• Alonsoa
     Alonsoa


    Dans les jardins d’agrément, l'alonsoa est très utile pour donner, par ses hampes chargées de fleurs groupées, une touche sauvage dans une pelouse, ou en bordure de bosquet.

    Famille des Scrofulariacées

    Exposition     
    Type : fleur Origine : Andes péruviennes

    Caractéristiques :
    Plante annuelle du genre Antirrhinum, elle est appréciée dans les jardins d’agrément pour son feuillage léger et ses fleurs groupées en panicules autour d’une haute tige florale.
    Espèces et variétés :
    Alonsoa warscewiczii, aux fleurs orangées ou rouges.
    A. acutifolia, à fleurs rouge écarlate.
    Culture :
    Spontanée dans les régions tempérées et de montagnes d’Amérique du Sud, l'alonsoa ne demande pas de soins particuliers, si ce n’est l’arrosage en période de sécheresse. Étant relativement frileuse, elle ne doit pas être repiquée avant la fin des gelées, lorsque le sol a commencé de se réchauffer. Compte tenu de son origine, il lui faut une exposition bien ensoleillée et une terre parfaitement drainée.


    Multiplication :
    Par semis, exclusivement sous abri dans nos régions, à une température supérieure à 10 °C au moins. Le semis en pleine terre n’est possible que dans les régions méditerranéennes les plus favorisées.

    Photo et texte
    WS
            
     
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  • Acroclinium 
      L'Acroclinium

    Plante haute de 50 cm.
    Formant des fleurs roses, blanches ou rouges.
    Confection de bouquets de fleurs séchées.
    S’accommode de sols pauvres. Annuelle.


    Photo
    L’acroclinimum préfère les sols bien drainés et les expositions ensoleillées ou mi ombragées.


    Doc Le Paysan
    si vous connaissez WS
     


    Acroclinium rose (Acroclinium roseum) ou immortelle rose.
    — Famille des Composées. Originaire du Texas.

    Ligne

    Ligne Plante annuelle, pour massifs ou bordures, haute de 35 cent. environ.
    On sème en plein air, en mars, pour repiquer dans une terre saine,
    à exposition chaude et aérée.
    On peut semer en plein air, au mois de septembre, pour repiquer en pots
    sous châssis.
    En juin, fleurs en panicule, d'un joli rosé satiné avec disque jaune,
    qui peuvent être conservées comme les Immortelles en les séchant avec soin.

    Ligne
                      Avez-vous déjà planté cette fleur Question

    Photo        WS  
    j'ai parfois semé des immortellles et aussi des acrocliniums
    je trouve ces dernières plus jolies et plus délicates !!!
    et les coloris plus jolis aussi !
    Big-woman
       
     Pour mémoire botanique, les acrocliniums sont le synonyme de Rhodanthe et Rhodanthe à pour synonymes aussi Helipterum.
    Voila pour l'info. Belavie
    A bientôt.
    Menix
      
     Acroclinium ou helipterum

    Les acrocliniums peuvent être utilisés en bordure de massifs bien exposés ainsi qu'en potées. Pour les bouquets de fleurs séchées, il faut les cueillir avant complet épanouissement et les faire sécher à l'abri du soleil et des courants d'air, la tête en bas.
    Famille des Composées Exposition :
    Type : fleur Origine : Australie
    Caractéristiques :
    Cette plante annuelle est aussi appelée Helipterum. Elle est très ramifiée et les rameaux portent des feuilles glauques et étroites. La floraison se fait en capitules, les boutons sont d'abord inclinés sur la hampe florale, haute de 20 à 35 cm, et à maturité les fleurs sont dressées. Le terme Acroclinium ne désigne que les espèces australiennes d'Helipterum à feuilles étroites dont la seule espèce cultivée est H. roseum.
    Espèces et variétés :
    L'espèce la plus utilisée dans les jardins est Acroclinium roseum, à tiges ramifiées, haut de 30 cm environ, qui a donné différentes variétés : ‘Album’ à fleurs blanches ; ‘Double Rouge’, de 35 cm de haut, rouge foncé ; acroclinium à fleurs géantes.
    Culture :
    L'acroclinium se plaît dans un sol léger et une exposition ensoleillée. On peut le cultiver en pot.
    Multiplication :
    Les semis ont lieu en mars-avril sur couche en mélange léger. Les plantes sont repiquées directement en place dès que le sol est bien réchauffé, la floraison a lieu en juillet. On peut semer directement en place en mai, la floraison se produira alors en août et se prolongera tout le mois. Pour une floraison en avril-mai, un semis en pépinière aura lieu en septembre, hiverner sous châssis froid après avoir repiqué en godet.
    Texte & photo

      

    Une fleur assez facile finalement .
    A commander pour cette année.
    De très beaux bouquets secs.
    Une annuelle qui va venir combler les pertes dans les rangs de certaines vivaces.
    Un peu trop exotiques pour notre climat.
    La vie n'est pas qu'un long fleuve tranquille..........
    En douteriez-vous encore ?
    Un jardin blanc

    ws  

            
     
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  • Chou Palmier Légume
     Chou Palmier

    Chou Palmier, chou nero di toscana, chou décoratif
    Ce chou, détesté par les enfants, résiste bien au froid de l'hiver, dans les régions moins rigoureuse, il peut même repousser l'année suivante. Mais pas chez moi. A un certain moment, il pourrit... l'humidité du sol certainement. quoique planté pour son caractère décoratif, j'espère tous les ans en consommé l'hivers, en potée, mais sans compter sur les enfants qui ponctionnent sans cesse les feuilles pour nourrir les lapins. sinon pour la culture, c'est comme les autres choux. Semer en mars / avril, repiquer en avril / mai dans une terre riche. Récolte pendant l'hiver de préférence quand la gelée est passée dessus. il est plus sucré et plus tendre.


