les mauvaises herbes au moyen de farine gluten de maïs, Ville d’Ottawa, 2007).
Elle a été découverte par l’Université d’Iowa, aux États-unis.
Le gluten de maïs a été breveté en 1991 comme engrais et herbicide naturel pro-environnemental. Elle s’attaque non pas aux mauvaises herbes, mais aux graines de celles-ci; notamment aux pissenlits, à la digitaire astringente, à l’amarante, au plantain sauvage, etc.
La FGM inhibe l’accroissement du système radiculaire des graines des mauvaises herbes (herbicide de pré-émergence).
Ce sont les dipeptides, des protéines végétales de la FGM, qui tuent les racines des plants. Le gluten de maïs est donc inoffensif pour la pelouse qui a déjà poussée puisqu’elle n’attaque que les graines qui n‘ont pas encore émergées.
De plus, il est important de l’appliquer au printemps (mi-avril), pour empêcher la germination des graines de mauvaises herbes, et avant l’automne (fin août), pour tuer ces graines avant l’hiver.
Ensuite, il est primordial d’humidifier la pelouse pour activer l’inhibiteur naturel (Melissa Caroline McDade, ″Corn gluten meal and corn gluten hydrolysate for weed control″, Université d’Iowa, 1999).
L’épandage de la poudre ou des granules dorées de la farine de gluten de maïs est effectué directement sur la pelouse à l’aide d’un distributeur d’engrais.
La quantité proposée par 100m2 varie de 5 à 10 kilos (selon ce que propose la ville d’Ottawa). Cependant, les granules sont plus faciles à utiliser puisqu’elles ne s’agglutinent pas comme la poudre et peuvent donc mieux inhiber les racines.
Cet herbicide naturel est très efficace et peut éliminer jusqu’à 98% (Ville d’Ottawa) du plantain sauvage après la quatrième année d’épandage. En fait, après la première année d’utilisation, il est possible que quelques racines des mauvaises herbes aient survécu pendant l’hiver. C’est pour cela qu’il est important d’effectuer le traitement à la FGM de deux à trois fois par an pendant plusieurs années consécutives.
La farine de gluten de maïs est très pratique puisqu’elle n’est pas toxique pour les humains, l’environnement et les animaux.
Cependant, l’activité microbienne et une humidité excessive de la terre (dues à la pluie, par exemple) peuvent réduire son efficacité.
De plus, elle moins disponible que des herbicides synthétiques dans divers magasins.
Eau de cuisson de pommes de terre ou de riz
On utilise l'eau de cuisson de pommes de terre ou du riz additionnée d'un peu de savon liquide qui permettra une bonne adhésion aux feuilles des mauvaises herbes.
On pulvérisera le mélange sur les feuilles à éliminer. C'est l'action de l'amidon qui en bouchant les pores de la plante la feront mourir.
L'eau de cuisson des pâtes alimentaires constitue également un puissant désherbant naturel.
Désherbant TopGun à base d'huile de colza et de cotonDésherbant total, 100 % naturel et écologique, donnant des résultats rapides, surtout lorsque la température est supérieure à 17°. Non toxique pour l'homme et les animaux! Disponible en prêt à l'emploi en 750 ml (flacon pulvérisateur) et 5 litres ou concentré en 1 et 5 litres
Un herbicide sous forme de solution émulsionnable, à base d'huile végétale biologique (colza) et d'huile de coton, à pulvériser sur les feuilles des herbes indésirables qui se décomposent et sèchent sous l'effet du produit.
La sève ne peut plus circuler dans les feuilles.
Les racines s'épuisent ainsi et meurent.
Une repousse n'est pas exclue, mais elle peut être combattue par une deuxième vaporisation deux semaines plus tard.
Après application, le produit se désagrège totalement en quelques jours.
7,50€ le pulvérisateur Ecostyle de 750 ml
Eau de merIl y en a des tonnes à la mer et c’est gratuit.
Bien pour les allées. Cependant ne pas mettre dans un potager ou jardin au risque de saliniser le sol et le rendre incultivable. L’eau de pluie lessive ou rince le sol du sel en profondeur et rend ainsi le sol à nouveau cultivable.
L’eau chaude solaire
Pour les désherbeurs, l'arme absolue écologique:
L'eau très chaude, chauffée au solaire.
Un panneau solaire thermique dans le jardin permet de chauffer l’eau à une température au dessus de 70°C qui peut être utilisé pour désherber.
Fermentation d’orties putréfiés
Ca sens fort mais c’est un très bon désherbant écologique. Très riche en azote et acide ca va brûler les plants et jouer ainsi le rôle de désherbant.
Herbicide bio à base d’huile de pin
On ne permet pas aux des producteurs biologiques d'utiliser des pesticides synthétiques dans leur système de production.
Cependant, les herbicides dérivés des sources naturelles sont souvent permis.
Interceptor est un herbicide homologué et certifié pour la production biologique en Nouvelle-Zélande.
Un herbicide biologique non sélectif peut être très utile pour remplacer le travail du sol avant les semis ou après l'apparition des plantes.
Cette étude avait pour objectif de : 1) évaluer l'efficacité d'Interceptor pour lutter contre les mauvaises herbes indicatrices et 2) définir les paramètres d'application qui peuvent améliorer l'efficacité d'Interceptor. Intercepteur est un herbicide de contact non sélectif, dérivé d'un extrait d'huile de pin.