    Photo & texte


    Variété à longues feuilles cloquées tombantes, de couleur bleu-vert, ressemblant à des frondes de palmiers. Commence en apparence comme un chou pour finir comme un petit "palmier" d'un mètre de hauteur. On récolte habituellement les feuilles après les premiers gels, car cela rehausserait leur saveur et les rendrait plus tendres. On peut aussi couper les jeunes pousses tendres tout au long de la saison de croissance. Se prépare et se consomme à l'instar du chou. Populaire en Toscane dans les recettes de soupes et de ragoûts. Le chou palmier est aussi une plante ornementale en vertu de ses feuilles et de son port à allure exotique. Très résistant aux gels
     

    Photo & texte



    A ne pas confondre avec le chou que nos amis originaires du Portugal, cultivent dans leurs potagers
    WS
            
     
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  • Chou Palmier
      Ligne

    C. NON POMMÉ NERO di TOSCANA PRÉCOCE,
    (noir de Toscane, chou palmier), appelé aussi corne de cerf,
    cette originale variété est très ornementale, tige pouvant atteindre une hauteur de 2 mètres.
    Se termine par un bouquet de feuilles entières longues de 60 cm et plus.
    D'un vert foncé presque noir et finement cloquées.
    La disposition particulière des feuilles donne à cette variété l'aspect d'un petit palmier.
    Ne fleurit que la troisième année. >>

    Photo
    Ligne
    On  trouve ce choux  chez Baumaux dans les légumes comme plante ornementale.
    On peut peut-être le boulotter..
    En cas de famine...
    On rit WS
      
    Photo 
            
     
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  • Aconit Napel
     Bonjour

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    Plante vivace de 50 cm à 2 m, remarquable par son feuillage et ses fleurs bleues en casque.
    La plante contient plusieurs alcaloïdes toxique  C'est très grave
    L’aconitine est mortelle pour l’homme

    Photo

    Floraison Mai/août
    Plante de mi-ombre
    Bordures en sous bois
    Rocailles
    Multiplication par éclats au printemps
    Poison
    WS
     Poison pour le système nerveux.
    A des propriétés médicinales
    Analgésiques (antidouleurs) utilisées en cas de rhumatisme, de sciatique, de douleurs dentaires, de goutte

    c'est pas la joie

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  • Adonide
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     Adonide d'été, goutte de sang
     

    Adonis aestivali, devenue rare...
    Ancienne fleur des champs (aussi nielle des blés) devenue rare.
    Plante buissonneuse de10-50 cm
    Feuilles découpées avec fleurs rouge brillant.
    Adonis veut dire joli jeune homme.
    Semis mars-avril (fleurit juin-juillet) ou semis en sept (fleurit mai-juin). Distance: 15cm x 20 cm.
    Peut être semé avec d'autres fleurs des champs (coquelicot, bleuet, nielle).
    Exposition ensoleillée ou mi-ombragée.
    Une terre légère et saine convient à la culture de l'adonis, qu'il faut
    disséminer dans les plates-bandes.
     Le semis, cette plante étant annuelle, est le seul mode de multiplication.
    On peut l'effectuer en septembre si l'on veut avoir des fleurs de mai à
     juin ; de mars en mai pour obtenir une floraison un peu plus tardive de
    juin en juillet.
    Les graines se ressèment aussi fréquemment d'elles-mêmes.
    Un des grands mérites de l'adonis, c'est de pouvoir continuer à fleurir
     dans l'eau ou dans la terre humide quand ses tiges ont été coupées.
     Ces dernières se conservent pendant plusieurs jours.
    « Au printemps, nous apprend M. de Vilmorin, dès que les premières
    fleurs se montrent, les jardiniers coupent les rameaux, les réunissent en
    bouquets qu'ils plantent ensuite dans de très petits pots ;
    les fleurs s'épanouissent successivement et en grand nombre à la fois.
    Traitée ainsi, l'adonis goutte de sang forme de petites potées qui peuvent
    servir à l'ornement des fenêtres et des appartements. »
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  • Jardinier empoté
     Jardinier empoté

    Empoté et même fatigué le jardinier
    Amusante création que l'on retrouve sur de nombreux sites


    Si vous êtes encombrés par des pots en terre cuite, inspirez-vous de cet exemple.
    Un animal ou un objet célèbre .

    N'attendez pas que ces poteries  soient détruites par le gel.
    WS
            
     
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  • Fourons St Martin 2007
      

    Fourons St Martin 2007

    Sympathique manifestation cette année là à Fourons Saint martin

     

    Que les oiseaux se tiennent à l'écart....

    Un jardin blanc
            
     
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  • Épouvantails à Loisy
      
     
    Épouvantails à Loisy



    En 2009 les habitants de Loisy ont confectionné des épouvantails. on les voit partout devant les maisons.






      
      
      
      
            
     
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  •  

    Loisy/ Fête du village Ces épouvantails qui attirent
      

    Loisy/ Fête du village Ces épouvantails qui attirent

    Publié le mercredi 05 octobre 2011

    La fête du village approchant, les habitants de Loisy ont, comme chaque année, sorti leurs outils de bricolage et confectionné des épouvantails. Depuis le début de la semaine, on les voit fleurir dans toutes les rues.

    ENCORE une fois, l'opération est un succès. Pour sa cinquième année d'existence, la fête des épouvantails de Loisy connaît un franc succès, chacun essayant d'y participer, au moins pour le principe, quand ce n'est pas en y passant plusieurs heures pour réussir à donner au village une âme et un esprit de groupe.
    Yves François, habitant de la rue principale du village, rue de Choiset, a réalisé son œuvre en famille ainsi qu'avec les voisins habitant la même cour. Pour lui, c'était « l'occasion de faire quelque chose de bien. De propre et de solide » après des premières participations « beaucoup plus rapides, pour le geste ».

    Pas de thème, beaucoup d'idées

    Avec trois planches de bois « vissées pour qu'elles tiennent bien », une combinaison fluorescente et des gants, la marionnette a déjà fière allure mais si on la remarque, c'est « parce qu'elle est inclinée dans le bon sens mais surtout parce que sa tête est une citrouille évidée. C'est l'idée qui nous est venue cette année. La proximité d'Halloween et les citrouilles du jardin nous ont donné envie de faire quelque chose qui restera en place jusqu'au premier novembre ». Ce souci de réaliser quelque chose qui plaît va même plus loin. « Dans la tête, une lampe permet d'éclairer l'épouvantail la nuit. » Si ici on joue avec les couleurs, rue du pont, chez Bernard Menard, c'est l'histoire de la famille qui a imposé son style. Avec une femme batelière, « l'idée de réaliser un marin trottait dans la tête depuis quelques années. Une fois tous les éléments réunis et une journée de travail, il trône fièrement à la barre du Gizou, le nom de son bateau ». Plus loin encore, on rejoue les dents de la mer et on voit voler un dragon.

    Une fête qui tourne

    cette dernière sculpture est l'œuvre d'Éric Miazga, l'homme à l'origine de ce peu commun festival et qui se félicite de « compter une soixantaine de participants prêts à jouer le jeu et qui vont même jusqu'à cacher leur création sur les balcons et sur les toits pour que les visiteurs cherchent un peu ». « À Loisy, les épouvantails, c'est un peu comme les œufs de Pâques », ajoute-t-il et ça marche tellement bien que « tous les ans, à la même époque, des camping-cars et même des bus entiers viennent visiter le village ». Belle revanche pour la commune qui « avait eu de nombreux problèmes avec sa fête municipale et surtout avec son bal populaire qui ressemblait plus à un ring de boxe géant qu'à une piste de danse ». Aujourd'hui, le bal est remplacé par « un spectacle familial qui fait salle comble tous les ans » et qui a surtout fait revenir les habitants à la fête de leur propre village. Ce spectacle, « comique cette année » se tiendra samedi et « correspondra avec le jour où il y aura le plus d'épouvantails dans les rues ». Un symbole de la bonne santé de la fête de Loisy pourtant pas au mieux il y a cinq ans mais « quand on veut s'en occuper on peut faire de belles choses », conclut Éric Miazga en constatant que certaines communes n'ont plus de fête quand les autres luttent contre la violence
    Vianney PANNET

      
      
      
      
            
     
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  • Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe
     Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe


    Photocultiverunpotager

      | RONCHIN |
    Une quarantaine de jardiniers cultivent leur parcelle au pied de l'autoroute, à l'entrée de la ville. Pour beaucoup c'est un loisir, pour d'autres une obligation. Bienvenue dans ces coins de nature qui font aussi pousser les liens humains et les souvenirs.


    « Vous aimez les fèves ? Tenez, prenez aussi des oignons, vous mettez le tout dans un couscoussier avec une tomate et, quand on se reverra, vous m'en direz des nouvelles ! ». Aïssa est à la fois jardinier, cuisinier et thaumaturge. Sur sa parcelle de 200 m², le retraité de 64 ans fait pousser les quatre saisons à foison. Les fines herbes raffolent de ses bordures. La coriandre, pourtant peu amène dans les contrées septentrionales, étale à son aise ses vertes feuilles. Ses voisins : des navets blancs en forme de carottes.
    Ici, on révise sa biodiversité. On met les mains dans la terre.
    Un bienfait pour Aïssa qui y descend « deux à trois fois par semaine » de son appartement lillois. « Tous les jours, au moins une heure », pour ce père de famille, deux parcelles plus loin. « Je travaille dans le nettoyage, je commence tôt, alors en été, je passe tous mes après-midis ici ». Indispensable pour donner ces légumes « plus naturels » à ses quatre enfants. La semaine, il bêche, il bine, il sème puis il récolte. « J'aime bien le jardinage, même si c'est une contrainte. On peut cultiver pour seulement 30 E par an, ce serait dommage de ne pas en profiter », souffle le papa.
    La parcelle est le poumon vert de la famille. « Aujourd'hui, on a fait un barbecue, avec un sandwich à la merguez », se régale Mohammed, 6 ans. C'était la première fois que la famille prenait ses aises au jardin, un jour férié. En fin d'après-midi, les parents, la belle-mère, les enfants, tout le monde a mis la main à la cueillette des petits pois. La maman insiste : pas question de repartir sans les salades. La convivialité est aussi une culture maison.
    Un peu plus loin, Marie-Line fait visiter son coin de terre à Évelyne, une amie. Cette dernière s'extasie : les lignes de plants de tomates sont impeccables. pas une mauvaise herbe. « J'y ai passé la matinée avec mon père », confie la jardinière de 46 ans.
    Quand Marie-Line se rend sur sa parcelle, c'est un peu comme si elle partait en pèlerinage. « Mon mari aimait cet endroit, il adorait jardiner. Jean-Pierre n'en a profité qu'un an, car il est décédé il y a deux ans », confie la jeune veuve. « Pour lui, je continue à l'entretenir du mieux que je peux. » Pas facile quand on travaille et qu'on vit seule. « Je ne cultive plus de pommes de terre, ou de carottes, trop d'entretien. » Marie-Line a adapté ses semis à sa situation familiale. « J'ai planté des tomates, des haricots : je n'ai qu'à me baisser pour les récolter ». Les petits pois, elle en donne des paniers entiers à ses amis, en congèle pour ses enfants. Et pour la génération d'après, elle vient d'installer un salon de jardin, près du cabanon. En espérant, cette année, ne pas être vandalisée : « En 2007, ils avaient cassé la serre qu'avait construite Jean-Pierre. Maintenant, j'y ai mis des fleurs ». Quand il fait beau, Marie-Line s'assoit dans son jardin et regarde pousser les glaïeuls. Ils fleuriront bientôt la tombe de Jean-Pierre dont l'esprit plane toujours sur le jardin. •
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    PAR MARIE VANDEKERKHOVE

    villeneuvedascq@lavoixdunord.fr PHOTOS LA VOIX
    vendredi 18.07.2008, 05:01 - La Voix du Nord
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    Avis de la rédaction
    Des histoires simples.
    Des drames aussi.