Puisque cet herbicide tue les plantes par contact, il est essentiel de vaporiser le produit uniformément sur les plantes cibles pour une efficacité maximum.
Extrait de betterave
Herbicide
Jus de sciure de bois
Utilisation d’outils
La grelinette, la binette
Désherbage thermique
Gaz propane à la torche
Le paillage
Ce n'est pas une méthode de désherbage mais le paillis aura l'avantage de ne pas laisser germer les graines.
Son action est préventive en empêchant la germination des mauvaises herbes.
Appareil Electroflash
Vous trouvez la description de l'appareil sur le site http://www.ecosonic.net dans la liste des produits.Cet appareil permet par un traitement électromagnétique par une antenne d'avoir une action désherbante et antigerminatif. La technique a été testé avec succès par le ministère de l'agriculture espagnole sur des champs de maïs.
http://jardineraveclalune.weebly.com/
Quelques solutions connues.
Beaucoup de solutions inédites.
Quelques anciennes pratiques.
Des solutions qui, manifestement, demandent un peu plus d'effort que l'emploi systématique d'herbicides nocifs pour l'environnement, mais qui finalement, au bout du compte, sont efficaces.
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Par White Tendance le 13 Mars 2013 à 11:31
Le terreautage pour une belle pelouse
Après un terreautage, les graminées en santé et le trèfle commencent rapidement à percer. Bientôt, de nouvelles graminées germeront là où la pelouse était faible.
Photo www.jardinierparesseux.com
Avec la disparition des herbicides à gazon (leur utilisation sur les terrains privés étant maintenant illégale au Québec), il est temps de redécouvrir la méthode traditionnelle pour avoir une belle pelouse : le terreautage suivi d’un surensemencement. D’ailleurs, en Angleterre, pays réputé pour la beauté de ses pelouses, la méthode «herbicide-engrais chimique» pour maintenir une pelouse n’a jamais été adoptée. Les gens trouvent que le terreautage donne de bien meilleurs résultats : un gazon dense et vert, résistant à la sécheresse, avec très peu de mauvaises herbes.
La meilleure saison pour rénover une pelouse (ou pour en poser une nouvelle) est à la fin de l’été et au début de l’automne : fin d’août au début d’octobre. À cette saison, les graminées s’établissent mieux qu’au printemps, assurant une meilleure reprise. Et les mauvaises herbes sont moins portées à germer, donc votre gazon sera plus riche en graminées et moins en plantes à feuilles larges.
La méthode
Commencez par désherber grossièrement. Peu de gens ont la patience d’enlever toutes les mauvaises herbes, mais arrachez au moins les plus voyantes. Il existe encore des herbicides biologiques (à base de savon ou de vinaigre) qu’on peut appliquer directement sur les plantes indésirables si vous préférez, mais faites attention de ne pas les appliquer sur les graminées restantes, car ils tuent sans distinction toutes les plantes.
Si votre sol est très compact, passez un aérateur sur sa surface (disponible chez les compagnies de location). Pour vérifier, essayez d’enfoncer un crayon à plomb dans le sol. S’il casse, vous avez besoin d’aérer. Sinon...
Étalez maintenant au râteau 2 cm de bonne terre à gazon ou de compost sur toute la pelouse. Mettez-en plus épais dans les dépressions, moins sur les bosses : ainsi votre pelouse sera plus égale. Insistez à l’achat sur le fait que la terre ou le compost doit être libre de graines de mauvaises herbes. Si on ne le dit pas, des marchands peu scrupuleux peuvent vous refiler des produits contaminés.
Semez maintenant par-dessus avec de la semence à pelouse à entretien minimal contenant des endophytes. Vous pouvez également ajouter à ce mélange des graines de trèfle blanc. Les grandes surfaces ne semblent pas connaître ces deux produits que vous trouverez par contre facilement en jardinerie. De plus, plusieurs jardineries prêtent gratuitement un épandeur si vous achetez des semences chez eux. Il suffit de leur laisser un dépôt.
Maintenant râtelez pour enfoncer les graines un peu afin que les oiseaux n’en mangent pas trop. Finissez par un arrosage.
Entretien par la suite
Pendant deux ou trois semaines, tenez le sol humide. Il peut falloir arroser aux deux ou trois jours s’il n’y a pas de pluie. Et évitez de marcher sur le gazon. Vous verrez que là où le gazon était fort, il passera à travers la nouvelle couche de terre-compost pour s’y enraciner; là où il était faible, les graminées fraîchement germées les remplaceront. Votre gazon n’aura jamais été aussi beau!
Mauvaise nouvelle cependant : idéalement vous devriez faire la même chose chaque automne. Par contre, à force de répéter le terreautage-surensemencement annuellement, vous découvrirez qu’il ne sera plus nécessaire d’aérer ou de fertiliser, que les mauvaises herbes disparaîtront comme par magie et que cette seule intervention annuelle vous assurera une pelouse de rêve.
On a souvent pratiqué cela à la fin de l'automne.
Le gazon est triste à regarder pendant une quinzaine de jours
Et ensuite au fil des pluies, l'herbe se fraie un passage au travers du compost.
Celui-ci est peu à peu absorbé par le gazon lui-même.
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