    Le jardinage devient de plus en plus une nécessité économique..
    Un besoin de naturel pour d'autres.
    Un hobby passionnant pour la plupart. d'entre nous.

    Le premier loisir pratiqué par nos concitoyen.
    ça se passe comme çà du coté de l'autoroute.


    Bienvenue Chez les Ch'tis..
    W.S.
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    tout à fait
            
     
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  • La jussie
     La jussie
    La jussie ou ludwigia est une plante vivace aquatique originaire d'Amérique du Sud ou du Sud des États-Unis ; vendue chez nous au départ, pour la décoration des aquariums ou des bassins, elle est devenue une redoutable envahisseuse des milieux naturels humides et aquatiques calmes.
    Elle appartient à la famille des oenothéracées ou onagracées.






    Cette plante ne demande pour se développer qu'un sol humide, une exposition ensoleillée ou de la mi-ombre.
    Moyennant quoi elle se développe très rapidement, doublant sa masse toutes les 2 à 3 semaines.
    Disséminée en France au milieu du XIX ème siècle dans les régions landaise et languedocienne, sa prolifération s'est étendue vers le Nord, envahissant les lieux humides calmes jusqu'au au delà de la frontière belge.
    La jussie qui rencontre des conditions favorables forme des herbiers très denses voire inextricables qui éliminent les autres plantes, notamment la myriophylle servant d'abri à la micro-faune, aliment de base des poissons.
    L'écoulement de l'eau s'en trouve ralenti et les sédiments ou matières organiques transportés par l'eau sont ainsi piégés et viennent combler les fonds.
    Des activités humaines sont perturbées : la navigation, l'irrigation, la pêche, etc...
    Lorsque cette grosse masse de végétation se décompose, à cause du froid par exemple, il se crée un déficit en oxygène nuisible aux habitants des lieux.
    Le pouvoir invasif redoutable de la jussie est dû surtout à la très grande difficulté, voire l'impossibilité de s'en débarrasser et cela pour plusieurs raisons :
    - ses racines peuvent s'enfoncer jusqu'à 3 m dans le sol
    - bien que le gel détruise ses parties aériennes ou semi-immergées, il suffit d'une partie de rhizome protégé par de la boue, sur les berges par exemple, pour que la plante survive.
    - la plante se multiplie facilement par bouturage naturel à partir d'un fragment de tige qui régénère une plante entière
    - la germination des graines, possible en laboratoire, doit constituer un autre moyen de multiplication
    - Les animaux herbivores dédaignent cette plante qui ne fait pas partie de leur menu habituel
    - les essais de désherbage chimique ne sont pas concluants.
    http://www.pays-de-loire.ecologie.gouv.fr/article.php3?id_article=303&v…



     
    Importée pour la décoration des aquariums!
    Que n'importe-t-on pas pour les loisirs.
    Si seulement cela avait été pour un développement agricole utile.
    On pourrait pardonner l'erreur.
    Non! c'est simplement pour jouer, finalement.
    Combien de pratiques, que se doit chez les plantes ou les animaux, nous conduisent à ces conséquences catastrophiques.

    WS

    Arrow http://unjardinblanc.xooit.fr/t2280-Dix-bras-de-Loire-seront-restaures.htm#…
            
     
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  • L'Ambroisie

    Surnommée « herbe à poux » au Québec où on l’accuse d’être à l’origine de bon nombre de nuisances, l’ambroisie intègre ce que l’on appelle communément les « mauvaises herbes ». Mais si sa fâcheuse habitude de s’installer là où on ne l’attend pas était le seul reproche à lui adresser, il n’y aurait pas lieu d’en parler.
    Espèce à part, l’ambroisie se distingue par le fort pouvoir allergisant de son pollen, devenu la hantise des personnes sensibles. Si l’on s’en réfère aux dires du Ministère de la Santé, « quelques grains de pollen par mètre cube d’air » suffisent à déclencher des symptômes caractéristiques. Il s’agit le plus souvent de rhinite allergique, laquelle se traduit par un écoulement nasal, l’apparition de conjonctivites et de gênes respiratoires de gravité variable. En France, on estime que 6 à 12 % de la population exposée est allergique à l’ambroisie, ce chiffre variant selon la zone ciblée.
    Incommodante, cette plante l’est d’autant plus qu’elle est extrêmement envahissante. Largement implantée en région Rhône-Alpes, elle a depuis investi les départements voisins des vallées de la Saône et du Rhône. Si les plaines et les collines de basse altitude lui sont propices, cela ne l’empêche pas de se fixer jusqu’à plus de 800 mètres d’altitude.
    Elle colonise des types de terrains variés. Il n’est pas rare de l’apercevoir sur les bas côtés des routes, sur les ronds-points ainsi que sur les bordures enherbées (1) des champs. Elle affectionne également les aires incultes jalonnant les zones commerciales, de même que les sites laissés en friche en attente de construction. Enfin, elle s’immisce aisément au sein des cultures agricoles, se répandant dans la plus grande discrétion avant d’être découverte lors de la récolte. Il est alors trop tard pour tenter de limiter la propagation de la plante, la coupe des moissonneuses favorisant la multiplication des tiges.
    Une contamination à laquelle chacun contribue. A notre insu, nous aidons cette plante à se disséminer en la transportant à l’état de graines sous la semelle de nos chaussures et sous les pneus des voitures particulières et des véhicules d’entretien. Une fois déposées, ces graines profitent du climat actuel, alternant périodes chaudes et pluvieuses, pour se développer rapidement.
    Noircissant encore un peu plus le tableau, les moyens de lutte contre l’ambroisie sont restreints. Si la floraison a déjà eu lieu, le recours à l’arrachage ou au fauchage s’impose.
    Mais la meilleure option consiste à intervenir avant la floraison, laquelle commence à la mi-août. Pour plus de sûreté, il est recommandé de détruire l’ambroisie dès les mois de juin-juillet afin de limiter au maximum la reproduction de la plante et d’éviter la production de son redouté pollen.
    Conscients que seule une action conjointe et organisée pourra endiguer ce phénomène, le Ministère de la Santé, la DRASS Rhône-Alpes et la DDASS de l’Isère ont prévu de se rencontrer le 21 novembre prochain afin d’arrêter un plan de lutte efficace.

    Cécile Cassier

     
     
                                             
                     


            
     
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  • Les associations de plantes
     Vaste sujet.
    Les associations de plantes sont multiples.


    "Le poireau préfère les fraises "
    Hans Wagner

    Les meilleures associations de plantes .
    Choisir de bonnes associations.

    - Le persil est trop fort pour la laitue .
    - Céleri et chou-fleur; une communauté idéale.
    - Les roses et les carottes ne s'aiment pas elles mêmes.

    - Pour les tomates , il en va tout autrement ; elles aiment les
    emplacement où des tomates ont déjà poussées précédemment.

    - Les limaces peuvent devenir une plaie , semer du cerfeuil peut aider.

    - Les bactéries et les champignons nuisibles se multiplient plus facilement
    dans les monocultures . Avec des cultures associés , ils se heurtent
    rapidement à une limite, c'est à dire à une autre plante qu'ils n'arrivent
    pas à envahir .(alternance des rangs)

    - Dans les potagers, les plantes aromatiques et les fleurs sont non
    seulement belles, mais attires également les abeilles, les papillons, des
    coccinelles, et divers autres auxiliaires, qui sont tous utiles à la croissance
    et à la santé de nos plante


      Photo rustica

    @+
    WS

    Doc Le jardin de St Martial
      
            
     
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  • Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces
     Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces

    Attention, travail de longue haleine en perspective ! Car le sarclage et le binage sont deux tâches essentielles à l'entretien du potager, mais pas les moins sportives.
    Sarcler signifie arracher les plantes sauvages, racines comprises, à la main ou en s’aidant d'un outil de jardinage (fourche-bêche, sarcloir et houe surtout). Si on le pratique avant qu'elles ne soient montées à graine, on les empêche de se propager dans le jardin.

    Quant au binage, il permet d'arracher en nombre les jeunes herbes, pour moins d'efforts que le sarclage. L'opération se fait avec une binette, long manche muni de pointes courbes, qui va gratter le sol. Pratiqué régulièrement, il a en outre pour but d'aérer le sol, laissant mieux pénétrer les eaux de pluies, et limitant ainsi l'évaporation.

    Par temps chaud, on peut laisser à terre les plantes arrachées. En se désagrégeant, elles nourriront le sol. Mais si la terre est encore humide, mieux vaut les jeter au compost, pour éviter qu'elles ne s'enracinent à nouveau.

    Texte & photo

    Cela a toujours été, pour la plupart du temps, le travail des femmes.
    Sarclage à la main ou avec un outil.
    Binage et sarclage sont très dommageables pour le dos.
    Travail très pénible..
    Bien souvent encore plus fatiguant que le bêchage.
    Ouvrage pratiquement toujours exécuté par les hommes.
    j'ai toujours le souvenir de ces groupes de travailleurs saisonniers qui binaient les champs de betteraves
    dans les années 50 et même, encore dans le début des années 60.
    Aujourd'hui les nouvelles techniques de semis et de production de semences ont fait disparaitre ce labeur harassant.
    WS
            
     
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  • Echanges de bons procédés
     

      
    L'AIL
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    En plantant l'ail entre les fraisiers, ceux-ci seront protégés contre la pourriture grise.
    L'ail se récolte en juillet-août.
    Il laisse alors la place pour repiquer les poireaux, qui profiteront du voisinage des fraisiers et assureront à leur tour la protection contre la pourriture grise.

    L'OIGNON.
    ------------

    Indispensable en cultures associées, l'oignon évite à un grand nombre de plantes d'être exposées aux maladies cryptogamiques comme le mildiou ou pourritures.

    LE CHOU.
    -----------

    Excellente plante compagne de nombreux légumes, le chou lui-même protégé par l'odeur forte du céléri et de la tomate.
    Ces deux plantes tiennent éloignée la piéride qui s'abstient de venir pondre sur les feuilles de chou.

    LA SALADE.
    -------------

    Semée au printemps, la salade s'associe particulièrement bien avec les radis car elle repousse l'altise, dangereuse pour ces derniers. La salade ne doit pas avoisiner avec du céléri ou du persil, deux plantes trop fortes pour elle.

    LA CAROTTE.
    --------------


    Grâce à sa longue racine pivotante, la carotte ameublit le sol en profondeur et éloigne les pucerons.
    Elle est complémentaire de l'oignon et du poireau qui éloignent la mouche de la carotte.



    Variation Modérateur
            
     
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  • Farine de Gluten en herbicide
     Farine de Gluten en herbicide
    Utilisation d'un paillage et d'un herbicide naturel en culture hors-sol




      La réduction du nombre d’herbicides autorisés et l’augmentation des contraintes liées à leur utilisation incitent les producteurs à rechercher des solutions alternatives à leur usage. Cette étude présente les résultats concernant la rémanence et l’efficacité d’un herbicide naturel de post-levée précoce, la farine de gluten de maïs. Elle évalue également l’efficacité d’un paillage à base de cosse de sarrasin. En conditions idéales de dégradation, la farine de gluten de maïs a une rémanence d’au moins 2 mois avec une période optimale d’efficacité entre 7 à 12 jours après application. En conditions de production extérieure, elle a réduit de 40% le développement des adventices comme l’herbicide Gardenet® Granulé. La cosse de sarrasin l’a réduit de 90%. Ces deux produits sont des solutions alternatives efficaces à l’usage d’herbicides de synthèse

    Texte et photo
            
     
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  • Les limites du désherbage au vinaigre
     Les limites du désherbage au vinaigre
    Ou acide acétique

    DÉSHERBER AU VINAIGRE

    Au chapitre des recettes de grand-mère figure le désherbage au vinaigre blanc. Une solution naturelle issue de la vinification du vin, mais pas vraiment efficace ni inoffensive.

    C'est un grand classique des forums de désherbage : pur ou dilué à 50%, le vinaigre blanc viendrait à bout des mauvaises herbes. A moins de 1 euro le litre, il présenterait un rapport prix/efficacité imbattable. La réalité est plus nuancée. Si le vinaigre, qui contient de l’acide acétique dans une concentration de 5 à 8%, brûle en effet les plantes, il est loin de les tuer toutes…


    AVERTISSEMENT
    Cette technique est une déviation d’usage, contrairement aux produits homologués créés pour l’usage du désherbage avec des doses prescrites.

    N’AGIT QUE SUR LES HERBES TENDRES
    En arrosage ou en pulvérisation, le vinaigre peut être efficace contre les mauvaises herbes à tige tendre, comme les graminées annuelles levant dans les allées. En revanche, son action contre les vivaces est plus hypothétique. S’il peut flétrir les parties aériennes, il laisse intactes les racines, qui permettront à la plante de repartir de plus belle.

    LES LIMITES DU VINAIGRE
    Par ailleurs, le vinaigre, s'il est employé en grande quantité, n’est pas sans effet sur le sol. Mal dosé, il risque de détruire les micro-organismes qu’il abrite et dont les plantes ont besoin pour se développer.

    Texte

    Cette technique pour être vraiment efficace devra s'accompagner d'autres méthodes naturelles.
    Désherber en méthode naturelle ne peut être aussi rapide qu'avec l'emploi des herbicides assassins de l'environnement.
    Mais au bout du compte les efforts supplémentaires à fournir, seront payants.
    WS
            
     
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  •  Méthode de désherbage biologique

     Méthode de désherbage biologique

    Vinaigre blanc à 0,40 Euros le litre le désherbant total

    J'utilise du vinaigre que je pulvérise ! Du vinaigre tout seul et en un jour, plus rien ! Bon, évidemment je l'utilise sur des pousses ou plantes coupées d'avances (pour ne pas utiliser des tonnes de vinaigre) !
    100 % naturel

    A utiliser en faisant attention a ne pas exagérer dans le nombre d’utilisations pour ne pas acidifier le sol.

    Du vinaigre produit blanc ne coûte pas cher. Celui que j'ai acheté coûtait environ 40 cent le litre ! donc du pas cher !

    L'acide acétique n'est pas reconnue  comme dangereux pour l'environnement car il est très rapidement biodégradable par la plupart des organismes (d'ailleurs notre propre corps en synthètise!) De plus le vinaigre n'est pas de l'acide acétique pur!

    J’utilise donc du vinaigre blanc pur pour éliminer la mousse et les mauvaises herbes. C’est tout à fait efficace. C’est encore plus efficace si vous arrosez au soleil. S’il y a des mauvaises herbes récalcitrantes, j’utilise de l’eau très chaude : dès le lendemain elles sont flétries.

    Double avantage : vous faîtes des économies car le vinaigre et l’eau chaude sont beaucoup moins chers que le Roundup et surtout c’est une méthode tout à fait écolo.

    Dilution : 20 à 50%, herbicide de contact. Prix environ 0,40 euros le litre.


    Huile essentielle de basilic et de citrus.

    Certaines huiles essentielles ont des propriétés désherbantes en plus des propriétés bactéricides, insecticides et fongicides connus. Il y a lieu de choisir la bonne huile essentielle qui a l’action voulue. Certaines huiles essentielles peuvent être utilisé comme désherbant total, d’autres comme anti-germinatif.

    Ajouter du savon liquide bio pour faire une bonne solution avec l’eau.

    Dilution : 100 ml à 1 litre par hectare en bas volume donc pour 30 à 200 litres d'eau.
    Farine de gluten de Maïs (FGM)
    Antigerminatif, herbicide
    Il existe plusieurs alternatives afin de réduire la présence de mauvaises herbes sur votre pelouse. Il est possible de faire appel à des méthodes biologiques mais encore faut-il savoir lesquelles.
    Il y a quelques années, le gluten de maïs a fait ses preuves en tant qu’engrais et protecteur de votre pelouse contre les mauvaises herbes, telles les pissenlits et le plantain sauvage.
    Il s’agit d’un produit naturel Provenant du broyage humide du maïs qui se retrouve sous forme de fine poudre jaune ou de petites boulettes.
    Le gluten de maïs a la propriété d’arrêter la formation des racines des graminées, ce qui entraîne leur mort.
    Si vous désirez utiliser le gluten de maïs comme herbicide naturel, en premier lieu, il faut épandre le gluten de maïs sur votre pelouse.
    Il est très important de le faire avant l’apparition des mauvaises herbes, soit au temps de la germination. Cette première étape aura pour effet d’empêcher les racines de se former.
     Par la suite, il faut s’assurer d’humidifier la zone traitée ce qui activera le traitement. Nous pouvons également se servir du gluten de maïs comme engrais.
    Il est recommandé de mettre 20 livres de gluten de maïs par 1000 pieds carré.
    Son utilisation régulière permettra de réduire de 50 à 60 pour cent des plantes indésirables d`s la première année.
    Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans plusieurs centres de jardinage et pépinières.
    Cet herbicide est purement naturel puisqu’il provient du broyage humide du maïs, procédé de création du sirop de maïs.
     Cette farine est composée de 60% de protéines et de 10% d’azote (Lutte contre les mauvaises herbes au moyen de farine gluten de maïs, Ville d’Ottawa, 2007).
    Elle a été découverte par l’Université d’Iowa, aux États-unis.
    Le gluten de maïs a été breveté en 1991 comme engrais et herbicide naturel pro-environnemental. Elle s’attaque non pas aux mauvaises herbes, mais aux graines de celles-ci; notamment aux pissenlits, à la digitaire astringente, à l’amarante, au plantain sauvage, etc.
     La FGM inhibe l’accroissement du système radiculaire des graines des mauvaises herbes (herbicide de pré-émergence).
    Ce sont les dipeptides, des protéines végétales de la FGM, qui tuent les racines des plants. Le gluten de maïs est donc inoffensif pour la pelouse qui a déjà poussée puisqu’elle n’attaque que les graines qui n‘ont pas encore émergées.
    De plus, il est important de l’appliquer au printemps (mi-avril), pour empêcher la germination des graines de mauvaises herbes, et avant l’automne (fin août), pour tuer ces graines avant l’hiver.
    Ensuite, il est primordial d’humidifier la pelouse pour activer l’inhibiteur naturel (Melissa Caroline McDade, ″Corn gluten meal and corn gluten hydrolysate for weed control″, Université d’Iowa, 1999).
    L’épandage de la poudre ou des granules dorées de la farine de gluten de maïs est effectué directement sur la pelouse à l’aide d’un distributeur d’engrais.
     La quantité proposée par 100m2 varie de 5 à 10 kilos (selon ce que propose la ville d’Ottawa). Cependant, les granules sont plus faciles à utiliser puisqu’elles ne s’agglutinent pas comme la poudre et peuvent donc mieux inhiber les racines.
    Cet herbicide naturel est très efficace et peut éliminer jusqu’à 98% (Ville d’Ottawa) du plantain sauvage après la quatrième année d’épandage. En fait, après la première année d’utilisation, il est possible que quelques racines des mauvaises herbes aient survécu pendant l’hiver. C’est pour cela qu’il est important d’effectuer le traitement à la FGM de deux à trois fois par an pendant plusieurs années consécutives.
    La farine de gluten de maïs est très pratique puisqu’elle n’est pas toxique pour les humains, l’environnement et les animaux.
    Cependant, l’activité microbienne et une humidité excessive de la terre (dues à la pluie, par exemple) peuvent réduire son efficacité.
    De plus, elle moins disponible que des herbicides synthétiques dans divers magasins.


    Eau de cuisson de pommes de terre ou de riz
    On utilise l'eau de cuisson de pommes de terre ou du riz additionnée d'un peu de savon liquide qui permettra une bonne adhésion aux feuilles des mauvaises herbes.
    On pulvérisera le mélange sur les feuilles à éliminer. C'est l'action de l'amidon qui en bouchant les pores de la plante la feront mourir.
    L'eau de cuisson des pâtes alimentaires constitue également un puissant désherbant naturel.


    Désherbant TopGun à base d'huile de colza et de coton

    Désherbant total, 100 % naturel et écologique, donnant des résultats rapides, surtout lorsque la température est supérieure à 17°. Non toxique pour l'homme et les animaux! Disponible en prêt à l'emploi en 750 ml (flacon pulvérisateur) et 5 litres ou concentré en 1 et 5 litres
    Un herbicide sous forme de solution émulsionnable, à base d'huile végétale biologique (colza) et d'huile de coton, à pulvériser sur les feuilles des herbes indésirables qui se décomposent et sèchent sous l'effet du produit.
     La sève ne peut plus circuler dans les feuilles.
     Les racines s'épuisent ainsi et meurent.
    Une repousse n'est pas exclue, mais elle peut être combattue par une deuxième vaporisation deux semaines plus tard.
    Après application, le produit se désagrège totalement en quelques jours.
    7,50€ le pulvérisateur Ecostyle de 750 ml

    Eau de mer

    Il y en a des tonnes à la mer et c’est gratuit.        On rit

    Bien pour les allées. Cependant ne pas mettre dans un potager ou jardin au risque de saliniser le sol et le rendre incultivable. L’eau de pluie lessive ou rince le sol du sel en profondeur et rend ainsi le sol à nouveau cultivable.

    L’eau chaude solaire
    Pour les désherbeurs, l'arme absolue écologique:
    L'eau très chaude, chauffée au solaire.
    Un panneau solaire thermique dans le jardin permet de chauffer l’eau à une température au dessus de 70°C qui peut être utilisé pour désherber.


    Fermentation d’orties putréfiés           
    Ca sens fort mais c’est un très bon désherbant écologique. Très riche en azote et acide ca va brûler les plants et jouer ainsi le rôle de désherbant.

    Herbicide bio à base d’huile de pin   
    On ne permet pas aux des producteurs biologiques d'utiliser des pesticides synthétiques dans leur système de production.
    Cependant, les herbicides dérivés des sources naturelles sont souvent permis.
     Interceptor est un herbicide homologué et certifié pour la production biologique en Nouvelle-Zélande.
    Un herbicide biologique non sélectif peut être très utile pour remplacer le travail du sol avant les semis ou après l'apparition des plantes.
    Cette étude avait pour objectif de : 1) évaluer l'efficacité d'Interceptor pour lutter contre les mauvaises herbes indicatrices et 2) définir les paramètres d'application qui peuvent améliorer l'efficacité d'Interceptor. Intercepteur est un herbicide de contact non sélectif, dérivé d'un extrait d'huile de pin.
    Puisque cet herbicide tue les plantes par contact, il est essentiel de vaporiser le produit uniformément sur les plantes cibles pour une efficacité maximum.

    Extrait de betterave
    Herbicide

    Jus de sciure de bois


    Utilisation d’outils
    La grelinette, la binette

    Désherbage thermique
    Gaz propane à la torche

    Le paillage
    Ce n'est pas une méthode de désherbage mais le paillis aura l'avantage de ne pas laisser germer les graines.
    Son action est préventive en empêchant la germination des mauvaises herbes.

    Appareil Electroflash
    Vous trouvez la description de l'appareil sur le site http://www.ecosonic.net dans la liste des produits.Cet appareil permet par un traitement électromagnétique par une antenne d'avoir une action désherbante et antigerminatif. La technique a été testé avec succès par le ministère de l'agriculture espagnole sur des champs de maïs.

    Arrow http://jardineraveclalune.weebly.com/



    Quelques solutions connues.
    Beaucoup de solutions inédites.
    Quelques anciennes pratiques.
    Des solutions qui, manifestement, demandent un peu plus d'effort que l'emploi systématique d'herbicides nocifs pour l'environnement, mais qui finalement, au bout du compte, sont efficaces.
    WS
            
     
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  • Le terreautage pour une belle pelouse
     
    Le terreautage pour une belle pelouse

         
    Après un terreautage, les graminées en santé et le trèfle commencent rapidement à percer. Bientôt, de nouvelles graminées germeront là où la pelouse était faible.
    Photo www.jardinierparesseux.com


    Avec la disparition des herbicides à gazon (leur utilisation sur les terrains privés étant maintenant illégale au Québec), il est temps de redécouvrir la méthode traditionnelle pour avoir une belle pelouse : le terreautage suivi d’un surensemencement. D’ailleurs, en Angleterre, pays réputé pour la beauté de ses pelou­ses, la méthode «herbici­de-engrais chimique» pour maintenir une pelouse n’a jamais été adoptée. Les gens trouvent que le terreautage donne de bien meilleurs résultats : un gazon dense et vert, résistant à la sécheresse, avec très peu de mauvaises herbes.
    La meilleure saison pour rénover une pelouse (ou pour en poser une nouvelle) est à la fin de l’été et au début de l’automne : fin d’août au début d’octobre. À cette saison, les graminées s’établissent mieux qu’au printemps, assurant une meilleure reprise. Et les mauvaises herbes sont moins portées à germer, donc votre gazon sera plus riche en graminées et moins en plantes à feuilles larges.

    La méthode

    Commencez par désherber grossièrement. Peu de gens ont la patience d’enlever toutes les mauvaises herbes, mais arrachez au moins les plus voyantes. Il existe encore des herbicides biologiques (à base de savon ou de vinaigre) qu’on peut appliquer directement sur les plantes indésirables si vous préférez, mais faites attention de ne pas les appliquer sur les graminées restantes, car ils tuent sans distinction toutes les plantes.

    Si votre sol est très compact, passez un aérateur sur sa surface (disponible chez les compagnies de location). Pour vérifier, essayez d’enfoncer un crayon à plomb dans le sol. S’il casse, vous avez besoin d’aérer. Sinon...

    Étalez maintenant au râteau 2 cm de bonne terre à gazon ou de compost sur toute la pelouse. Mettez-en plus épais dans les dépressions, moins sur les bosses : ainsi votre pelouse sera plus égale. Insistez à l’achat sur le fait que la terre ou le compost doit être libre de graines de mauvaises herbes. Si on ne le dit pas, des marchands peu scrupuleux peuvent vous refiler des produits contaminés.

    Semez maintenant par-dessus avec de la semence à pelouse à entretien minimal contenant des endophytes. Vous pouvez également ajouter à ce mélange des graines de trèfle blanc. Les grandes surfaces ne semblent pas connaître ces deux produits que vous trouverez par contre facilement en jardinerie. De plus, plusieurs jardineries prêtent gratuitement un épandeur si vous achetez des semences chez eux. Il suffit de leur laisser un dépôt.

    Maintenant râtelez pour enfoncer les graines un peu afin que les oiseaux n’en mangent pas trop. Finissez par un arrosage.

    Entretien par la suite

    Pendant deux ou trois semaines, tenez le sol humide. Il peut falloir arroser aux deux ou trois jours s’il n’y a pas de pluie. Et évitez de marcher sur le gazon. Vous verrez que là où le gazon était fort, il passera à travers la nouvelle couche de terre-compost pour s’y enraciner; là où il était faible, les graminées fraîchement germées les remplaceront. Votre gazon n’aura jamais été aussi beau!

    Mauvaise nouvelle cependant : idéalement vous devriez faire la même chose chaque automne. Par contre, à force de répéter le terreautage-surensemencement annuellement, vous découvrirez qu’il ne sera plus nécessaire d’aérer ou de fertiliser, que les mauvaises herbes disparaîtront comme par magie et que cette seule intervention annuelle vous assurera une pelouse de rêve.

    crayon
         
    Larry Hodgson Le Soleil Collaboration spéciale Québec Le samedi 23 août 2008
    crayon 
       
     

    On a souvent pratiqué cela à la fin de l'automne.
    Le gazon est triste à regarder pendant une quinzaine de jours
    Et ensuite au fil des pluies, l'herbe se fraie un passage au travers du compost.
    Celui-ci est peu à peu absorbé par le gazon lui-même.
    WS
    crayon 
       

            
     
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